Après le shoping

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Proposée le 25/01/2014 par Marc Paul

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Séverine avait réussi à me convaincre d'aller faire les boutiques avec elle. Je n'étais généralement pas très enthousiaste pour arpenter les rues commerçantes, visiter les boutiques, en sortir sans rien acheter sous les regards lourds des commerçants, ou bien ajouter un sac à mon fardeau. Mais c'est pour lui faire plaisir après avoir refusé tant de fois que je lui donnais satisfaction.
L'après-midi fut longue et juste avant de rentrer, Sev' décida de s'arrêter dans un magasin de chaussures prêt de chez nous.
Le vendeur, un jeune homme, était occupé à faire un peu de rangement dans le magasin. Nous étions ses seuls clients.
Séverine abusa un peu de sa bonne volonté mais elle réussit à trouver des sandales à semelles compensées qui lui convenait.
Pendant qu'elle réglait ses achats, je la vis discuter avec le vendeur pendant que je reprenais les paquets que j'avais posés dans un coin. En sortant je lui dis sur un ton un peu ironique :
- Ma parole, tu étais en train de te faire draguer par ce jeune mec !
- Tu ne crois pas si bien dire, mais en fait c'est moi qui le draguais.
- Ah bon, il te plait ?
- Ouais, il est mignon, tu ne trouves pas ?
- Si, c'est vrai qu'il est pas mal. Mais il ne fait pas trop viril...
- Tu sais bien que je n'aime pas les machos. Je l'ai invité à passer à la maison ce soir...
- Eh bé, tu vas vite toi, tu veux baiser avec lui ? Comment tu t'y es pris pour aller aussi vite ?
- Il faut que je te dise quelque chose. En fait, je n'ai pas mis de culotte et en me passant les chaussures, je crois bien qu'il a vu mon minou. Tu n'as pas remarqué son changement d'attitude ?
J'avais effectivement remarqué le changement dans le comportement du vendeur. Autant, quand nous étions entrés dans le magasin, son attitude avait été froide. Il devait craindre que Sév' ne lui fasse déballer tout ce qu'il était en train de ranger. Pourtant, dès l'essayage de la première paire, il fut pris d'un zèle étonnant, insistant même pour proposer d'autres modèles alors que Séverine avait déjà fait son choix. Je comprenais maintenant ce changement de comportement : Agenouillé devant ma compagne, qui ne se préoccupait pas de serrer ses jambes, et qui portait une robe courte et moulante, il devait avoir une vue imprenable sur sa chatte. Qu'il veuille prolonger ce spectacle était une chose que je concevais parfaitement.
Nous avions à peine fini de dîner que la sonnette annonça l'arrivée de la conquête de Séverine. Séverine alla lui ouvrir et l'entraîna par la main en direction du salon où je les attendais. Séverine s'installa à côté de moi et Tony, puisque c'était le prénom du jeune homme, dans un fauteuil en face de nous.
Quelques minutes pour faire connaissance, pendant lesquels, Séverine n'arrêta pas de m'embrasser, de poser sa main sur ma cuisse, sur ma braguette, pris ma main qu'elle posa sur ma cuisse...bref elle se comportait comme une chatte en chaleur et minaudait en écartant ses jambes.
Tony semblait subjugué par ma compagne et ne montrait pas le moindre embarras à se laisser charmer par ma femme en ma présence. Puis Séverine se leva et entraîna Tony en me demandant de les rejoindre. Ce que je fis quelques minutes plus tard.
Quand je retrouvais Séverine et son amant, je les trouvais, lui debout, le pantalon baissé et ma coquine assise sur le rebord du lit, en train de la sucer. Séverine me fit signe d'approcher et elle ouvrit mon pantalon pour me sucer aussi. Sa bouche allait de l'une à l'autre de nos deux queues qu'elle suçait alternativement. Elle les prit toutes les deux dans sa bouche puis frotta nos deux glands l'un contre l'autre. Séverine continua ce petit jeu avant de s'allonger sur le lit et de nous inviter à la rejoindre.
Séverine, allongée entre nous, nous laissa la câliner un peu avant d'attirer Tony sur elle. En s'allongeant, son sexe dur frôla ma main occupée à caresser la chatte de Séverine. Aussitôt, je me saisis de son chibre et le dirigeais vers le con de ma compagne. J'avais fait ce geste instinctivement, sans y penser, sans penser que je venais de prendre dans ma main une bite qui n'était pas la mienne. Tony me regarda d'un regard fiévreux, me fit un drôle de sourire et plutôt que de s'enfoncer dans cette chatte que je lui offrais, il arrêta son mouvement pour donner des petits coups de reins pour se branler dans ma main.
Malgré mon étonnement de voir ce mec préférer se faire astiquer plutôt que de fourrer une superbe fille, je me mis à le branler et à utiliser son chibre pour donner du plaisir à Séverine en faisant glisser son gland dans sa fente. Ma compagne était très excitée de cette situation et commençait à manifester son plaisir par des gémissements de plus en plus forts. Je lâchais la queue de Tony et je posais ma main sur son petit cul tout rond. D'une pression, je le forçais à fourrer ma compagne. Il ne résista pas, pour le plus grand bonheur de Séverine qui adorait jouir avec le con rempli mais il écarta légèrement les jambes quand celle-ci noua ses chevilles autour de ses reins.
Je glissais alors mon doigt entre ses fesses. Tony grogna quand j'atteignis sa rosette. Je saisis le flacon de gel lubrifiant sur la table de nuit et j'en déposais une belle dose dans sa raie culière. Je l'étalais de mon doigt et je forçais son œillet au passage. Doucement, le petit trou de Tony se détendit et je pus entrer mon index dans son cul. Séverine gémissait de plus en plus fort, Tony la défonçait à grands coups de reins en poussant des han de bûcherons. A chaque aller-retour, mon doigt s'enfonçait dans son cul et il semblait aimer ça.
Séverine cria de plaisir et Tony se vida en elle en grognant. Il roula entre moi et Séverine. Tony embrassa ma compagne, comme pour la remercier du plaisir qu'il venait de prendre dans son ventre. Séverine termina son baiser en tournant sa tête vers moi. Je vis dans le regard de Tony, la même fièvre que précédemment et le même sourire flotta sur ses lèvres.
Je m'approchais de lui. Il entrouvrit sa bouche. Je posais mes lèvres sur les siennes, sa langue jaillit dans ma bouche. C'était le jour des premières fois. La première fois que Séverine se faisait sauter en ma présence, La première fois que je branlais un mec, la première fois que je roulais une pelle à un garçon. Après tout, pensais-je, ça n'a rien de désagréable. Et ma main courut sur sa poitrine, glissa sur son ventre et retrouva sa queue qui se dégonflait. Je m'en saisis de nouveau pendant que Tony faisait de même avec moi. Il me branla un peu avant de me sucer. Séverine vint joindre sa bouche à la sienne et ensemble ils me sucèrent jusqu'à ce que je jouisse dans la bouche de Tony.
Séverine quitta la chambre d'amis où nous étions installés pour aller chercher quelque chose à boire. Je restais seul avec Tony. Je lui demandais :
- Tu es bi ?
- Oui, j'aime autant les femmes que les hommes. Et toi ?
- Pour moi, c'est la première fois que je baise avec un mec.
- Et tu trouves ça comment ?
- Pas mal, mais je ne suis pas prêt de coucher avec un mec trop viril, tu vois. Avec toi, ça va car, excuses-moi d'être franc, tu es un peu efféminé et ça me va très bien. Disons que je viens de me découvrir bi mais je reste quand même hétéro à 90%... Tu vois ce que je veux dire.
- Parfaitement. Rassures-toi la plus part des mecs comme toi aiment les minets dans mon genre. Le fait d'être jeune et d'une allure féminine doit leur faire oublier qu'ils baisent avec un mec.
Tout en discutant, nous étions allongés l'un contre l'autre et nous nous branlions mutuellement. Sévérine nous trouva dans cette position quand elle revint avec un plateau chargé de boissons fraîches.
- Eh bien, les garçons, je vois que le courant à l'air de passer entre vous. Mais il ne faudrait pas m'oublier. J'ai encore envie, moi.
Tony me glissa à l'oreille :
- Si tu veux, tu peux me sodomiser pendant que je suce ta femme.
Je m'entendis répondre :
- Bonne idée.
Séverine s'était assise sur le haut du lit le dos calé par des oreillers. Tony se glissa entre ses jambes ouvertes et commença à la sucer. Je pris une capote et je lubrifiais son petit trou. Séverine me fit un clin d'œil approbateur.
Tony releva son cul et j'appuyais mon dard sur sa rosette avant de le prendre par les hanches. Je le pénétrais sans effort. Il devait avoir l'habitude de se faire enculer et son cul n'opposa pas de résistance à mon dard. Quand mon ventre heurta ses fesses rondes, je commençais à le défoncer lentement par des coups de reins amples. Ma main glissa sous son ventre jusqu'à son dard rigide et je recommençais à le branler.
Séverine me regardait fixement, apparemment ravie de me voir enculer son amant. Ravie et au comble de l'excitation car rapidement ses yeux chavirèrent et elle se mit à émettre des petits cris au gré des caresses que la langue de Tony lui procuraient. Elle se trouva prise d'un orgasme long et puissant qui lui tira de longs gémissements.
Je continuais de défoncer Tony tranquillement, souhaitant profiter de son petit cul serré mais il se mit lui aussi à gémir, à râler et il se vida dans ma main en grognant. Je continuais de le sodomiser jusqu'à ce que je lui envoie une bonne dose de jus dans son cul.
Tony nous quitta après avoir pris une douche. Séverine me demanda dès que nous fûmes seuls :
- Ça t'a plu de baiser un mec ?
- Oui, beaucoup. C'est ce que je disais à Tony tout à l'heure : je viens de me découvrir bi mais je préfère quand même les filles, rassures-toi !
- Je n'étais pas inquiète, mon cœur.
- Je ne suis quand-même pas prêt à baiser avec n'importe quel mec. Un jeune, bien foutu, OK, tu vois ?
- Parfaitement. Et tu aimerais sucer un mec ou te faire sodomiser ?
- Sucer, oui. Enculer, je ne sais pas.
- Si tu veux, on pourrait essayer ensemble, rien que tous les deux...avec un gode-ceinture.
- Pourquoi pas.
Quelques jours après, Séverine entreprit de m'éduquer à la sodomie. Elle le fit avec beaucoup de douceur et de patience. Elle commença avec un petit gode, sans le fixer à sa taille. Elle fit souvent cela en me suçant tandis qu'elle faisait coulisser le gode dans mon petit trou. Je dois avouer que j'ai pris des plaisirs énormes à me faire baiser de la sorte. Puis elle passa un cran au-dessus en utilisant ses vibromasseurs, de plus en plus gros, jusqu'à je sois capable de recevoir le plus gros d'entre eux. Enfin, elle mit en route son plus gros jouet alors qu'il était bien enfoncé dans mon cul. Et dès que les vibrations envahirent mon ventre, je sentis instantanément mes couilles se durcir comme deux cailloux et j'explosais littéralement dans la bouche de ma compagne. Séverine reçut ce jour-là la plus belle quantité de sperme que je ne lui avais jamais envoyé.
Quand elle jugea que mon éducation était terminée, ma belle coquine prit l'habitude de me sodomiser avec son gode ceinture. Elle me baisait en levrette en me branlant pendant qu'elle me défonçait le cul mais sa position favorite était de m'enculer alors que j'étais couché sur le dos les jambes posées sur ses épaules et que je me branle moi-même.
Bien évidemment, notre coquine de voisine fût mise au courant de nos nouvelles pratiques.
Alors qu'au cours d'une de nos soirées avec Marie-Claude, je la fis jouir en la sodomisant pendant qu'elle suçait Séverine. En reprenant ces esprits, elle soupira:
- Putain, qu'est-ce que j'aime baiser avec vous deux. Jouir par le cul, c'est quand même génial.
Je lui répondis que j'étais d'accord avec elle. Marie-Claude me regarda d'un air étonné, surprise que je puisse avoir un avis là-dessus. Séverine lui expliqua :
- Et oui, ma chérie, depuis quelque temps, Marco se fait sodomiser quand on baise. Et il adore ça.
- C'est vrai ? Mais tu le sautes avec un gode ceinture, alors ?
- Ouais, et même le plus gros, tu sais le beige.
- Ah, tout de même ! Il est énorme cet engin. Je n'ai jamais vu de mec avec une queue aussi grosse. Marco, j'aimerais bien t'enculer moi aussi. Tu veux bien ?
Sans attendre ma réponse, Séverine sortit son gode ceinture beige du tiroir de la commode et l'ajusta à la taille de Marie-Claude. Puis elle s'allongea sur le dos écarta les cuisses et m'attira sur elle. Marie-Claude me lubrifia le cul et lubrifia également le gode qui pendait à sa taille. J'écartais les jambes pendant que Séverine écartait mes fesses. Marie-Claude appuya l'extrémité du gode sur ma rosette et l'enfonça doucement. Elle ne fit pas de mouvements, se contentant de me laisser un peu d'espace pour bouger. Je me mis à faire de lents allers et retours, allers qui me permettaient d'enfoncer mon dard dans le con chaud et mouillé de Séverine, retours pendant lesquels Marie-Claude me défonçait le cul avec sa grosse bite en silicone.
Je jouis rapidement, trop rapidement au gout de mes deux coquines qui abusèrent de moi pendant le reste de la soirée. Heureusement que cela eut lieu un vendredi car elles ne me lâchèrent que très tard dans la nuit, le cul en feu, les couilles vidées et totalement épuisé.