Emilia

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Proposée le 2/03/2014 par Emilia

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Je me rhabille après m'être essuyée la bouche a l'aide d'un torchon. Dans mes pensée tout ce bousculée, et surtout une phrase revenait sans cesse : J'ai trompé mon mari. En effet, c'est la première fois que cet écart vient après 3 ans de mariage, mais revenons quelques heures en arrière.


Je suis là, devant la gare, mon mari qui habituellement vient me chercher n'était pas là, et pour cause, le fait que j'ai pris un train plus tôt pour rentrer à la maison, et lui faire une surprise. Je m'approche d'une file de taxi et demande au conducteur :

- Vous êtes libre ?

Un monsieur sort de sa voiture, grand, cheveux poivre et sel, un sourire à faire tomber toute les femmes et des yeux brun, presque noir, qui se marie bien à ses cheveux.

- Je suis toujours libre pour les belle femmes.

Je me sens gênée, alors oui je me permets de regarder d'autre hommes, mais de là à flirté... C'est une autre histoire. Mais le chauffeur de taxi lâche un petit rire.

- Je plaisante, je rigole, ce ne serait pas professionnel de ma part, voyons, je peux prendre votre valise ?

A peine avait il terminer sa phrase qu'il prend la poignée de ma valise et la pose délicatement dans le coffre de la voiture. Ces paroles me rassurent, rien qu'à l'idée de faire le trajet avec un dragueur m'aurait gâcher la journée, mais ça ne semble pas être le cas. Il m'ouvre la porte du taxi, à l'avant et je m'installe. Lui fait le tour de la voiture et se met à la place du conducteur, logique.

- Alors, c'est pour aller ou mademoiselle ?
- Madame... 51 rue de New York.
- Oh excusez moi, c'est que vous faites si jeune.

C'est vrai que je me suis marié tôt, à 20 ans précisément et aujourd'hui j'en ai 23. Tiens en parlant de ça, je ne me suis pas présentée, je m'appelle Emilia, 1m64, 49 kg, je suis blonde et pour les plus curieux, poitrine de taille normale, sans entrer dans les détails. Aujourd'hui même, je suis vêtue d'un petit chemisier violet à carreaux et d'un jeans bleu... C'est bien l'été, autant en profiter.

- Le destin n'a pas perdu de temps pour m'envoyer le bon.
- En voilà une belle phrase, c'est magnifique. Aller, c'est parti.

La voiture démarre, il reste concentré sur la route, pendant que moi je me perds dans mes pensées, et comme tout chauffeur de taxi qui se respecte, il n'est pas long à engager la conversation. Ça se voit que je ne suis pas à Paris.

- Alors ce voyage, c'était bien ?
- Oui c'était sympa, je suis aller passer deux semaine chez ma sœur.
- Où habite-t'elle?
- A Paris monsieur.
- Voyons, appelez moi Ben. Ah Paris, la ville des amoureux, une très belle ville.
- D'accord Ben. Oui c'est magnifique mais mon mari est resté à la maison, il travaille.
- Il travaille dans quel branche ?
- Il est dans le tourisme.
- Ah très bon choix. Et vous que faites-vous ?
- Je suis à la recherche d'un emploi
- Vous rechercher dans quoi ? Ce n'est pas facile en ce moment le marché de l'emploi.
- Un peu dans tout, comme je n'ai pas de diplôme, j'ai tout arrêté pour me marier.
- C'est un choix respectable, et si vous ne regrettez pas, c'est une bonne chose.
- Oui mais mon mari est contre le fait que je travaille.
- Comme beaucoup d'hommes, pour diverses raisons, je n'ai pas à m'impliquer là-dedans.

Ben gare la voiture, juste a quelque maison de la mienne.

- Voila, ça vous fera 11€42.

Je sort mon porte monnaie et lui donne un billet de 20€.

- Et voilà votre monnaie.

Je prend ma monnaie délicatement dans ces mains, nos mains se touchent et comme un courant électrique se passe entre nous. Finalement je sors de la voiture, en oubliant cet échange, de son coté, il repart, appelé pour d'autres clients. J'entre chez moi, j'ai un peu de temps, mon mari ne rentre qu'à 18h et il est 17h20, je prend rapidement une douche puis me rhabille, j'ouvre mon chemisier où j'ai volontairement oublié de mettre un soutien gorge et je n'enfile rien en bas, juste une petite culotte, et dans cette tenue qui ne pourra que ravir mon mari, je me met sur le lit. Mon mari, qui me fait souvent remarquer que je ne me lâche pas assez, que je ne suis pas assez coquine, ne va pas être déçu du voyage. J'entends la clé tourner dans la serrure, il doit certainement être en train de lire le message que je lui ai laisser, lui disant de monter. J'entends les marches grincer, la portes qui s'ouvre et...

- Emilia...

Mon mari était là, face a moi. Je me mets à genoux et l'invite à me rejoindre dans le lit, monsieur ne se fait pas prier et me bascule en arrière, en m'allongeant, il m'embrasse tendrement et amoureusement, qu'est ce que j'aime ces moments intimes. Séparés depuis deux semaines où nous n'avons pas pu nous toucher, nous sentir... Maman réclame son gâteau, façon de parler bien-sur. Penché sur moi, il m'embrasse, sur la bouche, dans le cou, me dit combien je lui ai manqué, puis il commence à descendre et à ouvrir son cadeau, et par ouvrir son cadeau, je parle de libérer mes seins de mon chemisier déjà ouvert, mes tétons pointent, il commence à embrasser le droit pendant que ça main s'occupe du gauche, c'est tellement bon d'enfin se faire toucher, et il échange les rôles de sa main et de sa bouche, sa langue passe entre mes seins et rapidement descend le long de ma poitrine, le long de mon ventre. Il plaque sont nez sur ma culotte qui est déjà bien trempée, il entreprend de me la retirer et rapidement elle termine sur le sol, je n'aurais pas du en mettre. Je suis toute offerte à lui, les jambes liées, écartées, un coup de langue suffit pour ouvrir ce qu'il aime appeler "mon abricot" et il continue de sa langue à me titiller le clitoris, un bruit plutôt involontaire sort de ma bouche :

- Oh ouai.

Il me regarde et sourit, mais n'a pas stopper son action et moi je me régale, il fouille mon intimité de sa langue seule, de nouveau bruit sort de ma bouche, je prends mes seins en mains et les caresse, en même temps je bouge mon bassin sur sa langue, je suis aux anges. Je relève la tête et le regarde faire avec tant de passion.

- C'est bon.

Il m'entend et ça l'encourage à continuer à mon grand bonheur, après quelques petits gémissements, il se déshabille rapidement, il est tout dur et n'a pas besoin de mon aide pour le durcir, il s'approche de ma grotte directement, lui qui aime tant la fellation semble ne plus pouvoir attendre... Je le sens en moi, il lâche à son tour un petit cri, tout mignon qui résulte de son manque à lui aussi. Il relève les jambes et énergiquement, en tenant à mes chevilles en l'air, me gratifie de rapide va-et-vient qui me font gémir du plaisir qui commence. Il ralentit pour donner de plus gros coup de reins, comme si il cherchait à aller plus profond, une petite caresse sur les seins, et dieu que c'est bon. Mon homme se retire, je me redresse un peu et me met sur les genoux, je lui tend mon intimité et de sa main, il dirige sa verge dans ma féminité. Directement les coups de reins et mes gémissement reprennent, cramponné à mes fesses il s'en donne a cœur joie, sans oublier la traditionnelle fessée, car il n'y a pas de levrette sans fessée. Il continue en me malaxant les seins, j'aime beaucoup et me redresse légèrement pour lui laisser plus d'accès, je garde le bassin bien cambré et prends un maximum de plaisir. Il se tient maintenant à mes épaules et accélère à nouveau ces coups de reins, en plus d'entendre mes cris, les voisins doivent entendre ses testicules claquer contre mes cuisses, je crie, je n'en peut plus. Il s'enlève une nouvelle fois, je reste dans la même position et il recommence un cunnilingus en y ajoutant un doigt qui fait des aller-retour, je ne m'en plein pas, je prends un coussin car je commence à avoir des douleurs aux coudes et alors que je ne m'y attendais pas, il me pénètre de nouveau, et quelques aller-retour plus tard, me voilà au pays des rêves, je lève les yeux au ciel pour un bel orgasme, quant à mon chéri, il termine une ou deux minutes plus tard en laissant sa semence chaude en moi.

Quelles retrouvailles, je suis affalée sur le lit, sur le ventre, mon homme vient me susurrer des mots doux a l'oreille.

- Je t'aime.
- Moi aussi je t'aime.

3 ans de mariage, 6 ans qu'on est ensemble, et nous avons toujours cette même envie, cette même passion et comme vous avez pus le lire, bien qu'il ne me trouve pas assez coquine, au lit toujours la même fougue. Après cet orgasme, j'étais encore dans mon petit monde, encore au septième ciel, mais j'allais très vite en redescendre.

- Bon faut que j'y aille.
- Aller où ?
- Chez Rubin, tu n'as pas oublier, il nous à invité a manger ce soir ? Je t'en ai parlé au téléphone.
- Ah oui, non je n'ai pas oublié.

En fait si, j'avais complètement oublier.

- Part devant, je vous rejoindrez.
- Ça tombe bien car je lui ai promis de l'aider à préparer.
- Parfait.

Ça tombait bien, car j'avais besoin de prendre une douche, surtout avec la semence de Valentin qui commençait à couler... C'est le prénom de mon homme. D'ailleurs je ne vous ai pas fait sa présentation, il est beau comme un dieu, environ 1m83, 80kg, brun, les yeux marron. Nous sommes ensemble depuis mes 17 ans, il a 25 ans, 2 ans de plus que moi.

Après avoir enfilé un jeans, un t-shirt, il s'éclipse rapidement, en prenant la voiture, la seule qu'on a pour deux, de toute façon, je n'ai pas le permis, je vais devoir reprendre le taxi puisque les bus ne passent pas le dimanche. Je file à la douche, prend bien le temps de me rincer, de me laver et je décide d'enfiler une petite robe d'été noire, sans soutien-gorge, car je n'aime pas la forme que fait le soutien-gorge sous une robe fine comme celle là. Me voilà presque prête, je compose le numéro du taxi.

- Allo, il me faudrait un taxi au 51 rue de New York... Oui, dans 10 minute ça ira, merci madame.

Voila le taxi est "commandé" je vais pouvoir rejoindre les hommes assez tôt. Le temps de préparer un peu d'argent, j'entends déjà klaxonner, il aura était rapide. Je ferme la porte a clé et le taxi était là. J'entre à l'arrière.

- Bonjour ma petite dame, c'est pour aller o`u ?
- Au 72... Ben, encore vous ?

En effet, encore le même et sexy chauffeur de taxi.

- Oui, moi, j'étais dans le coin, à vrai dire, j'habite pas loin, pourquoi je dérange ?
- Ah non pas du tout.
- Alors tant mieux.
- Si je peux avoir des réductions comme ça...
- Alors ça, c'est une autre affaire, dt-il en rigolant, je rigole avec lui.
- Donc au 726 avenue piquet s'il vous plaît.
- C'est parti. Alors vous allez à une petite soirée habillée comme ça ?
- Oui, chez le meilleur ami de mon mari, il nous a invités à manger.
- Ah c'est sympa ça, vous êtes élégante dans cette robe.
- Merci.

Nous arrivons à un feu rouge.

- Regardez, j'habite juste après ce croisement.

Je jette un coup d'œil.

- Ah oui, avec votre femme ?
- Non, seul, je suis divorcé.
- Ah...
- C'est rien, d'ailleurs quand vous voulez, vous pourrez passer avec votre monsieur boire un café.
- J'y penserai... allons y maintenant boire ce café !
- Et votre soirée ?
- Il n'est que 19h14, il ne m'attendant pas avant 20h30.
- Bien, mais je suis en service.
- Bon, dommage.
- Ah quoique..

Ben prend sa radio et appelle la même femme avec qui j'ai discuté plus tôt au téléphone, il dit qu'il prend sa pause.

- Voila c'est régler, allons-y.

Le feu passe au vert, nous allons à droite, et Ben gare le taxi, il sort et m'ouvre la portière, si bien élevé qu'il est. Nous montons à son appartements qui est au premier étages, il m'invite à entrer.

Tout en préparant le café, la discutions s'installe.

- C'est rare de tomber sur des clients sympathiques, surtout des jeunes comme vous.
- Jeunes... ne me dites pas que vous êtes vieux, vous avez quel age ?
- 41 ans.
- Il vous reste encore du chemin.

Ben se mit a rire, la café était prêt, il le sert dans de petite tasse, assis en face d'une table. Nous commençons a boire le café, je termine la première.

- Vous en revoulez ?
- Oui, je ne suis pas contre.

Ben prend le récipient de la cafetière et se penche pour me servir, mais il dérape et du café tombe sur ma robe. Je me lève précipitamment comme pour évité le café, mais trop tard, Ben s'empresse de prendre un torchon et d'essuyer le café sur ma robe, mais comme par hasard, sur un point stratégique, le peu de tissus qui recouvre ma poitrine, et Ben l'essuie sans y faire attention. Mon téton pointe, je suis horriblement gênée, je suis rouge de honte, j'espère de tout cœur qu'il ne s'en rende pas compte mais d'un coup il m'attrape par la taille et commence à m'embrasser. Je le repousse.

- Excusez moi, je ne sais pas ce qu'il ma pris, dans cette robe...

Je voulait lui répondre que ce n'était pas grave et qu'on pouvait oublier mais c'est comme si je ne me contrôlais plus, il était si sexy avec ces cheveux poivre et sel, je laisse tomber ma robe.

- Ce n'est pas grave.

J'étais là, seins nu devant lui... Je me rapproche de lui, plaque ma bouche sur la sienne, ma main sur la bosse dans son pantalon et nous voilà partie pour un terrible baiser. Je commence à m'accroupir et à déboutonner son pantalon, je le retire, il est en caleçon, je l'abaisse à son tour et... il avait un beau membre d'environ 19cm de longueur, fin, je le prends en main et commence à le branler lentement, puis j'ajoute quelque coups de langue et vient le moment où je le prend en bouche, je commence des aller-retour, plus ou moins vite, il semble prendre du plaisir et bizarrement moi aussi, je le suce comme pas possible, à me voir, on dirait que c'est mon métier.

Il me prend la main pour me relever et me couche sur la table, il retire ma culotte et écarte mes jambes, il regarde ma féminité, souris et l'embrasse et il se redresse pour entrer en moi. Moi au bord de la table, les cuisses écartées, lui au milieu, dans moi, il commence avec de puissant coups de reins, et en plus d'être puissant, ils sont rapides, je ne cris pas, je gueule de plaisir, je ne sais pas si c'est l'interdit qui fait ça, mais c'est terriblement excitant, il prend mon seins droit qui n'attend que ça en main, moi même je prend le gauche et sous ces va-et-vient, je crie mon plaisir, j'espère qu'il n'a pas de voisin. Il s'arrête quelque secondes pour me sucer le seins et m'embrasser sur la bouche et reprend sont travail, ce coup-ci, en me remontant les jambes sur ces épaules. La je suis complètement allonger sur la table pendant qu'il me ramone. Il continue pendant de longues minutes délicieuses et le pire dans tout ça, c'est que j'aime ça. Il me retire de la table et me demande de m'agenouiller, j'ai bien compris ce qu'il voulait, mais je ne l'ai jamais fait, je m'agenouille et dans un râle de plaisir, Ben se lâche et son foutre vient remplir ma petite bouche. J'en avale un peu, c'est salé on dirait, c'est la première fois pour moi, mais la majorité termine sur ma poitrine, je lève les yeux et regarde Ben qui semble heureux.

Ben m'aide à me relever et me donne un torchon pour que je puisse m'essuyer. L'estime que j'avais en moi-même vient de prendre un sacré coup, tout dans ma tête se bouscule, je viens de trompée mon mari pour la première fois. Est ce que ce sera la dernière ? Je l'espère, est ce que ce sera la première d'une grande lignée ? Je le redoute. Est ce que mon mariage est en péril ? Il y a de grandes chances, est ce que je dois le dire à mon homme ? Ça je ne sais pas encore. Je suis même à m'insulter de salo**. Et pourtant, si on me demandait si j'ai aimé, je répondrais certainement oui... La voix de Ben me sort de mes pensée.

- Vraiment désolé pour ta robe.
- Ouai... faut que je rentre chez moi me changer.
- Non pas la peine, mon ex femme a laissé des vêtements, tu pex lui emprunter, je suis sur que vous avez à peu prés la même taille.
- Heu ouai.

Ben me montre une armoire remplie de vêtement pour femme. Je suis tellement bouleversée et en même temps satisfaite sexuellement que je prends n'importe quelle robe, une rouge. Je l'essaye, et Ben qui était rester derrière moi sans que je m'en rende compte dit :

- Elle te va a la perfection.

Je regarde ma montre, il est 19h54.

- Faut que j'y aille.
- Je te conduis, c'est partis.

Nous descendons et reprenons la route, dans le taxi un grand blanc se fait, aucun de nous deux parle. Arrivé a quelques maisons de chez Rubin, la situation se désamorce, Ben, le premier à parler, dit :

- Tu sais je suis désolé pour ton mari.
- Ouai.
- Mais je regrette pas, j'ai adoré passer ce moment avec toi, et toi ?

Moi... je ne savais pas quoi répondre, bien sur que j'ai aimé, mais je me sens coupable.

- C'est pas grave ne dis rien, tiens je te laisse mon numéro, si au cas où, tu as besoin de parler, ou autre.

Ben me donne un carton avec son numéro, je le prends et le met dans mon porte-monnaie, sans arrière-pensée derrière, sans savoir si je vais m'en servir ou non. Ben m'offre la course, ça aurait était le comble de payer, je sors du taxi et sonne chez Rubin. C'est Rubin en personne qui vient m'ouvrir, je fais comme si rien ne s'était passé avec un large sourire. Je fais la bise à Rubin et j'embrasse mon mari. Valentin me dit.

- Tu a du dentifrice ici.

en joignant le geste a la parole, il montre le haut de ma lèvres... et si seulement c'était du dentifrice.