Chapitre 4 : Dans lequel je fais connaissance avec les amis de Pierre.

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Proposée le 4/11/2013 par IsaCoquine

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Je partageais la vie de Pierre depuis deux semaines et il m'annonça que nous étions invités à passer le week-end chez un couple d'amis, Yves pilote de ligne et Véronique hôtesse de l'air.
Ils habitaient une grande demeure, une ancienne ferme rénovée au nord de Paris. Le vendredi après-midi, je passais à l'aéroport chercher Pierre qui revenait d'un voyage professionnel à Rome et nous avons filé directement chez ses amis. J'avais questionné Pierre à propos du couple. Il me raconta sa rencontre avec Yves et Véronique et il me dit que, curieusement, il avait d'abord baisé avec Yves avant que celui-ci ne lui fasse faire la connaissance de sa compagne. Il me dit également que Véronique était, elle aussi, bisexuelle.
Pendant les quelques journées précédentes, je passais de l'excitation à l'inquiétude. Excitation parce que, même si Pierre ne m'en avait rien dit, il était clair qu'il souhaitait me faire connaître intimement ses amis. Et en particulier, que je découvre les plaisirs des amours lesbiens en compagnie de Véronique. Inquiétude, car s'il est une chose de savoir que son chéri trouve du plaisir dans d'autres bras que les siens, c'en est une autre que d'être confrontée à la réalité. De plus je me demandais si j'allais me montrer à la hauteur avec Véronique et savoir lui donner du plaisir.
Ces deux sentiments contradictoires continuèrent de m'occuper l'esprit même quand Pierre engagea notre voiture sur l'autoroute du Nord. Et atteignirent leur paroxysme quand nous passâmes le portail de l'immense demeure de Yves et Véronique.
Un homme brun de la même taille que Pierre mais plus mince, athlétique, sortit de la maison et vint à notre rencontre, c'était Yves. Il salua Pierre joyeusement le lui faisant deux bises et se dirigea vers moi. Arrivé devant moi, il m'enlaça par la taille comme si nous nous connaissions depuis toujours et me fit deux bises également.
Yves et Pierre se chargèrent des bagages pendant que Véronique vint nous accueillir à son tour. Elle déposa un petit bisou sur la bouche de Pierre et fit de même avec moi.
Après quoi, nos bagages posés dans un coin du salon, j'ai fait connaissance avec les amis de Pierre. J'ai aidé Véronique à finir la préparation du barbecue pendant que nos hommes allumaient le charbon de bois et faisaient rougir les braises. Le dîner fut joyeux et détendu.
Ensuite Véronique et moi avons pas mal discuté en rangeant la vaisselle, pendant que nos compagnons faisaient un petit tour dans le jardin. Cette prise de contact contribua à me détendre. Mais je dois t'avouer, lecteur aussi impatient que je pouvais l'être à cet instant, que tout cela me laissait un peu sur ma faim. J'appréciais énormément l'accueil que Yves et Véronique m'avait réservé, Ils étaient, l'un comme l'autre, charmants, d'une extrême simplicité associée à une sympathie non feinte mais tout cela ressemblait à un simple début de week-end entre amis. Je m'attendais à quelque chose de plus « hard », de plus sensuel, peut-être pas que Yves me baise sur le capot encore chaud de notre voiture dès notre arrivée mais jusqu'à cet instant rien de plus qu'une agréable soirée entre deux couples. Pourtant les choses allaient se préciser...
Pendant que nous finissions de ranger la terrasse, Véronique me dit :
- Chère Isa, Pierre nous a dévoilés que tu n'avais jamais goûte aux plaisirs entre filles... mais que cela ne te repoussait pas à priori.
- C'est exact et je ne crois pas me tromper en pensant que le but de cette soirée est de me faire découvrir cela...en ta compagnie.
Véronique éclata d'un rire clair :
- Bien vu ! J'espère que ce choix te convient et que je ferais une amante convenable... et convaincante.
- J'en suis sure. Tu es une très belle femme et je peux t'avouer que tu m'attires vraiment. Si j'étais un mec, je crois que je pourrais dire de toi que tu es bandante...
Excuse-moi, cher lecteur, de n'avoir pas pris le temps de te décrire Véronique et je vais dès maintenant réparer cet oubli.
Véronique avait la quarantaine. Elle était grande, plus mince que moi. Les cheveux bruns avec des mèches rousses était coupés assez court. Son visage était agréable et s'éclairait continuellement d'un large sourire. Ses yeux verts en amande étaient aussi très rieurs. Sa poitrine était menue, elle devait faire une taille de bonnet un peu inférieure à la mienne. Sa taille mince donnait de la largeur à ses hanches. Des jambes longues et fines complétaient sa silhouette très sensuelle.
Véronique éclata de rire une nouvelle fois devant cette remarque pendant que je continuais :
- Mais je suis un peu inquiète de savoir comment cela va se passer entre nous, entre toi et moi, avec Yves, enfin tous les quatre. C'est une expérience toute nouvelle pour moi, tu sais.
- Je le sais, Yves et moi avons beaucoup parlé de toi avec Pierre. Ne lui en veux pas, mais ton homme nous a tout dit de toi. Rassure-toi, je suis certaine que cela se passera au mieux.. Viens, je vais te montrer notre "salle de jeu". Les garçons nous rejoindrons...
Véronique m'entraîna dans leur immense demeure. Sous les combles de ce qui avait été une ancienne écurie, ils avaient fait aménager une grande salle. Une pièce immense éclairée par de grandes fenêtres de toit, qui comportait au milieu une sorte d'estrade de la taille de quatre lits réunis recouverte de matelas et de coussins. Tout autour de cette estrade, il y avait un large passage et des canapés bas. Un bar dans un coin bien rempli de boisson en tout genre. Une vieille armoire paysanne du XIXème occupait un pan de mur libre. Deux chambres avec salle de bains s'ouvraient dans cette pièce. En franchissant le seuil de la porte, Véronique me fit entrer en s'exclamant de façon très théâtrale :
- Isa, bienvenue dans la "Chambre des plaisirs" !
Elle m'expliqua ensuite que cette pièce était destinée aux soirées coquines qu'ils organisaient entre amis. Elle m'assura que la prochaine fois qu'ils recevraient des amis, nous ferions Pierre et moi partie des invités. Véronique m'entraîna ensuite dans une des chambres attenantes et ouvrit un grand placard. Elle en sortit quelques vêtements pendus sur des cintres et me proposa de faire un choix.
En regardant de plus près, ces vêtements étaient des sortes de chasubles en voile de satin. Il y en avait de toutes les couleurs, blanc, noir, et d'autres : rouge fuchsia, vert bouteille, bleu turquoise, jaune paille, rose bonbon... j'en oublie.
Véronique me proposa une chasuble de couleur lavande en assurant que la couleur correspondait à la couleur de mes yeux et s'accordait à merveille avec mes cheveux blonds. D'accord avec ses arguments et la justesse de son choix, je pris le vêtement pour l'essayer pendant qu'elle prenait celle qui était vert bouteille. Nous nous sommes déshabillées pour passer nos chasubles. C'étaient en fait de simples rectangles de tissu, longs et étroits, qui s'enfilaient par la tête avec un profond décolleté jusque au nombril et qui s'attachait de chaque côté par deux liens, l'un au niveau de la taille, l'autre à la base des seins.
La transparence de ces vêtements ne cachait rien de notre corps mais cette transparence le mettait justement en valeur. De plus les chasubles ouvertes de toutes parts dévoilaient notre intimité à chacun de nos mouvements. Véronique se planta face à moi, me prit les mains et me dit en écartant mes bras :
- Ma chère Isa, tu es ravissante.
- Merci, Véro et je te retourne le compliment car toi aussi, tu es très désirable.
- Tu me désires ?
- Oui...
Véronique m'attira vers elle et sans lâcher mes poignets, elle passa ses bras autour de ma taille. Elle se colla contre moi et prit possession de ma bouche, me bâillonnant avec ses lèvres. Sa langue fureta sur mes lèvres que je lui ouvris volontiers, elle s'enfonça dans ma bouche, en explora les moindres recoins avant de s'enrouler autour de la mienne. Pour mieux répondre à son baiser, pour mieux apprécier mon premier baiser avec une fille, je libérai mes bras de son emprise et j'enlaçai sa nuque. Ses mains libres glissèrent sous la fine chasuble, frôlèrent mes fesses et elle me colla contre elle, ventre contre ventre, sa jambe entre les miennes, sa cuisse contre ma chatte.
Après un long baiser tendre et voluptueux, Véronique m'entraîna dans "La chambre des plaisirs". Elle me fit allonger sur l'estrade et manipula quelques commandes derrière le bar avant de me rejoindre.
Quatre gros projecteurs illuminèrent l'estrade d'une lumière douce, agréable, vive sans être aveuglante, plongeant dans une obscurité relative le reste de la pièce. Une musique suave aux consonances asiatiques sortit des grosses enceintes pendues sous la pente du toit et trois diffuseurs d'huiles essentielles se mirent à cracher des parfums enivrants d'Ylang-Ylang, de Jasmin et de Patchouli.
Véronique s'allongea sur moi au centre de l'estrade. Sa jambe entre les miennes, elle me caressa avec sa cuisse en ondulant tout en m'embrassant. Je faisais courir mes mains sur sa peau, sur son dos, sur ses fesses. J'étais très excitée par la douceur de ce premier contact lesbien. Je sentais ma chatte gonflée, mouillée. La sensation de chaleur dans mon ventre, annonciatrice d'un orgasme proche, semblait prête à envahir tout mon corps. Véronique rampa sur moi, faisant courir sa bouche entre mes seins, s'attardant sur mon nombril, progressant inexorablement vers mon pubis que je lui offris en ouvrant largement mes cuisses et en me cambrant. La fraîcheur de sa langue sur ma fente brûlante me tira un gémissement. Véronique glissa un coussin sous mes fesses pour relever mon bassin. Elle me suça et introduisit deux doigts dans mon fourreau inondé. Véronique me suçait habilement, comme peu de mecs à l'exception de Pierre, mais avec un « je ne sais quoi » en plus, comme un mélange de douceur et de perversité. Toujours est-il, cher lecteur, que la belle Véronique me conduisit sur le chemin d'un orgasme intense. Je criais de plaisir, les mains crispées sur la toile de notre couche, le corps secoué par les convulsions de l'extase qui m'arrivait en vagues successives à chacun des coups de sa langue sur ma fente inondée.
En retrouvant un peu de conscience, je me rendis compte que Pierre et Yves étaient là. Ils avaient dû arriver pendant que je recevais passive, les yeux fermés les hommages de Véronique. Ils étaient magnifiques, nos deux hommes, nus tous les deux, enlacés et tenant leur verge d'une main, debout au bord de l'estrade. Ils vinrent nous rejoindre. Yves se glissa sous mes jambes repliées et me prit, couché en travers, laissant à sa compagne la place pour chevaucher ma tête et poser son pubis sur mon visage. Immédiatement, je commençais à lécher sa fente inondée. En revivant ces moments, je ne me souviens pas avoir hésité une seconde pour faire un cunnilingus à Véronique, moi qui n'avait jamais baisé avec une fille. Et divine surprise, je vis Pierre enfiler sa verge gonflé dans le con de Véronique. Divine surprise car, si bien évidemment je savais que cela allait se passer, voir le chibre de mon homme s'enfoncer jusqu'à la garde dans une autre chatte que la mienne, ne me provoqua aucune forme de jalousie, ni de ressentiment. Je crois t'avoir fait comprendre, cher lecteur, que ma principale inquiétude, dans cette première relation échangiste était de ressentir justement cette jalousie. Si il est une chose de savoir que son homme baise avec une autre fille que soi et de l'accepter intellectuellement, il peut être autrement plus difficile d'être confrontée à cette réalité de façon aussi évidente et crue. Au contraire, la vision du chibre de mon chéri perforant l'intimité de Véronique, m'excita au plus haut point et je me mis à lécher la chatte de Véronique avec frénésie, pendant que le dard de Pierre coulissait dans son con et celui d'Yves dans le mien.
Je crois que Véronique fut la première de nous quatre à crier son plaisir, mais je te rassure, cher lecteur, excitée comme j'étais, à peine revenue du premier orgasme qu'elle m'avait donné, je la rejoignis dans le plaisir. Nos deux hommes, qui jusque-là s'était contentés de nous enfiler tranquillement, se mirent l'un et l'autre, simultanément comme si ils s'étaient concertés, à nous défoncer brutalement. Ils jouirent presque en même temps et dans ma situation, je serais bien incapable de dire lequel des deux partit en premier. Constat bien inutile d'ailleurs car tu conviendras, cher lecteur, que le plus important, est que Véronique et moi-même reçûmes une belle quantité de semence au plus profond de nos cons, preuve évidente de la jouissance de nos compagnons et amants.
Pierre libéra la chatte de Véronique, et sous les contractions de son fourreau encore sous l'emprise du plaisir, la semence de mon homme s'écoula de sa fente jusque dans ma bouche. J'avalais ce cocktail de sperme et de sa mouille avec délice. Yves s'étant lui aussi retiré, Véronique fit de même avec mon sexe. Elle le nettoya à grands coups de langue dans ma fente, allant jusqu'à introduire son doigt dans mon fourreau pour recueillir la semence de son compagnon.
Nous nous sommes accordé quelques minutes de récupérations autour d'une coupe de champagne, devisant gaiement, comme deux couples d'amis. Pierre me demanda :
- Alors, Isa chérie, comment te sens-tu ?
- Merveilleusement bien et beaucoup plus détendue... maintenant.
- J'avais remarqué que tu étais un peu tendue, inquiète par cette soirée ! Je me trompe ?
- Non, c'est vrai que ça m'angoissait un peu. Tu sais c'est quand même ma première partouze et je n'avais pas été habituée à cela. Mais maintenant, tout va bien, vous m'avez, tous les trois, fait jouir de façon délicieuse.
Nous avons continué de bavarder jusqu'à ce qu'Yves et Pierre se lèvent et aillent s'allonger sur les matelas, nous laissant seules Véronique et moi assises sur le canapé. Là, les deux garçons commencèrent à s'embrasser, à se caresser, à se sucer. Voir mon homme baiser avec un autre était une autre nouvelle expérience pour moi. Je mesurais le chemin parcouru entre ma première rencontre avec Mike et cet instant.Deux ans auparavant, j'étais encore une petite bourgeoise coincée, frigide et solitaire et maintenant, je vivais avec un homme adorable, qui me faisait jouir de façon extraordinaire, j'avais eu des amants nombreux et je venais de faire l'amour avec une fille d'abord puis à quatre. Et maintenant, je regardais mon homme et son ami baiser ensemble et cela m'excitait.
J'étais comme hypnotisée par les ébats de ses deux hommes virils et je ne pus m'empêcher de me caresser en les regardant. Je sais que les hommes en général trouvent de l'excitation en regardant des filles faire l'amour mais je t'assure, cher lecteur, que pour une fille c'est exactement la même chose. L'excitation est très intense également et le spectacle tout aussi érotique. Véronique alla prendre quelque chose dans un tiroir du bar et me le tendit. Il s'agissait de préservatifs et sans lui poser la question, je compris qu'elle en était la destination. D'autant plus que les choses se précisaient entre Yves et Pierre et que ce dernier était maintenant allongé au bord de l'estrade, les jambes ouvertes et relevées. Véronique s'approcha des deux hommes et lubrifia la rosette de Pierre avec du gel pendant que j'enfilais une capote sur le dard tendu de Yves. Je dirigeai ensuite sa queue gainée de latex vers le petit trou de mon compagnon. Yves sodomisa Pierre d'un coup de reins lent et puissant. Véronique et moi, nous étions allongées de chaque côté de Pierre et nous l'embrassions alternativement et le branlions pendant que Yves le défonçait.
Yves jouit bruyamment, son chibre enfoncé dans le ventre de mon homme. Dès qu'il revint sur terre, je l'ai entraîné sur l'estrade, l'ai débarrassé de sa capote et forcé à se mettre en levrette pendant que Véronique enfilait un préservatif sur la queue de mon homme. Je dirigeai ensuite le dard de Pierre vers le cul bien lubrifié par mes soins d'Yves. À son tour, Pierre sodomisa son ami. Véronique embrassait son mari pendant que, couché sous son ventre, je le suçais et nettoyais son chibre recouvert de sperme. La résistance de Pierre ne fut pas très longue et il commença à défoncer son ami à grand coup de reins en le tenant par les hanches. Il explosa dans son ventre en grognant.
Après cette soirée torride, tu comprendras, cher lecteur, que nous étions tous épuisés. Nous décidâmes de mettre fin pour l'instant à nos ébats collectifs. Véronique et les deux garçons proposèrent que je choisisse avec qui je passerai la nuit, où plus précisément le reste de la nuit car il était déjà très tard. Je réfléchis quelques instants en jaugeant chaque possibilité et je finis par choisir de coucher avec Yves. Chaque couple se retira dans une chambre attenante à la "Chambre des plaisirs" et ce fut, pour moi, l'occasion de baiser avec Yves de façon plus "traditionnelle". Instants délicieux, d'autant plus délicieux que par les portes restées ouvertes, nous avions la possibilité d'entendre, à défaut de voir, nos compagnons respectifs exprimer le plaisir qu'ils prenaient ensemble. Je ne doute pas une seconde non plus que Pierre et Véronique n'eurent pas l'occasion d'entendre mes vocalises de plaisir quand Yves me fit jouir avant que nous sombrions tous dans un sommeil réparateur.
Le reste du week-end se passa à peu près sur le même schéma. Après une grasse matinée bien méritée, nous avons été faire un tour en forêt de Compiègne. Le samedi après-midi et la soirée, nous avons de nouveau baisé tous ensemble. Pour cette deuxième nuit, je choisis Véronique comme compagne et ce fut, encore une fois, exquis.
A partir de ce jour, nous avons eu l'occasion de rencontrer Yves et Véronique une ou deux fois par mois. Parfois chez nous, mais le plus souvent dans leur immense demeure. Ils nous invitèrent à participer à des soirées échangistes privées dans lesquelles j'eu l'occasion de rencontrer des couples avec qui je pris énormément de plaisir.