Un trio inattendu

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Proposée le 13/05/2013 par Scorpio

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Je suis Marc, la quarantaine passée, plutôt bel homme aux dires de la gent féminine. J'ai passé presque vingt ans avec une femme que je n'aimais pas. Inutile de me demander pourquoi, c'est incompréhensible. Puis tumulte et divorce, presque un classique oserais-je dire. Et j'ai rencontré Anne. Un peu plus jeune que moi. Brune avec des yeux bleus magnifiques, les plus beaux du monde. Anne est d'une beauté étourdissante, même si elle se trouve laide, et sa beauté n'est rien en comparaison de son intelligence et de son humour.
Je l'aime. De tout mon cœur.

Déjà quatre ans que je suis avec Anne, et tout va pour le mieux, aussi bien sentimentalement que sexuellement. Pour tout dire, je pense qu'on s'est trouvés. Aucune autre femme ne m'a jamais fait cet effet. A chaque fois que l'on fait l'amour, c'est une véritable communion. Que nos ébats soient tendres ou sauvages, l'extase est au rendez-vous. Aucune lassitude ne s'installe, c'est ce qui me surprend le plus mais il est vrai que la routine ne fait pas partie de notre quotidien.
Mais voilà, depuis quelques temps, j'en veux plus. Une envie, un fantasme, se sont imposés à moi. L'envie de la partager avec un autre homme. La partager, pas la prêter. La différence est sans doute mince me direz-vous, mais elle tient essentiellement dans le fait que je n'envisage pas de rester inactif. Toujours est-il que cette envie est devenue une véritable obsession.

Anne et moi parlons souvent de nos fantasmes respectifs. Nous avons établi dès le début de notre relation qu'il ne devait pas y avoir de tabou entre nous. Bien facile à dire et sûrement bien plus qu'à faire. Il nous arrive régulièrement de parler de nos fantasmes respectifs. En tout cas de ceux qui sont avouables car je ne doute pas un seul instant qu'elle en garde « sous le coude », c'est bien normal. C'est évidemment mon cas aussi. En tout cas, nous passons parfois des heures à parler de sexe en toute liberté. C'est comme ça, qu'après avoir pris mon courage à deux mains, j'ai osé lui avouer ce qui me travaillait. J'avais peur de sa réaction. A tort. A ma grande surprise elle n'était pas choquée, et même au contraire semblait comprendre.
S'en est suivi un long échange sur la différence entre fantasme, voire idéalisation du fantasme, et réalité. Ce que j'en retenais c'est que dans l'absolu elle n'y était pas totalement opposée mais que de nombreux facteurs étaient à prendre en compte et qu'au final la réalisation de ce fantasme semblait compliquée.

Je ne pouvais que lui donner raison. Le moyen le plus simple aurait été de se rendre en club, mais je trouvais ça trop prémédité. Les petites annonces ne m'attiraient guère. J'aurais de loin préféré que le hasard crée l'occasion. Autant dire que mes chances étaient minces.

Mais parfois le hasard fait bien les choses.

Ce soir, nous sommes conviés par un couple d'amis à prendre un verre au pub du coin. Rien de bien transcendant mais rien de désagréable non plus. La journée avait été ensoleillée et chaude. Anne choisit une robe courte et légère. Enfin, pour Anne, courte, c'est dix centimètres au dessus du genou. Tout n'est que question de point de vue.
Nous arrivons les premiers, choisissons une table en terrasse, allumons chacun une cigarette et commençons à discuter tranquillement en les attendant. Quelques minutes après nos amis arrivent avec leur fille, accompagnés d'un homme que nous ne connaissons pas.
Nos amis nous le présentent rapidement. Julien, ami du couple depuis quelque temps. Il est passé chez eux à l'improviste et ils lui ont proposé de venir prendre un pot avec nous.
Je lui donne 35 ans. Le courant passe tout de suite entre nous. Julien a beaucoup d'humour, un peu de cynisme, tout ce que j'adore. Anne semble l'apprécier également. La soirée démarre bien.
A un moment Julien s'excuse et s'absente quelques instants.
Anne en profite pour piquer gentiment son amie :
- Pour une fois que tu nous présentes un copain intelligent et de surcroît beau gosse !
- Oh ça va Madame exigeante, tu n'as pas le monopole des beaux gosses !

Nous éclatons de rire.
La soirée se déroule dans la bonne humeur générale, puis vers 22h30 nos amis s'excusent, ils doivent se lever tôt le lendemain pour prendre la route. Repas de famille oblige.
Je passais un bon moment, sûrement grâce à la présence de Julien, et je ne voulais pas interrompre ici la soirée.
- Si tu veux tu peux rester Julien, on prend une dernière tournée, si Anne est d'accord bien sûr.
- Je n'y vois aucun inconvénient, répond-elle.

Nous commandons quelques verres et prolongeons la soirée.
Comme le courant passe bien entre nous trois, je pense à mon fantasme. Peut être est-ce le bon mec au bon moment ?
Qu'est ce que je risque après tout ? Si j'amène bien les choses, et si elles prennent une bonne tournure, je peux peut-être réaliser mon fantasme. Au pire personne n'y voit rien, ou en tout cas pas grand-chose.
Nos verres finis, nous sortons. Sur le parking chacun allume une cigarette et j'en profite pour glisser d'un ton dénué de toute arrière-pensée :
- Mon cœur, si tu n'es pas trop fatiguée, et si Julien est d'accord, ça te dirait qu'on l'invite à prendre un dernier verre à la maison ? J'aimerais bien encore discuter avec lui.
- Avec plaisir, je n'ai pas à me lever demain moi.

Nous rions de bon cœur. J'invite donc Julien à nous suivre jusqu'à la maison.
En voiture, Anne confirme ce que je pense. Elle trouve Julien plutôt beau gosse et surtout intelligent et cultivé. Parfait. Car si cela n'était pas été le cas, j'en resterais là.

Arrivés à la maison nous nous installons dans le salon, sur le canapé d'angle. Je me mets à une extrémité, pour laisser Anne entre Julien et moi. Julien s'assied sur le retour d'angle.
Je propose de faire le service, histoire de laisser Anne et Julien quelques instants seuls.
Porto pour moi, Martini pour eux.
La discussion s'engage, on parle de choses et d'autres, de totales banalités à des sujets plus intéressants. Julien est cultivé, drôle et bien élevé. L'atmosphère est détendue.
Je remarque toutefois les regards que Julien jette de temps à autres à Anne. Je voie bien qu'elle ne le laisse pas indifférent.
Je refais le service, plusieurs fois.
A un moment Anne se lève et quitte la pièce. Sa petite robe épouse parfaitement ses formes, et sa démarche gracieuse fait onduler ses petites fesses comme j'adore.
Julien en profite pour me glisser quelques mots.
- Tu as de la chance d'avoir une compagne comme Anne, belle, intelligente et drôle. C'est rare de trouver tout ça réuni chez une même femme.
- C'est vrai, et je savoure cette chance au quotidien. Et tu n'as vu que la partie émergée de l'iceberg. Anne est douce est aimante. Et pas compliquée en plus, je peux dire sans mentir qu'on a jamais eu une dispute depuis qu'on est ensemble.
- Je t'envie vraiment et, sans que tu le prennes mal, parce qu'on se connaît finalement pas, je dois avouer que je la trouve très attirante et super bien roulée. Désolé, ce doit être l'alcool.
- Ne t'inquiète pas ! je le prends bien même. C'est un compliment.

En fait, Julien ne s'en doute pas, mais je n'attends que ça, une petite occasion, et il me la présente. Je dois saisir ma chance au vol alors j'ajoute tout de suite, en baissant la voie :
- Et tu ne l'as vue qu'habillée.

Mon ton suppose un sous-entendu mais tout en restant équivoque. J'espère ne pas avoir heurté Julien. Celui-ci répond un peu gêné :
- Mais je me contenterai de ça.

Il faut que je rebondisse de suite.
- Ah oui ? Tu n'en aimerais pas plus ?
- Heu... non... c'est-à-dire... si... enfin je ne sais pas... où veux-tu en venir ? ajoute Julien en bafouillant.
- Je vais être direct, ça fait longtemps que je rêve d'un plan à trois avec Anne, et elle n'y est pas totalement opposée, mais l'occasion ne s'est jamais présentée jusqu'à maintenant.
- Ben toi tu es cash, me répond-il.
- Alors tu es partant ou pas ? lui demandais-je.
- Une occasion comme ça ne se rate pas ! Alors oui évidemment je suis partant.
- Très bien. Je m'arrange pour créer la situation. Une seule condition, il faudra être doux, tout au moins au début. Je veux qu'on suive le rythme d'Anne sans jamais la brusquer.
- Tu peux me faire confiance, me répond Julien.

On chuchote quasiment quand Anne fait son retour.
- Non mais ça va les messes basses entre mecs ! nous dit-elle en reprenant sa place.
- On parlait de ton intelligence mon cœur.
- Ah oui ? A voir vos regards de connivence vous ne deviez pas parler que de ça.
- C'est vrai, on ne peut rien te cacher, on parlait aussi de ta beauté.
- C'est bien les mecs ça, aucun courage, vous profitez de mon absence pour parler de moi.

Julien semble un peu mal à l'aise, quant à moi je m'engouffre dans la brèche.
- On ne disait rien de mal, juste qu'on te trouvait très belle, n'est ce pas Julien ?
- Oui... oui... c'est ça...

Le pauvre je le mets dans une position inconfortable.
Je pose ma main sur le genou d'Anne.
- Et là mon cœur, tu ne peux pas dire que tu ne plais à personne.
- C'est parce que Julien est bien élevé qu'il dit ça, il ne veut pas me blesser.
- Non, non, pas du tout, je te trouve vraiment très belle Anne.
- Si c'est sincère je suis flattée.
- C'est sincère, je dirais même qu'en plus d'être belle, tu es désirable.

Alors là je n'en attends pas tant, Julien me facilite la tache.
- Tu vois mon cœur, et je suis sûr que la plupart des hommes pensent comme nous.
- C'est une évidence, ajoute Julien, qui ne voudrait pas de toi ?
- Mais personne ne voudrait de moi !
- C'est n'importe quoi ! Julien et moi répondons d'une même voix, cela a pour effet de nous faire rire.
- Aucun doute mon cœur, tu es belle et désirable.
- Et si j'osais, je dirais même bandante, déclare Julien.

Là il fait fort, sans doute trop fort, il ne faut pas que je laisse Anne réagir, sinon tout peut partir en vrille. Je me tourne vers elle, pose une main sur sa joue et l'embrasse. Doucement puis plus fermement, elle ouvre légèrement sa bouche et j'en profite pour y glisser ma langue dans un fougueux baiser. Elle tente de résister, un peu, puis lâche prise. Son dos se relâche et je la fais s'appuyer sur le dossier du canapé. Je commence à caresser lentement son genou puis je remonte sur sa cuisse. Doucement, jusqu'à l'extrémité de sa robe.
Il faut que Julien agisse maintenant ou jamais. Maintenant, et on en a le cœur net, sinon il sera trop tard. Heureusement Julien comprend, se rapproche légèrement, et délicatement effleure la cuisse d'Anne du bout des doigts. Je sens Anne avoir un imperceptible sursaut à ce contact. C'est le moment fatidique, où mon fantasme devient réalité, où il disparaît à jamais. Mais Anne n'a aucune autre réaction. Peut-être pense-elle avoir imaginé ce contact.
Je continue de caresser sa cuisse, un peu plus haut, mes doigts commencent à se glisser sous sa robe. Julien, enhardi par l'absence de réaction d'Anne, se met à caresser sa cuisse, toujours du bout des doigts. Anne a un léger gémissement, plus aucun doute n'est permis, elle sait, ne dit rien, consent. Pour faire trivial, nous avons le feu vert.
Julien pose sa main sur la cuisse qui lui est désormais offerte, pendant que je continue de me glisser sous la robe. Anne ouvre légèrement les cuisses. Julien continue de la caresser, sa main est sur sa hanche, puis sur son ventre et enfin sur ses seins. J'arrive à la lisière de la petite culotte d'Anne.
Jusqu'à maintenant Anne n'a pas bougé, puis je sens sa main se poser sur ma cuisse. J'essaye de voir ce que fait son autre main, et ô joie je la vois se poser sur la cuisse de Julien. J'entreprends délicatement de retirer sa petite culotte. Et là, surprise, Anne se redresse, je prends peur, mais inutilement.
- Il n'y a pas de raison que je me retrouve à poil avant vous ! s'exclame-t-elle.

Elle défait alors les boutons de ma chemise et me la retire. Julien prolonge ses caresses.
- Et toi pareil ! Elle se retourne vers lui et lui retire la sienne.

Elle soulève ensuite son bassin et fait glisser sa petite culotte sur le sol.
- Et ôtez-moi ces pantalons qui doivent vous serrer.
- Voilà c'est mieux.

Nous sommes, Julien et moi, dans le plus simple appareil, tous les deux avec une gaule d'enfer.
Anne a toujours sa robe. Nous reprenons nos caresses quelques instants puis avec délicatesse je la lui retire.
J'allonge Anne sur le canapé, je me mets en face d'elle et Julien à côté d'elle. Nous continuons de la caresser doucement. Nos quatre mains se promènent doucement sur son corps. L'effleurant, le caressant, sans se faire trop pressantes. Je m'approche et l'embrasse tendrement. Puis ma langue descend le long de son cou. Anne commence à pousser de légers gémissements. Presque insignifiants mais ô combien prometteurs. Je veux qu'elle se sente bien, qu'elle se libère.
Julien approche sa bouche d'un de ses seins et, lentement, se met à lécher la pointe déjà bien durcie par l'excitation. Julien est doux, comme il me l'a promis.
Je continue de promener ma langue sur le corps d'Anne tout en descendant progressivement. Le bassin d'Anne commence à s'animer, comme pris de sa propre vie. Je continue ma lente descente et je laisse Julien accéder à la poitrine d'Anne.
J'embrasse délicatement l'intérieur de ses cuisses, en m'approchant puis m'éloignant de sa petite chatte. Je sais que ça l'énerve mais aussi que ça l'excite énormément. La confirmation arrive. Anne tend la main, timidement, et la pose sur la cuisse de Julien, puis doucement la fait remonter, la pose sur son sexe tendu, et commence de lents mouvements de va et vient.
Ma langue atteint son clitoris, que j'effleure, que je lèche, que je suce. Anne respire plus fort. Son bassin s'agite, commence à réclamer plus. Mais pas question. Je veux lui donner son premier orgasme avec ma langue.
Anne se tourne légèrement, approche sa bouche du sexe de Julien, y pose ses lèvres, l'effleure de sa langue, l'humidifie lentement. Puis d'un coup l'enfourne de moitié, commence des allers-retours de plus en plus longs jusqu'à l'enfoncer tout au fond de sa gorge. A ce moment j'envie Julien, car je sais ô combien Anne est une excellente suceuse. J'adore être au fond de sa gorge, sentir mon gland s'y engouffrer et s'y sentir serré.
J'accélère ma succion, Anne gémit de plus en plus fort, puis est parcourue de soubresauts accompagnés d'un cri sauvage. Son premier orgasme.
Je connais bien Anne et je sais qu'immédiatement après un orgasme clitoridien elle veut être prise sans attendre.
Je m'installe entre ses cuisses et la pénètre avec lenteur mais profondément jusqu'à venir butter contre elle. J'adore ça et elle aussi.
Elle continue de sucer Julien. Je commence à imprimer un léger rythme à ma pénétration. Anne respire de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je lui parle tendrement, lui dis que je l'aime, qu'elle est belle, que je la kiffe. Anne a un nouvel orgasme.
Je ne suis pas une bête de sexe, loin s'en faut, je crois juste qu'Anne et moi nous sommes trouvés. Nous nous correspondons parfaitement sexuellement, et jamais je n'ai réussi à faire jouir aussi facilement et d'aussi nombreuses fois une autre femme qu'elle.
J'aurais encore pu la faire jouir mais il y a Julien, et surtout j'ai une autre idée en la tête.
- As-tu envie de te retourner mon cœur ? demandais-je à Anne.
- Oui, tu sais bien que j'adore.
- Mais ce n'est pas moi qui serai derrière toi.
- Ça me va aussi.

Je me dégage, Anne se relève, se retourne et se met à quatre pattes, les fesses relevées, tendues comme une offrande, dans la position que je sais être sa préférée.
Julien se positionne derrière elle, lui caresse le dos, les fesses, puis vient effleurer l'entrée de sa petite chatte du bout de son gland et la pénètre. Anne gémit.
Je me mets face à elle. Elle prend mon sexe dans sa main, l'approche de sa bouche et l'avale d'un coup. Sensation extraordinaire que de sentir mon sexe massé par sa bouche, sa langue, sa gorge.
Julien prend un bon rythme, régulier, ni trop rapide, ni trop lent, sage.
Je sais qu'Anne n'osera pas se lâcher totalement, sans doute par crainte de me blesser si elle prend du plaisir avec Julien. Mais je veux qu'elle en prenne !
Je la rassure.
- Je t'aime mon cœur, n'aies aucune crainte, laisse toi aller, je veux que tu aies du plaisir, comme avec moi, ou plus même, n'aies aucune honte ni aucun remords, lâche toi.

Par moment elle sort mon sexe de sa bouche afin de pouvoir reprendre plus profondément sa respiration.
- Veux-tu que Julien accélère ?

Pas de réponse.
- Je t'aime mon cœur, veux-tu que Julien aille plus vite, plus fort ?
- Oui

Un oui timide, mais un oui.
Julien l'entend, il a été doux jusqu'à présent, il a rempli son rôle à merveille. Lui aussi peut se lâcher. Ses mouvements deviennent plus amples, plus rapides.
Je sais qu'Anne adore la levrette et que dans cette position elle adore quand je cogne fort, quand je la pilonne. Ses paroles dans ses moments là sont sans équivoque, démonte-moi, défonce-moi, me dit-elle souvent.
Je veux l'entendre dire la même chose à Julien, je veux qu'elle se libère totalement, pour mon plaisir, pour son plaisir.
- Il peut aller encore plus fort tu sais mon cœur, ça te dit ?
- Oui.
- Vraiment fort ?
- Oui.
- Fort comment ?
- Très fort.
- Dis-lui alors.
- Vas-y Julien, plus fort

Mon excitation est à son comble juste avec ces quelques mots.
- Je t'aime mon cœur, laisse toi aller.
- Vas-y défonce moi, j'adore ça !

Anne me reprend complètement en bouche. Julien la pilonne littéralement. Je dois dire qu'il a une certaine endurance vu le rythme auquel il va.
Julien souffle, gémit, il est proche du point de non retour. Anne aussi en est proche. Quant à moi, l'art d'Anne me mène droit à une jouissance explosive. Je suis au fond de sa gorge. Tout n'est plus que plaisir.
Elle dégage mon sexe un instant.
- Viens dans ma bouche mon cœur, j'adore quand tu jouis dans ma bouche.

Elle empale à nouveau sa bouche sur mon sexe et j'explose en de longs jets brûlants. Un orgasme long et intense. Anne avale mon sexe, avale ma semence.
Puis Julien vient dans un grand cri, long, rauque, bestial, ce qui déclenche l'orgasme d'Anne.
Un orgasme puissant comme je ne l'ai jamais vu en avoir. Elle resta pantelante, presque assommée.
Je suis aux anges. J'ai pris un pied d'enfer.
Je m'approche d'Anne et lui susurre à l'oreille :
- Je t'aime mon cœur.