Cher patron (4/4)

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Proposée le 9/05/2013 par CAVAL

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Audrey a été abusée par son patron. Elle lui envoie une lettre où elle évoque ce qu'elle a vécu. Puis elle lui expose le plan de vengeance qu'elle a mis à exécution en pervertissant le fils et la fille de ce patron.


Quatrième partie

Je me disais que ma vengeance était ainsi complète. Pourtant, je fus prise à mon propre piège.

Marie-Madeleine continuait à faire l'amour avec moi. Votre fille était devenue bisexuelle, elle qui ne connaissait pas l'amour avant que je ne la rencontre. Elle prenait autant de plaisir à baiser avec moi, que dans les bras d'un homme. Vous doutiez-vous que votre vertueuse et prude fille connaissait les caresses les plus sensuelles et les proximités les plus intimes. Toujours avec mon sex-friend, elle a expérimenté la sodomie. Oui, elle a apprécié l'introduction d'un sexe dans son petit anus. Je l'ai accompagnée dans cette jouissance en préparant moi-même son puits secret et la verge qui allait s'empaler en elle. Ensuite, pendant qu'elle se faisait prendre, je lui ai massé le clitoris et les seins pour augmenter sa jouissance.

Cela vous surprend, n'est-ce pas. L'union dont vous rêviez pour votre fille, n'est plus d'actualité. Elle est même devenue improbable. Non seulement le marquis ne voudra pas d'une femme qu'un autre que lui aura défloré, mais votre fille ne voudra sans doute pas de lui. Surtout qu'elle a goûté à certains plaisirs qu'il ne pourra ou ne saura lui offrir. Oui, elle apprécie tout particulièrement le triolisme. A présent, lorsque Fred baise avec elle, je suis toujours présente, non plus en spectatrice, mais en actrice active.

Elle a trouvé un autre copain qui a su lui donner beaucoup de plaisir également. Et il a accepté qu'un second homme vienne se glisser dans leur lit. Marie-Madeleine a donc baisé avec deux hommes. Je me réjouissais que cette jeune fille qui n'avait pas encore 18 ans, puisse accepter sa bisexualité si facilement. Elle avait oublié tous les interdits de son éducation bourgeoise et catho pour se livrer à la luxure. Si j'avais si bien perverti votre fille, c'était pour son bien, pour qu'elle puisse affronter la vie sans détourner le regard, pour avoir la franchise de dire que le sexe était une belle chose et qu'il était inconcevable de se faire dicter sa ligne de conduite par des hommes qui ne savaient pas ce qu'était un couple. Pour elle il n'y avait plus d'interdit alors qu'eux, ne savent pas ce qu'est le plaisir de la chair, où s'ils le connaissent, c'est dans le pécher, la faute et la lubricité.

Je revoyais Antoine, votre fils, avec sa copine, Flore. A chaque reprise nous passions de délicieux moments à trois. C'était devenu un magnifique baiseur et d'avoir deux filles dans son lit ne lui faisait pas peur, bien au contraire. Depuis qu'il vivait avec Flore, il avait progressé dans ses compétences sexuelles. Après une joute enflammée où nous étions tous les trois nus et étroitement enlacés ; je dis à mon amie :
- Tu as fait des prodiges, Antoine est devenu un amant magnifique.
- Je ne suis pas la seule cause de cette progression. Les putes des bordels de Genève y sont pour beaucoup.
Je me suis tournée vers Antoine.
- Tu vas voir les putes en Suisse ?
- Oui, avec ces filles-là, j'apprends beaucoup. Je ne vais qu'en Suisse, car là-bas elles exercent sans contrainte. Il n'y a pas de réseaux mafieux. Tout est transparent, les filles qui se prostituent, reversent un pourcentage à la patronne et gardent le reste pour elles. Je ne me sentirais pas clean si je savais qu'une filière de proxénète s'enrichissait sur de pauvres filles. Là, c'est différent et complètement légal.

Une autre fois il me dit :
- Tu sais que ma sœur doit se marier avec le marquis Jean-Hubert de Monthelon.
- Oui, tu me l'as dit. C'est la volonté de ton père.
- Eh bien, ce fameux marquis, qui se montre comme un homme particulièrement vertueux, je l'ai vu entrer dans un bordel que je fréquente en Suisse. Il ne m'a pas vu. Bon, qu'il aille voir les putes, il n'y a rien à dire.
- Tout le monde le fait, même toi.
- Non, ce qui est intéressant, c'est que lors de mon dernier séjour, je l'ai vu entrer dans le bordel et en sortir seulement quelques minutes plus tard, même pas le temps de faire une pipe rapide.
- Ah bon, que venait-il donc faire ?
- Je me suis renseigné. Il parait qu'il a frappé une fille la dernière fois, si violemment que la patronne a dû appeler les flics qui sont tout à côté de l'établissement. Alors depuis, il est interdit de séjour dans le bordel en question. Aucune fille ne veut avoir affaire à lui et la patronne ne tient pas à ce qu'il lui attire des ennuis.

Je crois qu'Antoine se doutait du commerce que j'entretenais avec sa sœur. Oui votre fils savait que je baisais votre fille et n'y trouvait rien à redire. Lorsqu'il m'a raconté cette histoire des frasques du marquis, il savait que cette information serait peut-être, un jour, utilisée de façon fort à propos.


Un jour, Marie-Madeleine me dit que ses parents ne seraient pas là du week-end et que son frère était parti en Suisse (on sait ce qu'il allait y faire). Elle voulait que je vienne chez elle pour que nous passions deux jours de folie. J'étais assez réticente d'aller chez vous, le lieu était trop imprégné de votre présence et me rappelait trop ce que vous me faisiez subir depuis près de deux ans. Mais Marie-Madeleine se montra si pressente, que je finis par céder.

Dès mon arrivée chez vous, avec votre fille, nous nous sommes isolées dans sa chambre. Le lit n'était pas large, nos corps n'en étaient que plus étroitement enlacés. Nous visitions nos sexes en nous positionnant en 69, moi parcourant sa fente humide allant de son clitoris à l'entrée de son anus, elle suçant mon bouton tout excité. Puis nous nous sommes positionnés pour mettre en contact nos deux sexes l'un contre l'autre. Ainsi nos fentes, nos lèvres et nos clitoris étaient les uns contre les autres. Ces doux attouchements nous emportèrent vers des sommets de jouissance.

Nous sommes restées l'une contre l'autre, nues sur les draps, étendues et emplies d'un calme que rien n'aurait pu perturber. Ce n'était qu'une illusion, car lorsque la porte de la chambre s'est ouverte, c'est comme si le ciel nous était tombé sur la tête. La mère de Marie-Madeleine, votre épouse est apparue et est restée interdite devant la scène que nous formions. Sa fille enlacée avec une autre femme, toutes les deux nues. J'étais incapable de réagir tant la surprise était grande. Je suis restée à poil sur le lit devant votre femme dont la stupeur était au moins aussi grande que la mienne. Finalement c'est Marie-Madeleine qui a réagi la première. Elle a jailli du lit dans la tenue d'Eve, est passée devant sa mère et a disparu dans le couloir. J'ai entendu une porte claquer : certainement celle de la salle de bain.

Je me suis donc retrouvée face à votre femme, la mère de ma maîtresse, dans une situation qui était assez inconfortable. Ce que je craignais, c'est de devoir subir une scène où je serais traitée de la pire des manières. C'est me genre de choses qui ont, par principe, l'art de me fatiguer au plus haut point et qui ne règle rien. Il est vrai que je pervertissais sa fille et que je fusse votre employée ou non ne changeait rien. D'ailleurs, se rappelait-elle qui étais-je, ne venant que très rarement à votre bureau. En plus rien ne ressemblait moins qu'une jeune femme derrière le bureau de l'accueil en tailleur (même si en dessous j'étais nue) et une autre nue dans le lit avec une autre fille.

Votre femme, Maryse, est restée très calme, très maîtresse d'elle-même. Elle a fermé la porte de la chambre et est venue s'asseoir sur le lit. Bien que je fusse nue, je n'ai même pas esquissé un mouvement pour prendre mes habits ou pour me couvrir avec les draps. Je restais sur lit, rassemblant seulement mes jambes devant moi contre ma poitrine. Ainsi je dissimulais une bonne partie de mon anatomie, plus par correction que par réelle pudeur. Enfin c'est ce que je pensais, mais finalement, en y repensant, si mes seins disparaissaient, ma vulve devait être bien apparente à votre femme.

- Je me doutais que ma fille vivait une histoire d'amour. Mais je ne pensais pas que ce fut avec une femme. Je ne vous en veux pas, je regrette seulement qu'elle soit lesbienne.
- Elle n'est pas lesbienne, elle aime aussi les hommes.
- Ah ! Vous me rassurez en quelque sorte. Mais... elle a donc fait l'amour avec un homme ?
- A ma connaissance avec deux.
- Vous semblez bien connaitre la vie intime de ma fille. Bien plus que moi en tout cas. J'aurais tant voulu être proche d'elle. J'ai tout raté sur cette ligne. Seriez-vous son initiatrice en cette matière ?
- Oui. Vous voyez je préfère être franche avec vous. J'ai couché avec votre fille, puis je lui ai présenté un ami qui l'a déflorée. Ensuite elle a trouvé un autre garçon avec qui elle partage...
- C'est bien, c'est très bien.

J'étais vraiment surprise de la réaction si calme, si conciliante de votre femme alors qu'elle m'avait vu avec sa fille dans une situation très équivoque. Avec vous la scène aurait été beaucoup plus violente. Elle m'a expliqué rapidement son attitude :

- Mon mari veut la marier à un homme riche. Mais pour cela il faut qu'elle arrive au mariage vierge. Si ce n'est plus le cas, le mariage n'aura pas lieu. Car avant la cérémonie, il faudra montrer patte blanche avec un examen gynécologique. Or, je ne veux pas de cette union. Mon fils m'a appris qu'il était allé dans une maison close en Suisse. Sur le coup j'ai été un peu surprise ; puis je me suis dit qu'il faisait son éducation sexuelle. Et puis mon frère a fréquenté les prostituées lorsqu'il était jeune et ma belle-sœur ne peut que s'en féliciter. Elle a la chance de connaître une sexualité épanouie avec son époux.
- Ce n'est pas le cas avec votre mari ?
- C'est le moindre qu'on puisse dire. Là n'est pas la question. Donc là-bas, à Genève, il a vu celui qui aurait dû être mon futur gendre se faire jeter hors d'un de ces établissements pour avoir tabassé une prostituée. Je m'inquiète pour ma fille, je ne voudrais pas qu'elle tombe dans les bras d'un homme violent.

Elle savait donc ce que m'avait appris Antoine. Elle préférait que sa fille ait perdu sa virginité plutôt que de la marier avec cet homme violent.

- Je vous vois avec ma fille dans une situation incongrue, et pourtant vous me dites qu'elle aime les hommes aussi.
- Oui, madame. Je pense qu'elle sera peut-être bisexuelle avant de choisir sa voie.
- Ne pourrait-elle pas le rester toute sa vie, aimer à la fois les hommes et les femmes ?
- Pourquoi pas, mais c'est peu fréquent. A un moment il faut choisir. Imaginons qu'elle se marie, il faudrait un homme très conciliant pour accepter qu'elle fasse l'amour avec une amie. Là est tout le problème.
- J'en sais quelque chose. Lorsque je me suis mariée, mon époux n'aurait jamais accepté que j'aie une relation lesbienne. J'ai donc coupé tout rapport avec celle qui était pourtant ma meilleure amie. Elle n'aimait que les femmes, moi je l'aimais, cependant mon éducation ne permettait pas une telle relation. Et puis on m'a mariée sans me demander ce que je voulais.

Votre épouse m'a ainsi avoué qu'elle avait été lesbienne et peut-être même bisexuelle. Je ne pense pas que vous sachiez cette part cachée de la vie de votre femme. Maryse n'était pas la bourgeoise sage et vertueuse qu'on aurait pu croire.

- J'ai été contrainte, continua-t-elle, à devenir une épouse irréprochable, une mère de famille parfaite. Qu'est-ce que j'ai récolté dans ma vie ? Un fils qui va voir les putes en Suisse... mais encore une fois il fait son éducation sexuelle pour le plus grand plaisir de sa future femme, celle qu'il choisira. Une fille qui baise avec des femmes et des hommes. Là non plus je n'ai rien à dire puisque j'y trouve quelques contentements. Un mari qui me délaisse et qui me trompe ; c'est d'ailleurs cela qui me peine le plus. Oui, la vertueuse femme est cocue. Je n'ai été pour lui que la mère de ses enfants, rien de plus ; jamais je n'ai été sa maîtresse ni son amante.

Je me suis dit qu'il fallait que je dise tout, que je joue un gros coup, au point où j'en étais, il était temps de jouer franc jeu avec cette femme qui aurait déjà du m'avoir arraché les yeux :

- Je suis la secrétaire de votre mari. Depuis que je travaille avec lui, il n'a cessé de profiter de moi sexuellement.
- Vous êtes sa maîtresse ?
- Non, je ne dirais pas cela. Cela a commencé par des attouchements, puis je suis devenue sa secrétaire très particulière.
- Il vous a violée ?
- Oui, même si je ne me suis jamais débattue, il m'a violée. Il n'y a pas d'amour dans notre relation. Lui, cherche avec moi une relation sexuelle et moi je ne récolte rien. Je n'aime pas votre mari, loin de là, je supporte de moins en moins les rapports qu'il m'impose. Si vous voulez, je suis sa « pute » comme il dit si élégamment.

Votre femme s'est blottie dans mes bras où je l'ai accueillie. Son étreinte était très tendre et très troublante. Je tenais cette belle femme dans mes bras alors que j'étais nue. Je me suis rendue compte que j'avais envie d'elle. Peu à peu, nos bouches se sont unies. Tout en échangeant de suaves baisers, j'ai senti une main se poser sur un de mes seins. J'ai laissé faire. L'instant d'après Maryse a quitté son chemisier et son soutien gorge. Entre ses seins, tout contre sa peau, il y avait un crucifix en or d'une grande beauté. Je me suis emparée de sa belle et ample poitrine et j'ai caressé les deux globes puis je suis venue poser ma bouche sur les pointes roses, appétissantes comme des fruits des bois.

J'ai commencé à parcourir ces seins avec mes lèvres, à les soupeser, à les caresser tout doucement. Sa poitrine était un peu tombante, mais avait de très beaux restes tout de même. Elle s'est laissé faire, appréciant mes attentions et ressentant un réel plaisir, que depuis si longtemps elle n'avait plus connu. J'avais du mal à croire qu'après m'être fait baiser par mon patron, avoir fait l'amour avec son fils et avoir définitivement perverti sa fille, je m'attaquais avec délice à son épouse. Oui, à la vôtre, qui recherchait la jouissance avec une femme. Et pas n'importe quelle jouissance.

Maryse a dirigé sa tête vers mes seins pour me rendre la pareille :
- Quand je me suis mariée, j'avais de beaux seins comme les vôtres.
- Ils sont encore très beaux.
- Oh, ils tombent. J'ai allaité mes deux enfants, contre l'avis de mon mari. Je ne le regrette pas, bien au contraire, c'est l'une de mes principales satisfactions et l'une des uniques fois où je lui ai tenu tête. Depuis j'ai baissé les bras et je me laisse tromper sans réagir. Comment vous appelez-vous ?
- Audrey.
- Appelle-moi Anne, c'est mon deuxième prénom et c'est quand même mieux que Maryse. Audrey, fais-moi l'amour, offre moi les délices saphiques dont je me suis éloignée depuis trop longtemps.

Puisqu'elle m'y invitait et que tout compte fait j'avais envie d'elle, je me suis occupée de votre femme. Je lui ai retiré sa jupe, j'ai enlevé sa culotte et j'ai découvert un sexe presque totalement rasé. Il restait juste une fine bande de poils noirs qui descendait jusqu'au mont de Vénus. La vulve quant à elle, était complètement glabre. J'ai posé ma tête entre ses cuisses, avec la langue j'ai ouvert la fente. Elle était déjà toute humide. J'ai commencé à titiller ses lèvres pour en faire jaillir le clitoris. Dès qu'il est apparu je l'ai pris du bout des lèvres et suçoté. Mes mains continuaient à jouer avec les mamelons qui étaient devenus durs.

Voulez-vous plus de détails ? Il faudra vous contenter de cette entrée en matière. Je vous dirais seulement que votre épouse a particulièrement bien aimé cette séance entre femmes. Je n'ai fait qu'une fois l'amour avec votre femme. Il ne s'agissait pas pour moi de l'initier, elle connaissait les plaisirs de Lesbos aussi bien que moi. Il fallait seulement que je lui rappelle ses lointains souvenirs pour qu'ils reviennent à sa mémoire avec tout ce qu'il y a de merveilleux et de plaisant dans les jeux féminins.

Elle parla de tout cela avec sa fille et son fils. Elle leur dit que dans sa jeunesse elle avait eu des rapports lesbiens et qu'aujourd'hui elle souhaitait renouer avec ses anciennes expériences. L'un comme l'autre accueillirent très bien la confidence de leur mère, Marie-Madeleine, car elle-même avait goûté à ces plaisirs et Antoine, parce que mon éducation avait fait de lui un homme à l'esprit ouvert. Votre épouse à apprit par la même occasion qu'avant de devenir sa maîtresse le temps d'une chaude étreinte, j'avais été l'initiatrice de sons fils. Ils décidèrent de ne rien vous dire.

Ma vengeance était complète : j'étais votre jouet sexuel. Parallèlement, j'étais devenue votre pire cauchemar sexuel. Vous ne le saviez pas encore, mais vous étiez en train de perdre votre fils qui ne suivrait pas la voie que vous lui aviez tracée. Je ne parle pas de votre fille qui, une fois déflorée, a décidé de mener sa vie privée comme elle l'entendait et certainement pas comme vous, vous le souhaitiez. Quant à votre femme, vous la perdiez également. Oui, elle a retrouvé son amie lesbienne et va se mettre en couple avec elle. Je vous rappelle que la boite dont vous êtes le patron ne vous appartient pas : votre femme en est propriétaire à 50%, votre fille détient 15% du capital et votre fils autant. Avec vos 20% vous n'irez pas loin.

Ce soir quand vous rentrerez chez vous, vous affronterez toute votre famille. Je ne serai pas là, mais dites-vous bien que je suis à l'origine de tout ce qui va arriver dans les heures prochaines: votre femme va vous virer de chez vous et de votre poste de patron de l'entreprise qu'elle possède, votre fils en prendra la tête...

Vous avez tout perdu. Y compris votre chienne de service qui a trouvé un poste beaucoup plus intéressant personnellement (je ne serais plus la pute de service) et financièrement, grâce à votre femme. C'est dans une entreprise dont elle connait la patronne et qui recherchait une collaboratrice qu'elle m'a fait entrer.

Voilà, cette lettre sert de lettre de démission, votre fils qui prend les commandes demain, me dispense de la période de préavis.

Adieux, donc. Vous avez pourri une partie de mon existence. Je suis heureuse de vous pourrir la vôtre pour bien des années.

Audrey