premiere fois...

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Proposée le 1/04/2008 par glorytoo

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Cela faisait un an que nous nous connaissions avec mon Roméo, nous étions en symbiose complète (nous le sommes toujours).
Nous avions, par une agence immobilière, réussi à trouver un grand studio sur les toits d'un vieil immeuble d'avant guerre. Les trois étages inférieurs n'étaient occupés que par des bureaux, le rez de chaussée avec vitrine était occupé par une agence immobilière, au premier il y avait un bureau d'expert-comptable et au second une boite d'intérim.

Mon homme et moi n'ayant que des jobs précaires, nous avions eu grand mal a obtenir ce logement. Nous étions dans l'obligation de demander à une amie secrétaire de direction des papiers pouvant nous permettre de l'acquérir, ce qu'elle fit gentiment malgré les risques que cela pouvait comporter. Elle nous savait réglo et nos loyers ont toujours été payés.

Il arrivait que tous deux étions sans missions, c'était alors des matinées blotties l'un contre l'autre pendant des heures avancées de la journée.

Le studio était relativement spacieux, plus au moins 25m2, nous l'avions repeint jaune sable sur toutes les parois verticales et bleu ciel sur la mansarde. Nous avions lors de la décoration trempé nos pieds dans la peinture jaune pour les imprimer de manière subjective sur la mansarde, cela n'avait pas amusé le propriétaire ...

Le studio était relativement bien équipé, une baignoire dans la salle d'eau et une cuisine séparée, c'était vraiment un nid douillet pour un jeune couple insouciant comme nous l'étions à nos 20 ans.

Un jour d'été de l'année 93 si je me souviens bien, nous feignassions dans la tenue d'Adam et Eve. Je réveillais mon homme en pratiquant une douce fellation, son membre le matin est toujours bien chaud, et il commençait à ouvrir les yeux en me caressant les fesses soigneusement. Alors que je dévorais son membre goulûment notre porte d'entrée s'ouvrit rapidement après un bref "toc toc". J'avais encore le membre de mon homme en main lorsque l'inconnu, surpris, nous regardait. Rapidement j'ai tiré le drap sur moi afin de me cacher.
L'homme était dans une tenue classe et sobre, chemisette blanche et pantalon pince noir, des souliers que l'on pouvait penser neufs,
plutôt beau mec d'une trentaine d'années, les yeux d'un vert perçant, les cheveux bruns, d'une taille moyenne et bien charpenté, on pouvait deviner sous sa chemise, des pectoraux fermes et robustes.

Il était comme figé à notre vue puis il se justifie : "excusez-moi, je croyais que c'était les bureaux d'intérim". Il s'exprimait avec un accent italien plutôt charmeur, mon homme après avoir jeté un regard a sa montre lui répond "monsieur il est 12h10 et les bureaux ne rouvriront qu'a 14h". L'italien commença alors a nous expliquer qu'il n'est pas de la ville et qu'il avait rendez-vous à 11h30 mais que de nombreux impondérables avaient fini par le mettre en retard. Les yeux rivés sur moi il nous explique ensuite qu'il ira boire un café au troquet en face pour attendre la réouverture.

Mon homme, visiblement amusez, lui propose alors : "asseyez vous donc, le café, je vous l'offre j'allai en faire de toute façon,
mais refermer la porte". Il s'exécute en nous remerciant vivement.
Mon homme nu comme un ver, se lève, part récupérer un bas de survêtement et se rend dans la cuisine. L'italien alors prend place, assis sur notre canapé face a la table basse a roulettes et notre lit...

Il ne me lâchait pas des yeux, son regard était doux et charmeur. Le problème était d'enfiler mon peignoir à côté duquel il était assis. Je n'allais pas rester ainsi couchée. Mon Roméo, lui, peur de rien, était dans la cuisine à préparer le café, n'ayant d'autre choix je demande à l'inconnu de bien vouloir me porter le peignoir qui se trouve près de lui. Il se lève et me le porte, je lui demande alors de se retourner afin que je puisse me lever et le mettre, "bien entendu madame" me dit-il, se tournant et avançant de plusieurs pas. Dans ma précipitation je n'avais pas pris garde au grand miroir qui devait sûrement lui permettre de me regarder nue.je rougissais, il souriait coquinement en comprenant que je m'étais rendu compte de la supercherie. Il me complimente alors : "je suis grandement charmé Madame".

On pouvait deviner sous son pantalon étroit, un membre bien gonflé longeant sa jambe, cette bite semble d'une taille plus que respectable et cela me fait d'autant plus rougir. j'ai eu le désir soudain de pouvoir le contempler ou mieux de le prendre en bouche.

j'aime les belles grosses bites et mon Roméo a d'ailleurs des mensurations dignes d'un acteur porno.
Mes pensées et mes envies me faisaient sentir salope et malgré le pantalon l'idée de ce gros mandrin me donnait des bouffées de chaleur allant jusqu'à me faire mouiller.
Alors que mon regard se porte encore sur ce damné membre, mon homme nous rejoint trois tasses vides à la main, "le café est bientôt prêt" dit-il.
"Oui oui mon mon ché chéri" lui dis-je.
à ce moment trahi par mes couleurs et mes bégaiements il s'interrogeait. Il fronça les sourcils et repartit en souriant chercher le café.

L'italien commence alors une conversation aimable, me demande mon prénom, me dit qu'il s'appelle Adriano, qu'il est natif de l'Italie, Caltagirone,en Sicile, etc etc...
son accent me faisait craquer et malgré son discours sérieux son érection était toujours forte, ce qui me troublait beaucoup. Mon Roméo nous rejoint alors et remplit les tasses de café. En baissant son regard pour servir, il s'aperçoit que notre invité était bien raide... il me regarde, me fait un clin d'oeil, puis sourit. Je ne savais plus ou me mettre, ou plutôt si, je le savais si bien, mais n'osais pas...
Nous étions maintenant tous les trois assis autour de la table en parlant encore de nos origines, nos boulots, nos voyages
et nos envies brefs 20 minutes se passent ainsi.

Mon homme n'avait pas d'attention particulière envers moi et il me décevait, il devait bien se rendre compte que le regard d'Adriano était insistant lorsqu'il se portait sur moi. Mon chéri me demanda de bien vouloir servir la boite de variété de gâteaux et chocolats, je me lève alors sans m'apercevoir qu'il tenait ma boucle de ceinture dans la main. Dans mon mouvement celle-ci se défie entièrement et je referme par reflex mon peignoir dans les bras tandis que mons mon homme tire toujours dessus et me dit sur un ton moqueur
"ma puce... fais pas ta pudique complexée...tu le sais bien que tu es superbe...pour preuve...regarde Adriano
comme il bandait tout à l'heure..." il tira un coup sec sur mon peignoir afin de me faire tomber dans ses bras et m'assied sur ces genoux, fait basculer ma chevelure sur le coté et m'embrasse dans le cou amoureusement.

De sa main gauche il me caressait la cuisse et de la droite il finit de m'ôter le peignoir.
J'étais offerte en spectacle par mon homme et je kiffais beaucoup cela. Mon Roméo bandait dur dans son caleçon.
Il me titillait les seins du bout des doigts et il s'occupait de mes seins comme d'un clitoris, de l'autre main il me caressait le minou en introduisant son majeur délicatement et avec hésitation.

Tout en restant sur les genoux de mon Roméo je me retourne en écartant les jambes. Je me trouve face à Adriano, j'espérais pouvoir enfin voir son sexe, malheureusement il se tripotait à travers son pantalon...

Alors que mon homme descend son survêtement je lui frotte de mes fesses sa bonne bite, cette position m'oblige a me pencher en avant dans la direction du bel italien, c'était comme ci je lui offrais mes seins.

Je voyais bien son gourdin en érection, mon homme, lui s'appliquait maintenant à me bouffer la chatte et le voisinage, ce qui finit de me basculer en avant. Je retrouve un équilibre a posant ma main sur la cuisse d'Adriano. Il porta alors ces mains sur mes seins et me les caressa délicieusement, mais sa bite était toujours dans son fourreau et cela m'agaçait. Je pris alors l'initiative de l'en sortir.

Quel phallus exquis. Il était long, épais, fortement veiné, à son extrémité un gland rouge vif, de circonférence étonnante, comme ci un casque avait été posé dessus.
Mon Roméo décida de m'introduire tendrement en posant ces mains sur mes hanches, et alors que j'allais crier mon plaisir je pris la bite d'Adriano à pleine bouche.
Au rythme des coups de reins que je recevais, je suçais mon sexboy, parfois langoureusement ou parfois vigoureusement.
Les quatre mains qui me caressaient m'excitaient au plus haut point, j'avais déjà un orgasme, mon corps vibrait de désir et mon homme accéléra la cadence. Ces couilles tapaient sur mon clitoris excité ,je ne maitrisait plus rien, Adriano me tenant fermement par les cheveux en me baisant la bouche profondément, mon boyfriend m'agrippant les hanches pendant qu'il me ramonait copieusement.
Mon excitation est telle que pour la première fois je désirais me faire enculer...

Mon cul ce dilatait rien qu'à l'idée de me faire prendre comme une chienne.
Alors que d'une main j'astique Adriano de l'autre je prends le sexe de mon homme et le mène à bon port. Le rythme était plus doux, la délicatesse était revenue. Ils devaient prendre garde de ne pas abîmer leur déesse.

Adriano fit rouler la table basse pour se poster debout devant moi, et il profita d'un retrait de mon homme pour me prendre contre lui, me soulever par les cuisses, et m'empaler sur son totem. Je m'accroche a son cou et me bascule en arrière, mais mon homme vient me compresser contre le corps de l'italien en me poussant sur les fesses. Il me mordait la nuque et de ses mains m'écartait les fesses. Je me tortillais dans tous les sens sur le manche d'Adriano qui me procurait beaucoup de plaisirs, si bien que mon Roméo ne trouvait plus la place que je lui avais précédemment offerte. Il ne tarda pas à se faire comprendre, et alors que je m'excitais sur l'étalon italien il m'envoya deux claques sur les fesses afin de me faire entendre ses ambitions. Un nouvel orgasme me prit à ce moment et j'ai du lui ordonner quatre ou cinq fois de m'enculer.
J'étais maintenant initiée, tous mes orifices n'étaient que plaisir, je suçais mon pouce alors que deux pieux me font sursauter, "au trot, au galop, au trot, au galop..."

Adriano se met à gémir, je me fais reposer au sol et m'accroupit devant eux. Je les branle et les suce énergiquement. Je voulais voir les deux bites exploser et m'asperger de leur liqueur, mais Adriano ne l'entendait pas ainsi et, semblait-il, ne voulait pas s'abandonner sans avoir à son tour eu le privilège de visiter mon cul.

Il se place derrière moi et me tire les cheveux en arrière pour ensuite m'envoyer de lourds coups de pilon. Le voila à me caler alternativement la chatte et le cul.
Mon homme se glissa sous moi pour me lécher les seins, mais après quelques secondes préfera descendre bien plus bas pour me gâter de sa langue pendant qu'Adriano me culbutait copieusement le cul. Quel pied je prenais, c'était terrible.

Mon Roméo remonte alors et m'investit la chatte, Adriano qui me besognait le train arrière prit l'initiative d'investir lui aussi, mon minoi déjà bien occupé, de son pouce il frottait encore mon anus tout dilaté, et après plusieurs minutes de patience et convoitise arrive à rejoindre mon homme dans un seul et même orifice, fichtre quel pied d'enfer.
Je n'y croyais pas ma chatte pouvait recevoir deux gros pieux en même temps.

Après un trop bref moment à mon gout dans cette position, mon homme se retira et se plaça tant bien que mal debout devant moi, me tapa le visage de son sexe afin que je le suce. Il demanda a Adriano "je veux encore te regarder l'enculer"
Aussi dit aussi fait... le voila repartit dans mes profondeurs en serrant fermement mes hanches de ses mains et semblant prendre mon cul pour un défouloir. J'écartais mes fesses au mieux pendant que mon jules se branlait.
Il fallut peut de temps à mon Roméo pour me gicler sur le visage en regardant l'italien m'enculer vivement et criant sa frénésie, lorsqu'il éjacula à son tour il m'inonda le cul en me nommant de belle salope et me couronnant de reine des putes.
Alors que mon homme lui me disait son amour et me gratifiait de caresses au visage.
J'étais alors prise d'un dernier orgasme...


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