One body. Two bodies. Body-Body. 2/2

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Proposée le 4/05/2013 par Coquin

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Résumé
Lors de vacances en Asie, un couple s'essaye au massage du pays. Le body-body pratiqué sur eux se transforme en une très chaude séance de sexe ou tout deux font l'amour avec un autre partenaire sous les yeux de l'autre. Mais le lendemain, l'homme, qui raconte son histoire dans le récit 1/2, Luc, surprend sa compagne Armelle qui retourne dans le salon de massage après qu'elle est reçue une invitation du patron, son partenaire de la veille. Alors il assiste, au travers d'un miroir sans tain a une scène de sexe ou sa jeune compagne se déchaîne avec trois hommes. Lui-même profite des largesses d'une des masseuses. Il est à la fois troublé, excité et choqué de l'attitude de sa nouvelle compagne. Son attitude ambiguë apparaît encore plus nettement lorsqu'au retour de la femme à l'hôtel, il lui fait l'amour sans rien dire et sans lui accorder le temps de se doucher, alors que l'odeur de ses amants et de leurs spermes est très forte.
Dans cette deuxième partie, Armelle nous conte son point de vue sur ce voyage ainsi que la suite de leur relation une fois rentrés en France. Luc apporte aussi son point de vue.



ARMELLE
« Vivre vite, la mort vient tôt » la devise de James Dean, mon acteur fétiche, me sert de phare à chaque moment de ma vie. Acteur d'un autre temps, d'une autre époque, on pourrait penser qu'avec mes 24 ans, je pourrais avoir des références plus en accord avec ma génération. Mais c'est comme ça !
C'est sur que mon copain actuel, Luc, ne joue pas dans la même catégorie. A priori tout nous sépare. L'âge d'abord. Lui 41, moi 24. Les études. Il est bac plus++, je suis bac--. Il a même été marié. Il est même, mon chef de service. Mais, si on gratte un peu, on découvre un homme plein de ressources, qui sait évoluer, sauter sur l'occasion. La preuve.
D'abord je n'ai pas eu besoin de pousser beaucoup pour en faire mon amant. Et en plus un amant plus que convenable que les hommes de mon âge pourraient prendre comme exemple. Pourtant au boulot, c'est, service-service.
Puis, il n'a pas pipé lorsque je lui ai proposé le Pacs pour ma mutation. Il a bien compris son intérêt et que s'il voulait me conserver dans son lit il fallait faire un effort. Je suis prête à tout pour rentrer chez moi. Paris me gave. Tout est trop cher. Les mecs se la pètent. Trop de concurrence. Bien sur je pourrais me trouver un mec qui me garderait au chaud avec tout ce qu'il faut pour vivre, mais à quel prix ? Et mon soleil ! Mes plages ! Mes Cévennes ! Je suis lucide. Pas mal foutue, bonne au lit, mais ce n'est pas suffisant. Alors Luc, ce n'est pas si mal.
Ensuite mon Luc s'est révélé sous un jour que je ne pensais pas. La première semaine en Asie a été top. Il sait choisir ses destinations et les hôtels. Pas pingre non plus. La carte bleue chauffe. Mais là ou il s'est surpassé, c'est au salon de massage. D'accord c'est moi qui ai ouvert le feu avec la masseuse. Mais, en grand seigneur, et peu d'hommes en sont capables, j'ai vraiment apprécié qu'il m'offre le proprio. Ce mec m'a rendue folle. Je ne sais pas pourquoi mais son corps, sa bouche et sa queue, pourtant si petite, m'ont fait grimper aux rideaux. Alors vous pensez lorsqu'il m'a rappelée, j'ai répondu présente. On aurait pu croire qu'il savait ce que je voulait. Trois, oui trois mecs en même temps. Réaliser un tel fantasme en France me semblait une gageure. Alors qu'ici tout semble possible et comme un fait exprès ce putain de spectacle m'avait mis le feu au cul.
Le pieds. J'ai pris mon pieds avec ces hommes. Un rêve réalisé. J'adore baiser. Mes anciens copains et Luc peuvent en témoigner. Rien ne me fait peur ou me rebute. Quelques fois je pense que je devrais consulter. Je suis à la limite de la nympho. Mais que c'est bon. Je n'avais pas osé demander de filmer mes exploits au salon, de peur de me retrouver dans des films ou des pornos sur le Net. Salope oui, j'assume. Mais pas au yeux de ma famille.
C'est Luc qui a assuré le service après-vente, sans le savoir bien sur. Le pauvre, il ne sait pas mentir. Dés que je l'ai retrouvé dans la chambre et surtout avec ses remarques « spirituelles » sur les odeurs que je dégageais, j'ai compris que quelque chose clochait. Je puais le sperme, la sueur, la transpiration, la mouille. N'importe qui aurait compris. Merde, l'odeur du sperme desséché se reconnait à cent mètres. Alors vous imaginez, la baise avec la banane, l'enculade, la fellation simulée, tout était évident. Je m'attendais à des reproches et des menaces de faire annuler ma mutation. Mais il faut lui reconnaître ce trait de caractère, mon compagnon de Pacs ne se prête pas à ces chantages. Je vous disais, Grand Seigneur.
C'est dans l'avion, alors qu'il somnolait et qu'en furetant dans la mémoire de son appareil photo, j'ai découvert l'étendue du désastre. Enfin tout n'était pas perdu. Si il avait été le parfait reporter de mes turpitudes, de son coté il n'était pas blanc comme neige. Ses photos étaient magnifiques et seul un homme concerné et voyeur est capable de saisir ces moments furtifs que le plaisir procure. Zoom parfait sur mes lèvres enserrant une bite. Déclenchement en rafale permettant de suivre chaque étape de la fellation avec des clichés répétés me montrant au raz des couilles de mes amants. Que dire des photos de mes branlettes espagnoles. Superbes, magnifiques avec un cliché immortalisant un jet de foutre qui semble sortir d'entre mes seins.
Mais les plus belles sont celles de mon visage, alors que je suis appuyé sur cette glace qui sert de cloison transparente. Chaque image me rappelle ce que j'ai vécu. Ces mains qui me fouillent. Ces bouches qui me sucent et me lèchent. Ces queues qui glissent en moi et me font du bien. Comment a-t-il pu saisir ces instants si furtifs. Et les dernières alors qu'ils me jutent dessus, étalant leurs semences sur le visage, le ventre et les fesses.
Comme je disais, il n'est pas blanc comme neige. N'importe quel ami, mari ou compagnon dans sa situation aurait fait un scandale et serait intervenu. Non lui est resté regarder. En plus ce spectacle l'a excité. Manifestement il a honoré la masseuse deux fois. Et je ne parle même pas de la baise d'enfer qu'il m'a faite à l'hôtel.
Vous voyez cet homme mérite à être connu. On est loin du gars pépère et étriqué. J'avais prévu de le larguer dés que j'aurais ma mutation, mais je vais attendre. De toute façon, je suis fauchée et c'est pas mon déménagement qui va reconstituer mes finances. J'espère bien vivre un peu chez lui, dans sa maison de famille dont il m'a parlé. Oh, ne me jugez pas mal, il ne va pas le regretter. Je vais le gâter.


LUC
Dans l'hôtel je me posais des questions. Dans l'avion, beaucoup de mes hypothèses se sont effondrées. Pendant que je somnolais, Armelle a regardé mes photos. Je me suis réveillé et je l'ai vue, mais pas elle.
Elle sait que je sais. Mais elle ne sait pas que je sais qu'elle sait.
Résultat. Personne n'a rien dit. Elle et moi faisons comme si de rien n'était et comme je n'arrive pas à prendre une décision je laisse courir. On verra bien. Qu'est ce que je risque? Que du plaisir. Plaisir de faire l'amour avec elle. Plaisir d'imaginer. Peut être même plaisir de jouer à nouveau les voyeurs et qui sait les partenaires.

En septembre les travaux dans ma maison n'étant pas terminés nous avons élus domicile chez des amis, Seb et Suzy. Ce sont des amis d'enfance que mon ex m'empêchait de revoir. D'ailleurs elle m'empêchait de tout. Bon débarras! C'est vrai que je n'aurais pas du lui raconter que pendant longtemps Suzy a été notre maîtresse, passant de Seb à moi et vice versa. Elle était comme ça ma Suzy. Indépendante et libérée. Un peu comme Armelle. Mais elle a fini par choisir Seb, dit le "queutard" qui se vantait d'avoir la plus grosse du coin. Vantardise de jeunesse. Enfin cela m'a permis de me persuader que si Suzy l'avait préféré, c'était pour cette raison. Avec du recul, je sais que je n'étais pas près pour une vraie liaison, et les femmes sentent cela.
Je n'ai pas reproduis la même erreur avec Armelle. Motus sur cet épisode. Seb et Suzy sont des amis d'enfance, point barre! D'ailleurs qui soupçonnerait le gentil couple qui nous reçoit, de s'être livré à des facéties sexuelles pendant leur jeunesse. Un clerc de notaire et une comptable, quoi de plus respectable et, en plus il y a prescription.
Par contre moi je me sens un peu dans mes petits souliers de partager leurs quotidiens. Par moment j'ai des souvenirs qui remontent et comme, par principe je ne conserve que les meilleurs !
En tout cas Armelle est accueillie avec bienveillance et des remarques du genre.
- Elle nous change de ton ex.
Et l'incorrigible Seb de me demander.
- Dis donc, tu fais dans la jeunesse maintenant. C'est un bon coup ?
Venant de lui, la question de m'étonne pas. Non, c'est juste qu'ils aient classé Armelle dans la catégorie fille de passage, sinon il n'aurait pas posé cette question. Mon ex n'a jamais suscité de tels questionnements. Pourtant je n'ai rien dis qui puisse le faire penser. Cela se voit donc tant que cela ? C'est drôle ce sont toujours les gens non impliqués qui ont le jugement le plus sur. D'une certaine façon ce sont eux qui font basculer ma décision.
Du bon temps. Voila. On verra après.

L'avantage dans les villages ce sont les traditions. Celle de la fête du troisième samedi de septembre est bien sur respectée. Manèges, défilé et surtout le bal, le fameux bal.
Combien de fois avons-nous entraîné des filles de ce bal vers les vignes juste à coté. Combien d'ados ont perdu leur virginité entre les plans, quelquefois encore couverts de leurs grappes. Si les sillons pouvaient parler! Combien de réputations anéanties, de femmes et de maris infidèles jetés en pâture. Mais aussi combien de promesses d'amour, de serments éternels pour un instant de plaisir. Combien de cris, de gémissements, de "oui, oui", de "encore, encore", de "plus fort, plus fort", mais aussi de "non, pas par là", de "non pas dans ma bouche", heureusement couverts par le bruit de la musique.
En vingt ans la population a bien changé et je ne reconnais presque personne. Heureusement mes amis nous servent de factotums et nous trinquons avec une ribambelle de gens qu'ils invitent à notre table. Armelle est l'objet de tous les regards et j'imagine ce qui se dit dans notre dos. Elle est souvent invitée à danser et je suis fier comme un paon lorsqu'elle me demande l'autorisation. C'est totalement désuet mais c'est une façon de montrer à tous que nous sommes ensembles et que je suis respecté. Nous sommes tous un peu sous, mais la nuit est étoilée, mon Armelle ne s'absente que pour danser, mes amis sont charmants.
Suzy revient d'une danse entrainant avec elle un couple, qu'elle nous présente d'un nom, à coucher dehors, manifestement des Hollandais ou de Flamants, mais qui parlent un Français sans accent. L'homme doit bien avoir la soixantaine alors que la femme, probablement sa fille la vingtaine. Pendant que Suzy danse avec la fille, Eefke, et l'homme, Lieven, avec Armelle mon copain me met au parfum. Ce sont eux qui ont racheté la grande propriété qui nous intimidait, enfants. Domaine clos avec gardien et chiens dissuasifs.
A leur retour, l'homme insiste pour nous inviter et "déguster un alcool de poire merveilleux". Manifestement mes amis connaissent bien le couple et nous suivons.
Après je ne suis plus sur de rien. Oui nous avons dégusté, comparé, sa poire et d'autres. Je me souviens juste que je me suis réveillé à un moment et que seul Seb était entrain de ronfler à coté de moi. Je pars en exploration dans la gigantesque demeure, vide, jusqu'à ce que je trouve à l'étage une porte ouverte. C'est une chambre, à peine éclairée mais je suis retenu par des bruits bizarres. Quelques pas et je découvre sur un lit deux femmes qui se lutinent dans un 69 endiablé et lubrique. Armelle? Suzy? Mais qui? Bourré, mais tout de même assez lucide pour ne pas faire d'esclandre, j'arrive à patienter assez longtemps pour reconnaitre Suzy avec la fille.
Je vais laisser les gouines seules lorsque je remarque qu'une main pend du grand fauteuil qui fait face au lit. Quelques cheveux blancs qui dépassent du dossier me confortent dans l'idée que c'est l'homme, Lieven qui regarde. Mais il fait plus que regarder, il doit se branler car il parle dans sa langue avec un ton qui ne trompe pas. Le pervers! Regarder sa fille faire l'amour, avec une femme en plus! Se branler de ce spectacle! Mais quel père est-il' Mais quelle fille accepte de se prêter à ce jeu malsain' Quelle famille ! Et Seb qui dort pendant que Suzy participe à cette débauche.
Je retourne dans le salon ou mon ami ronfle. Je vais le réveiller pour lui dire. Mais, non. De quoi je me mêle? Et Armelle? Ou est Armelle? Le coup de pompe me reprend. Le temps de m'assoir et hop je dors.


ARMELLE
J'ai connu pire comme situation. Un job, un amant attentionné, un toit et des amis charmants. Suzy surtout. J'ai horreur des gens qui, sous prétextes qu'ils ont réussis et ont de l'expérience, vous bassinent de conseils, voir de reproches. Avec elle, rien. Elle a un don. Celui d'attirer les confidences. En quelques jours elle sait tout de moi, de mon parcourt, de mes amants, de mes plans, et même de tout ce qui s'est passé en Asie. Mais les confidences marchent aussi dans l'autre sens et j'apprends la jeunesse de Luc. Pas étonnant qu'il soit si ouvert. Elle me confie aussi plein de choses sur sa vie avec Seb, son amour pour lui, sa tendresse pour Luc et aussi plein d'autres secrets que je garde pour moi. Promis, craché, juré.
Le bal. Oh, le bal c'est quelque chose. Combien de fois il m'a fallu refuser d'aller " regarder les vignes sous la lune". Combien de fois il m'a fallut retrouver mes distances avec le mec qui se colle et qui, mine de rien, essaye de vous faire sentir sa bite durcie. Merci, mais j'ai cela à la maison et même si c'est toujours agréable de faire bander, je ne suis pas là pour "tirer le pi de la vache", comme on dit chez moi.
Le Lieven, c'est autre chose. Distingué, presque distant et maniéré, il tranche avec les gars du coin. Il a sourit lorsque j'ai parlé de sa fille qui dansait avec Suzy dans un slow presque sensuel.
- Oh, ce n'est pas ma fille. Eefke est ma femme. Depuis trois ans maintenant. Elle adore Suzy. C'est une grande amie.
La façon dont il a dit cela! Un message à faire passer! Mais lequel'
J'ai compris chez lui. Les hommes étaient partis dans l'alcool de poire. Suzy m'entraine pour visiter! Eefke et Lieven suivent. Au premier étage, une chambre. Aussitôt l'homme s'installe dans un fauteuil si grand qu'il disparait. Tout semble calculé, comme si ce n'était que routine. Les deux femmes s'embrassent et commencent une parade amoureuse qui les amène nues sur le drap de satin. Je me sens exclue. Elles sont dans leur trip. La différence d'âge ne se voit pas. Etrangement c'est la fille qui est plus généreuse. Suzy montre un corps sec, de petits seins nerveux, mais c'est elle qui mène la danse.
L'homme me propose de la main, un coussin à même le sol et je m'en contente, ne voyant aucun autre meuble dans la pièce. Suzy lèche son amie qui parle, parle, on se sait à qui. A l'homme surement qui de toute façon est le seul à pouvoir comprendre leur langue brutale. Il lui répond. Les femmes se placent en 69. Chacune plonge dans l'autre. Il fait trop sombre. J'aimerais voir ce qui se passe entre les cuisses, les langues qui percent, les lèvres qui sucent ou aspirent d'autres lèvres, plus intimes. Les cris de plaisir sont absorbés dans les intimités. Les corps ondulent. Je suis une spectatrice alors que j'aimerais autre chose.
Une main s'appuie sur mon épaule. Je tourne la tête et me retrouve nez à nez avec le sexe de l'homme qui pointe maintenant hors du pantalon. Un sexe pas si vieux, pas ridé comme le visage de son propriétaire, non une belle bite bien raide, bien tendue, sans un pli, même pas de prépuce. Circoncit, le plaisir des dames, la chair offerte sans la peau sur le gland.
Que faire? Vous croyez que je me pose la question s'il faut le sucer? Mais non! La question est: Par ou vais-je commencer? Le début! Oui le début! Le gland d'abord. Mais avant, faire sauter ma robe qui me gène. Le slip, le soutif, que je garde précieusement dans un coin. Pas question de rentrer à poil à la maison. Une fois cela suffit.
Et je plonge. Je n'en fais qu'une bouchée. Cela me rappelle des souvenirs distants de plusieurs fuseaux horaires. Il n'est pas si gros! Il n'est pas si long. Ma gorge le retient. J'aspire la petite goutte qui perle. Sa main m'impose son rythme. La mienne est dans ma chatte et flatte mon clito. Les gouines gémissent. L'homme cherche mon intimité. Un orteil se dresse, succédané de la queue que je suce. Il entre dans mon con, maladroit mais je l'aide. Il suffit d'écarter les cuisses et de m'ouvrir un peu plus pour que les doigts de pieds me pénètrent. Ah, les singes ont de la chance. Pieds et mains peuvent faire jouir, caresser, possèder. Connaissent 'ils leur bonheur?
La main accélère son mouvement. Il va jouir. Il parle. Ils se parlent, s'informent. J'ai compris leur jeu, leur fantasme. Jouir en même temps. Jouir par d'autres mais en communion. Ils sont mimis, ce vieux et cette, femme ado.
Je sens la montée de sa semence. Il est temps de dégager. Je saisis sa queue et dirige son sperme sur lui. On ne fait pas deux fois la même erreur. Pour l'instant je finis de le branler à la main et petit à petit la source se tarit.
L'homme est un extra terrestre, multitâches, attentionné. Son plaisir ne lui suffit pas. Bien sur la jouissance de sa femme que l'on ne peut pas ne pas entendre, mais la mienne, oui la mienne. Décidemment les mecs de mon âge devraient prendre des leçons. Il ne suffit pas de bander comme un turc, de baiser pendant des heures, de ramoner le con ou le cul avec résistance. Non il faut le petit plus. Le petit geste qui caresse une joue, le baiser chaste sur les lèvres, la parole qui apaise, la main qui enveloppe.
Il m'attire vers lui. Ses lèvres s'emparent des miennes. Son sexe maintenant reposé se frotte à mon pubis mais ses mains arrivent. Et je jouis, sans retenue, avec une coulée de jus qui m'inonde, qui humidifie ses doigts. Ses doigts qu'il porte à ses lèvres comme s'il voulait gouter ma production de l'année, le millésime 2012, celui qui fera parler dans les chaumières.

Nous retrouvons nos compagnons qui dorment du sommeil du juste, celui que l'alcool de poire fournit aux connaisseurs. Luc ne se doute de rien. Mais dois-je vraiment cacher cette expérience? Je me demande si son mécontentement ne serait pas plus de ne pas avoir assisté que de mon infidélité?


LUC
Le lendemain, alors que nous sommes rassemblés autour du petit déjeuner, Seb se moque de moi et m'informe d'un certain nombre de choses, lorsque j'avoue, sans citer Suzy, que j'avais surpris le vieux entrain de se branler devant sa fille nue.
La fille est en réalité la femme de Lieven. Quarante ans d'écart, l'argent le permet. L'amour? Je demande à voir. En tout cas le couple assume et l'homme conscient de ses limites sans l'aide de la chimie, accepte que sa femme se permette tout, à condition que cela se passe devant lui. Cela me rappelle quelque chose! Pas vous' Elle lui sert aussi de rabatteuse, lui procure du spectacle mais aussi, des femmes.
Je ne peux pas m'empêcher de poser la question qui me tenaille.
- Comment tu sais tout cela? Vous avez l'air de bien vous connaitre.
C'est Suzy qui répond.
- Luc, ne sois pas gêné. Tu peux dire que c'est moi que tu as vue avec Eefke. Seb est au courant.
Seb confirme en hochant de la tête.
Armelle vient mettre son grain de sel et toujours très directe.
- Si je comprends bien vous faites des échanges. J'imagine que toi Seb tu te tapes la fille.
Et se tournant vers Suzy.
- C'est toi la plus chanceuse, la femme et l'homme, le choix du roi. Quoique le vieux, si j'ai bien compris n'est pas très actif.
Suzy éclate de rire.
- Oh, Armelle, si tu n'existais pas il faudrait t'inventer.
Mais Armelle ne se satisfait pas de cette boutade, elle insiste.
- Vous dites que la fille sert d'appât et de rabatteuse, mais comment elle fait dans ce coin ou tout le monde se connait'
Excellente question. Il ne faut pas oublier que l'on est en province et qu'une simple rumeur peut tuer une réputation. Les gens sont envieux. Ils n'ont pas le courage, ils envient, alors ils condamnent et jettent l'anathème. L'inquisition n'est pas si loin!
Étrangement la question provoque un malaise. Seb et Suzy échangent un regard. On les sent hésitants. Mais finalement, Seb parle. Il faut tendre l'oreille pour entendre.
- Euh, en réalité, il existe une sorte de groupe. Des couples, des célibataires, la plupart de la région. Ils se retrouvent dans le domaine de... C'est très discret. Les murs sont assez hauts, n'est ce pas Luc'
Encore une fois Armelle est plus vive que moi.
- D'accord! Le vieux et Eefke organisent des soirées érotiques dans leur maison. J'imagine que cela baise à tous les étages. Bien sur vous en faites partie!
Ce n'est même pas une question. Ils ne répondent pas, juste sourient.
Un silence, gêné s'installe. Gêné, non pas vraiment. Juste le temps de digérer toutes ces infos. Et puis soudain.
- Luc, ne fait pas cet air réprobateur. Tu n'es pas tout blanc non plus. Tu veux que je te rappelle les années 90. Tiens, sans aller si loin, juillet 2012. Massage, partage, voyeurisme et j'en passe. Alors!!!!! Bon!!!!Ca va!!! Pas de morale.
Tout le monde est stupéfait de la tirade de Suzy, car c'est elle qui m'interpelle de cette façon.
Je ne comprends rien, je n'ai rien dis ou alors mon visage, traits tirés par l'alcool et mal rasé a pu donner une fausse impression. Mais je retiens tout de même deux infos.
D'abord la coquine d'Armelle a été raconter notre aventure et j'ai bien l'impression qu'elle lui a tout dis, y compris sa partie de baise à quatre avec moi dans le rôle du voyeur. J'ai l'air de quoi moi?
Mais aussi que Suzy attache encore beaucoup d'importance à mon avis. Et pourquoi, si ce n'est qu'elle me kif encore?
- Suzy, qu'est ce qui te prend' Demande Seb.
Elle ne fait qu'un geste de la main, montrant qu'elle ne veut plus parler. Elle doit aussi réaliser ce que sa tirade affiche. Elle a trahit Armelle en parlant de ses confidences et Seb la regarde d'un drôle d'air.
Armelle est encore la plus vive. Elle se lève vient s'asseoir sur mes genoux et tout en frottant sa main sur ma barbe piquante.
- Je crois que tu te trompes Suzy. Luc a son visage du matin, pas toujours souriant. N'est ce pas que tu tires toujours la tronche le matin'
Je réponds de son aide.
- C'est vrai. Mais Suzy, je te jure que je ne juge pas. Comme tu le dis je serais mal placé, surtout maintenant.....
Et pour appuyer mes dires, je me tourne vers Armelle. Puis je regarde mes amis.
- C'est votre vie. C'est votre couple. Vous avez raison. C'est super d'être libéré ainsi et de se faire confiance. C'est sur que ce n'est pas avec mon ex que j'aurais pu faire comme vous. Je vous envie.
Suzy qui se tortille sur sa chaise, sous le regard de Seb, réagit.
- Oui, excuse-moi Luc, j'ai été conne. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Et toi Armelle, je te prie de m'excuser. Tu m'avais fait confiance et je cafte comme une malpropre.
Et ma bonne Armelle de donner sa bénédiction.
- Pas de problème. De toute façon il fallait que cela sorte. Nous ne pouvions pas rester ainsi, Luc et moi. Les cachotteries sont mauvaises pour un couple.
Et Seb, un peu largué.
- Oh, les enfants il faut me faire une explication de texte. J'ai rien compris à vos discussions. D'abord qu'est ce que tu as fait en juillet, Luc ? Waouh, la poire du vieux m'a grillé des neurones.
Sa remarque détend l'atmosphère. Nous rions.
- Demande à Suzy. Non, mieux, à Armelle elle va t'expliquer. Mais plus tard On a à parler.
Et j'entraine Armelle avec moi dans notre chambre.
Elle a un culot monstre et attaque aussitôt.
- Bon, d'accord j'ai vu les photos.
- Je sais. Le problème n'est pas là. Le problème c'est les trois mecs, et ce que vous avez fait ensemble.
- Comment' Tu savais que j'avais vu tes photos ? Et moi qui n'osais rien dire. Dans le genre faux cul, tu te poses là.
- Ne change pas de sujet. Revenons à nos moutons.
Elle a une répartie terrible et essaye de dédramatiser avec un bon mot.
- Des moutons ? Si tu les appelles comme cela !
Mais elle voit bien que je n'entre pas dans son jeu, alors elle fait dans le genre petite fille fautive.
- Bon d'accord, j'ai merdé. J'aurais du te parler de ce fantasme. C'est de ta faute aussi. C'est toi qui m'as traînée à ce spectacle et à cette séance de massage Alors quand le patron m'a envoyé les fleurs et que j'ai compris l'opportunité, j'ai plongé. Normalement tu n'aurais rien du savoir. C'était que du sexe, un fantasme. Pas de sentiment. A Paris, tout aurait été oublié. Et puis dis donc, qui a joué les voyeurs sans intervenir ? Hein tu t'es bien gardé d'intervenir.
Je sens que bientôt tout va être de ma faute. Alors,
- Non, c'est vrai. Mais je considère que dans un couple on est libre. Et toi tu voulais ces hommes. Alors j'ai laissé faire.
- Oh, le coquin, le pauvre malheureux qui s'est consolé en faisant le voyeur et en prenant un max de photos. Très belles tes photos mon Chéri, d'ailleurs. Et la fille ? Oui, tu oublies la fille. Tu sais celle qui te suce, que tu bourres ou que tu encules tout en me regardant. Allez reconnait que tu étais tout excité du spectacle ! Allez avoue.
Que répondre.
- Oui, c'est vrai. Mais il ne faut pas inverser les rôles.
Mais elle est lancée.
- Et c'est qui, le pauvre malheureux qui m'attendait à l'hôtel ? Hein le faux cul qui savait que je n'avais plus que ma robe et que je n'avais pas pu prendre de douche. Oui, c'est qui? Mais c'est bien toi, oui, toi qui bandait comme un taureau et que je voyais renifler le sperme des autres. Alors, mon Chéri, j'ai des fantasmes, mais j'assume. Et toi? Hein' Et toi?
Elle voit que je suis sonné. Elle a réussi l'exploit de renverser la faute et en plus d'appuyer là ou cela fait mal et que j'essaie d'oublier.
Généreuse, la coquine, elle me prend dans ses bras et d'un baiser m'accorde son pardon.
C'est pas beau' Elle devrait être avocate. Avec elle c'est le cocu qui devrait payer la pension alimentaire.
Magnanime et pas dépourvu d'arrières pensées, je déclare.
- Tu as raison. On oublie. Mais maintenant on ne se cache rien.
Pourquoi d'un seul coup, son visage se fige. Qu'ai-je dis' Qu'ai-je fais'
- Mais c'est-à-dire....
Elle fait sauter sa nuisette. Elle tire sur mon boxer.
- Hier....
- Quoi hier?
- Pendant que tu dormais ils m'ont entraînée avec eux et pendant que les filles se gouinaient, j'ai sucé le vieux.
Que faire? Elle est si spontanée! Baiser est normal pour elle. Il faut en prendre son parti.
- Sa..Lo..Pe..
Dis-je en souriant.
Et tendant ma verge.
- Allez suce moi. Montre moi comment tu l'as pompé le "Lieven". Si c'est bien, je te pardonnerai.
Et c'était bien..

Quinze jours plus tard, les travaux étant enfin terminés, nous décidons d'emménager et d'organiser une pendaison de crémaillère. Les invités sont peu nombreux. Suzy et Seb bien sur, mais aussi les Hollandais. Après tout nous avions été invités chez eux. Nous avons de la chance il fait très beau et sans une once de vent, ce vent qui vous gâche le plaisir.
Les femmes se sont misent en beauté. Rivalité? Complicité? En tout cas nous les hommes ne nous plaignons pas. Armelle s'est très impliquée dans la préparation du repas, elle courait en short et soutif jusqu'au dernier moment pour revenir de la salle de bain très en beauté. Privilège de la jeunesse et de la fraîcheur.
Nous prenons le repas dehors, inaugurant notre matériel de jardin. Tout se passe à merveille, les Hollandais se révèlent charmants et drôles. L'alcool aidant nous nous décontractons et sans que je ne voie rien venir j'entends Eefke qui dit.
- Et ce voyage en Asie? Il parait que vous avez essayé les salons et leur fameux Bodybody?
Et elle ajoute avec un regard malicieux tout en regardant ma compagne.
- J'ai entendu dire qu'Armelle avait fait des folies de son corps.
C'est incroyable, tout le monde est au courant! Je vais nier ou minimiser quand j'entends Armelle qui répond.
- C'est vrai. Luc est un amour. Il m'a permis de réaliser mon fantasme. Oui, vraiment c'est un amour.
Au moins je ne passe pas pour un con de cocu. Elle sait protéger mon amour propre. Même avec ces deux couples de libertin, je fais grand seigneur.
Mais je ne suis pas encore remis, qu'elle ajoute.
- Nous avons plein de photos. Vous voulez les voir?


ARMELLE
Au moins le coup de sang de Suzy aura servi à tout mettre sur la table. Maintenant Luc et moi sommes débarrassés de tous ces mensonges et omissions.
Son copain Seb, m'a demandé de lui raconter, comme promis, nos aventures. Je lui ai fait une version qui donne le bon rôle à Luc, comme pour Suzy. Je passerais aussi pour une fieffée salope si je disais que j'ai baisé avec trois mecs sans son accord.
Les femmes sont bavardes et Suzy a du raconter cela à sa copine Eefke car c'est elle qui met le sujet sur la table pendant la pendaison de crémaillère. Et là, comme toujours, il faut que je parle plus vite que je ne réfléchis. C'est au moment ou j'ai parlé des photos que j'ai compris ma connerie. Mais il a bien fallu assumer car les autres ont sauté sur l'occasion.
Quelques minutes plus tard, on est tous les six installés autour de la grande table rectangulaire de la salle à manger, avec vue sur la télé. Si on avait bien reçu le grand écran plat, par contre on doit se contenter de deux bancs comme sièges. Les autres meubles ne sont pas encore livrés. Les trois filles d'un coté, les trois mecs de l'autre et c'est parti.
Waouh sur un 56 pouces, les photos nous sautent à la figure. Sur l'écran de l'appareil photo et même sur l'Ipad, cela reste encore intime. Mais là, ça flashe. Et mon Luc n'a pas lésiné sur le zoom. Par moment le mode rafale donne une impression de vidéo.
Je suis la star de la soirée. Chaque centimètre carré s'affiche. Je suis la salope, la bouffeuse de bites, la reine de la cravate de notaire, la pompeuse de sperme, etc. Heureusement Luc apparaît par moment. Enfin quand je dis apparaît, c'est sa queue qui apparaît, lui aussi pompé et enculant sa masseuse.
Le diaporama recommence depuis le début et ils seraient restés si Luc n'avait, d'un coup de poignet magistral, stoppé le défilement.
Tout le monde sort de sa torpeur. Nous nous regardons. Les yeux se croisent, les sourires s'esquissent.
C'est Eefke qui rompt le silence.
- Bravo. Bravo à tous les deux. Belles images.
Et poussant un soupir.
- Je suis toute chose. Ma chatte est humide. Et vous les hommes'
Et sans attendre une réponse, nous la voyions se glisser sous la table pour disparaître. Mais en face, les hommes tressautent les uns après les autres. Et de dessous une voix nous appelle.
- Hé, les filles! Venez ils bandent. Allez chacun le sien.
La minute suivante trois sexes déjà bien tendus, trouvent le chemin de nos gorges. La répartition s'est faite naturellement. Moi avec Seb. Suzy avec Lieven. Et Eefke avec mon Luc. Le Seb mérite sa réputation. Il a une grosse queue et les couilles à l'avenant. Il est au milieu et j'aperçois à ma gauche mon Luc qui, la verge déjà bien raide, ne peut pas cacher que le spectacle de sa copine en train de se faire mettre par d'autres, le fait bander. Il aime me voir baiser avec d'autres, c'est évident. A ma droite celui que j'appelle le vieux, mais avec tendresse car si jeune de caractère, présente un bel outil à Suzy. D'une certaine façon c'est un hommage à mes prouesses.
Toutes trois nous nous activons, avec entrain, sur les mecs et chacune jette des regards furtifs sur sa voisine. Ce n'est pas une compétition mais tout de même. Les photos m'ont fait passer l'examen de passage haut la main et si sous cette table, je n'arrive pas à gober profond le mandrin de Seb ce n'est pas par inexpérience mais plutôt qu'il faudrait une bouche à la Julia Roberts pour y parvenir. Elles bien sûr, peuvent s'enorgueillir de les pomper profond et pourtant mon Luc n'est pas de ceux qui s'enfourne si facilement.
Nous faisons une belle brochette de salopes, à quatre pattes sous cette table, qui suçons sans vergogne la bite du mari de la copine. Mais les maris ne s'en plaignent pas. D'ailleurs aux agaceries s'ajoute le mystère d'ignorer quelle bouche les pompe. La nappe est un rempart à leurs yeux.
Il faut tout de même être prudente. Surtout éviter l'éjaculation, qui si elle est la preuve de votre savoir faire, nous empêcherait de profiter à notre tour des bites bien humides et façonnées pour nous. L'expérience parle et Suzon est la première à libérer l'enfant pour apparaître au grand jour. Nous la suivons et les hommes savent maintenant qui est la responsable ou la coupable de l'état ou ils sont.
Le banc est repoussé. Chacune se met à l'aise. J'ai la ferme intention de me faire du bien avec Seb. Je le pousse pour qu'il s'asseye. Je vais m'installer sur lui mais une pensée, résultat d'une éducation sexuelle qui ne retenait que le mot "protégé", me retient. Heureusement une main secourable a abandonné des capotes sur la table. Qui est assez prévoyant pour...?
J'ai bien du mal à recouvrir la queue avec le latex. La prochaine fois il faudra prévoir plus large. Mais pendant que les autres s'installent à leur gout, j'ai le plaisir de descendre lentement sur le mandrin, pensant un instant que ma petite chatte n'est pas taillée pour un tel objet. Mais la nature est bien faite et si la queue frotte un max sur mes parois, c'est un pur bonheur de se sentir envahie par elle. La taille, la dureté et la raideur n'empêchent pas, au contraire, contribuent à mon plaisir.
Je sens ses mains sur mes hanches, glissées sous le tissu de la jupe, qui m'accompagnent maintenant que je me baise sur lui. Toujours à mes cotés mes copines disparaissent derrière le dos de leur amant, alors qu'elles se sont penchées sur la table, leurs offrant leur intimité qui, si elle est comme la mienne, ruisselle d'excitation. La pièce encore vide résonne du choc des ventres contre les fesses.
Eefke reprend son discourt en Hollandais. Manifestement la langue d'origine est celle qui revient dans des moments intenses. Il faut dire que mon Luc la bourre fort. Du coté de Suzy et Lieven on se la joue douce. L'expérience parle et apporte le petit plus que la fougue de la jeunesse néglige. Lieven est un coureur de fond, marathonien des sens. D'ailleurs je le vois nettement profiter d'une reprise de respiration pour changer d'objectif. Du con, il passe au cul.
Eefke part en vrille. Elle délire. Crie des mots que sa langue peut faire croire désapprobateurs, mais le ton et le souffle mis, apportent la preuve du contraire. Mon Luc se la fait grimper aux rideaux. Je suis fier de lui, comme il est fier de moi. C'est cela, ce qui lie un couple, pas la fidélité. Non la fierté que sa moitié remue les tripes des autres, hommes et femmes confondus.
A propos de tripes, Suzy, l'androgyne Suzy, apporte sa contribution à l'ambiance. Son partenaire l'accompagne et lui balance la purée. A moins d'un mètre de mes yeux je vois le cul abandonné par la queue mollissante, rester béat d'admiration et laisser suinter le liquide encore bien épais et généreux. Comme quoi, il faut se méfier de l'eau qui dort.
Au fait le "vieux" n'a pas de capote. Il doit se sentir en confiance et si j'ai bien compris est un usager régulier des lieux.
Mon Luc jouit en même temps que moi et son copain d'enfance. Il se retire de sa captive et j'ai le geste audacieux, décalé, inimaginable dans les bonnes familles, de lui retirer la capote pour porter à mes lèvres son mandrin dans sa phase descendante. Si le sperme des deux étrangers me sont interdits par la prudence, celui de mon Chéri est a ma portée. Enfin, il n'est pas question d'aller boire ce que contient la capote. Beurk! Mais nettoyer sa verge encore humide et gluante de sa liqueur, oui.
J'aime cet instant ou ma langue et mes lèvres ne jouent que pour mon plaisir. Ce petit gout acre qui épice mes papilles. Et suprême perversité, je me fais une joie de partager sa propre liqueur avec mon compagnon dans un baiser lubrique qu'il accepte avec délice. Nos invités nous regardent.
Le temps de nous quitter est arrivé. Ils partent ensembles, nous remercient, nous félicitent. Tout le monde comprend à demi-mots que nous venons d'entrer dans le cercle des initiés. La preuve! Vous voulez la preuve? Et que pensez-vous de ce conseil prodigué par Eefke.
- Vous n'avez jamais pensé à faire un teste sanguin' Vous devriez. Cela facilite grandement les contacts....
Alors'


LUC
Super la soirée de crémaillère. Armelle a assuré. Une vraie diva. A l'écran bien sur, mais aussi après, en vrai. Je suis fier d'elle. Je suis fier de nous. Nous avons tenu notre rang dans la confrérie des libertins du village. C'est tout naturellement que nous avons procédé à des tests HIV, comme nos amis nous l'ont suggérés.
Bien sur nous nous sommes revus et croisés au village mais étrangement rien ne se passe. Maintenant Armelle et moi parlons très librement et elle aussi est déçue. Chacun envisageait déjà les plus folles réunions.
C'est un soir que nous avons enfin notre réponse ? C'est Eefke qui nous invite.
- Je sais que le 22 c'est l'anniversaire d'Armelle Voulez vous venir à la maison pour fêter cela ? Nous serons avec quelques amis.
Bien sur, on accepte. Le soir dit, à l'heure dite nous sonnons à la porte du « château ». Armelle a longuement choisi sa tenue. Elle est divine. Je me suis retenu de la culbuter dans la salle de bain pour la prendre contre le lavabo, alors qu'elle s'enduisait le corps d'une crème odorante, avec un long massage de son intimité qui aurait fait bander un eunuque.
C'est notre hôtesse qui nous ouvre. Elle n'a rien à envier à ma compagne. Sa robe noire, moulante la découvre plus qu'elle ne l'habille. Ses seins généreux forment deux protubérances si bien dessinées et si fièrement tendues qu'ils peuvent faire penser que la chirurgie est passée par là.
Après les baisers de bienvenue elle nous introduit dans le salon ou manifestement les autres invités attendent. En parfaite maîtresse de maison chaque couple nous est présenté.
Seb et Suzy sont là bien sur. Nous reconnaissons aussi le docteur qui est accompagné par une personne qui n'est pas sa femme. Le coquin. C'est auprès de lui que nous avons sollicité les ordonnances.
Le boulanger et la boulangère. Vous pensez à Pagnol ? Erreur, totale erreur. Ils sont noirs. C'est Seb qui m'a raconté leur arrivée, alors qu'ils reprenaient la veille boutique. Les villageois ont commencé par critiquer, suggérant sans jamais vraiment le dire que des étrangers ne sauraient pas faire du bon pain. Pensez, des étrangers ! Oui mais très vite les critiques ont disparues. Le pain était bon. Les gâteaux délicieux. Le chocolat fait maison, digne des grands de Paris. Mais aussi un petit plus qui fait que les hommes se sont proposés pour aller faire les courses. La boulangère. Oh, la boulangère. Une Lionne d'Afrique, un corps de rêve, un port de reine, toujours souriante, de bonne humeur, toujours bien mise, sans ostentation, avec sévérité même. Mais cette boulangère là n'est pas partie, comme celle de Pagnol. Elle a tout ce qu'il faut à la maison. Ils font un couple charmant. Et ils sont là devant nous. La belle Lionne est bien plus aguicheuse que derrière son comptoir. Son chemisier transparent laisse voir sa poitrine. Le Lion d'Afrique ne laisse pas indifférent ma compagne et j'imagine déjà, ce que chacun d'eux envisage de cette soirée.
D'autres couples arrivent. Ils semblent tous se connaître. Finalement Armelle dénote presque parmi toutes ces femmes qui affichent, qui un décolleté plongeant, qui un dos dénudé jusqu'aux reins ou encore un corsage transparent, une jupe au raz des fesses que l'on devine sans culotte. Elle fait petit chaperon rouge au milieu d'une bande de loups.
Les petits fours et toasts en tout genre circulent, accompagnés de flûtes de champagne que des mains charitables veillent à maintenir toujours pleines. Puis la lumière baisse, une porte s'ouvre et un gâteau avec des bougies allumées est apporté. Retentissent alors, des "Bon Anniversaire Armelle". Heureusement nous échappons à la chanson reprise en cœur, que j'ai toujours trouvée ringarde. Bien sur Armelle se prête au soufflé de bougies et, du haut de ses 25 ans réussit brillamment son examen. Un œil exercé peut voir que les bougies sont en réalité des verges fièrement dressées avec la mèche qui sort du méat. Mais qu'aussi des figurines en chocolat blanc et noir, dans des positions sans équivoque, sont dispersées sur la surface de la meringue.
Maintenant les invites défilent pour lui souhaiter "Bon Anniversaire" avec un rituel manifestement bien établi du baiser plus ou moins appuyé sur ses lèvres. On lui offre de petits cadeaux plus symboliques qu'ostentatoires jusqu'à celui présenté par nos boulangers. C'est une boîte en bois, de belle taille et lorsque Armelle soulève son couvercle, son regard montre sa surprise aussitôt accompagnée d'un sourire. Je m'approche et découvre l'objet dans son écrin. C'est un sexe de taille humaine avec ses bourses accolées, magnifique et parfaite copie d'une queue turgescente. La matière est aussi surprenante. Du chocolat. La boulangère lui explique que c'est elle et son mari qui en sont les créateurs. Elle, se charge de prendre l'empreinte et avec un sourire coquin ajoute quelle connaît les bons arguments qui font garder la pause assez longtemps pour que la pâte se solidifie. Lui, ensuite, se charge de couler le chocolat. Le véritable cadeau est en réalité que je suis invité chez eux pour procéder au moulage de ma bitte qui lui sera ensuite offerte. Chaque couple est déjà en possession de la précieuse relique du mari ou de l'amant.
C'est à mon tour de lui donner mon cadeau. Pour le garder secret jusqu'au dernier moment, c'est Suzy qui en avait la garde et qui a aussi aidé à la préparation. Dire qu'Armelle n'a pas été surprise serait un mensonge éhonté. Elle hésite entre étonnement et scepticisme. Le foulard dans une main, les bracelets en tissu dans l'autre elle me regarde. Je l'embrasse fougueusement et tout en l'entraînant avec moi lui souhaite "bon anniversaire chérie".
C'est en procession que nous suivons Eefke qui nous guide dans sa maison pour arriver devant une grande porte qu'elle ouvre avec solennité.
La pièce est dans une pénombre donnant une impression d'intimité renforcée par les tentures aux murs et les canapés, fauteuils et de nombreux coussin a même le sol. Ainsi nous voici dans le lieu de réunion de cette secte bien sympathique qui n'entraîne pas ses membres dans de folles adorations mais leur apporte plaisir et jouissances partagées.
Tous les invités sont là et nous entourent. Suzy prend le foulard de la main d'Armelle et me le tend. La soirée commence vraiment. Nous nous sommes préparés à cet instant mais ce n'est plus si évident devant tout ces spectateurs, même si nous les savons indulgents et à l'écoute.
Je n'ai pourtant pas grand-chose à faire. Un geste, juste un geste. Mais qui est lourd de sens. Il signifie que je donne mon accord à ce qui va suivre.
Armelle qui n'est pourtant pas informée des détails mais qui doit bien se douter et même, tel que je la connais maintenant, doit désirer cet instant, me regarde.
Alors je lève le foulard et le place sur ses yeux comme un bandeau aveuglant, que Suzy noue solidement. Mon premier plaisir de la soirée est le sourire que ma compagne affiche.
Il reste une chose que je fais avec plaisir, c'est faire glisser la longue fermeture éclair qui va offrir aux yeux de tous, le corps sculptural de ma jeune maîtresse.
Voila c'est fait. Armelle est sous le feu des projecteurs, vedette de cette soirée d'anniversaire, dont j'espère elle se souviendra toute sa vie. Elle est à l'aise, même si elle devine que tous regardent. Elle a raison. Ses sous vêtements diaphanes la magnifie.
Mais on me repousse. D'autres s'approchent, l'entourent, des femmes surtout. Les bracelets de tissus s'enroulent autour de ses poignets et des liens tombant du plafond, y sont fixés pour tirer ses bras en l'air. La tension est très faible, juste assez pour qu'elle semble attachée et immobilisée. Pendant ce temps d'autres mains lui font quitter les derniers remparts de tissu.
Déesse offerte ou plutôt, déesse prête à recevoir les offrandes de ses sujets
Suzy me repousse un peu plus. Je dois laisser la place et n'être qu'un spectateur de cette adoration. Elle m'embrasse goulûment. En un instant je retrouve mes sensations de jeunesse et ma verge frémit. Elle détache ma chemise, la fait sauter, détache ma ceinture, glisse sa main dans mon slip et s'empare de mon sexe qui, s'il savait parler, crierait sa joie de retrouver une vieille amie. Mais elle ne va pas plus loin et m'abandonne déjà en me disant.
- Garde-toi pour plus tard, je vais revenir.
Et en adressant aux "Boulangers" qui sont à nos cotés.
- Je vous le confie.
La "Lionne" ne se fait pas prier et continue le travail commencé par son amie. En un clin d'œil, je suis aussi nu que le jour de ma venue au monde avec mon dard bien emprisonné dans sa main. Son mari ne reste pas inactif et lui aussi se retrouve nu. Alors il m'aide à dévêtir sa femme. Lui aussi est fier de proposer son épouse, au corps d'un noir étincelant, ses seins lourds avec de belles aréoles et son entrecuisse que la pénombre rend encore plus attirante.
Elle nous pousse pour nous retrouver assis sur un divan, le "Lion" et le "Blanc" cotes à cotes, le mari et l'amant, complices, alors que la Lionne se penche pour venir rendre hommage à nos verges tendues. Je me laisse aller en arrière profitant du spectacle qu'elle m'offre. Les lèvres nettement soulignées de rouge carmin se détachent et marquent une transition brutale entre la peau rose de ma verge et son propre visage que la pénombre assombrit encore plus. Les étoiles, reflets des bougies dans ses yeux sont du plus bel effet et atténuent le coté délicieusement physique de ses caresses. La belle Lionne, esclave soumise d'un autre temps, me suce avec entrain et ardeur comme si la fin du monde devait arriver et que le temps lui était compté. Elle n'en oublie cependant pas son Lion des savanes et, par une main branleuse, entretien la bitte maritale.
Je reprends mon souffle alors qu'elle va prodiguer ses caresses à son mari. Je peux me concentrer sur le spectacle de ma compagne toujours offerte aux caresses de ses admiratrices et admirateurs. Son visage reflète son plaisir. Armelle, et ce n'est pas la moindre de ses qualités, est franche et entière, affichant clairement ce qu'elle ressent. Elle n'est pas simulatrice. Elle aime ou elle n'aime pas, et le fait savoir. Là, elle aime. Il faut dire que pas une parcelle de son corps n'est laissée à l'abandon. Un homme la possède. Un autre la sodomise. Le fils devant, le père derrière. Elle est entre père et fils, décidément dans cette famille on partage tout. Elle oscille ainsi entre les deux forces, tantôt opposées, tantôt complémentaires. Pour éviter d'être ballottée, ses mains se sont agrippées aux cordes qui la supportent. D'autres mains s'occupent de ses seins, des lèvres sucent les siennes. Mélange des genres. Complément des sexes. Hommes et femmes sont complices pour son plaisir.
Mais la Lionne me cache le spectacle. Elle est montée sur le canapé, me chevauche et porte sa chatte à mon visage. Mes yeux sont éblouit par le magnifique spectacle de cette grotte rose perdue au milieu de la nuit, uniquement protégées par des lèvres charnues et marquées. Et que dire de son anus qui semble totalement inaccessible, protégé qu'il est par un bourrelet de chair circulaire qui affiche sa puissance. Un être minuscule qui aurait réussit la descente de la fesse au sillon, véritable canyon du Colorado, se trouverait épouvanté de la paroi à gravir pour enfin atteindre son but, le cratère de ce volcan éteint.
Je guide ce monde merveilleux vers mes lèvres et ma bouche à l'aide de mes mains sur les fesses de ma cavalière. J'entreprends une exploration de ces lieux secrets généralement interdits au public.
Pendant ce temps une bouche s'occupe de ma verge avec gourmandise.
Cette chatte et ce cul exotique m'inspirent et je suis assez fier de tirer des gémissements de ma Lionne qu'elle accompagne de mouvements du bassin pour se frotter encore plus sur mon visage maintenant gluant de salive et de mouille. Elle m'étouffe, mais aussi je suis sur le bord de jouir et je ne veux pas priver ma Boulangère de pouvoir placer le petit jésus dans sa crèche. Aussi je la fais se soulever un peu et alors que je peux reprendre ma respiration pour demander à ma suceuse de stopper, j'ai la surprise de voir que ma suceuse est en réalité, le mari, le Boulanger, le Lion.
Nous échangeons un regard' C'est la première fois de ma vie qu'un homme me suce. Bien sur, jeunes ados, Seb et moi avons joué à nous branler réciproquement, mais pas plus. Étrangement la seule pensée que j'ai en cet instant est qu'il suce bien.
Mais le couple bouge. La Lionne, toujours cavalière me tourne maintenant le dos et avance vers ma verge, alors que son mari, sexe fièrement dressé se dirige vers Armelle, Armelle que son enculeur a déjà abandonnée.
Le Lion prend la place laissée libre et se positionne. Le fils arrête un instant ses vas et viens pour lui laisser le temps de se positionner. Mari et femme se regardent. La Lionne descend sur mon pieu que je lui présente bien vertical par ma main. Son anus se frotte au gland et comme par miracle le fier sphincter obéit à sa maîtresse en laissant le passage.
Je suis mal placé pour bien voir, mais je suis sur que le Lion fait de même dans ma copine. D'ailleurs il suffit de regarder le visage d'Armelle pour comprendre qu'il est entré. Alors, Lion et Lionne, couple complice, qui, s'encule sur ma verge, qui, encule Armelle. C'est un message subliminal. Nous partageons, oui, mais ensembles.
Il ne reste plus aux amants qu'a prendre et donner du plaisir.


ARMELLE
Inutile de dire que l'invitation pour mon anniversaire était cousue de fil blanc. C'était l'occasion de nous faire intégrer le groupe libertin.
Je passe rapidement sur la première partie de soirée avec les présentations, etc. Mais je ne m'attendais pas au cérémonial que ces coquins avaient imaginé. Surprise agréable d'ailleurs que cette mise en scène. Quelle femme n'a pas rêvé de se trouver à ma place. Savoir que tous les convives ont comme principale mission, celle de vous apporter un maximum de plaisir. Symbole parfaitement érotique de l'amant qui offre sa maîtresse comme Luc l'a fait en me bandant les yeux, me dénudant et me confiant aux mains de ses amies. Je ne sais pas si cela était prémédité ou une erreur, mais le bandeau n'est pas complètement aveuglant. A travers le fin tissu, une fois que j'ai ouvert les paupières naturellement fermées par réflexe, je peux au moins deviner ce qui se passe autour de moi.
C'est ainsi que je vois Suzy repousser Luc pour le confier aux "Boulangers" et revenir vers moi pour se joindre à la meute de femmes qui jouent avec mes sens. Mais même si j'étais parfaitement aveugle je saurais reconnaître le baiser d'une femme, au parfum, à la douceur ou la délicatesse de la langue. Les mains qui enveloppent mes seins sont douces et alors qu'elles les pressent pour en faire jaillir les pointes, ces pointes, d'autres mains les roulent entre les doigts ou qu'une bouche mutine aspire et mordille.
Entre mes cuisses c'est une sarabande de caresses et des doigts inquisiteurs.
Au bout d'un moment mon corps n'est que nerfs exacerbés qui transmettent à mon cerveau des signaux de plaisir qui s'entrechoquent. Impossible d'identifier la source, je ne suis qu'une vague de jouissance.
Heureusement mes liens me retiennent sinon je m'effondrerais. Mes douces tortionnaires cessent leurs tendres caresses et je peux reprendre mon souffle pour regarder ce que se passe autour de moi. Luc est en main, plutôt en bouche avec la Boulangère et les deux hommes rivalisent dans la raideur, sinon dans la taille car les gènes parlent et celle du mari l'emporte, haut la bouche, en longueur.
Mais ce n'est pas la plus longue que j'ai sous les yeux. Juste à ma droite une femme s'occupe aussi de deux hommes. Je les reconnais bien sur. Qui pourrait les oublier. A notre arrivée ils se sont présentés comme, le mari, la femme et le fils, fils ayant largement passé le vingtaine. J'imagine qu'ils savent tout ce que cela déclenche comme questions, voir comme réprobations. Libertinage ne veut pas dire mœurs contraires à la société dans ce qu'elle a de plus sacré, la famille. Aussitôt, elle ajoute.
- C'est le fils de mon mari, je ne suis pas sa mère, juste la belle mère.
Ce n'est pas banal comme situation. Mais en regardant de plus près, je comprend la femme. Autant la verge du mari qu'elle cajole semble ridiculement petite, autant celle du beau-fils sort du lot. J'aurais voulu être petite souris pour assister à leur première fois. La femme a-t-elle dévergondé son beau fils' Le mari a-t-il lui-même proposé cette association' Tout de même drôle de famille.
Elle doit juger qu'ils sont près car ils s'avancent vers moi. La femme joue l'entremetteuse. En experte elle teste d'un doigt ma chatte humide et c'est elle-même qui guide le dard du garçon vers ma grotte. Il est nettement plus grand que moi, aussi il doit nettement fléchir les genoux pour se positionner. Après, comme un grand garçon, en parfaite connaissance de son membre, il se redresse lentement pour avancer comme un long serpent dans mon vagin. Irrésistiblement il progresse et toute étonnée je l'accepte du gland aux couilles. La femme maintenant s'occupe du mari. La aussi elle teste la souplesse et l'humidité et je sens que le mari fait entrer sa queue. J'attends, mais je comprends qu'il est tout en moi lorsque je sens son ventre contre mes fesses.
La femme recule pour contempler son chef d'œuvre et en chef d'orchestre habitué à être écouté elle donne une pichenette sur les fesses du fils comme signal. Les deux hommes trouvent très vite le bon rythme. Manifestement ils sont familiers de cette position, c'est vrai qu'ils ont ce qu'il faut à la maison. Mais moi, cela me va, surtout le fils qui me laboure si profondément que le gland visite des endroits totalement vierges de ma chatte. Très vite je sens le père jouir et libérer dans mes entrailles, son foutre. Maintenant c'est sur, je donne ma bénédiction à cette belle mère qui prends chez le fils ce que le père mal monté et éjaculateur trop rapide ne peut lui donner.
Mon plaisir est si bon que je voudrais le partager avec mon Luc. Mais il est caché par le corps de la Boulangère qui lui donne sa chatte à bouffer pendant que son mari suce la bite de Luc. Oh le coquin.
Juste à cet instant les Boulangers bougent et pendant que la femme se déplace, le mari vient vers moi et se positionne derrière. Sa queue se fraye un chemin dans mon cul, presque vierge, si ce n'est le sperme de l'autre qui malgré tout doit contribuer à la glissade du gland dans mon petit trou.
Le fils ne bouge plus. Il attend que son nouveau partenaire prenne sa part. Il est certain que ce n'est pas le sexe du père qui devait venir se frotter à lui. Mais là, maintenant, on ne joue plus dans la même catégorie. J'ai l'impression qu'un pieu me déchire. La pression est énorme. Les petites bites des asiatiques n'étaient que du menu fretin comparées à celles-ci, et c'est sans difficulté que j'avais accepté les deux.
La douleur doit se lire sur mon visage et effrayer le garçon qui a un mouvement de recul. Mais je le retiens par un sourire certainement grimaçant mais d'où sort un « Non, reste ». Bien sur, il est le premier à sentir la progression du mandrin le long de sa propre queue. Cela doit être une expérience nouvelle, comparé à son père.
Le Boulanger à fini de mettre sa baguette dans mon four. Un coup d'œil me persuade que la Boulangère a aussi trouvé une baguette pour le sien. Elle doit vouloir en surveiller la cuisson car maintenant elle ne cesse de la faire entrer et sortir.
Mes amants sont immobiles, attentifs à mes réactions. Petit à petit je m'habitue et comprend que l'expression " se sentir pleine " prend toute sa signification dans cette situation. Mes asiatiques n'étaient qu'une entrée en matière, une mise en bouche. Ici j'attaque le plat principal et si la soirée tient toutes ses promesses je vais m'offrir le dessert avec un trio d'enfer.
Je les rassure par un petit mouvement du bassin, sans grande amplitude, pressée que je suis entre ces deux corps de mâle. Aussi j'ajoute un "C'est bon" qui les libère.
Ils s'essayent à me prendre séparément mais sans jamais vraiment me quitter. Lorsque le fils avance, me tirant vers lui avec ses mains sur mes hanches, le Boulanger recule, et lorsque c'est lui qui s'enfonce dans mon anus dilaté c'est en m'attirant par ses mains sur mes seins. J'oscille tel un battant de cloche qui vient frapper le corps de mes amants. Ce n'est pas le bruit du métal sur l'airain mais le choc sourd des corps qui se bousculent. Mon Boulanger est de loin le plus bruyant lorsque son ventre frappe mes fesses que je cambre, mais le bruit humide de la queue du fils qui me pistonne est plus érotique encore.
Mais la belle harmonie disparaît lorsqu'ils sentent leur plaisir venir. Chacun va maintenant a son rythme et c'est puissant. Oh oui, puissant et varié. Tantôt je me sens abandonnée, les deux mandrins ayant quitté la chaleur de mes orifices. Tantôt envahie par les deux mêmes bâtons alors qu'ils me réinvestissent en même temps.
Je sens des regards sur moi. L'assemblée est attentive. Les hommes attendent peut être leur tour? Les femmes sont peut être jalouses et voudraient être à ma place?
Voila. Ca vient, je sens que je vais jouir. C'est violent. Je me sens couler, ruisseler.
- Ahhh! Ahhh! Ahhh!
Le garçon vient aussi. Je sens son sperme jaillir dans ma grotte, sa queue gonfler encore plus au passage de sa semence. Il m'inonde. Quel plaisir de pouvoir recevoir cet hommage sans risques.
Le Boulanger continue, infatigable. Sa baguette doit chauffer sous l'effet de ma chaleur et du frottement. Son jus éteint l'incendie allumé. Lui aussi me rince copieusement. C'est bon.
Les verges m'abandonnent laissant une impression de vide.
Un instant je suis seule. Mais je vois Luc s'avancer. Il me parle à l'oreille.
- Alors, ma Chérie, comment trouves tu ton anniversaire?
Et il enlève mon bandeau.
Mon regard parle pour moi. Je suis sur qu'il doit y trouver ce que la jouissance apporte. Mais moi aussi je lui réponds à l'oreille.
- Très bon. Détache moi je vais te remercier de ce cadeau.
Il le fait. Je l'entraîne sur une banquette. Je sens le sperme de mes amants couler entre mes cuisses. Cela me rappelle quelque chose. Mais oui! L'Asie, à l'hôtel après mon escapade. L'attitude trouble de Luc!
Je m'allonge. Il se penche sur moi. Commence ses caresses. Mais je l'attire à moi, l'embrasse à pleine bouche, découvre l'odeur lointaine de la chatte de sa "Lionne". Puis, tout contre son oreille je lui confie.
- Ta bouche sent encore la chatte de ta Boulangère. Tu veux vraiment me faire plaisir?
- Mais, tout ce que tu veux!
- Fais-moi minette, mon chéri.
Et de lui faciliter le chemin, en repliant les jambes.
Sans hésiter il se place entre mes cuisses. Il a un temps d'arrêt en découvrant tout ce que mes amants ont abandonné. Son regard croise le mien. Il obéit à mon ordre muet et plonge son visage vers mon con. Sa bouche s'empare de mon clito, reste un long moment mais par un léger mouvement du bassin je l'invite à descendre. Je peux sentir son hésitation. C'est d'abord un effleurement mais bien vite il prend de l'assurance et maintenant sa langue se promène dans mes sillons.
Il se redresse et vient m'embrasser apportant comme une offrande des perles de jouissance. J'accepte bien volontiers et il repart. Maintenant c'est une langue de fauve qui s'abreuve à la source.
Un sexe se présente à mon visage. Je l'embouche avec gourmandise. C'est mon premier de la soirée et j'espère le premier d'une longue liste. Pendant que Luc me nettoie en m'excitant avec sa langue qui force ma chatte et mon cul pour recueillir les remugles de mes ébats, je suce et astique la verge.
Bien sur il voit la fellation et s'approche en spectateur. C'est mieux qu'avec un zoom! Pensai-je. Il reste attentif aux caresses que je prodigue, et comme les parents qui nourrissent leur enfant à la cuillère, ouvre la bouche par mimétisme. La queue frémit, prémisse de l'éjaculation.
C'est le jour des folies.
- Approche. Je demande à Luc. Et je lui propose la bite à la bouche.
Tout naturellement il prend le gland entre ses lèvres. C'est si naturel. Je branle la hampe avec vigueur et, presque aussitôt l'homme jouit. Luc ne se défile pas, il accepte les giclées de sperme dans sa gorge et ne relâche la verge que lorsqu'elle commence à débander. Alors et alors seulement comme une suceuse expérimentée il avale le jus et me tend ses lèvres. L'odeur est forte, typique de la semence masculine mais agréable à qui sait l'apprécier.
Luc bande. Je ne m'étais pas trompée. Son subconscient parle à sa place. Il aime aussi les hommes mais ne le sait pas.
Déjà les plus folles idées germent dans mon esprit. Son anniversaire n'est pas si loin. Je l'imagine déjà, immobilisé comme je l'étais. Une bouche féminine qui le pompe, moi qui titille son anus pour l'assouplir et accepter la verge qui attend.
Encore mieux, à coté de moi avec trois amants. Lui baisant une femme, suçant un homme et se faisant enculer par un autre. Partie à huit! Qui dit mieux?
Oh, je sens que je ne suis pas prête de le quitter lui et ses amis. Et, peut être que l'amour va remplacer la tendresse. Fonder une famille. Pourquoi pas'

FIN