Souvenirs érotiques et cochons

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 23/02/2014 par egrevam

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Souvenirs érotiques et cochons - Prologue

Les souvenirs que je relate ici remontent au début des années soixante... Comme le temps passe!
À l'âge de 13 ans j'ai commencé à me masturber. Du fait que j'habitais l'hôtel dont mon père était propriétaire, j'étais en contact presque journalier avec des femmes de tous âges: les employées de l'hôtel, les amies de mes parents et de mes tantes. Ce n'étaient pas les filles de mon âge mais les femmes d'âge mûr qui m'attiraient, qui me troublaient et qui alimentaient mes fantasmes érotiques et mes masturbations. Je découvrais aussi les plaisirs du voyeurisme lorsque un couple occupait la chambre à côté de la mienne. J'entendais des soupirs, des gémissements, des plaintes, des cris parfois et des mots que je n'avais jamais entendus:
- Oh oui! Tu m'encules bien! J'aime ta grosse queue! Tu es dur! Fais de moi ta chienne!
- C'est bon! Lèche les couilles! Prends-la bien! Cochonne, suce-moi bien! Prends tout! Bois tout!
J'essayais de comprendre, d'imaginer, troublé et excité j'écoutais en me masturbant et je giclais deux, trois fois de suite.
Très jeune, dès ma quatorzième année, des dames d'âge mûr ayant une prédilection pour les garçons m'ont initié à des "jeux très interdits".... Je me laissais masturber et sucer, elles ouvraient leurs jambes, je voyais l'abondante toison de leur sexe déformant la soie de leur culotte qui s'insinuait dans leur fente. Elles écartaient leurs cuisses, je posais ma bouche et ma langue contre leur sexe. J'aimais: mouillé, trempé, je respirais leur odeur de femelle. Elles me laissaient goûter leur chatte, je m'abreuvais à leur fente gonflée de désir et de leur gorge s'échappaient des râles de femelle obscène lorsque ma langue s'insinuait entre leurs fesses... J'aimais ces femmes d'un certain âge, femelles avides de jeunes mâles, quémandant une queue capable d'éjaculer 5 ou 6 fois sur elles ou dans leur chatte avide d'orgasme... Et je découvrais surtout que j'aimais une chose par dessus tout: le sexe. J'avais envie de sexe, j'avais besoin de sexe!
À 16 ans ma tante Cécile m'a pris dans son lit et m'a dépucelé...

Djema

Tout commence un matin de juillet de 1960, l'été de mes 17 ans: j'aime me masturber, nu devant la glace de la salle de bain et je suis sur le point de jouir quand la porte, que j'avais oublié de fermer à clé s'ouvre : c'est Djema, une des nouvelles femmes de chambre de l'hôtel. Elle me regarde un instant, ma queue raide et luisante à la main et dit simplement:  
- Oh, quel joli spectacle!
Et referme la porte. De retour dans ma chambre je suis quand même très gêné d'avoir été surpris mais en même temps cela m'excite aussi terriblement. Je m'installe à ma table, faisant semblant de chercher quelque chose dans mes dessins. Djema va et vient et je l'observe du coin de l'oeil. Elle n'est pas très belle, très noiraude, assez ronde, avec des seins très lourds, de fortes cuisses et une large croupe. Au bout de quelques "très longues" minutes elle s'arrête à côté de ma chaise pour regarder ce que je dessine. Elle se penche et dit je ne sais plus quoi, je réponds de même. Et je sens L'ODEUR ! C'est fort, épicé et je sens ma verge gonfler et tendre mon slip, je ne peux pas m'en empêcher, je n'entends pas ce qu'elle dit, je sens son odeur de femelle, et de sexe et je bande comme un taureau!
A partir de ce jour je m'arrange pour être dans ma chambre quand elle vient faire son travail. Elle porte une blouse blanche boutonnée sur le devant et quand elle se penche pour faire le lit, l'étoffe se tend sur sa croupe et ses fesses se dessinent sous le tissu. Lorsqu'elle époussette le haut d'une armoire, debout sur une chaise, elle m'offre une vue d'en bas sur ses cuisses. Quand elle s'accroupit pour nettoyer sous le lavabo, sa blouse glisse, dévoilant ses cuisses, puis son entre-cuisses, puis son entre-jambes tout entier jusqu'à l'orée des fesses, j'aperçois sa culotte moulant son sexe. Elle prend tout son temps, les jambes largement écartées, et chaque mouvement accentue la forme de sa vulve, de sa fente, des grosses lèvres qu'elle a très développées.
Très souvent, après, je la dessine en l'imaginant. Je bande en pensant à elle, je crève d'envie d'elle, je me masturbe en pensant à elle. En fait elle a depuis longtemps tendu son piège. Son instinct de femelle lui a fait "sentir le mâle", un jeune mâle disponible, obsédé de sexe et qui la veut, qui fera tout ce qu'elle désire et qui est assez jeune pour être capable d'éjaculer dans elle ou sur elle 5 ou 6 fois.
Et un beau matin elle interromps son travail, s'arrête à côté de ma table et pose sa main sur mon épaule. Je sens son genoux contre ma cuisse, et quand elle se penche je sens son ventre contre mon coude. Elle n'a jamais été si près de moi et son odeur me trouble plus que jamais. Elle appuie son genoux et son ventre encore un peu plus et se penchant elle me murmure à l'oreille : 
- J'ai bien aimé voire ce que tu faisais l'autre jour dans la salle de bain. Tu as une belle queue...
Je ne réponds pas, j'ai le feu aux joues.
- Et j'ai vu aussi tes dessins cochons, ceux que tu caches. Tu as déjà fait toutes ces choses que tu dessines'
Elle se penche encore un peu et effleure du doigt l'érection qui gonfle mon pantalon :
- Tu bandes quand tu regardes mes cuisses et ma culotte? Tu aimes me regarder? Tu aimerais aussi me toucher?
Tout en parlant elle déboutonne le bas de sa blouse, pose sa main sur la mienne, la conduit entre ses cuisses et lentement remonte jusqu'à son entre-jambes. C'est chaud et à travers le mince tissu de sa culotte je sens la forme de sa vulve. 
- Tu as déjà touché une femme comme-ça?...
Elle dirige ma main tout contre sa motte, l'appuie lentement d'abord, la promène le long des lèvres intimes et je sens une humidité envahir la culotte. Elle respire plus vite, pousse mes doigts entre ses cuisses, fait pénétrer la mince étoffe dans sa fente. Un instant elle reste immobile, pressant mes doigts contre son sexe entre ses cuisses fermées, les écarte à nouveau et recommence à frotter ma main contre elle de plus en plus plus fort. Soudain elle referme ses cuisses, pressant ma main contre sa chatte de toutes ses forces, son autre main crispée sur mon épaule. Elle se met à trembler et haleter, sa chatte est brûlante sous ma main, elle pousse une plainte et un long jet de mouille trempe sa culotte. Gardant ma main toujours serrée entre ses cuisses, elle se penche à mon oreille et me souffle:
- C'était bon...
Elle écarte les cuisses, libérant ma main:
- Sens comme c'était bon... Sens mon odeur... Sur tes doigts...
Je porte mes doigts à ma bouche, c'est son odeur, plus amère, plus âcre encore. Elle s'agenouille entre mes jambes, déboutonne ma braguette saisit l'énorme érection qui déforme mon slip et commence à me masturber.
- Lèche tes doigts, lèche ma mouille... Je veux que tu jutes dans ton slip en sentant l'odeur de ma chatte...
Elle serre sa main autour de ma queue, me masturbe très vite maintenant et immédiatement l'orgasme explose, je ne veux plus me retenir, je m'entends gémir, cabré sur ma chaise je sens de longues giclées de sperme se répandre dans mon slip.
Djema se relève et tout en reboutonnant sa blouse me murmure à l'oreille:  
- Tu a aimé? Alors je viendrai demain dans la salle de bain.
Je passe le reste de la journée sur un nuage et pour garder encore son odeur sur mes doigts je ne me lave pas les mains. 

(à suivre)