Le VTT comme je l'aime (2)

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Proposée le 2/09/2013 par laure95

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Lire le chapitre 1.

Nous prenons un verre tous les trois au bord de la piscine. Marc a revêtu un costume, papote quelques instants et nous laisse en tête à tête avec Hélène. La conversation roule un moment sur le vélo :
- Quel plaisir prenez-vous à vous mettre en nage ainsi ? Vous ne pouvez pas même discuter en route, tout à votre effort. La douche peut-être ? J'en conviens, ce peut être un moment très agréable...
J'acquiesce, fort gêné, en me demandant ce qu'elle a deviné ; elle continue sans prendre conscience de mon trouble.
- Est-il besoin d'un prétexte pour profiter d'une bonne douche ? Autant aller directement se plonger dans l'eau sans s'imposer ces kilomètres. A ce propos voulez-vous jouir... de la piscine ? Par cette chaleur c'est agréable... Ah c'est vrai que vous n'avez pas de maillot... Ma foi si vous ne craigniez pas de vous baigner nu, ne vous gênez pas pour moi. Faites comme vous voulez, moi je plonge. Elle fait glisser sa robe blanche, plonge, se retourne et me regarde en riant.
J'hésite un instant, ôte le polo, marque un nouveau temps d'attente, fais rapidement glisser le short et plonge à mon tour. L'eau est délicieuse, on fait quelques brasses, puis on ressort.
- C'est ballot, je n'ai pas pris de serviette, on va devoir sécher au soleil. Cela vous gêne de me mettre de la crème solaire ?
Elle s'assied au bout de mon transat, je me place à califourchon derrière elle, toujours nu... Je m'enduis les mains de crème, commence à faire pénétrer sur le dos. Elle dégrafe son haut de maillot, libérant ses seins lourds dont j'aperçois la courbe. Je m'emploie à faire pénétrer la crème en pensant à autre chose, mais ses mouvements nous rapprochent, et le contact de ses fesses me provoque une érection facilement perceptible. Elle se rapproche encore, en joue un instant puis se redresse, les yeux rivés sur ma hampe au garde à vous.
- Je vois que vous n'êtes pas tout à fait étranger à l'attrait des femmes... C'est curieux, je vous pensais exclusivement attiré par les hommes... Car quelque chose me dit que vous aimez les hommes n'est ce pas ?
- Qu'est ce qui vous fait croire ça ? Heu... Il m'est arrivé effectivement d'avoir quelques aventures homosexuelles, voilà longtemps de cela, mais je suis plutôt porté sur la gente féminine lui dis-je
- Vraiment ? Figurez-vous que je pensais que vous et Marc... Passer autant de temps en tête à tête... Je m'imaginais qu'il vous arrivait de batifoler ensemble... de passer du tête à tête au tête bêche...
- Mais non, croyez moi...
Elle rit, et décrète finalement ne pas vouloir rester au soleil. Elle fait glisser son soutien-gorge, enfile sa robe blanche, puis abandonne son slip de main mouillé au sol. Naturellement, son corps humide se plaque à la robe ; ses mamelons dressent le tissu, ses fesses moulent délicieusement la robe, et lorsqu'elle se retourne, sa toison apparaît en transparence, à hauteur de mon visage. Inutile de dire que mon érection n'en est que renforcée...
- Ne restez pas planté là comme un idiot. Habillez-vous et suivez-moi dans le salon ; laissez-moi vous montrer quelque chose...
Le temps de passer polo et short, je la suis, intrigué. Je m'assois à ses côtés dans le canapé ; la télécommande à la main, elle allume la télé.
- Je travaille dans une société de vidéo surveillance, de sorte que la maison est largement équipée de caméras me dit-elle... J'aime bien regarder les gens à leur insu, c'est un peu voyeur, mais cela m'amuse... et m'excite parfois aussi.
Elle adresse un fichier et nous voilà au bord de l'eau. Mes yeux rivés sur ses fesses mouillées, mon érection en la regardant s'éloigner la font rire. Je ris moins, moi... Où peuvent être disposées les caméras dans cette maison ??
Comme si elle lisait dans mes pensées, elle clique sur un autre fichier et nous voilà dans la salle de bain des invités. Une femme brune, nue, sort de la douche ; elle se caresse longuement les seins, les mamelons dressés ; une main descend sur sa toison, son majeur se glisse entre ses lèvres, et elle se caresse doucement, yeux fermés...
- C'est fou ce que les gens peuvent être impudiques lorsqu'ils se croient seuls... Je vous passe la suite, c'est un peu lassant... A vous maintenant, dit-elle en souriant. Voyons voir comment vous employez votre temps dans la salle de bain... Cela ne vous ennuie pas j'espère ?
Je deviens pivoine.
- Heu, si Hélène, c'est assez gênant... Enfin, l'intimité des gens, vous ne pouvez pas faire ça...
- Bah, voilà bien une pudeur tardive. Cela ne vous a pas gêné de vous dévêtir au bord de la piscine... Vous m'avez même montré des dispositions... flatteuses à mon égard... Alors vous ne risquez pas grand-chose, dit-elle en activant le fichier.
Nous apparaissons avec Marc, nus, alors que nous entrons dans la douche. On comprend assez vite que l'idée n'était pas d'économiser l'eau. Nos bouches qui se mêlent, nos caresses et nos sexes dressés sous les mains de l'autre, tout transparaît clairement... Elle se permet même quelques effets de zoom sortant tour à tour mon sexe dressé dans la main de Marc, mes mains massant doucement ses boules... J'apparais maintenant plaqué au mur, tandis que Marc commence à me pénétrer d'un doigt.. Je suis entre la gêne et l'excitation, tant les images sont torrides et les souvenirs encore brûlant en ma mémoire... J'ai l'impression de revivre les caresses, et je me prends à bander à nouveau... Voici quelques minutes déjà que le film se déroule en silence,... Nous sortons de la douche et je prends appui au lavabo à la demande de Marc, fesses cambrées... Je jette un œil en direction d'Hélène, inquiet de sa réaction... Les cuisses largement écartées, la robe relevée, elle se caresse sans bruit ; son autre main joue avec ses mamelons. Consciente de mon regard, elle me lance en continuant de se caresser :
- C'est le passage que je préfère, quand Marc te prend devant la glace ; vous êtes beaux comme tout et très excitants... Et c'est une première... la première fois que j'enregistre des ébats entre hommes... Donc tu n'as jamais eu de relation avec lui ?, rit-elle en continuant de se caresser... Viens ne jamais me donner le plaisir de ta langue, j'en ai envie, et elle m'invite à m'agenouiller entre ses cuisses tandis qu'elle continue à visionner le film.
Je m'exécute sans réagir à ses propos, la situation m'échappant totalement. A genoux à ses pieds, mes mains caressant ses cuisses, ma bouche fait lentement son chemin vers sa cible... Parfum mêlé de chlore et de crème solaire bientôt relayé par celui de son sexe lorsqu'elle me saisit les cheveux et me veut plus direct. Sans raconter ma vie, j'ai plus l'habitude de rendre un hommage buccal à des tiges, dressées ou non, qu'à des boutons, et le goût de ses lèvres m'est peu familier... mais très agréable... Elle prend la direction des opérations, raillant quelque peu mon inexpérience. Écarte plus largement ses cuisses, une jambe sur mon épaule... M'aide du geste et de la voix à trouver mon chemin ; ses mains emprisonnent la tête et m'incite à me faire plus pressant ou plus délicat, les plus vite, doucement, maintenant, continue, alternent... Je commence à me faire à l'exercice car la pression des mains se fait plus légère, ma langue butine, titille et fouille, un doigt vient accompagner l'exercice, manœuvre qu'Hélène semble apprécier... Ses mains libres maintenant folâtrent sur ses seins, les caressent, les pressent, jouent avec les mamelons, sa respiration s'accélère, sa voix se fait plus rauque, les cris succèdent aux paroles, et elle jouit sous les caresses prodiguées de concert.
Elle me repousse alors, m'invite à me relever et à la suivre. Mon sexe au garde à vous tend à craquer le short, et je la suis, la démarche malaisée, à l'étage. Elle ouvre la salle de bain, m'incite à la rejoindre. Elle fait glisser sa robe, rentre sous la douche... J'ôte mes vêtements et la rejoins.
- Prêt pour la reconstitution, Monsieur le non coupable ? dit-elle en dévorant ma bouche, me mordant au passage les lèvres... Je vous propose d'inverser les rôles, ce sera plus réaliste...
Elle se saisit du gel douche et commence à me prodiguer les caresses visionnées, massant mon sexe durci de ses mains glissantes... l'effet est saisissant, et je bande comme un possédé. Ses baisers mêlés de morsures me sont une douce souffrance ; je lui pétris les seins largement auréolés, titillent les mamelons, les lèchent, les mordillent, faisant ériger les pointes. Elle se retourne face au mur, mes mains prennent possession de ses fesses, les caressent, les griffent, faisant naître des gémissements rauques de plus en plus rapprochés ; mon doigt joue avec sa rosette, la caresse encore et encore, adouci par le gel... Lorsque je fais mine de la pénétrer ainsi, sa main m'arrête et entraîne la mienne sur son sexe trempé. Mon majeur investit donc sa grotte, vite rejoint par un deuxième doigt, et je la caresse ainsi, le pouce jouant encore avec sa rondelle. Elle n'est pas en reste, et rythme la cadence de mes doigts en me masturbant. Sa main serre fermement ma tige, et imprime une cadence diabolique ; après ces différents jeux, je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps de la sorte... je la caresse au même rythme frénétique, nos bouches se mordent et s'embrassent, et elle jouit en criant en même temps que je pars dans sa main, aspergeant de sperme ses fesses rebondies. Elle me repousse hors de la douche.
- Vous auriez pu vous retenir... Je ne veux pas rater la scène du lavabo... Voyons si les remèdes qui fonctionnent sur Marc ont autant d'effet sur son camarade de jeu...
Joignant le geste à la parole, elle m'invite à m'asseoir sur la baignoire, s'agenouille entre mes cuisses. Elle me remonte une jambe pour mieux apparaître à la caméra... Et la pointe de sa langue commence à titiller mes balles, les soupèse, les goûtent, puis les quittent ; c'est pour jouer avec mon membre, le lécher doucement, encore et encore, sur toute sa longueur qui commence à se déployer... Le frein maintenant, qu'elle excite de la pointe, une main caressant les boules un instant délaissées... Puis sa bouche englobe le prépuce, sa main la hampe, et moitié main, moitié bouche, me rend vie pour la scène finale. Encore quelques coups de langue et la voilà qui se relève, prend position sur le lavabo. Je me redresse derrière elle, me frotte à sa croupe rebondie, lui caresse les seins... D'un geste sûr, sa main se pose sur mon sexe, le caresse encore un peu puis dirige le prépuce à l'entrée de sa grotte. Je la pénètre d'un coup, jusqu'à la garde, penchée qu'elle est sur la vasque pour mieux s'offrir. Les mains fermement agrippées à ses hanches, je la pénètre bien à fond, jouant entièrement de mon engin pour donner plus de poids à la vidéo de cette collectionneuse. Ma main gauche quitte sa hanche et la saisit par les cheveux... Je ne masque ainsi plus rien de mon sexe à la caméra, et sa tête relevée se reflète mieux dans la glace... Elle est toute à son plaisir, se cambre pour mieux me sentir, frappe la vasque de ces mains, crie, déchaînée, m'incite à la prendre plus vite, plus profond, encore, et encore, puis crie son plaisir une nouvelle fois.
Elle me repousse alors sur la baignoire, et s'assied à califourchon sur moi. Elle s'empale sur ma queue dressée, et commence à s'activer en de lents vas et viens, griffant mon dos de ses ongles vernis. Je la saisis par les hanches pour marquer le rythme que j'entends donner à sa chevauchée, mais elle me repousse et place mes mains sur sa nuque. Ses mains labourent mes fesses, ses ongles s'enfoncent en même temps qu'elle vient s'enfoncer sur ma queue... La chevauchée s'accélère parfois, me faisant toucher le paradis du doigt, puis s'arrête juste avant que le plaisir ne me saisisse... ça n'est qu'après une longue recherche savamment orchestrée et pleinement dosée qu'elle s'active enfin, se déchaîne telle une furie, sans jamais me perdre malgré la fréquence qu'elle donne à ses mouvements, sa mouille qui claque à chaque contact, ses ongles ancrés dans mon dos, et le plaisir qui nous submerge enfin.
Elle se redresse, m'embrasse la bouche en me mordillant à nouveau les lèvres.
- Voilà... Je crois que nous avons été bons dans le final. Il ne reste plus qu'à effacer la prise précédente, la remplacer par la nouvelle.... Et voir la tête de Marc lorsqu'il visionnera la scène...