Il va y avoir du sport

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Proposée le 18/08/2013 par Aurora

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Bonjour je m'appelle Aurore j'ai 20 ans et je viens de sortir d'une relation, mon premier amour, longue de 5 ans. Pour une petite description rapide je suis petite 1,6m pour un poids de 67kg, je fais un bonnet D. je suis donc un peu ronde. c'est suite à cette conclusion que j'ai décidé de me mettre au sport et d'aller courir quand le temps me le permet...

Vu mes horaires j'ai décidé de courir le soir car je ne suis pas une lève-tôt, c'est donc en tenue légère qu'en ce beau mois de juillet je me décide à aller courir. Munie de mon short et d'une petite blouse à fine bride. Mes amies m'ayant conseillé de m'apprêter un minimum au cas où je rencontrerai un beau jeune sportif je suivais leur conseil, j'attachais mes long cheveux bruns méchés blonds en une queue haute je lisse ma frange, un peu de poudre, mon dieu que je étais blanche, c'est de l'autobronzant sur tout le corps qu il me faudrait... bref un coup d'eye-liner, de crayon et de mascara waterproof pour éviter que tout coule avec la transpiration.
Je partais donc munie d'une bouteille d'eau dans un petit sac à dos.
Je prends ma voiture (oui pas top pour le sport mais je me connais) et me rends dans un parc non loin de chez moi. Après près de 15 minutes de course, me voila ruisselante et épuisée j'en viens à la conclusion que je n'aime vraiment pas le sport et je m'assoie sur un banc près du lac. Je commence a regarder autour de moi les couples de personnes âgées qui nourrissent les pigeons, les enfants qui jouent près du lac, mais aucun beau garçon en vue, soit des filles anorexiques complexées, quelques garçons obèses et des filles qui comme moi ont quelques rondeurs, rien de passionnant. Je rentre donc à ma voiture m'enfiler un red bul (light quand même).

Les jours suivant se passèrent de façon similaire et j'arrêtais donc de m'apprêter pour aller courir mais je m'accrochai à mes résolutions, seul ma condition physique s'améliora un peu...
Un soir après une longue journée car j'avais eu beaucoup de monde au travail je n'avais pas envie de courir c'est avec des pieds de plomb à près que 10h que je décidai de ne pas abandonner et que je partis cheveux en pétard pantalon et blouse basiques et maquillage de fin de journée... après quelques minutes de course habituelle je fus surprise d'entendre sur mes talon quelqu'un courir, je me déportais pour laisser passer la personne qui semblait courir plus rapidement que moi quand j'entendis son rythme diminuer pour se calquer sur le mien, je n'osai pas me retourné et accéléra donc, l'inconnu(e) fit de même. Soudain stressée par la peur d'être agressée, je rageais d'être venue à pieds... au bout de quelques minutes de sprint, j'étais essoufflée et à bout de nerfs, je décidais d'affronter cet inconnu(e), je me suis donc arrêtée net les bras sur les genoux, pliée en deux pour reprendre mon souffle lorsqu'un voix me fit :
- Excusez moi Mademoiselle auriez-vous l'heure?
Je me redressais lentement pour faire face à mon interlocuteur et là, quelle ne fut pas ma surprise, des jambes musclées et bronzées, un panta-court de sport assez moulant surplombé d'un torse et des bras musclé le tout accompagnant un visage souriant et des yeux marrons foncés qui me regardaient l'air rieur.
- Heu, n-non, j-je n'ai pas l'heure, marmonnais-je.
- Ha dommage merci quand-même.
Et il reprit sa course en me lançant un petit clin d'œil.
Je restais immobile quelque instant, je me sentais très gourde, quelle idiote j'avais mon portable dans ma poche... Je rentrai chez moi plongée dans mes pensées. Qui était-il ? Avait il fait exprès de calquer sa vitesse sur la mienne ? Et moi qui était à peine présentable...

Une fois chez moi, j'entrepris de prendre une douche fraîche, histoire de me rincer et de me remettre les idées en place. Pour finir je me fis couler un bain pour détendre mes muscles mis à rude épreuve. Dans le bain je laissais voguer mes idées je commençais à me caresser, ho juste les seins, je sentis mes tétons durcir et une légère douleur dans le bas-ventre, n 'étant pas habituée aux attouchements solitaires je tentais de me résonner, voyons tu n'es pas en manque à ce point là... ou peut-être que si, mes mains glissèrent sur mon ventre, le contact de l'eau tiède sur ma peau me fit frissonner, je commençais à toucher la ligne de poils restante sur mon pubis, glissant mes doigts dans les frisottis pour enfin glisser vers mes lèvres, j'écartai doucement les cuisses pour laisser passer mes doigts juste qu'à mon intimité.
J'étais déjà humide, rien à voir avec l'eau, un liquide chaud et plus épais se posait sur mes doigts, un peu surprise de ma réaction à ce contact mon autre main, toujours sur mes seins vint remplacer la première sur mes lèvres et je portai mes doigts remplis de cyprine à ma bouche, ce goût me plut, certes atténué par l'eau et tout en léchant mes doigts ma seconde main entrepris des va-et-vient sur mon intimité tantôt à l'entrée de mon puits d'amour tantôt titillant mon clitoris hyper sensible.
Bien que la caresse me plut, l'eau éliminait rapidement la cyprine et le contact se faisait moins doux, j'ignore si toute les femmes sont aussi gauches que moi mais je ne me trouvais pas douée par rapport à mon ex...
J'était prête à abandonner malgré mon état d'excitation, je me sentais bête je pense, je me redressai pour laver mes cheveux et en prenant le pommeau de douche pour les rincer une idée me vint.
Pourquoi pas, je m'asseyais tant bien que mal dans la baignoire, revoyant ce bel apollon, sentant son souffle dans mon dos, je dirigeai le jet d'eau que j'avais mis à toute puissance vers ma partie intime, un main tenant le pommeau l'autre écartant mes lèvres, le contact fut fulgurant, je tressaillis, imaginant la main habille de mon inconnu, visualisant son torse j'effectuai avec le jet des va et vient le long de ma fente tantôt rapide tantôt lent, la chaleur du bain montai en même temps que l'eau, je jetai ma tête en arrière ma main caressant le pommeau comme s'il s'agissait d'un sexe tendu, j'aurai aimer être pénétré par le sexe de ce garçon viril, être écrasé sous son torse, sentir sa chaleur monté en même temps que moi, c'est sur cette pensée que je me mis a trembler, j'avais du mal à maintenir le jet sur mon clitoris, je perdis le contrôle avant de m'effondrer, presque satisfaite dans mon bain. Je coupais l'eau pour profiter calmement.

Je m'habillais légèrement et allai dormir complètement épuisée. Le lendemain je cogitais encore, je décidais d'aller courir plus tard dorénavant pour essayer de le revoir. Je voulais me reprendre en main je venais de trouver ma motivation. Je décidais de changer de tenue, j'achetai une petite jupe sportive ainsi qu'un haut à col en V légèrement trop grand laissant joliment deviner ma poitrine, je suis allée chez la coiffeuse faire un dégradé plus prononcé. Mes cheveux qui tombaient jusque là au bas de mon dos atteignaient maintenant le bas des omoplates, mes yeux cachés d'une paire de lunette furent ornés de lentilles, ce qui changeait tout mon visage et faisait ressortir mes yeux verts. Lors de mes emplettes j'en profitais pour acheter du déo et de jolis dessous, un ensemble rouge vif boxer en dentelle et soutien gorge assorti. Je sorti ainsi vêtue, prête pour mon jogging. Après 15 minutes à faire le tour du parc je dus me rendre à l'évidence mon jeune homme n'y était pas... déçue je ralentis le pas, je remarquai alors les regards insistant des gens autours de moi, certaine filles avec un peu de convoitise, d'autre avec un air de dédain propre à la jalousie, les garçons eux me lançaient soit des regards fuyant soit des sourire aguicheur, surprise et troublée par ce comportement je me sentis mal à l'aise et décidais de rentrer chez moi.
Je réfléchis à mon malaise et décidais de monter sur la balance avec laquelle j'étais en guerre depuis un certain temps... WOW 7 kg de perdu, j'était fière de moi, fière d'aller courir et de m'être accrochée. Le lendemain je m'habillais donc en conséquence, tailleur certes mais rouge vif avec une jupe fendue et un chemisier plus ouvert qu'a mon habitude, le résultat fut plutôt plaisant quelques regards ébahis, une tasse de café offerte à midi par l'un d'entre eux, des copines qui s'en vont « ha elle, elle a l'amour en tête », des rageuses qui me regardent de haut en bas et quelques sourires et signes de têtes de personnes qui avant cela ne m'avaient même jamais dit bonjour. Et le pire c'est que toute la situation me plaisait, mes copines se trompent ce n'est pas l'amour mais l'envie d'être désirée que j'ai en tête.
Ce soir j'allais donc courir, sure de moi, appréciant les regard, après 15 minute toujours pas d'apollon en vue, je râlais vraiment tant pis je continue je courais donc plus longtemps, plus vite jusqu'à ce que je me rende compte que le soleil baissait, j'étais ruisselante mais bien dans ma tête, je me dirigeais vers les toilettes publiques pour me rafraîchir, j'avais tout prévu, sous vêtements propres, savon, brosse à cheveux, maquillage, je me refis une beauté même si personne ne le verrai dans le noir je me sentais juste bien, en sortant des toilettes j'aperçus un groupe de jeune, style racailles.
- Hé mademoiselle.
Hé merde.
- Allais reviens n'ai pas peur ma belle.
- On te fera pas de mal.
Je n'osais pas me retourner et j'accélérais le pas pour rejoindre ma voiture mais ils se mirent à courir je fis donc de même j'aperçus un sentier entre les arbres un peu plus loin sur le chemin hé hop je me glissais dedans.
J'étai accroupie derrière un arbre et je les entendais.
- Mais elle est où?
- Merde elle peut pas être bien loin.
- Ha ben on va attendre elle s'est surement cachée la pute.
- Si je l'attrape ce qu elle va prendre mon gars.
- ...
Et ça continuai bref j'étais coincée, je regardai discrètement à genoux derrière mon tronc penchée en avant, leur dégaine de bad boy, je regrettais soudain ma tenue...
C'est à ce moment que je sentis un bras me serré la taille je voulus crier mais une main vint se coller sur ma bouche.
- Hé les gars vous avez entendu ?
- Quoi ?
- Non ? allais fait tourner le joint.
- Ok.
C'étaient les racailles je n'avais pas intérêt à me faire remarquer
- Ne bouge pas, murmura une voix masculine dans mon dos.
Je restai immobile tremblante, le bras se desserra et sa main commença des mouvements très doux sur mon ventre, qu'attendait-il de moi? Les jeunes continuait de plaisanter en imaginant ce qu'ils me feraient s'ils me trouvaient, cela me retint de crier...
La main sur ma bouche se desserra elle aussi, elle glissa le long de mon cou de manière sensuelle, je n'osais pas bouger, je sentis la main sur mon ventre trouver le chemin de ma peau soulevant mon t-shirt, ses mains étaient douces et la caresse très agréable, sa main dans mon cou baissa pour couvrir mon décolleté, elle glissa jusqu'à mon soutien-gorge, le contact de ses doigt sur mes tétons à travers la fine dentelle m'électrisa, je n'entendais presque plus les jeunes bavarder. Je me concentrais sans bouger, j'ignore si j'avais peur de la suite ou au contraire peur de stopper cette caresse de plus en plus entreprenante. La main sur mon ventre se déplaça sur ma cuisse remontant jusqu'à mon boxer, instinctivement j'écartais un peu les jambes, mon inconnu comprit le message plus vite que moi et vint se coller contre mon dos, je le devinai musclé et grand son torse appuyé sur mon corps penché en avant je sentis son membre dur à travers nos vêtements venir se caler entre mes fesses. L'une de ses mains qui était passée sous le soutien-gorge malaxait toujours mon sein et l'autre palpant mes lèvres à travers le bout de tissu. Je sentais la chaleur de mon corps monter ne sachant que faire, la raison me dictait de crier mais les jeunes étaient tout près et d'après leurs dires, les avertir aurait été pire, de plus ces attouchements me plaisaient de plus en plus mais qui était-il' Jusqu'où irait-il, est ce que j'avais vraiment le choix ?
Sa main s'activa sur mon boxer et il glissa un doigt dans la fente malgré le tissu, frottant contre mon clitoris, je me cambrai légèrement. Il me serra plus fort j'entendais son souffle près de mon oreille, tout en continuant son manège il me mordilla l'oreille, embrassa la peau de mon cou. Mais je voulais savoir qui c'était est ce que seulement je le connaissais ?
Il passa sa main sous mon boxer empoignant mon sexe de la main et glissant de temps à autre un doigt dans ma fente déjà très humide.
Il commença à activer, à glisser de mon clitoris à mon puits d'amour, insinuant un doigt de temps à autres, arrêtant pour titiller et pincer mon clitoris, il accélérait puis ralentissait. Mon souffle s'activait, je gémis, je voulais bouger pour accentuer cette caresse mais lorsqu'il s'en aperçut il quitta mes seins pour me tenir fermement immobile.
- Ils vont te voir et cela risque d'être nettement moins agréable ma belle me murmura-t'il, tu as l'air d'apprécier pourtant, ne gâche pas ça.
Je ne pus que murmurer un oui presque suave qui m'étonna tellement mon son était rauque.
Sa caresse était insistante comme pour me convaincre de ce qu'il venait de dire, il frotta son sexe contre mes fesses, mon angoisse reviens au galop je risquai de baiser avec un inconnu, et s'il était moche ? Pire, malade, va-t'il se protéger, va-t'il me violer, tout se bousculait malgré mon envie grandissante, il dut deviner mes pensése car il me dit:
- Excusez moi mademoiselle auriez-vous l'heure ?
Sa voix me sembla si familière et si étrangère, je ne reconnus pas immédiatement la phrase quand boum je réalisais, mon bel apollon de quelque jour avant, j'ignore ce qu'il faisait caché dans ce buisson avant mon arrivée mais il était là. Je ne sais pas pourquoi mais je fus soulagée, même si je ne le connaissais pas vraiment.
Les jeunes avaient changé de position et nous tournaient le dos, bien que je ne devais pas trop bouger pour ne pas attirer leur attention je décidais de ne plus rester inactive, après tout qu'avais-je à perdre ? Je glissai ma main derrière moi et tentai de descendre son pantalon, merde un jeans... pourquoi pas un pantalon de sport, c'est plus pratique. Il lâcha mon ventre une seconde pour détacher sa braguette et baisser suffisamment son pantalon. J'en profitai vite pour baisser complètement mon boxer. Son autre main ne quittant pas mon sexe d'une seconde j'avais du mal à réfléchir à ce que je faisais, il glissa légèrement sa main plus loin que mon intimité et la main pleine de cyprine il vin titiller mon anus.
- Non murmurai je.
- Chuuut fit-il.

- Hé gars t'as toujours pas entendu cette fois ? je suis sure qu'elle est toujours là, la salope.

Ok j'avoue je parlais plus fort que prévu... il passait de l'un à l'autre sans arrêt appuyant légèrement sur ma corolle mais je ne connaissais pas ce type de caresse, sa main droite prit place sur mon clitoris tandis qu'il insinuai une des phalanges de la main gauche dans mon anus et une autre dans mon intimité, le résultat fut fulgurant je commençai à trembler. Il ralentit son rythme sur mon clito pour ne pas que je vienne si rapidement, son sexe toujours collé contre mes fesses. je remontais ma jupe pour sentir sa peau contre la mienne
- Humm joli, me glissa-t'il a l'oreille avant de la mordiller une fois encore.
J'empoignai son sexe de ma seule main libre, l'autre étant maintenant en appui devants moi contre l'arbre et je commençai de long va-et-vient, d'abord lents. Je jouais avec son gland puis je m'attardai à la base de son sexe, je l'analysai par le toucher, pas mal du tout pour le peu de comparaison que j'avais, je variais la vitesse mais la position ne s'y prêtait qu'à moitié. c'est le moment qu'il choisit pour accélérer le jeu de ses doigts sur mon clitoris et dans mes deux trous, s'amusant à sortir et rentrer ses phalanges simultanément. Je calquais la vitesse de sa main sur la mienne, tenant fermement son sexe dressé, il effectuait des coups de bassin que je devinais, je posais alors ma main sur son sexe, bloquant celui-ci sur ma croupe de manière à ce que grâce à ces va-et-vient il s'auto branle sur mon cul. Il redoubla de vitesse quand je m'aperçus que les jeunes commençaient à partir et à renoncer, ses doigts continuaient de jouer du clitoris au puits d'amour accélérant ralentissant, titillant, pinçant pénétrant.... Il me rendait folle à me faire languir, j'avais envie de lui, je voulais le lui dire mais les jeunes n'étaient pas loin et toujours dans mon champ de vision, c'est lorsque l'un d'eux se retourna dans un dernier espoir de me voir sortir qu'un orgasme violant me saisit, tout mes muscles se sont bloqués, mes jambes tremblaient, mon souffle était cour et mon apollon étouffa un gémissement en appuyant fermement sur ma bouche, me tirant vers lui et me cambrant par la même occasion. Il accéléra son va-et-vient sur mon cul et sur mon clitoris mis a rude épreuve, je crus que cet orgasme ne finirait jamais. Une main triturant toujours mon sexe il me tient contre lui, malaxant mes seins avec la main qui avait retenu mes gémissements et mordillant mon cou. J'entendais sa respiration s'accélérer également au rythme de la mienne, étant bloquée contre lui et retenue par son bras puissant, son sexe était bien calé entre mes fesses et ne nécessitait plus ma main pour le maintenir pendant qu'il se branlait sur moi. J'entrepris dans un moment de lucidité de bercer ses bourses sur le temps qu'il accélérait son va-et-vient et remontait la blouse presque jusqu'à mes épaules, le résultat fut fulgurant: trois longs jets vinrent éclabousser mon dos et mes cheveux, il étouffa un cris rauque mais heureusement les jeunes s'en étaient allés plus loin.
Nous sommes restés quelque instant l'un contre l'autre avant qu'il ne me lâche enfin, j'avais le dos en compote à force d'être restée cambrée si longtemps mais c'était ci bon, il prit soin de trouver un mouchoir pour m'essuyer et me caresser encore un peu par la même occasion.
Je me retournai vers lui, ce qu'il vit dut lui plaire car il souriait, mes cheveux en pétard, mon tee-shirt relevé ma jupe retroussée,... je m'étais déjà sentie plus sexy.
Il me ramena à ma voiture mais nous n'échangions pas un mot, je ne savais plus où me mettre, le rouge me montait aux joue chaque fois que je croisais son regard ou que je titubais vers lui et il semblait un peu mal a l'aise aussi
- S-si tu v-veux on pourrait se revoir me dit-il sur un ton mal assuré.
Je ne savais pas quoi répondre.
- Enfin si tu ne veux pas je comprendrai.
Bien sûre que j'avais envie de le revoir mais je n'osai pas l'avouer
- Ha, je dois partir la semaine qui vient pour le travail, je vais te laisser te remettre de tes émotions,... si tu veux dimanche prochain rejoins moi ici vers 22h, cela te laisse le temps de réfléchir...
En disant ça il me serra contre lui, ses lèvres jusqu'ici inconnues vinrent se coller aux miennes, elles avaient un gout salé, sa langue vint titiller la mienne, il m'embrassa comme jamais on ne m'avait embrassé me semble-t'il...
Puis il partit au trop en me criant.
- Au fait je m'appelle Pierre.
- Moi Aurore lui criais-je en souriant.
Voila une soirée qui en annonçaient d'autre mais ce sera une autre histoire