Vacances à trois...

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Proposée le 7/12/2013 par vince44

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Je viens tout juste de fêter mes 17 ans (je suis né en juillet).
Le mois dernier, mes parents m'ont proposé d'emmener mon meilleur copain Jean en vacances avec nous.
En effet, nous sommes inséparables, au lycée comme en week-end. Ses résultats ne valent pas les miens, mais il veut son bac pour pouvoir faire "son cinéma". Nous passons une partie des week-end à filmer des scénettes plus ou moins réussies: Je ne vois pas en lui un futur Woody Allen, mais ça nous amuse bien.
Après des préparatifs simplifiés (petite valise et camescope obligatoire), nous arrivons près de Quiberon, en Bretagne. Je connais le camping à fond car j'y passe des vacances en famille depuis au moins 8 ans.
Aussitôt arrivés, je propose à Jean de faire un tour de camping afin de voir si mes copains des autres années ont eu la bonne idée de revenir aussi. Je retrouve une petite délurée, Nadine qui voit en Jean une proie potentielle.
"Pas touche, la belle, il est pour moi...", me dis-je en moi même. Cet été, je souhaite bien découvrir une zone de ma sexualité avec mon super copain. J'ai abordé le sujet avec lui depuis peu car on ne se cache presque rien. Il n'a pas émis d'avis, pensant quand-même être plus hétéro que "bi". Je compte bien vérifier la chose dans les délais les plus brefs.
Nous montons rapidement notre tente après avoir aidé mon père à stabiliser la caravane parentale. La fameuse Nadine fait alors son apparition. "Salut, les rigolos, alors on se prépare une petite nuit à deux ?". Je lui réponds qu'elle peut toujours venir gratter à notre toile, mais qu'elle a des chances de rester à la "porte" une partie de la nuit...
Je lui propose quand-même d'aller boire un verre au bar local, histoire de ne pas être trop rustre. Elle acquiesce et nous offre même le premier "monaco" de l'été.
On traîne un peu près de la plage en se racontant notre année passée et nous prenons congé de la belle, fatigués du voyage, mais déjà satisfaits de cette première soirée.
Notre tente "canadienne - super 3 places" n'est pas si grande, et nos valises prennent trop de place. Jean a un peu froid (cet idiot n'a qu'un petit duvet qui n'arrête pas le froid ni l'humidité). Je lui propose d'essayer d'assembler nos deux sacs de couchage, dès fois que les fermetures soient compatibles. Cinq minutes après, nous avons un super plumard, nettement plus chaud en cette nuit bretonne.
Jean bouge beaucoup sur son matelas et nos jambes sont souvent en contact. Je laisse faire les choses et imagine de plus en plus une aventure voire une petite expérience avec lui.
Le temps passe et je n'arrive pas à trouver le sommeil.
Un bruit furtif attire mon attention: on rode près de notre tente et des traînées de lumières balayent la toile.
Plus ou moins courageux, je fais quelques mouvements pour me faire entendre de l'extérieur.
Soudain le zip de la toile monte lentement et un "T'en fais pas, c'est moi" l'accompagne dans la nuit.
A ma grande surprise, c'est Nadine qui s'invite:
- Bon d'accord, je me fais c... toute seule et cette humidité m'empêche de fermer l'oeil, avoue-t-elle.
- Ok, viens entre nous deux et fais toi toute petite, c'est pas un trois étoiles, tu sais.
Gentleman, j'éteins la lampe avant qu'elle enlève son short en jean.
Nadine se blottit entre nous et ses petites fesses viennent naturellement se caler contre mes cuisses. "Evite de trop bouger, me dit-elle, ça risquerait de poser un problème, tu vois.
- D'accord, mais je ne te promets rien, tu sais, ça fait un bail que je n'ai pas dormi avec une fille: la dernière fois c'était ma
cousine....
- Et alors ??? Fit-elle, curieuse.
- Ben on a joué au docteur et j'ai découvert l'anatomie féminine sous un nouvel angle.
- Et depuis, rien ???
- Non, pas de petite copine, seulement Jean.
Lentement elle entreprend de se frotter contre mon pubis par provocation, puis de façon plus tendancieuse. Elle parait
satisfaite lorsque mon anatomie tend le boxer qui me "protégeait".
- Laisse-toi aller un peu, on est jeunes et ça mange pas de pain...
Jean bouge de plus en plus et je crains qu'il ne nous surprenne.
- Bon d'accord, mais laisse-moi voir un peu comment t'es belle...
Elle ôte son petit maillot de bain et dévoile une adorable fente, bien épilée, avec quelques poils réunis en une touffe appétissante. j'approche ma main, mes doigts, et enfin ma bouche de son trésor.
- hum, je vois qu'on apprend vite: Doucement, prends ton temps.
Je l'embrasse alors goulûment, au risque de faire chavirer notre petit matelas deux places et mes mains se font curieuses.
- Tu sais, j'ai lu pas mal de choses sur les filles, mais là, c'est trop fort : tu te rases depuis longtemps ?
- Non, c'est ma cousine Mathilde qui ma montré son minou et qui m'a aidé à faire un truc sympa sans me blesser.
Je redescends gentiment vers son intimité, suçotant au passage ses petits seins déjà bien tendus. j'approche de l'objet de ma curiosité en masquant la lampe avec mes doigts pour tamiser la lumière de notre petite salle de spectacle.
Je n'en reviens pas : les lèvres déjà luisantes forment un spectacle sur-réaliste. On dirait des petites crevasses sous-marines, et mon index s'approche sans oser vraiment s'y risquer: les mecs sont pas toujours des bruts, surtout au début...
- Vas-y doucement, fais le tour, sans rentrer, surtout.
je m'exécute et elle commence à onduler du bassin, jouant à introduire elle même mon doigt maladroit, puis à s'en extraire aussitôt..
- C'est vraiment trop fort, ne puis-je m'empêcher de souffler.
Ce qui doit arriver arrive : Jean se retourne et tombe sur le dos de Nadine. Il émet un "C'est quoi ce b...?".
Que dire si ce n'est un "Ben, c'est Nadine qui pouvait pas dormir toute seule".
- C'est ça, c'est ça! Bon foutez moi la paix, je dors!!!.
Nadine, un peu secouée, se rapproche et grimpe carrément sur mon ventre.
- Chut, je crois qu'il est pas vraiment réveillé, embrasse-moi.
Je ne résiste pas à l'invitation et mon sexe se cale entre ses lèvres, sans chercher à la pénétrer. Elle ondule comme une pro et je glisse bien dans sa raie magique, jusqu'à m'approcher de son petit œillet...
Je passe une main derrière elle, soutenant ainsi mon sexe tendu qu'elle chevauche alors comme une bonne cavalière. Je lui murmure que je ne vais pas tenir longtemps.
- Attends un peu, je veux jouir avec toi.
Je ne pensais pas qu'on pouvait jouir aussi fort, mais je la vois se cambrer et je lâche alors trois ou quatre jets puissants contre ses fesses. Quel pied...
- Désolé, j'ai rien pu retenir.
- Laisse, c'était vraiment bien, mais je suis trempée maintenant: Essuie-moi un peu avec mon tee-shirt."
Je m'exécute en m'attardant sur ses petites fesses bien rondes, puis dans la vallée des plaisirs.
J'aperçois alors les petits yeux de Jean qui bien ouverts, n'ont rien raté du spectacle. Ce n'est pas bien grave, je continue mon travail, en prenant tout mon temps : Jean peu bien en profiter un peu, non'
Nadine s'endort dans un soupir, blottie dans mon dos.
Je ne sais pas si Jean abordera le sujet au petit-déj, demain...

A suivre ???