Sortie au resto

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Proposée le 6/09/2013 par Ness Cokin

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

La semaine dernière tu m'as proposé que nous allions au restaurant, tout les deux. Cela fait longtemps que ce n'est pas arrivé et tu insistes bien sur le "tous les deux".
Lors d'un après-midi au lac, nous faisons un peu de reconnaissance sur les restaurants du coin, et nous optons pour l'un d'eux.

Nous sommes samedi et tu as revêtu une robe noire, courte, fine, avec un décolleté aguichant, laissant apparaître plus que de raisonnable cette poitrine que tu as déjà bien du mal à dissimuler. Pour l'occasion tu as enfilé ta dernière paire de talon avec lesquelles tu es un peu plus grande que moi, mais qui te donne une allure des plus féminines et affinent divinement bien tes jambes.
Je te rejoins dans la salle de bain pour voir où tu en es. Tu es en train de finir de te maquiller et quand tu m'aperçois, ton sourire et la lueur dans tes yeux ne me sont pas insensible.
Je porte un pantalon droit et une chemise blanche. De nous deux, je ne sais pas qui dévore des yeux le plus l'autre. La soirée semble prometteuse.
Je me place derrière toi, t'enlace et dépose un baiser sur ta nuque. Mes mains ne sont pas trop baladeuses, j'ai envie de laisser le suspense sur les sous-vêtements que tu as choisis.
Après avoir embrassé les enfants, nous montons dans la voiture et partons.

Une fois sur la nationale, je te demande de remonter ta robe sur les hanches et de te caresser.
- Tu as un peu plus de dix minutes pour te faire jouir, te dis-je en caressant ta cuisse.
- Je veux bien, mais sans remonter la robe.
- S'il te plaît mon amour, je veux pouvoir jeter un œil de temps en temps.
- Disons que ce qui me gêne ce n'est pas de remonter la robe, c'est que je n'ai rien dessous et tout le monde pourrait me voir.
La voiture fait un léger écart à cette nouvelle.
- Et bien, si rien que le fait de savoir que je n'ai rien sous ma robe te perturbe tant, qu'est-ce que ça va donner si tu as pleine vue sur ma chatte pendant que je me branle !
- Il fait presque nuit et promis je ne regarde pas, mais je veux t'entendre jouir.
Tu bouges sur ton siège et remonte ta robe bien au niveau de tes hanches. Tu écartes les jambes, allant même jusqu'à te mettre en tailleur et te laisses glisser un peu en avant, histoire d'avoir une position un peu plus confortable.
Tu portes ta main droite à ta bouche et humecte généreusement ton index. Tu le places sur ton sexe épilé et te caresses doucement la fente. Celle-ci ne tarde pas à s'ouvrir et à s'humidifier. Ton doigt écarte un peu tes lèvres afin de caresser ton bouton d'amour. Tu fais des mouvements de haut en bas, et très vite ton doigt glisse dans ta fente à chaque descente. Des gémissements commencent à s'échapper de ta bouche. Tu tournes la tête vers moi et me demande :
- Ça te fait bander de savoir que je me caresse pendant que tu conduis ?
- Oh que oui ! D'ailleurs il faut que je remette le matériel un peu place.
Je joins le geste à la parole.
Tu continues tes va-et-vient avec ton doigt sur ta chatte luisante, et poses ta main gauche sur mon sexe, comme pour vérifier la véracité de mon propos.
- En effet, mon chéri. Pas trop à l'étroit'
Tu laisses ta main sur mon sexe et le masses alors que tu continues tes caresses sur le tien.
Tu reportes ta main droite à ta bouche et lèches ton index et ton majeur.
- C'est très excitant comme situation, je vais me faire du bien avec deux doigts... pour commencer.
Sous ta main gauche, tu sens une petite secousse, comme si mon sexe venait de prendre vie et qu'il ne voulait plus être pris au piège sous mes vêtements.
- Oh oh, dis-tu en resserrant tes doigts sur ma bite, on se rebelle ? Il va falloir attendre. Je m'occupe de moi, et uniquement de moi. Seuls mes doigts vont me faire jouir. Seuls mes doigts ont l'autorisation de pénétrer ma chatte avide de plaisir. Seuls mes doigts vont ressentir les contractions de ma chatte lorsque l'orgasme me traversera.
En disant cela, ce sont trois doigts que tu avais enfoncés dans ta grotte et ton bassin faisait des mouvements de haut en bas afin de faciliter autant la pénétration que la montée de ton plaisir.
Tes doigts, serrant toujours ma bite, relâche un peu la pression. J'ai terriblement chaud et tu le sais. Tu sais qu'un tel discours peut me faire prendre la tête au point que tu te demandes si je ne vais pas arrêter la voiture sur le bas côté, t'en faire sortir et te prendre sauvagement sur le capot.
Mais non je tiens bon, tu vois que l'idée me traverse l'esprit lorsque nos regards se croisent, mais je continue de rouler.
Cependant, l'idée de te faire prendre n'a fait qu'augmenter ton plaisir et ton envie de jouir. Tes doigts sur plus raides et précis sur ton clito. Tu lâches ma queue et amène ta main vers ta chatte. Ta main droite continue de s'occuper de ton clito, tandis que les doigts de ta main gauche s'enfoncent directement dans ton sexe largement lubrifié. Tes jambes ne mettent pas longtemps à trembler annonçant l'arrivée d'un orgasme.
Je caresse tes cheveux et te murmure de te laisser aller, que j'aime te voir sur le point de jouir, que j'aime te voir et t'entendre jouir comme si nous étions seuls au monde.
Il ne t'en faut pas plus pour que ton corps se raidisse et qu'un cri passent tes lèvres rouges.
Tu retombes sur ton siège, apaisée, et ouvres les yeux. Je suis tourné vers toi, les yeux pleins d'envie.
- Mais qu'est-ce...
Tu regardes devant et vois le restaurant.
- N'aies craintes, personne ne t'as vue, ni entendue.
Tu réalises que j'ai garé la voiture sur le parking, mais dans un coin reculé.
- Le spectacle a plu à monsieur ?
- Tout à fait à mon goût, en effet. Allons dîner, tu as besoin de reprendre des forces.
- Oui, mais et toi ? Tu ne vas pas rester ainsi, tu ne veux pas que ma bouche s'occupe de ta queue ?
Je me fais violence pour te répondre non, que je préfère jouer avec le feu et maintenir l'état d'excitation dans lequel je suis.
- Ça n'en sera que meilleur pour moi après, me réponds-tu, ne perdant pas le nord.

Le repas se déroule pour le mieux, tu n'hésites pas à me lancer des regards pleins d'envie en te mordant les lèvres.
A la fin de ton plat, tu vas même jusqu'à faire tomber ta fourchette sous la table et me demander de la ramasser. Et bien sur, une fois que je suis sous la table, tu écartes largement les cuisses m'offrant une superbe vue sur ta chatte lisse. Tu pousses le vice en glissant ta main entre tes cuisses pour qu'un doigt pénètre ton intimité.
Pris d'une terrible érection, je me relève avant de perdre la tête et me jeter sur cette chatte luisante et offerte.
Tu ramènes ton doigt humide au niveau de ta bouche, que tu ouvres légèrement. Tu glisses doigts entre tes lèvres et le suce délicatement pour bien le "nettoyer".
Il se dégage de toi une telle tension sexuelle que je sens presque les caresses que tu me prodigues avec les yeux.
- Tu m'excites ma belle.
- Je sais, c'est le but recherché, mon amour.
- Tu as conscience que je vais être intenable.
- J'espère bien, j'ai envie de te rendre fou et que tu me prennes sauvagement.
- Tu ne perds rien pour attendre, petite cochonne.
Tu ramènes ton doigt, qui avait disparu sous la table, à tes lèvres et le lèches langoureusement.
Le serveur approche de notre table et nous demande si nous désirons un café ou un digestif.
J'allais répondre que non, bien décidé à sortir au plus tôt pour m'occuper de ton cas, mais tu es plus rapide que moi et commandes deux cafés et deux Marie Brizard.
Toi qui d'habitude ne boit pas d'alcool, je suis surpris.
- Tu as l'intention d'abuser de moi, alors autant que je me désinhibe, me dis-tu, laissant glisser une main sur ton décolleté.

Pendant que je règle l'addition, tu t'éclipses aux toilettes pour te refaire une beauté et nous quittons le restaurant.
Dès que nous sortons du parking, tu poses ta main sur mon sexe et le masses tendrement.
- Mon chéri, quand je suis allée me refaire une beauté, j'en ai profité que me mettre mes boules de geishas.
Ma queue sous ta main gonfle encore plus, tu as réussi ton effet.
- Je croyais que tu n'étais pas fan.
- Moi non, mais toi oui.
Tu pivotes sur ton siège et t'installes tant bien que mal à genoux. Tu défais mon pantalon et extirpes ma verge déjà gonflée de désir pour toi. Tu te penches en avant et enfournes entièrement ma queue dans ta bouche.
Je lève le pied et profite de ta langue, restant concentré sur la route.
Ta langue entoure mon gland, puis tu fais de lent va-et-vient avec tes lèvres. Mon sexe enfle encore. Tu lui infliges des petits coups de langue, agaçant mais tellement bon. Tu encercles la base de ma queue avec deux doigts et recommences les vas et viens. Très vite, tu me reprends en bouche, avalant la totalité de ma bite.
- Hum mon amour, tu suces divinement bien, j'aime quand tu avales ma queue entièrement.
Mon compliment te motive et tu redoubles de caresses avec tes doigts et ta langue, poussant quelques gémissements.
Ce traitement ne tarde pas à faire monter mon plaisir et je jouis dans ta bouche, au fond de ta gorge. Tu continues de me sucer avidement, avalant la moindre goutte de ma semence.
Toute souriante, tu reprends place et lances :
- Et puis, je ne suis pas fan des boules mais ce doit être sympa si tu me prends par derrière.
Là c'en trop, je profite d'un petit chemin sur la droite pour m'y engager.
- Hum, monsieur n'en a pas eu assez ?
Je ne réponds pas et arrête bientôt la voiture. Sans dire un mot, je descends et contourne la voiture. j'ouvre ta portière et te prenant par la nuque t'en fais sortir. Tu pousses un petit gémissement, entre surprise et plaisir.
- Hum monsieur veut me punir ? J'ai été vilaine ? Trop cochonne, tu es choqué ? Me nargues-tu.
Je ne dis toujours rien et te dirige vers le capot de la voiture où je te penche vers l'avant. Posant tes mains loin devant et collant tes seins sur la carrosserie, tu ajoutes :
- J'ai mis un tube de lubrifiant dans mon sac, tu peux m'enculer... Non en fait, encules-moi j'en ai très envie.
Ta voix est mielleuse et renforce mon érection. Je file vers ton sac et reviens vite vers toi. Je commence à défaire mon pantalon et applique du lubrifiant sur un doigt. Je relève ta robe, te force à écarter les jambes avec mon pied et fait glisser mon doigt dans ta raie. J'applique le gel sur ton petit trou par petit cercle. Tu penches ta croupe vers l'arrière afin de me faciliter la tâche. Je remet du lubrifiant, directement dans ta raie et continue de jouer avec ta rondelle. Tu te dandines, pousses les fesses pour que mon doigt aille plus loin et pénètre ton intimité étroite. Evidemment, pour te faire languir, je te refuse cet intrusion, pour le moment. Tu gémis, pousses plus ton bassin vers mon doigt. Après une nouvelle dose de gel, mon majeur ne quitte plus ta rondelle. Il se fait même pressant. Tu râles de plaisir et d'envie. Je pousse un peu plus et mon doigt comme à forcer l'entrée de ton cul, mais se retire aussitôt, pour revenir, un peu plus loin, plus profond. Je continue jusqu'à ce que mon doigt soit entièrement en toi. Tu râles, ton souffle est court. Je retire lentement mon doigt et l'enfonce à fond. Mon doigt va et vient de plus en plus vite. Tu gémis plus fort, ton bassin est en rythme avec mon doigt.
- Ah, mon amour, c'est bon avec les boules dans mon ventre. Je sens ton doigt qui les fait bouger. Je crois que...
Pendant que tu parlais, j'ai appliqué du lubrifiant sur ma queue tendue, retiré mon doigt et présenté mon gland devant ta rosette. Tu perds la parole, lorsque celui-ci passe l'entrée de ton petit trou.
- Et là tu les sens mieux les boules de geishas ?
Et ma bite s'enfonce sans mal dans ton cul jusqu'à la garde.
- Oh putain oui ! Vas-y ! Encules-moi ! Fais moi jouir comme une folle.
Ne pouvant te refuser une telle demande, je commence mes va-et-vient. Tu te crispes par moment mais pour me faire comprendre que ce n'est pas de douleur tu passes une main sur mes fesses et accompagne le mouvement.
- Ne t'arrête pas avant d'avoir déchargé mon amour, je veux que tu jouisses dans mon cul. Vas-y, laisses-toi aller. J'ai été vilaine. Fais-toi du bien.
- Oh oui, tu m'as excité comme rarement. Et j'ai bien l'intention de prendre mon pied.
Les boules frottent sur ton point G et très vite tes jambes tremblent. Le plaisir monte en toi, très vite, trop vite. Tu hurles ton orgasme en relevant la tête. Ma main droite quitte tes hanches pour attraper tes cheveux.
- Tu aimes ça, hein ? Ça te plaît de te sentir remplie dans la chatte et dans le cul !
- Oui, c'est... trop... bon.
J'accélère mes mouvements, la main que tu avais sur mes fesses se dirige vers ta chatte. Tes doigts s'agitent sur ton clito et ton corps recommence à trembler.
Une nouvelle fois, l'orgasme te terrasse provocant le mien. Je m'enfonce le plus loin et décharge au fond de ton cul, avant de m'écrouler sur ton dos.

Après avoir récupérer en fumant une clope, nous reprenons le chemin de la maison.