Deux ans chez sa tante

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Proposée le 13/02/2014 par Marc Paul

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Christophe avait seize ans. Son père venait d'être muté à l'étranger et ses parents, ne voulant pas prendre le risque de lui faire rater son bac en l'emmenant avec eux, l'avaient confié à son oncle Jean-François, le jeune frère de sa mère et à sa tante Nadine.
Jean-François était très souvent en déplacement pour son travail. En général, il partait le lundi matin et ne rentrait que le jeudi soir. Christophe passait donc le plus clair de son temps avec Nadine. Jean-François avait presque dix ans d'écart avec sa mère, et Nadine était plus jeune que son mari. Elle devait avoir trente ans, pas plus, à l'époque.
Dès ses premières années d'adolescence, Christophe avait fantasmé sur sa tatie. Elle était plutôt jolie et elle était si menue, si petite qu'on aurait pu la prendre pour sa petite sœur. Nadine ne faisait pas plus d'un mètre cinquante et ne devait pas dépasser les quarante-cinq kilos. Sa taille minuscule l'obligeait souvent à acheter des vêtements d'ado et elle ne se privait pas de s'habiller comme une fille de quinze ans. Sa toute petite poitrine ne semblait pas encore totalement formée et souvent, elle ne mettait pas de soutien-gorge. Christophe avait eu l'occasion à plusieurs reprises d'entrevoir ses petits seins dans l'échancrure de son chemisier.
Autant dire que Nadine avait été le fantasme principal de ses séances de branlettes. Et se retrouver chaque soir en sa compagnie, savoir qu'elle dormait seule dans une chambre proche de la mienne, lui faisait venir des pensées toutes plus érotiques les unes que les autres. Christophe se masturbait abondamment, repassant dans sa tête toujours la même scène : « Nadine entrait dans sa chambre, seulement vêtue d'une nuisette noire. Il voyait ses tous petits seins à travers le tissu transparent, sa chatte qui ne pouvait qu'être lisse comme celle des filles qu'il matait sur des sites de photos de charme. Et pendant que sa main astiquait son dard, Nadine venait à sa rencontre sur le lit, se faufilait entre ses jambes écartées, écartait sa main branleuse pour la remplacer par sa menotte et avalait son gland ». Et, à chaque fois, son sperme jaillissait de sa queue et Christophe imaginait qu'elle le recevait dans sa bouche.
La première année scolaire se passa ainsi. Évidemment, Nadine ne poussa jamais la porte de la chambre de Christophe pendant qu'il se masturbait et les giclées de sperme retombaient sur son ventre au lieu de disparaître dans sa bouche comme il se plaisait à l'imaginer.
Bien sûr, Christophe avait bien eu quelques copines mais qui lui semblaient toutes plus fades les unes que les autres en comparaison de sa tatie, ou plutôt du fantasme qu'il se faisait d'elle. Après avoir passé les deux mois de vacances avec ses parents, Christophe retrouva avec plaisir la compagnie de son oncle et surtout de Nadine.
Une surprise l'attendait à son retour. Jean-François et Nadine lui annoncèrent que ils seraient bientôt un de plus dans leur grande maison. La première chose qui lui vint à l'esprit était que Nadine était enceinte. Il savait, pour avoir entendu ses parents en parler, que sa tante avait des difficultés pour avoir un enfant et il s'apprêtait à les féliciter et à partager leur joie quand ils lui précisèrent que la nouvelle venue était la jeune sœur de Nadine, Sophie.
Sophie devait faire un stage dans une entreprise pendant quatre mois et sa sœur lui avait proposé de venir habiter chez elle jusqu'à Noël.
Christophe connaissait à peine Sophie, en fait il l'avait rencontrée à l'occasion du mariage de Nadine et Jean-François. Et ils avaient dû se revoir une fois ou deux par la suite. Sophie était la copie conforme de sa sœur. Aussi menue, aussi jolie avec juste un soupçon de poitrine en plus.
Christophe reprit le cours de ses branlettes quotidiennes. A la seule différence que parfois, Sophie remplaçait Nadine dans ses fantasmes. Un soir, alors qu'il était à poil sur son lit et qu'il s'astiquait avec délice, on frappa à sa porte. Il tira rapidement le drap pour se couvrir en disant « entrez ! ».
Sophie passa la tête par la porte :
- Christophe, j'ai besoin de ton aide. Je peux entrer.
- Oui, oui, entre.
- Excuse-moi, tu dormais ?
- Non, je relisais un peu mes cours. Qu'est-ce que tu veux ?
- C'est mon téléphone portable, j'aimerais que tu m'expliques quelque chose.
- OK, si je peux.
Sophie vint s'asseoir sur le bord du lit. Elle portait un pyjama dont le haut était une sorte de petit boléro qui couvrait ses petits seins et dévoilait son ventre plat. Le drap qui recouvrait Christophe se tendit sous le poids de Sophie. Une bosse apparut au niveau de son ventre. Il bandait comme un âne. Sophie s'en aperçut. Comment aurait-elle pu ne pas se rendre compte que sa queue agissait comme le piquet d'une tente sous le drap. Un voile passa dans son regard et un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres. Son regard se posa sur le kleenex qu'il avait préparé sur la table de nuit pour recueillir son jus. Elle lui demanda, malicieuse :
- Tu es sûr que je ne te dérange pas ? Je peux revenir plus tard, ou demain ?
- Non, reste, j'étais juste entrain de réviser un peu.
- Ah, oui. Je ne te crois pas ! Tes classeurs sont sur le bureau. A moins que tu caches quelque chose là-dessous...
Joignant le geste à la parole, elle glissa une main sous le drap et se saisit de sa queue raide comme une barre de fer. Le contact de sa main sur sa bite rendit Christophe fou de désir. il tira Sophie vers lui et roula sur elle. Elle ne résista pas à cette agression, au contraire, elle ne lâcha pas la prise qu'elle avait sur sa queue et le branla pendant qu'il glissait sa main dans le bas de son pyjama. Il eut une petite déception quand il sentit sa toison rêche sous ses doigts. Il aurait tant aimé qu'elle soit rasée comme dans ses fantasmes. Sa déconvenue fût de courte durée car au milieu de ce triangle recouvert de poils, il trouva sa fente gonflée et mouillée. Sophie gémit de plaisir quand son doigt, écarta ses petites lèvres gonflées et descendit vers l'orifice béant de son fourreau. Il enfonça ses doigts dans ce con gluant. Sophie gémissait, quelques mots intelligibles s'échappaient de sa bouche, entrecoupés par des soupirs de plaisir :
- Oui, mets moi tes doigts... je suis chaude... branle-moi...Fait moi jouir...
Il fit remonter ses doigts le long de sa fente, au moment où il sentit son petit bouton dardé sous ses doigts, Sophie poussa une sorte de cri rauque, son corps se raidit avant de se détendre d'un seul coup. Elle cessa de le branler. Quelques minutes passèrent, Sophie restait inerte, comme insensible aux caresses qu'il continuait de lui faire.
Puis elle se débarrassa de son pyjama, repoussa Christophe sur le dos, le chevaucha et s'empala sur sa queue. Sophie commença à faire des mouvements de bassin d'avant en arrière. Christophe arriva à la limite de sa résistance et il se vida en elle en envoyant de furieux coups de reins qui la faisaient tressauter sur lui.
Quelques minutes passèrent pendant lesquelles ils ont récupéré. Sophie rompit le silence :
- Ouf, j'en avais terriblement envie. Tu étais en train de te branler quand je suis arrivé ?
- Ouais, tu as deviné.
- Avec le pieu que tu avais c'était pas difficile à comprendre.
- Et tu pensais à moi en t'astiquant ?
- Oui, entre autres.
- Moi aussi, je me fais des petits plaisirs toute seule. Mais je préfère quand même baiser avec un mec.
- Tout à fait d'accord avec toi.
Pendant ce bref échange à voix basse, Sophie tripotait le dard de Christophe qui, après s'être dégonflé, reprenait rapidement de la vigueur. Elle s'allongea sur lui, et sa bouche, partant de ses lèvres, descendit sur sa poitrine, mordilla ses tétons, effleura son ventre puis englouti sa queue. Il adorait la façon dont elle le suçait, alternant des prises en bouche profondes avec des petits agacements de la pointe de sa langue sur son gland. Elle le chevaucha et lui offrit sa chatte à sucer.
Son con suintait du mélange de la semence de Christophe et de sa propre mouille. Il découvrit la saveur salée, acre, la texture épaisse et grasse de cette mixture qui coulait dans sa bouche. La langue de Christophe s'affairait dans la dentelle de sa fente, sur son petit bouton, dans l'orifice béant de son fourreau. Sophie gémissait sans arrêter de le pomper. Elle eut un orgasme aussi bref que le premier, un râle sourd, des tremblements de tout son corps. Puis elle fut prise comme la première fois de la même sorte de léthargie.
Christophe retourna Sophie sur le dos et changea de position. Il embrassa Sophie qui, semblant revenir à la réalité, nettoya les contours de sa bouche du bout de sa langue. Elle écarta largement ses jambes, les noua sur ses reins et par quelques mouvements de bassin amena sa chatte en face sa queue. D'un petit coup de reins, d'une pression de ses jambes sur son dos, elle le fit la pénétrer. Son dard coulissait facilement dans son con accueillant, chaud et abondamment lubrifié.Il remplit une fois encore ce doux réceptacle de sa semence.
Ils prirent l'habitude de se retrouver chaque soir dans la chambre de Christophe. Sophie ne voulait pas baiser dans sa chambre car elle disait qu'elle était trop proche de celle de Nadine.
Vers la fin décembre, Christophe voyait s'approcher avec un peu de tristesse le jour où Sophie retournerait chez ses parents, une fois son stage terminé. Un soir, Sophie lui dit de venir dans sa chambre. Mais au lieu de se déshabiller et de se glisser sous les draps, elle commença à bavarder à voix basse. Alors qu'il tentait de la caresser et de l'allonger sur le lit, elle le repoussa et devant son insistance, elle lui dit qu'elle avait une surprise pour lui. Devant tous ces mystères, Christophe n'insista pas et attendit qu'elle se décide à lui dévoiler sa fameuse surprise. Au bout d'une heure, il commençait à en avoir marre et s'apprêtait à mettre fin à son petit jeu et à retourner dans sa chambre. Mais il renonça car ils venaient d'entendre les pas de Nadine dans l'escalier. Sophie l'entraîna en direction de sa penderie, ouvrit la porte et poussa Christophe à l'intérieur. Elle vint le rejoindre après avoir éteint la lumière dans sa chambre.
Christophe découvrit alors la particularité de la cloison entre la chambre de Nadine et celle de Sophie. Ce n'était pas une cloison mais deux grandes penderies dos à dos qui allaient d'un mur à l'autre. En guise de fond, il y avait un lourd rideau qui en séparait les deux parties. Sophie se glissa silencieusement derrière le rideau et l'entraîna à sa suite. Ils se retrouvèrent serrés l'un contre l'autre au milieu des robes de Nadine et des costumes de Jean-François.
Par les portes de type persiennes,Ils pouvaient voir le lit de Nadine. La lumière s'alluma et Christophe vit sa tatie entrer dans sa chambre. Il comprit enfin la nature de la surprise que Sophie avait imaginée pour lui. Quelques temps auparavant, elle lui avait fait avouer que Nadine faisait partie de ses fantasmes masturbatoires même si ces derniers temps, c'était plus volontiers son con accueillant ou sa bouche humide qui lui procurait du plaisir plutôt que sa main solitaire. Sophie lui proposait ainsi de voir sa sœur en petite tenue, voire à poil si la chance lui souriait.
Et c'est les yeux exorbités qu'il matait à travers les lames de la porte.
Nadine referma la porte de sa chambre et commença à se déshabiller. Son gros pull à col roulé, son jean se retrouvèrent rapidement sur une chaise. Sa petite chemise, sous laquelle elle ne portait rien d'autre et sa culotte les rejoignirent.
Elle avait un petit cul tout rond qui semblait ferme. Sans ses vêtements, elle paraissait encore plus fine, plus minuscule que jamais. Christophe bandait comme un âne, d'autant plus que Sophie peu intéressée par le spectacle de sa sœur à poil avait ouvert son pantalon et le branlait. Son érection augmenta quand Nadine se retourna. La première chose qu'il remarqua, fut sa toute petite poitrine, ses seins étaient comme deux œufs au plat. En revanche, ses tétons étaient très proéminents, disproportionnés par rapport au volume de sa poitrine. Mais ce n'est pas cela qui le fit bander encore plus. Quand son regard descendit sur son corps, Christophe remarqua que sa chatte était totalement dépourvue de pilosité, comme il l'imaginait dans ses fantasmes. S'il n'avait pas été à quelques mètres d'elle, il aurait crié de joie.
Nadine se glissa sous les draps. Christophe supposa que cela s'arrêterait là, qu'elle allait s'endormir. Il rejoindrait alors sa chambre avec Sophie et à défaut de Nadine, avait la ferme intention de baiser sa jeune sœur comme il se doit. Excité comme il l'était, Sophie allait passer un moment dont elle se souviendrait. Au lieu de ça, Nadine laissa la lumière allumée. Christophe ne comprit pas tout de suite ce qu'elle faisait, étendue sur le dos, les yeux clos, les jambes repliées, les genoux écartés. Mais son regard fut attiré par des mouvements de son bras qu'il distinguait à peine sous la couette. Sophie comprit elle aussi, elle murmura à son oreille :
- Cette coquine se fait un petit plaisir.
Et elle le caressa de plus belle.
Nadine se caressait, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Elle repoussa la couette ce qui lui permit de voir ses doigts s'agiter sur sa fente imberbe, son autre main triturer ses tétons. Après quelques minutes, Nadine cessa de se caresser. Elle roula sur le côté et ouvrit le tiroir de sa table de chevet. Elle fouilla dedans et en ressortit un vibromasseur doré. Sophie s'exclama à voix basse :
- Et en plus, elle a un vibro.
Et elle s'accroupit pour sucer Christophe.
Nadine passa le vibromasseur sur sa fente, l'enfonça plusieurs fois dans son con. Elle le ressortit et se retournant encore, tira du tiroir resté ouvert un petit flacon. Elle déposa une grosse goutte de gel lubrifiant sur le vibromasseur, l'étala consciencieusement de la pointe de son doigt sur le long cylindre doré, puis repris du gel sur ses doigts et lubrifia son entrejambe. Nadine s'allongea sur le dos, glissa l'oreiller sous ses fesses pour les surélever et remonta ses genoux vers ses épaules. Christophe admira sa souplesse, il la glorifia même, tant cette position lui permettait d'avoir une vue imprenable sur sa chatte et même sa raie culière.
Nadine enfonça le vibromasseur et le maintenant d'une main, elle se caressait la fente de l'autre. Il fallut quelques secondes pour que Christophe réalise que le vibromasseur n'était pas enfoncé dans son con mais...dans son cul. L'effet fut assez immédiat. Il entendit nettement le long râle de jouissance de Nadine quand son corps se cambra, quand ses jambes s'ouvrirent encore plus et que ses doigts s'agitèrent de plus belle sur son clitoris. N'en pouvant plus il lâcha de longues giclées de semence dans la bouche de Sophie en me mordant les joues pour ne pas crier de plaisir.
Sophie avala tout puis se releva. Ils quittèrent leur poste d'observation silencieusement. Ils attendirent quelques minutes avant de retourner dans la chambre de Christophe. Mais c'est les images de Nadine qui se sodomisait elle-même qui passèrent devant les yeux fermés de Christophe pendant qu'il défonçait Sophie.
Après les vacances de Noël, Christophe retrouva sa solitude et ses branlettes quotidiennes. Mais ces branlettes se passaient parfois dans la penderie de la chambre de Nadine. Il avait remarqué que sa tatie se faisait un petit plaisir souvent en milieu de semaine, probablement quand l'absence de son mari devenait trop difficile à supporter. Quand il se rendait pieds nus, silencieusement, dans ce qui avait été la chambre de Sophie, il n'oubliait jamais de prendre une capote avec lui qui lui évitait de projeter son jus sur la porte de la penderie. Quelquefois, hélas, cela était inutile car Nadine s'endormait rapidement.
Quelques mois passèrent. Fin mai, son oncle et sa tante décidèrent de partir pour un week-end. Ils lui proposèrent de l'emmener mais lorsque Christophe leur dit qu'il préférait rester seul et commencer ses révisions pour le bac, ils semblèrent plutôt soulagés. Nadine remplit le frigo et ils partirent le samedi matin pour rentrer le dimanche soir.
Le samedi soir, Christophe alla dans leur chambre. Il se dirigea sans hésiter vers la table de chevet. Le vibromasseur se trouvait bien là. Il le prit, le mit en route, puis l'arrêta. Il le passa sous son nez, reniflant l'odeur musquée de la chatte de tatie Nadine. Il alla ensuite visiter leur salle de bains privative. Dans le coffre de linge sale, Il trouva ce que je cherchais : Les culottes de Nadine. Il les porta à ses narines, retrouvant l'odeur de sa chatte mais plus puissante que sur le vibro.
Le fumet de la chatte de Nadine l'excitait. Il s'allongea sur le lit, cherchant le parfum de Nadine sur les oreillers. Son jean et son boxer se retrouvèrent sur le parquet, suivi par son tee-shirt. Il commença à se branler, la culotte de Nadine sous ses narines. Il ne résista pas à l'envie d'utiliser le vibromasseur. Les douces vibrations sur son gland lui procuraient des sensations intenses. Et au bout de quelques instants, Il se prit à imaginer ce que pouvait ressentir une fille avec cet engin enfoncé dans son ventre. Il n'en fallu pas plus pour qu'il fouille à nouveau dans le tiroir du chevet à la recherche du lubrifiant. Il glissa un oreiller sous ses fesses, comme il avait vu Nadine le faire. Après quelques tentatives, et une bonne dose de lubrifiant, le vibromasseur se trouvait bien enfoncé dans son cul. Il reprit sa branlette, c'était bon. Il mit le vibromasseur en route. Aussitôt, les vibrations envahirent son cul et il se branla furieusement avec la culotte de sa tatie. Il ne résista pas longtemps et un orgasme extraordinaire le submergea. Il laissa libre court à ses râles de jouissance.
Christophe ne repris conscience de la réalité que le matin. Il s'était endormi sans s'en rendre vraiment compte. En allumant la lampe de chevet, il constata que le vibromasseur, le flacon de lubrifiant ainsi que la culotte de Nadine étaient sur le tas de ses vêtements. La matinée était très avancée.
Il lava soigneusement le sex-toy, rangea les objets à leur place et remit la culotte de Nadine dans la panière à linge.
Le lendemain, il retrouva Nadine à la maison en rentrant de cours. Elle était habillée très sexy, comme à son habitude mais sans doute plus que d'habitude car il le remarqua. Une petite jupe moulante qui s'arrêtait à mi-cuisses, un chemisier blanc boutonné pas plus haut que la base de ses minuscules nichons. Le chemisier était très transparent et elle ne portait pas de soutif car il distinguait nettement les taches foncées de ses aréoles à travers le tissu. Elle s'était maquillée sans doute plus que d'habitude car ses yeux lui semblèrent plus brillants, d'un vert plus profond. Et une paire de sabots à hauts talons qui la grandissait, complétait le panorama.
Elle se hissa sur la pointe des pieds pour lui faire une bise. Son parfum l'enveloppa. A cet instant, il eut une envie folle de la prendre par la taille, de la coucher sur la table de la cuisine, d'arracher sa culotte et de la défoncer comme une chienne. Pour mettre fin à son trouble, il monta dans sa chambre et tenta d'oublier le charme de sa tatie en se plongeant dans ses cours.
Vers la fin du dîner, alors qu'il finissait d'avaler la dernière bouchée de sa tarte aux fraises, Nadine, qui avait quitté la cuisine quelques secondes avant, revint derrière lui et posa sa main sur son épaule. Au même instant, quelque chose atterrit dans son assiette. Il mit quelques fractions de secondes avant de se rendre compte que c'était une culotte de fille en dentelle. Celle-là même avec laquelle il s'était branlé deux jours avant. Elle se pencha et lui dit d'une voix douce :
- Christophe, est-ce que tu as une explication pour ça.
Christophe était pétrifié, la bouche subitement sèche. Le petit tas de dentelle blanche, au milieu des miettes de tarte, portait des traces évidentes de sa semence. Dans sa hâte de tout remettre en place, il n'avait pas pensé à cela et Nadine s'en était rendu compte. Sans attendre l'explication demandée, explication qu'il était bien incapable de lui donner d'ailleurs, elle ajouta en faisant glisser ses mains sur sa poitrine :
- J'avais remarqué que tu baisais ma sœur et je comprends qu'elle te manque. Mais plutôt que te masturber et d'utiliser mes culottes sales pour recueillir ton foutre, j'aimerais autant que tu m'en fasses profiter... Moi aussi, je suis en manque... avec ton oncle qui n'est jamais là.
En terminant sa phrase, Nadine l'embrassa et commença à lui malaxer la queue à travers son jean. La langue de Nadine dans sa bouche, ses mains qui trituraient sa bite, son invitation à la baiser et bien sûr, tous les fantasmes qu'elle avait provoqués en lui, le firent bondir de sa chaise. Il prit Nadine par la taille, la poussa vers la table, la forçant à s'y appuyer sur les coudes. Sa culotte ne résista pas à sa folie, il lui arracha, déchirant la fragile dentelle. Son chibre se retrouva à l'air libre, une fois son jean et son boxer à mi-cuisse. Il ne prit pas le temps de les enlever plus, tant son envie de fourrer ce petit abricot tout lisse qui tendait vers lui ses lobes gonflés, était impérieuse. Il prit Nadine par les hanches, la soulevant de terre, ne lui laissant comme appui que ses coudes posés sur la table. Et il l'enfila d'un seul coup de reins pour la défoncer ensuite comme un furieux.
Nadine gémissait, criait à chaque fois que le ventre de son neveu percutait son petit cul rond, que son dard venait buter au fond de son petit con tout chaud.Avec le niveau d'excitation qui était le sien, Christophe ne résista pas longtemps. Il se vida dans le con serré de sa tatie en grognant.
En reposant Nadine sur le sol, il s'excusa de son peu de résistance. Elle lui répondit en souriant :
- Ce n'est pas grave. Je comprends. Et puis comme ça, tu auras plus de résistance pour bien me faire jouir. Surtout que tu dois te faire pardonner d'avoir totalement bousillé ma culotte.
Sur ces paroles prometteuses, elle l'entraîna dans sa chambre.Assise sur le lit, elle le suça avec une grande habileté redonnant à sa queue une vigueur toute neuve. Christophe s'allongea à côté d'elle, bien décidé à la faire jouir comme elle le demandait. Sa langue parcourait sa fente imberbe, inondée de sa mouille. Nadine semblait apprécier, elle gémissait, poussait de petits grognements de plaisir, s'appuyait sur ses talons pour relever son bassin et mieux l'offrir à ses lèvres. Christophe mordillait la dentelle de ses petites lèvres gonflées de sève. Nadine cria quand il aspira son clitoris entre ses lèvres. Son corps menu trembla, elle enfonça ses ongles dans ses épaules, se cambra et jouit en poussant un long cri rauque. Christophe ne lui laissa pas le loisir de reprendre ses esprits, il se glissa entre ses cuisses largement ouvertes et enfonça son dard dans son petit con étroit. C'est vrai qu'elle était serrée, sa tatie Nadine! Plus étroite que la plupart des filles qu'il avait sautées. Il sentait sa queue se frayer un chemin dans son ventre, bousculer, dilater son fourreau inondé. Contrairement à quelques minutes auparavant, quand il l'avait défoncé comme une brute dans la cuisine, il prenait le temps de savourer son corps. Sa seule frustration était sa poitrine microscopique. Si, en plus, Nadine avait pu avoir une bonne grosse paire de nichons, Christophe aurait été comblé. En revanche, il découvrit que ses tétons proéminents étaient d'une extrême sensibilité. Il utilisa ce moyen pour la faire jouir une seconde fois en tordant ces gros boutons pendant que son dard coulissait dans son con.
Son orgasme provoqua des contractions qui massèrent délicieusement le pieu.
Christophe se retira du ventre de Nadine et la fit rouler sur le ventre avant de la mettre en levrette. Il avait envie de la sodomiser. Christophe n'avait jamais sodomisé une fille car toutes les copines qu'il avait eues, avaient toutes refusé. Mais comme il avait pu le constater, Nadine aimait l'amour par la petite porte et il n'allait pas se priver de l'enculer. Mais Nadine réagit quand elle sentit son gland qui s'appuyait sur sa rosette :
- Non, Christophe, non pas comme ça...
Un peu surpris car il ne m'attendait pas à son refus, il faillit lui dire quelque chose comme « Pourtant l'autre jour, tu semblais apprécier de te mettre ton vibro dans le cul » mais elle continua :
- ...attends une seconde, je reviens.
Elle se leva et quitta la chambre rapidement. Elle revint quelques secondes après avec son lubrifiant et une capote. Elle lui tendit la capote :
- Tiens, met ça. C'est plus hygiénique. Et puis après, tu me mettras du lubrifiant. Tu ne pensais quand-même pas m'enculer à sec ?
Nadine se remit en levrette. Christophe lubrifia abondamment sa queue recouverte du préservatif et enduisit sa rosette d'une noix de gel.
Cette fois-ci, elle guida elle-même son dard vers son petit trou. Fermement accroché à ses hanches anguleuses, il s'enfonçait dans son cul sans trop d'effort. Son petit trou était encore plus serré que son con et lui procurait des sensations extrêmes. Il réalisa alors que, sans le lubrifiant, la sodomie aurait été très difficile. Nadine se caressait pendant qu'il l'enculait profondément. Elle eut un nouvel orgasme, encore plus fort que les précédents, et pendant qu'elle continuait de gémir, Christophe se vida dans son cul.
Depuis ce jour, jusqu'à ce que, le bac en poche, il rejoigne ses parents pour les vacances, Christophe baisa sa tatie Nadine tous les jours où son oncle n'était pas là.
Dès les résultats du bac connu, il partit rejoindre ses parents. Dans le courant du mois de juillet, alors qu'il dinait avec eux, sa mère leur annonça :
- J'ai eu Jean-François au téléphone cet après-midi. Il m'a annoncé une grande nouvelle. Nadine est enceinte ! Ils sont vraiment heureux après toutes ces années à essayer d'avoir un bébé. Jean-François, surtout, est soulagé car les examens qu'avait passé Nadine n'avait rien montré d'anormal pour elle et il avait fini par se croire stérile.
Christophe en avala son coca de travers et en toussant abondamment, il se demandait si la grossesse de sa Tatie Nadine n'était pas le résultat de leurs parties de jambes en l'air.