Petite salope soumise. 1 - Il me prête à ses deux collègues

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Proposée le 12/04/2013 par Gourmandise

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J'avais à peine 17 ans quand j'ai rencontré Enzo qui avait 12 ans de plus que moi et 19 quand j'ai accepté de vivre avec lui et accepté le contrat de soumission. C'est un italien, grand, la peau mate et les yeux clairs, des cheveux noirs et beaucoup de charme. J'ai été folle de lui au premier regard et, lui, apparemment il avait complètement flashé sur mon physique : 1,72 cm, mince, blonde aux cheveux longs, yeux bleus. À 20 ans j'étais en première année de fac à Paris et lui avait un poste important dans une grosse boîte. De ce fait j'avais emménagé dans son appartement et dès ce moment-là, il m'avait obligée à adhérer à un contrat entre nous : il payait tout, j'avais une carte de crédit pour m'acheter tout ce que je voulais mais en échange je devais faire tout ce qu'il demandait y compris et surtout je devais lui être soumise dans tous ses fantasmes. Il était écrit noir sur blanc que je devais à sa demande me comporter comme sa salope soumise. Je n'avais rien d'autre à faire à part mes cours à la fac et le satisfaire : nous avions une femme de ménage qui et la plupart du temps nous sortions pour dîner ou nous faisions livrer par de grands traiteurs. Enzo exigeait que je sois toujours super bien habillée, très classe mais aussi sexy. Il adorait me montrer à ses collègues tous plus âgés que lui (il avait fait carrière à vitesse grand V) qui étaient mariés depuis au moins 10 ans, avaient des gosses, bref une vie pépère. Lui, il pouvait se vanter de se taper une petite jeune. Et il aimait plus que tout que je lui serve un verre et lui fasse une pipe le soir en rentrant du boulot.
Souvent, en début d'après-midi, il m'envoyait un mail pour me donner ses instructions pour le soir : réservation d'un restaurant, commande chez le traiteur et surtout comment il voulait me trouver habillée quand il rentrerait. Ce jour-là, je reçus ce message laconique : "mini-jupe stretch noire ; bustier velours noir ; bas. Manteau long. Talons hauts. AUCUN sous-vêtement. 19h30 au bas de l'immeuble." À l'heure dite devant la porte de notre immeuble, je vis son Audi s'arrêter. Il me fit signe de monter. Je me penchais pour l'embrasser, mais il m'arrêta d'un geste de la main. Il me toisa du regard et glissa direct sa main entre mes cuisses.
- Tu as fait ce que j'ai dit, c'est bien, Tesoro. Est-ce que tu es toujours ma petite salope ?
- Oui, Enzo, tu sais que je t'appartiens. Je suis une salope soumise. Demande-moi ce que tu veux, je le ferai.
- Bien. J'ai des projets pour toi ce soir.
- Oui, chéri. Dis-je bien que je stressais sachant que j'allais être baisée et pas que par lui.
Il démarra la voiture. Il se gara dans le parking souterrain d'un immeuble Haussmannien. Nous montâmes dans un ascenseur donc je découvrais qu'il menait non pas à un étage mais directement à un appartement. Pendant la montée il m'embrassa profondément, érotiquement, sa langue entourant la mienne et me glissa son majeur sur ma fente. La porte de l'ascenseur s'ouvrit et nous fûmes salués par un portier « M. Vecchio, Madame, soyez les bienvenus. ». Nous fûmes guidés par une hôtesses ultra-sexy jusqu'à un box où un canapé en velours rouge foncé en demi-cercle entourait une petite table basse sur laquelle on trouvait un petit panier avec des godes, des préservatifs, du lubrifiant, des menottes, un fouet, etc... En fait la pièce où nous étions était tapissée de ces box (il devait y en avoir 8 ou 10) et au centre était une scène vide - pour le moment. Les autres box commençaient à se remplir, les invités arrivaient. Beaucoup de jolies femmes et quelques hommes dont on devinait qu'ils étaient riches. Enzo nous commanda deux whiskys. Je n'osais pas objecter mais je n'aime pas et surtout ne supporte pas bien les alcools forts.
- Bois-le, cul-sec.
Je m'exécutais et faillis m'étouffer avec tant s'était fort. Enzo me montra du doigt le box en face du nôtre de l'autre côté de la pièce. La jeune femme était à genoux en train de sucer deux hommes avec lesquels elle était arrivée.
Enzo fit courir son pouce sur mes lèvres et m'indiqua du regard son entrejambe. Je m'agenouillais et dégrafais son pantalon. Je pris sa bite déjà tendue dans ma main. Je commençais par lui lécher délicatement les bourses et le scrotum en le branlant doucement comme il me l'avait enseigné. Puis laissais glisser ma langue sur sa verge gonflée avant d'enfourner le gland dans ma bouche. Il m'incitait à le prendre plus profond de petits coups de rein. Je le pris en gorge profonde et il me fit part de son plaisir par un gémissement. Ce qui eut pour effet de me faire mouiller ma petite culotte. Il prit alors ma tête dans ses mains pour diriger l'exercice. Ma langue lui parcourait le gland lorsqu'il me relevait la tête et ma bouche l'avalait goulûment quand il me poussait les lèvres jusqu'à la garde.
- Hum, Enzo, c'est une bonne suceuse on dirait ! Elle me donne la trique.
Surprise par l'intrusion de cet homme, j'essayais de me relever mais Enzo me maintint fermement sur son pieu.
- Elle te plait, alors, t'es pas déçu ? Tu permets qu'elle me finisse ?
- Bien sûr ! dit-il avant de s'asseoir à côté d'Enzo.
Au moment de gicler, Enzo me releva la tête, je tendis la langue afin recevoir son sperme chaud sur celle-ci et de bien lui montrer quand je me régalais ensuite de sa semence. J'étais bien un peu gênée de le faire devant un témoin mais, vu qu'Enzo n'avait pas été le moins surpris par l'arrivée de cet homme, j'ai supposé que tout cela était voulu et prévu. J'ai voulu me montrer à la hauteur.
- Alice, je te présente Patrick. Nous attendons encore un ami et nous serons au complet pour la soirée. Tu vas beaucoup aimer qu'ils te baisent et je crois que ce sera réciproque.
Il m'avait parlé de me faire prendre par ses collègues un jour, ça allait donc être ce soir. Mon cœur palpitait sous l'effet de l'angoisse mais bizarrement, ma chatte déjà émoustillée par la pipe à Enzo, recommençait à mouiller à cette pensée.
Sans rien dire mais avec un regard vicieux, Patrick m'intima de me relever et alors que j'étais debout devant lui, glissa ses deux mains dans mon bustier. Il commença à me peloter et mes seins se dressèrent. Il fit alors glisser le bustier, exposant ma poitrine qu'il commença à embrasser, malaxer et pincer. Enzo avait l'air satisfait.
Derrière moi, j'entendis qu'il y avait de l'agitation. Patrick me fit asseoir à côté de lui et j'observais que des acteurs venaient d'entrer en scène. Ils portaient des loups ces masques de carnaval vénitien mais autrement étaient nus. Il y avait une femme et deux hommes. Ils avaient tous les deux leurs queues dressées devant la femme agenouillée. Elle les branlait et les suçait alternativement. Patrick me glissa la main sur la chatte et constatant que j'étais bien mouillée commença à me fourrager d'un puis deux puis trois doigts. J'écartais les jambes pour mieux le laisser faire et me laissais aller à mon plaisir. Enzo se branlait absorbé par le spectacle sur la scène. Constatant que Patrick bandait, j'entrepris de le caresser par-dessus son pantalon. Il était apparemment très bien monté. Il dégrafa alors d'une main la ceinture, baissa sa braguette et je glissais ma main sous son slip pour le branler. Il avait décidément un très beau membre. Au bout de quelques minutes, il me demanda de m'empaler sur son gros chibre. Il me fit asseoir dos à lui pour que je puisse continuer à voir le spectacle. L'un des hommes sur scène prenait la femme par derrière, pendant qu'à quatre pattes elle continuait de sucer leur compagnon. Soulevant ma jupe, j'écartais les lèvres de ma vulve d'une main et dirigeait la bite de Patrick dans ma chatte de l'autre. J'étais en transe tellement j'avais envie d'une bite en moi. Mes seins durs et gonflés ballottaient au-dessus de mon bustier pendant que je rebondissais sur le sexe Patrick. Il me prit les tétons entre ses pouces et index ; la douleur ne fit qu'ajouter au plaisir que j'étais en train de prendre. Enzo fit rouler ses doigts sur mon clitoris et pour le remercier je pris sa bite dans ma main droite pour le branler. Patrick et Enzo me firent jouir deux fois avant que je sente le sperme de Patrick couler dans ma chatte. Je me dépêchais de m'agenouiller devant Enzo et reçu bientôt ses giclées dans ma bouche et sur mon visage. C'est à ce moment-là que je remarquais qu'un homme s'était assis à la droite d'Enzo. Il me maintint le visage d'une main par le menton et de l'autre, racla de le sperme qui avait atterrit sur ma joue, puis me le fit lécher de son doigt.
-Bonjour, beauté, je suis Didier. Je vois que vous avez commencé les festivités sans m'attendre.
Sur ce il me tira de son côté, me retourna à quatre pattes sur la table et fourrant ses doigts dans ma chatte, en retira la cyprine mêlée de sperme et l'étala sur mon anus avant de m'enfoncer un doigt dans le cul. Il fit quelques petits va-et-vient et je sentis ma rondelle se détendre. Il me mit un deuxième doigt mais Enzo lui glissa :
- C'est meilleur quand elle est bien serrée. Elle a l'habitude de se faire enculer.
C'était vrai, Enzo ne concluait généralement pas une baise sans me défoncer aussi le cul.
- Non, lui répondit Didier, je veux qu'elle me le demande, qu'elle me supplie de la prendre.
Je mouillais comme pas permis, je me sentais salope au possible et je voulais être souillée de sa bite. Alors je murmurais :
- Didier, prends-moi.
- Plus fort, salope. Supplie-moi.
- Encule-moi ! s'il te plait, Didier.
Je sentis son pieu à l'entrée de mon trou et il me défonça avant même la fin de ma phrase. Je gémis de douleur et de plaisir en même temps. Mon cul se dilatait sous ses coups de butoir. Il me la mettait jusqu'à la garde, ses couilles battaient contre ma chatte. Je jouissais et j'étais fière de faire honneur à Enzo. Patrick n'y tenant plus, il vint se placer devant moi, la bite à nouveau dure et je la léchais. Elle avait le goût de cyprine et de sperme. Sous les coups de boutoir de Didier, j'avais du mal à le faire correctement alors Patrick m'agrippa par les cheveux et me baisa la bouche sans que je puisse plus rien contrôler. Il m'éjacula longuement dans le fond de la gorge. Puis je sentis le liquide chaud de Didier s'échapper de mon cul. Il se retira et laissa la place à Enzo qui me bourra la chatte comme un sauvage avant d'éjaculer dans mon ventre en à peine trois coups. Il avait dû être bien excité de voir ses amis me baiser.
Je me rassis entre Didier et Enzo, lequel ne me laissa pas remettre mon bustier en place. Je restais donc assise la jupe relevée dévoilant ma chatte qui dégoulinait et les seins dressés. Nous regardâmes la fin du spectacle. La femme sur scène se faisait à présent prendre en sandwich. J'avais bien envie de profiter de la présence de Didier et Patrick pour offrir le même spectacle à Enzo.
Je me penchais alors par-dessus Enzo pour parler à Patrick :
- Je veux que Didier et toi me fassiez ça aussi.
- Tu veux que je t'encule ?
- Oui, encule-moi pendant que je baise Didier.
Je m'agenouillais devant Didier et lui caressait la bite pour le refaire bander. Je glissais sa bite entre mes gros seins en lui titillant le gland du bout de la langue quand il en émergeait. Le résultat ne fut pas long à se faire attendre. Son membre durcît à nouveau très vite. Je fis alors signe à Patrick dont l'énorme bite était déjà toute raide de s'approcher et tournant la tête, je la lui mouillais de salive puis lui crachais sur le gland avant de m'empaler sur Didier puis d'écraser mes seins sur son torse me penchant bien en avant pour faciliter l'accès à mon petit trou. Patrick me pris le cul sans ménagement, il s'enfonça d'un coup. Bien que Didier vienne juste de me défoncer, le diamètre hors norme de la bite de Patrick m'arracha tout de même un cri de douleur. Par contre, lui, il geignait et soufflait de plaisir dans mon dos. La chatte et le cul plein, j'eus plusieurs orgasmes d'affilée. Enzo à côté de nous se masturbait en me voyant prise par ses collègues. Alors que les deux autres continuaient de fourailler en moi à la recherche de leur orgasme, Enzo me tourna le visage de côté et me fourra sa bite dans la bouche où il éjacula en gémissant. Je jouis encore, comblée de ces trois bites dans mes orifices et pendant que je nettoyais la queue de mon homme je sentis Didier puis Patrick se lâcher en moi.
Le spectacle sur scène était fini mais pas dans les box, on voyait des couples, des trios, etc. qui baisaient. Je me levais, glissais ma jupe pour couvrir le haut de mes cuisses, rangeais mes seins dans les coques du bustier et me dirigeais vers les toilettes pour me rafraîchir. Je me rinçais le visage au-dessus du lavabo et me nettoyais la chatte et les cuisses des coulées de sperme pendant que appuyée sur la vasque d'à côté une femme se faisait troncher tout debout par un homme.
Nous prîmes congé de Didier et Patrick, qui me roulèrent chacun un patin monumental et Enzo et moi partîmes. Dans la voiture Enzo n'eut qu'un mot :
- Parfaite. Tu as été parfaite.