Chapitre 3 : Dans lequel je revois Mike et je fais la rencontre de Pierre...

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Proposée le 26/10/2013 par IsaCoquine

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Mike rentra d'Australie dix-huit mois plus tard. Nous étions restés en contact pendant tout ce temps par de nombreux mails et quelques conversations téléphoniques. J'avais mis à profit cette période pour assouvir ma faim de jouissance et j'avais eu de nombreux amants. Sans me vanter, je crois en avoir accueilli une bonne douzaine entre mes jambes même si je ne tenais pas un compte précis de mes conquêtes. Il est vrai que j'avais quelques années à rattraper et je m'étais attelée à cette tâche avec beaucoup d'assiduité. Des célibataires et des hommes mariés avaient eu le privilège de profiter de mon corps et de m'offrir leur vigueur avec plus ou moins de succès. Du plus jeune qui avait à peine vingt ans au plus mûr ayant largement dépassé la soixantaine, j'avais pu découvrir en leur compagnie les plaisirs de la chair qui m'avaient manqués pendant les premières années de ma vie d'adulte.

Bizarrement mes retrouvailles avec Mike furent beaucoup moins torrides que je ne l'avais imaginé. Bien sûr, nous avons baisé dès la porte de mon appartement refermée mais dans les deux jours suivant que Mike passa avec moi, nous avons la plupart du temps discuté lui de son voyage et moi de mes aventures charnelles. Ces longues conversations nous emmenaient à une heure avancée de la nuit et nous endormions, ivres de sommeil, sans même penser au sexe. Au bout de deux jours, nous sommes tombés d'accord pour convenir qu'à l'avenir, nos relations seraient plus amicales que sexuelles. Je dois dire que je préférais conserver l'ami plutôt que l'amant. A partir de ce jour, je revis Mike quasiment toutes les semaines et nous n'avons plus jamais baisé ensemble.

Quelques semaines après le retour de Mike, il m'invita à dîner au restaurant en compagnie de Pierre. Ils s'étaient rencontrés quelques mois plus tôt et avaient sympathisé. Je me doutais bien que Mike avait une idée derrière la tête, en provoquant cette rencontre entre moi et son ami et je me préparais en conséquence pour cette rencontre.

J'arrivais avec quelques minutes de retard à notre rendez-vous dans une brasserie. Je trouvais Mike attablé avec un homme d'une quarantaine d'année, grand, un peu enveloppé, le crâne rasé qui accentuait la rondeur de son visage. Pierre n'était pas ce que l'on peut appeler un apollon mais il dégageait un charme indéniable. Mike fit les présentations et la discussion démarra sur le métier de Pierre. Il était diplomate, précisément conseiller culturel. Pierre avait eu plusieurs postes à l'étranger et le dernier était en Australie où il avait eu l'occasion de rencontrer Mike. Il était revenu en France depuis quelques temps et attendait une nouvelle nomination.
Après le dîner, Pierre se proposa pour me raccompagner. Je refusais pour la forme, prétextant que j'habitais juste à côté et qu'il était inutile de prendre une voiture pour parcourir les quelques centaines de mètres jusqu'à mon appartement. Pierre insista en disant que les rues n'étaient pas sûres pour une jolie femme seule en pleine nuit, j'acceptais enfin.

Au bas de mon immeuble, je proposais à Pierre de monter dans mon appartement, il accepta un peu surpris tout de même de ma proposition. Il n'était pas au bout de ses surprises...
Dès la porte franchie, je plaquais Pierre sur la cloison de l'entrée et j'ouvris son pantalon dans lequel je glissai ma menotte. J'adorais faire cela. J'avais plusieurs fois expérimenté cela avec mes amants, avec plus ou moins de bonheur il faut bien avouer. Certains, totalement inhibés par cette brutale entrée en matière, s'étaient trouvés alors dans l'impossibilité de bander. Leur queue était restée flasque dans ma main et j'avais eu ensuite toutes les peines du monde à obtenir un semblant d'érection. D'autres, excités à l'extrême par mon audace, s'était jetés sur moi et m'avait baisée sur le sol de l'entrée sans se soucier de mon plaisir, m'avait défoncée et remplie de leur semence en quelques coups de reins.

Mais avec lui, rien de tout cela. Pierre me laissa tout le loisir de le branler doucement, de faire grossir et se raidir sa queue dans ma main. Il se contenta de se décoller un peu de la cloison pour quitter sa veste et sa chemise. Après quoi il m'enlaça pendant que je faisais glisser pantalon et boxer sur ses chevilles. Comme je m'étais accroupie pour lui quitter ses chaussures et ses chaussettes, je pris sa queue dans ma bouche. Pierre se laissa sucer tranquillement, il posa juste sa main sur mon crâne et me força doucement à avaler son gros chibre. Après quelques minutes de fellation et ne voulant pas trop l'exciter, je libérai sa queue et j'entraînai mon nouvel amant vers ma chambre. Je le conduisis directement vers mon lit où il s'allongea sans un mot, croisant ses mains derrière sa tête semblant attendre ce que je lui réservais. J'appréciais qu'il me laisse faire ce que j'avais envie de faire. J'avais eu très peu d'amant aussi peu dominateur. Car c'est bien là, l'aspect que j'apprécie le moins chez les hommes, ce côté guerrier conquérant, ce besoin d'utiliser leur queue, de se servir de leur bite comme d'une arme, de nous défoncer la chatte ou le cul pour vider leur chargeur.

Mais avec Pierre, non, il attendait impassible, couché sur le dos, le visage éclairé d'un sourire, la queue dressée, que je prenne l'initiative. Ce que je fis, cher lecteur, bien évidemment. Je commençais par un effeuillage très contrôlé, prenant tout mon temps pour lui dévoiler mon corps. D'abord ma jupe qui se trouva rapidement sur le sol, dévoilant mes jambes gainées de bas noirs et laissant deviner ma petite culotte d'une blancheur virginale sous mon chemisier jaune paille. Un à un, je défis les boutons du chemisier, sans trop l'écarter. Prendre son temps c'est là le secret d'un strip-tease réussi quand le destinataire du spectacle vous en laisse le loisir. Il ne me resta plus que ma petite culotte et mon soutien-gorge. J'en fis glisser les bretelles sur mes bras, puis je le dégrafais. Il glissa à mes pieds, libérant mes seins. Je les malaxais doucement, faisant rouler les tétons entre mes doigts. Pierre ne bougeait toujours pas, il aurait pu au moins se branler un petit peu, me montrer son désir. Mais non ! Son impassibilité en devenait presque vexante. Je remarquais cependant une lueur dans ses yeux et sa queue me semblait plus gonflée. Par son flegme, Pierre me provoquait, me dominait sans un mot, sans un geste, voulait me pousser dans mes derniers retranchement, m'ordonnait d'être une véritable salope, de me comporter comme une chienne en chaleur.

Bien décidée à le faire réagir, je glissai ma main dans ma petite culotte et je commençais à me caresser. Pierre ne broncha pas plus. Je continuais à me branler de plus belle, je devenais de plus en plus chaude, mes doigts s'agitaient sur ma chatte, ma culotte me gênait. Je la quittais et l'envoyais sur la poitrine de Pierre. Et il fit un mouvement. Il prit ma culotte qu'il roula en boule entre ses doigts et la porta à ses narines pour en apprécier le fumet. J'étais folle de désir et prête à jouir de mes propres caresses. Je me précipitais sur le lit et chevauchais Pierre tout en guidant sa queue vers ma chatte inondée. Je m'empalais dessus d'un seul coup en criant de plaisir. Je m'étais bien masturbée, et la seule pénétration de son membre me fit jouir. Sentir sa queue écarter mes chairs, prendre possession de mon ventre et venir cogner au fond de ma grotte, provoqua un premier orgasme. Qui fut suivit d'un autre, puis d'un autre encore car Pierre se décida enfin à prendre quelques heureuses initiatives. Il me caressa les seins tout en donnant des petits coups de reins rapides qui m'emmenèrent rapidement vers deux extases successifs. Après quoi, il me fit rouler sur le côté et quitta la chambre. Quand il revint, quelques secondes après, il me fit rouler sur le ventre. Je me laissais faire, encore inconsciente, toujours dans les brumes de la jouissance. Il me prit par les hanches et me fit mettre en levrette. Il enfonça sa queue dans ma chatte dégoulinante, fit deux ou trois aller-retour et dirigea son dard vers mon petit trou. Je l'arrêtais :
- Attends, chéri, attends !
- Excuse-moi, Isa, tu n'aimes pas ça ?
- Si, si mais mets une capote, j'en ai dans le tiroir à droite du lit.
- Que crois-tu que je sois allé chercher à l'instant ?
- Humm, dans ce cas, encule-moi, chéri, baise-moi fort...
Autant vous dire, chers lecteurs, qu'il ne se le fit pas dire deux fois. Il enfonça son dard dans mon cul, dilatant ma rosette, je sentais le pieu se frayer un chemin, prendre possession dans mon ventre. Je m'appuyais sur la tête de lit, cela me permettant de me caresser la chatte pendant que Pierre faisait coulisser son chibre dans mon petit trou serré.

Je m'appliquais aussi à m'empaler moi-même par des petits mouvements de mon buste, donnant ainsi à Pierre la liberté de ses mains. Il en fit bon usage en me caressant la poitrine. Pierre me donna ainsi des orgasmes supplémentaires. Il continua à me besogner alors que je m'étais effondrée sur le lit à plat-ventre dans une quasi-inconscience. Comme dans un rêve je sentis à ses grognements et à la violence de ses coups de reins qu'il venait de jouir lui aussi. Quand je repris conscience, Pierre était allongé à côté de moi et me caressait le dos tendrement.
- Oufff, j'ai rarement vu un homme aussi résistant que toi, tu m'as fait jouir comme une folle. Je suis complètement épuisée.
- Et moi, je n'ai pas souvent rencontré de fille aussi entreprenante que toi. C'est très agréable.
- C'est vrai que j'aime bien provoquer les mecs comme ça... mais certains ne réagissent pas très bien.
- Ah, oui...comment cela ?
- Ben pour certains, c'est la catastrophe... ils n'arrivent pas à bander... tu comprends une fille qui d'entrée leur met la main dans le pantalon, ça les bloque totalement.
- Ben moi, j'ai énormément apprécié. Et les autres ?
- Les autres, ceux qui bandent me prennent pour une pute et me baisent comme une pute. La plupart debout contre la cloison ou bien par terre. Trois ou quatre allers et retours et hop terminé ! C'est pour cela que je ne le fais pas souvent... mais avec toi, je me suis dit que ça pourrait marcher...et je ne le regrette pas. Mais tu n'as jouis qu'une seule fois... tu veux encore ?
- Hummm, voilà bien le genre de proposition qui ne se refuse pas.
Trop épuisée pour avoir encore envie de jouir, rassasiée pour l'instant, je décidais de faire don à Pierre du dernier orifice que son membre viril n'avait pas visité, ma bouche gourmande.
J'entrepris de le sucer, goûtant avec délice le mélange de son sperme et de ma mouille sur son dard qui reprenait de la vigueur sous les tendres coups de langue dont je le gratifiai. Pierre m'avait offert un plaisir intense et comme pour le remercier, j'allais à mon tour lui faire une chose dont beaucoup d'hommes raffolent et que peu de femmes acceptent de leur donner. Une fellation totale ! Une vraie pipe jusqu'au bout ! Je voulais le faire jouir dans ma bouche. Attention, cher lecteur, pas une vulgaire éjaculation sur mon visage ou sur mes seins. Non ! Je m'appliquais à le sucer tranquillement et longuement car sa résistance déjà importante avait augmenté après qu'il se soit vidé dans mon cul. Au bout de quelques minutes, je sentis dans ma bouche les spasmes de son membre annonciateurs de l'imminence de l'explosion que j'attendais. Je gardais alors son gland dans ma bouche, alternant des caresses rapides sur la pointe avec ma langue et des pressions contre mon palais. Tout en continuant de faire coulisser mes lèvres sur sa tige et en le branlant d'une main pendant que l'autre lui malaxait les boules.
C'est avec la satisfaction d'avoir effectué du bon travail que je sentis les jets de sperme puissants inonder le fond de ma gorge, je n'arrêtais pas pour autant mes caresses et continuait de pomper Pierre jusqu'à ce que je sente son sexe se ramollir entre mes lèvres. Il me gratifia d'un "Isa, tu fais vraiment des pipes divines, peu de filles vont jusqu'au bout !".

Pierre passa la nuit en ma compagnie, et dans les semaines qui suivirent nous avons baisé ensemble presque tous les jours, soit chez lui, soit chez moi.

Quelques semaines plus tard, je découvris une autre facette de désirs de Pierre. Alors que nous venions de baiser toute la soirée, qu'il m'avait fait jouir plusieurs fois de façon délicieuse avec sa bouche, ses doigts et sa queue, après avoir jouit en moi et que je m'apprêtais à lui faire ma petite gâterie qui était presque devenue une habitude entre nous, Pierre m'arrêta et prit quelque chose dans un tiroir qu'il me tendit, c'était un gode ceinture :
- Tiens, Isa, mets ça !
- Mais pourquoi faire ?
- Je veux que tu me baises avec !
- Tu veux que je te baise avec un gode mais...
- Ben, oui, j'aime bien me faire sodomiser. Tu ne veux pas ?
- Heu, si, bien sûr.
Je dois bien avouer que j'étais pour le moins surprise par le désir de Pierre de se faire sodomiser. Jamais aucun de mes amants ne m'avait fait une telle demande et si certains, rares, avait appréciés que je caresse leur petit trou pendant que je les suçais, très peu avait acceptés que mon doigt les pénètre. Mais, ici, il ne s'agissait pas de mon index fin mais d'un gode de taille assez normale. De plus, j'étais un peu empêtrée pour fixer le gode à ma taille avec les ceintures. Pierre m'aida en se moquant gentiment de ma gaucherie. Une fois équipée, Pierre se mit à quatre pattes sur le lit. J'utilisais le gel lubrifiant, que mon amant utilisait quand il me sodomisait, pour lubrifier abondamment la vallée, couverte de poils brun et frisés, qui séparait les globes de ses fesses. Je m'installais à genou derrière mon amant et je guidais le gode d'une main vers sa rosette luisante. Je posais l'autre main sur sa hanche et je l'attirais vers moi en avançant le bassin. Le gode pénétra un petit peu et n'ayant plus besoin de le guider je posais ma main libre sur l'autre hanche et j'enfonçais le gode doucement dans le cul de Pierre qui marqua son approbation d'un grognement sourd.

J'ai baisé ainsi mon amant. Posséder Pierre au plus profond de lui-même, comme lui-même me possède, et même à l'aide d'une prothèse m'a permis de comprendre ce que ressentait un homme quand il baise une fille. Cela m'a particulièrement excité au point que les pressions sur ma chatte que me faisaient subir le gode m'ont fait jouir en même temps que Pierre.
J'ai enculé Pierre longuement doucement, attentive à ses grognements de plaisir, à son souffle rauque qui s'est accéléré quand je l'ai branlé tout en continuant d'enfoncer le gode dans son cul par de larges coups de reins. Pierre a poussé un râle profond quand il a jouit. Ma main qui le branlait s'est retrouvée garnie de son sperme. C'est à ce moment que ma propre jouissance a fait écho à la sienne.

Plus tard, avant de nous endormir épuisés l'un et l'autre, je n'ai pu résister à lui poser la question qui me brûlait les lèvres :
- Mon chéri, ça t'a plu ?
- Oui, tu baises vraiment bien.
- Tu te fais souvent sodomiser ?
- Ouais, j'aime bien...
- Et seulement par des filles ou bien... ?
- Rassure-toi, Isa, j'aime principalement les filles mais je ne déteste pas de temps en temps de baiser avec un mec. Oui, je suis bi...disons 80% hétéro. Est-ce que c'est un problème pour toi ? Parce que sinon je suis prêt à ne garder que le côté hétéro...pour toi.
- Non, je ne te demande pas cela. Mais j'apprécie que tu me le proposes car moi aussi...je...je...je suis très attirée par toi. Quoi qu'il arrive, je ne te demande pas l'exclusivité physique.
- Moi non plus je ne te demande pas cela. En revanche, est-ce que tu veux vivre avec moi ? Ici ou chez toi comme tu veux.
- Hummm, ici, je préfère ton appart' au mien. Je déménage quand ?
- Quand tu veux Isa chérie. Est-ce que je peux te poser une question ?
- Bien sûr !
- Et toi, tu as déjà baisé avec une fille ?
- Non, jamais, je dois bien avouer que je n'ai pas eu vraiment l'occasion et puis j'avais tellement de temps à rattraper avec les hommes que je me suis concentrée sur les mâles. Mais, après tout, pourquoi pas...

J'ai déménagé quelques jours après avec Pierre et j'ai mis en vente l'appartement que mon ex-mari m'avait donné lors de notre séparation.