Je suis bisexuel : 7) Le gay noctambule

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Proposée le 30/11/2013 par CAVAL

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Résumé : Marc est homosexuel avec Eric et hétérosexuel avec Alice et Léa. Il veut se détacher de ces trois personnes pour trouver une situation plus stable.


7) le gay noctambule


A la rentrée, je redoutais presque de devoir loger si près de mon ancienne maîtresse. Cette promiscuité risquait de rendre difficile la rupture que j'envisageais. Heureusement, Alice et Léa prirent une colocation ailleurs dans la ville. Cela leur permettait de vivre en commun leurs amours lesbiennes au quotidien. Ainsi, j'ai pu totalement couper mes relations avec les deux filles. De même mes liens avec Eric se distendirent et même disparurent alors qu'il restait en relation avec nos maîtresses.

Le logement voisin du mien laissé vacant par ce déménagement, fut occupé par une femme d'une cinquantaine d'années. Elle ne m'attirait pas du tout, jusqu'au jour où, coincée sur le palier de sa porte et attendant le serrurier, je l'invitai à venir chez moi. Je lui offris à boire. Nous avons commencé à discuter de tout et de rien. C'est la première fois que je la regardais vraiment et tout compte fait elle n'était pas vraiment belle, mais elle était charmante.
- Alors, me dit-elle, vous êtes étudiant ?
- Oui, avec le diplôme à la fin de l'année.
- Et comment financez-vous vos études ? Il faut payer le loyer de votre studio, les cours, les livres...
- Je fais des petits boulots. En fait, je suis modèle vivant pour des cours de peintures et des artistes. Cela me permet de m'autofinancer.
- Vous voulez dire que vous posez nu ?
- Oui, c'est cela. Je vous choque ?
- Non, non, pas du tout. Moi-même, jeune, j'ai posé pour des copains artistes. Enfin, je devrais dire pour mon copain de l'époque. J'aurais été bien trop pudique pour pouvoir poser pour d'autres que lui. Sauf que ce n'était pas rémunéré.
J'ai fini par lui montrer des photos de toiles pour lesquels j'avais posé. Parmi elle, il y avait une toile d'Alice où mon sexe était véritablement l'objet central de son œuvre.
- Je vois que vous avez posé dans des... poses suggestives.
- Oui, c'était pour une amie qui vivait dans l'appartement que vous occupez à présent.
- Ah ! Pour ma part je posais moins dénudée, je n'avais que la poitrine nue. Mais j'ai vite arrêté, j'ai rencontré mon mari, j'ai eu un fils qui est grand maintenant et mon époux est mort.

Pendant un instant j'ai eu l'idée que cette femme, malgré la différence d'âge, pourrait devenir ma maîtresse. Il aurait pour cela fallu battre le fer pendant qu'il était chaud. Alors j'aurais peut-être eu des chances de la séduire, de l'embrasser et, pourquoi pas, de la mettre dans mon lit. Les idées se bousculaient dans mon esprit ; je pensais à ces jeunes hommes qui connaissent leurs premiers émois sexuels avec des femmes plus âgées ; pour ma part je n'avais jamais fait l'amour avec une femme qui aurait pu être ma mère.
Cependant, on sonna à ma porte. C'était le serrurier. Ma voisine m'a remercié et est partie rejoindre son appartement.

Je me retrouve face à ma voisine. Elle est topless, une poitrine assez forte, mais avec deux seins qui ont tendance à pendre un peu. Je m'approche d'elle et prends ses globes en main, je les soupèse, les malaxe. La chair était est peu molle, mais la peau est douce. Les pointes des mamelons commencent à durcir et à pointer. J'y appose la bouche, je les baise, les mordille délicatement pour les exciter encore un peu plus et même les suce comme un enfant allaitant.
Avait-elle nourri son fils à présent âgé de 20 ans en le faisant sucer ces seins ?
Je finis de déshabiller entièrement cette femme au corps assez lourd. Sous un ventre rebondi, je découvre une chatte particulièrement poilue. L'épaisseur des poils ne permet pas de deviner la vulve qui s'y dissimule. La faisant pivoter sur elle-même, je vois un postérieur imposant que je flatte de petites tapes. Je prends possession de son corps en faisant courir mes mains sur son ventre, ses seins, ses fesses, ses cuisses. Elle se laisse faire sans bouger.
Il est tant qu'elle s'occupe de moi. Je me déshabille face à elle. Je veux qu'elle voie mon corps de jeune homme éclatant de vigueur par rapport au sien usé par la vie. Une fois totalement nu, je lui présente ma queue. Elle la prend en main et commence à la branler. Je lui demande de la sucer, elle hésite un court instant, puis dépose sur le gland quelques baisers avant de la prendre la verge en bouche. Je sens mon sexe gonfler sous l'effet de sa fellation. Alors qu'elle s'applique à aller et venir sur ma hampe, je parcours son corps de caresses et de baisers, jusqu'à plonger ma tête dans la forêt vierge des poils de sa chatte. J'atteins son sexe que j'ouvre délicatement pour y découvrir des lèvres humides et un clitoris...
Je me réveillai soudain, le sexe bandé : ce n'était qu'un rêve.

Par la suite nos rapports sont restés cordiaux, mais le charme était rompu, elle n'a jamais rien fait pour m'attirer vers elle, tandis que moi je repris mon calme en me disant que c'était une folie et qu'une telle liaison ne correspondait pas à mes attentes.



Pour ma part je me concentrai sur mes études et le diplôme qui m'attendait en fin d'année. Je ne vécus pourtant pas en complète abstinence. Je continuais à poser pour les écoles de peinture. Alice m'avait présenté pour devenir modèle, mais une fois dans l'école de dessins, je n'avais plus rien à voir avec elle. D'ailleurs je n'avais pratiquement jamais posé dans un cours où elle se trouvait. Je rencontrais d'autres modèles comme moi et des élèves.
Parmi les modèles je fis la connaissance Xavier qui était notoirement homosexuel. Il s'affichait sans aucun problème comme homosexuel dans l'école de peinture. A l'extérieur il était un peu plus discret les actes homophobes étant encore trop fréquent. Mais lorsqu'il sut que je n'étais pas contre des relations avec des hommes, il m'invita à passer un week-end chez lui. Avec lui aussi je ressentis beaucoup de plaisir. Je renouais avec le bien-être que j'avais connu avec d'autres hommes. Il était purement homosexuel et ne voulait aucune relation avec des filles.
Ce fut merveilleux de pouvoir caresser à nouveau un corps musclé et bien fait. De plus il faisait l'amour à la fois avec douceur et fermeté. J'adore particulièrement trouver cette virilité lors de mes ébats avec des hommes. Pendant deux jours et deux nuits nous sommes restés nus dans son logement et faisant l'amour à plusieurs reprises et dans toutes les pièces : sur la table de la cuisine, dans le canapé ou sur le tapis du salon, sous la douche et plus classiquement dans le lit.
Nous alternions des séances de caresses, des fellations, des langues de rose, des pénétrations anales et ces délicieuses pressions de la prostate permettant de jouir sans éjaculation... Ce qui permet de remettre le couvert en un minimum de temps.

Il avait l'habitude de traîner la nuit dans les bars et boîtes gays de la capitale. Il m'entraîna une fois dans une de ses virées.
Quand nous sommes arrivés dans l'établissement qu'il avait choisi, il m'annonça :
- C'est un club qui accueille indéfiniment des gays, des lesbiennes et des couples hétéros. Comme tu es bi, tu vas pouvoir t'en mettre jusque là !
Je n'étais pas du tout attiré par ce genre d'endroit, pourtant je le suivis tout en sachant bien que j'allais dans un lieu où je n'obtiendrais que bien peu de satisfaction.
Le gérant qui nous accueillit était très sympathique ce qui créa, malgré tout, une bonne ambiance. Il nous montra les lieux.
- Vous avez à votre disposition un hammam et un sauna. Ici c'est le bar, d'un côté cette grande salle où sont diffusés sur grands écrans des films pornos hétéros et l'autre une autre grande salle avec des films pornos gays. Inutile de vous indiquer où vous devez aller selon ce que vous voulez faire.
- Et pour les lesbiennes, demandais-je, il n'y a pas de salle ?
- Oh, il n'y en a très peu, voire aucune. Ou alors elles ne sont pas uniquement gouines. Les femmes qui viennent, il vaut mieux qu'elles aient du caractère et qu'elles n'aient pas froid aux yeux. En fait elles sont hétéros ou bi et souvent elles aiment avoir plusieurs hommes. S'il y avait des femmes entre elles, ce serait très frustrant pour les hommes et on aurait des difficultés à tout gérer. On voulait faire une matinée du dimanche 100% femmes, me répondit le patron, mais ça posait trop de problèmes de logistique, il aurait fallu un personnel 100% féminin et ça n'était pas possible. Il y a bien une serveuse (lesbienne pure et dure elle) et ma femme (elle est bi et libertine comme moi d'ailleurs), mais trouver du personnel avec un bon esprit, ce n'est pas évident.
- C'est vrai, dit un serveur, qu'il y a souvent ici des mortes de faim...
- Des quoi ?
- Bah, des nanas mal baisées ou pas du tout baisées. Alors le plus souvent celles qui entrent homosexuelles deviennent très rapidement bisexuelles ; acceptant les attentions des hommes. Et quand elles reviennent, elles ne peuvent pas dire qu'elles ne savent pas ce qui les attend.
Je remarquai qu'il doit être lui-même homosexuel à sa façon de parler et à sa gestuelle.
- Oui, notre clientèle féminine sait qu'elle pourra trouver chez-nous des mâles disposés à les satisfaire. Elles n'ont pas froid aux yeux et un seul homme, c'est vraiment trop peu pour elles.
- Et ça se passe bien ?
- Du moment que tout le monde respecte tout le monde, il n'y a aucun problème. Nous veillons au grain moi et ma femme. D'ailleurs, nous sommes tous les deux bi et libertins, cela nous permet de participer nous aussi aux réjouissances. Si vous voulez vous isoler, vous avez des chambres près du sauna et jacuzzi à l'étage inférieur ou ici entre les deux grandes salles.

Je décidai d'opter pour le sauna tandis que mon partenaire choisissait de rester au bar. Je me déshabillai dans les vestiaires mixtes sous le regard insistant de deux filles, une serviette nouée autour de la taille, mais seins nus. Dans la pièce, il y avait une telle buée, qu'il était difficile de dire, une fois assis, s'il s'agissait d'hommes ou de femmes. Il y avait déjà sept personnes lorsque j'entrai. Il y avait un petit groupe sur un banc supérieur. Je ne fus pas long à comprendre qu'il s'agissait d'une femme aux prises avec trois hommes : l'un entre ses jambes lui mignardait le gardon, un second jouait avec ses seins et le troisième lui donnait à goûter la queue.
Un des trois autres hommes qui regardaient le spectacle depuis un banc inférieur s'approcha de moi.
- C'est la première fois, me demande-t-il, je ne t'ai jamais vu ici ?
- Oui et je dois dire que je ne sais pas si je suis à ma place ici.
- Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer.
Il me caressait la cuisse. Je ne repoussai pas sa main et ma tension était à son comble.
- Tu es intimidé ?
- Oui.
- Tous les participants sont intimidés même ceux qui jouent les « gros bras ». Ils le font justement pour cacher leur peur.

A ce moment une femme d'une quarantaine d'année et bien en chair entra dans le sauna. Les deux hommes qui n'étaient pas encore occupés se levèrent pour la solliciter. Elle agissait sur eux comme un aimant. Et lorsqu'un homme, qui ne pouvait être que son conjoint, entra dans la pièce enfumée, l'attraction ne faiblit pas. D'ailleurs celui-là semblait se réjouir de voir sa femme caressée par deux inconnus.

Une autre cliente entra dans la sauna. Elle devait avoir la trentaine et était entièrement nue avec un sexe totalement glabre et des piercings sur chaque téton, au nombril et au niveau du sexe. Elle vint se placer entre le garçon qui m'avait abordé et moi-même. Sans autre forme de procès, elle se saisit de nos queues. Elle ne nous branla pas véritablement, elle ne faisait que caresser légèrement nos verges du bout des doigts en regardant tantôt l'une, tantôt l'autre. Là encore je laissais faire, d'autant plus que cela n'avait rien de désagréable, au contraire. Comme elle me voyait regarder la femme entourée de trois hommes ou celle avec deux mâles et son mari en voyeur, elle me demanda :
- Cela t'étonne ?
- Oui, je n'ai pas l'habitude de ces lieux où les partenaires s'échangent ainsi.

Lorsque je quittai le sauna, j'avais éprouvé un peu de plaisir grâce à la main de la femme, mais sans avoir éjaculé. J'avais noué une serviette autour de ma taille.
Je retrouvais mon ami au bar, qui ne servait pas d'alcool, peut-être pour éviter les débordements.
- Le lieu était 100% gay à son ouverture, me dit-il, c'est pour cela que je le connais. Puis le propriétaire d'origine s'est s'ouvert à la clientèle hétéro. Et les gérants actuels sont sincèrement convaincus que la non-ségrégation est une bonne chose, l'argument économique joue aussi.
Je regarde autour de moi ; il doit y avoir une trentaine d'hommes pour cinq femmes. J'ai pu ensuite analyser qu'il y avait une quinzaine d'hommes hétéros, cinq hommes bis et dix gays. Cela fait beaucoup de mecs pour une fille.
- La pression masculine étant très forte, m'indique mon copain, les femmes qui viennent ici ne s'en laissent pas compter et ne sont pas du genre soumises.

La femme qui m'avait caressé dans le sauna arriva au bar. Elle portait une tunique si transparente qui laissait voir nettement ses seins généreux avec leurs décorations et si courte que lorsqu'elle s'assit elle dévoila sa fente et les bijoux associés. Je lui offris une boisson et nous entrâmes dans l'espace réservé aux hétéros :
- Je ne suis pas à ma place, dit Xavier.
- Reste, répondit la femme, cela fait longtemps que je n'ai pas baisée avec un couple d'homo dont l'un des deux est bi.
Le film porno diffusé dans la salle était sans aucun intérêt avec une actrice refaite des pieds à la tête et qui se faisait tringler par des acteurs aux queues impressionnantes (à croire qu'elles n'étaient pas plus naturelles que les énormes nichons de la fille). Je regardai par contre les hommes et les femmes qui se caressaient tout en gardant au minimum un cache sexe, parfois investi par une main inquisitrice. Notre compagne ne fut pas longue à nous entraîner vers les cabines à l'intérieur desquelles on entendait des gens en plein ébats sexuels. Certains n'étaient vraiment pas discrets entre grognements, râles, gémissements, claques sonores, cris, mots tendres ou crus. Le long du couloir, des hommes attendaient que la place soit libre, certaines femmes les recevant à plusieurs ou à la chaîne. En passant les mains se faisaient baladeuses. Nous avons choisi une de ces alcôves libres laissant de côté celle où un occupant attendait la venue surprise d'un compagnon ou d'une compagne de jeux et celle où les amants, dans le feu de l'action n'avaient pas fermé (intentionnellement ou non) le verrou.

L'étreinte du trio que nous formions fut assez rapide et virile. La femme commença par nous sucer. Mais devant le peu de réaction de Xavier, elle me dit,
- Occupe-toi de ton copain, moi je m'occupe de ton zob.
Je suçais donc Xavier tandis qu'elle prenait mon sexe en bouche. Elle y mit tant de frénésie que je ne peux pas dire que j'en éprouvai un réel plaisir. Puis elle me présenta son sexe à lécher. Cela me faisait bizarre de sentir sur la langue le métal des anneaux accrocher à ses grandes lèvres. La douleur qu'elle avait dû ressentir pour percer cet endroit me glaçait le sang. Xavier pendant ce temps s'occupait de ma queue bien tendue.
La femme se mit à quatre pattes, j'ai recouvert mon sexe d'un préservatif (l'usage en était obligatoire dans le lieu) et je l'ai prise en levrette sans ménagement. Mon sexe glissa en elle avec une facilité déconcertante due à ce qu'elle était parfaitement lubrifiée. Je sentis le sexe de mon copain s'insinuer dans mon anus. J'allais donc prendre une femme tandis qu'il allait me sodomiser. La situation était nouvelle pour moi et assez excitante.
La jouissance ne se fit pas attendre. Xavier éjacula entre mes fesses et je ne fus pas long à faire de même en entendant la femme geindre. Avait-elle joui ? Je ne pourrais le dire. En tout état de cause elle nous dit :
- En sortant, laisser la porte ouverte.
Elle attendait certainement la venue d'autres hommes pour la contenter entièrement.

Je suis resté dans la salle dédiée aux hétérosexuels avec un film toujours aussi désolant quant aux rapports humains. Près de moi vint s'asseoir une femme d'une trentaine d'année. Elle avait le visage d'une douceur extrême et son corps fin donnait l'impression d'une grande fragilité. Tout dans se voix n'était que délicatesse. J'avais du mal à comprendre la présence d'une telle femme dans ce club. Nous avons échangé quelques mots. Jusqu'au moment où je lui ai posé la question qui me brûlait les lèvres :
- Je me demande si, en tant que femme, tu ne crains pas d'être... violée dans un lieu comme celui-ci. Si tu arrives quelque part, aussitôt, il y a plein d'hommes qui te sautent dessus.
- Bien sûr ils essayent, mais si on les repousse ils n'insistent pas. C'est sûr que ça fait bizarre au début. Quand j'étais novice, j'étais même effrayée par mon audace. C'est mon copain qui m'avait fait venir ici : il rêvait de me voir me faire prendre par des inconnus. Il y en a eu un homme, puis deux... Je pris mon pied rapidement et depuis il m'a fait une crise de jalousie, il s'est tiré, mais moi je reviens ici. Oui, on s'y fait. En général, les femmes sont respectées dans ces lieux de perdition, parfois plus que n'importe où ailleurs. Oh, il y a des exceptions ; moi la dernière fois, il y en a un qui me suivait, me sollicitait lourdement alors que je ne voulais par de lui ; il a fini par essayer de me caresser avec le pied dans le jacuzzi... Du coup je lui ai tiré sur le pied, il a bu la tasse et s'est fait virer.


Un peu plus tard, mon copain et moi avons voulu profiter du jacuzzi pour nous détendre. Dans ce bassin les rapports sexuels étaient interdits (pour des raisons d'hygiène) et c'est pourtant là que nous allions rencontrer notre plan homo de la soirée : un homme d'une trentaine d'année, mal rasé, le regard charmeur et le corps superbe. Il a commencé par nous frôler avec ses pieds, ses mouvements cachés par les bulles. Nous avons répondu à son invitation, et j'ai commencé à masser ses cuisses tandis que mon copain se mettait à l'œuvre en posant sa main au niveau de son sexe.
L'homme est alors sorti du bassin dans le plus simple appareil et s'est dirigé vers les cabines de ce niveau inférieur. Nous l'avons suivi et nous nous sommes retrouvés dans l'une d'elles.
La queue de l'inconnu était déjà en érection. J'étais terriblement attiré par ce sexe et je me suis mis entre ses jambes. Je pris la hampe dans ma bouche et me suis mis à l'astiquer frénétiquement. Mon copain présentant sa queue devant la bouche de l'homme pour se faire sucer. Puis nous échangeâmes, il prit ma place et moi la sienne. Notre partenaire suçait divinement bien, s'attardant sur mon gland, mettant ma queue dans la bouche, la léchant de la base au méat ou en gobant mes testicules.
Notre amant se mit à jouir sur le visage de Xavier. Je vins rejoindre mon ami pour goûter moi aussi à la semence de l'homme. Il grognait dans une éjaculation abondante.
Il nous retint et nous prodigua une sublime fellation jusqu'à ce que nous éjaculions dans sa bouche.

Comment s'appelait-il ? Qu'elle était le prénom de la femme que j'avais pénétrée ? Je l'ignore. Dans ces lieux on ne s'échange pas les cartes de visite. Au contraire, on reste des inconnus les uns vis-à-vis des autres.
Tout compte fait je me suis trouvé mal à l'aise avec ces mecs qui s'embrassaient à bouche que veux-tu dans tous les coins et d'autre à moitié nus.


Je me détachai rapidement de Xavier, il ne recherchait pas une relation durable, aimant papillonner d'un homme à un autre sans jamais se fixer. Pour lui je n'étais qu'un amant de passage. Encore une occasion manquée de créer quelque chose de durable.

A suivre

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