Soulevé comme une plume et dominé par la grande et forte Stéphanie(3/6)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 6/04/2013 par Bgp

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Deux brutes féminines de plus !

Grisée par cette sonnerie, Stéphanie me saisit sous les aisselles pour m'asseoir sur sa anche gauche.
Une fois en position, sa main gauche vint sous mes petites fesses et je mis mes bras autour de son cou musculeux. Dans cette position , ma jupette était tellement relevée que l'on pouvait voir le haut de mes bas et les attaches de mon porte jarretelle ! Stéphanie marcha alors à grand pas jusqu'à la porte d'entrée, comme si elle portait une fillette de 6 ans. Terrifié à l'idée que d'autres personnes me voient dans cette tenue, je suppliais Stéphanie d'un "Non ! s‘il te plait". Elle me regarda en souriant ironiquement sachant très bien que la douleur encore présente sur mon petit séant m'empêcherait d'insister. Je me contentai d'enfouir ma tête contre son cou. Une fois arrivé devant la porte, elle me réinstalla sur sa anche d'une puissante impulsion de sa main, puis ouvrit la porte de sa main droite. J'imaginais le spectacle qui allait s'offrir aux visiteurs : "Une belle amazone, grande et musclée qui portait comme une fillette un mec pusillanime habillé comme une prostitué. J'avais encore la tête dans le coup de Stéphanie pour que l'on ne puisse pas voir mon visage. J'entendis alors 2 voix féminines et Stéphanie me dit : "Regarde qui est là !". Extrêmement gêné, je sortis la tête de ma cachette. Je vis alors deux autres brutes de l'équipe de hand me sourirent, Catherine et Ingrid. Catherine était légèrement plus petite que Stéphanie mais par contre avait un carrure impressionnante que beaucoup d'homme lui enviait. Elle pesait pas loin de 100kg et avait des membres très massifs. Sa tête était énorme avec de bonnes joues. Son corps n'était pas très bien dessiné, elle ressemblait plutôt à une boule de muscle. Elle jouait en défense et la légende disait qu'elle avait envoyé un type à l'hôpital sans le faire exprès lors d'un match mixte. Ingrid était une immense blonde. Elle faisait 1m85 et 95kg. Elle avait des bottines avec des talons de 7cm qui la faisait culminer à 1m92. Même Stéphanie paraissait petit à coté d'elle ! Elle portait une mini jupe et un débardeur qui laissait voir un corps musculeux et bien dessiné. Ses cuisses étaient impressionnantes ! Ses bras devaient être aussi gros et musclés que ceux de Stéphanie même si sa taille lui donnait un aspect plus longiligne. Ses mains ressemblaient à des pelles et étaient immenses même pour sa taille. Elle jouait en attaque et je me souviens de comment la balle paraissait petite dans sa main. Elle terrifiait les gardiens et gardiennes. Avec ses longs bras, elle pouvait propulser la balle à une vitesse telle que plus d'une fois les filets des cages ont été déchirés ou que les balles ont explosé contre les poteaux ! Je fus bien sûr la première chose sur laquelle leurs regards de focalisèrent. Elles ne furent même pas surprises de trouver Stéphanie avec dans ses gros bras, un petit homme habillé en femme. Je compris même par leurs commentaires qu'elles se livraient régulièrement à ce genre de comédie: "Mais qu'il est mignon, tu en as enfin trouvé un qui soit hyper sexy en femme ! Et en plus il a l'air tout mince et tout léger". Ce à quoi Stéphanie répondit: "Tout à fait, c'est à peine si je sens son poids, et puis je n'ai pas eu à faire beaucoup d'effort pour en faire une belle petite pute. Il est si fin par nature que quelques traces de maquillage lui donne tout de suite l'air d'une chienne en chaleur". Sur ses mots, elles se mirent toutes à rire. Je me sentais si honteux, mais si heureux et excité d'être traité de cette manière, à la merci de ces trois brutes féminines qui avaient plus de force dans un seul leur bras que moi dans tout mon corps. Stéphanie relevant ma mini-jupe pour exposer mes petites fesses rajouta : "Et regardez moi ce petit cul ! Vous ne trouvez pas que cette culotte lui va à ravir ? C'est une taille 34 et ça lui va parfaitement". Catherine bavant presque d'envie s'exclama : "Il est vraiment minuscule, j'adore ça. Je vais prendre un grand plaisir à jouer avec ce petit bijou !". Catherine me faisait peur, et je serrais un peu plus Stéphanie contre moi de peur qu'elle ne me laisse à la merci de cette fille dont se dégageait tant de force et de bestialité. Ingrid dit alors : "J'ai envie d'y goûter...". Elle saisit alors l'arrière de mon crane dans son immense main gauche. Sa main était si large que son index et son pouce touchaient mes deux tempes à la fois. Elle se pencha alors sur moi pour m'embrasser. Une pression de sa main me fit comprendre qu'il valait mieux que j'ouvre la bouche et que je me laisse faire si je ne voulais pas que mon crane n'explose dans ses doigts. Elle plaqua sa bouche sur la mienne et une langue puissante me pénétra avec force. Elle allait et venait dans ma cavité buccale avec vitesse et force. Elle se retira en aspirant violemment. J'étais à bout de souffle. Ingrid relevant la tête et me surplombant de toute sa hauteur lança. "Il a vraiment un goût de fille". Elles rirent toutes à nouveau. Stéphanie me posa alors par terre. Je pris alors un peu plus conscience de la taille de ces brutes. Catherine me paraissait beaucoup plus grande maintenant, et ses épaules étaient tellement larges que j'aurais pu m'asseoir sur l'une d'elle sans que mes fesses ne dépassent. Ingrid était tout aussi impressionnante. Les pieds au sol, j'étais nez à nez avec sa poitrine. Elle n'était pas aussi grosse que celle de Stéphanie mais avait une taille très respectable quand même.
Surplombant des muscles pectoraux hyper développés, elle pointait fièrement vers le ciel. Je relevais alors mon visage vers celui d'Ingrid, et s'étant aperçu que je fixais sa poitrine, elle me dit : "Et oui, avec ça je peux pousser 130kg au développé-couché !" 130 kg ! C'était plus de 3 fois mon poids ! Stéphanie prit alors la parole et parlant à ses amies : "Allez m'attendre dans le salon, je l'emmène dans la cuisine pour qu'il nous fasse à manger et après je vous rejoins". Elle saisit alors ma main droite dans sa main gauche et me tira vers la cuisine en marchant à si vive allure que je fus obliger de courir pour ne pas tomber. Une fois sur place, elle me montra où et avec quoi je pouvais faire des pâtes. Voilà que je me transformais en bonne à tout faire pour 3 amazones ! Je n'avais pas le choix de toutes façons, mes petites fesses encore rouges me le rappelaient. Stéphanie me faisant face, elle posa sa large main droite sur ma gorge et enserra mon cou fin et délicat dans sa grande main. Machinalement, mes mains vinrent se poser sur son poignet, comme si j'allais pouvoir l'empêcher de faire ce qu'elle voulait de moi. Mes mains étaient bien trop petites pour enserrer ses poignets alors que la sienne faisait presque le tour de mon coup. Levant légèrement son bras pour me forcer à me mettre sur la pointe des pieds, elle plongea son regard dans le mien et dit : "Tu es trop sexy mon petit cul, on va bien s'amuser avec toi. Prépare nous un bon plat de pâtes. Nos muscles ont besoin d'énergie. Amène le nous dès que c'est prêt ma puce". Elle se dirigea ensuite vers le placard à l'alcool et sortit une bouteille de whisky à peine entamée. J'avais commencé à préparer le repas et Stéphanie me mit une bonne claque sur les fesses avant de partir. Je faillis perdre l'équilibre et tomber si je n'avais pas fait face à la table et mis mes deux mains dessus. Stéphanie saisit alors ma taille derrière moi et colla violemment son pubis contre mes fesses en me disant : "C'est juste un avant goût de ce qui va t'arriver". Je frémis à la fois de peur et de désir. Stéphanie me lâcha et alla rejoindre ses amies dans le salon.


Le repas des amazones

Je n'avais pas lésiné sur les quantités. Je m'imaginais bien que ces trois brutes devaient manger comme des ogres. Je mis les pâtes dans un grand plat et me dirigeai vers le salon avec. Les filles étaient assises dans les canapés. A bout de forces, je posais le lourd plat sur la table. Affamées, elles se levèrent instantanément. Je m'aperçus avec terreur que la bouteille était vide et que l'alcool les avaient rendues encore plus excitées ! Catherine me pris à bras le corps d'un seul bras, me souleva pour mettre ma bouche au niveau de la sienne et m'embrassa avec force. Elle me serrait si fort que j'ai cru que ma colonne vertébrale allait craquer. Son haleine sentait le whisky et elle sentait très fort la sueur. J'étais sur le point de vomir quand elle libéra ma bouche. Tournant la tête, je me vis alors dans le miroir, toujours habillé comme une pute, dans les bras de cette brute dont les bras étaient bien plus gros que mes jambes. Elle me lâcha et me laissa tomber au sol sur lequel je me mis à genoux pour reprendre mes esprits. Stéphanie me dit alors : "Lève toi et va chercher des couverts et du beurre, je t'ai dit que l'on avait besoin d'énergie petite traînée !" . Je m'exécutai donc. J'installai les 4 couverts sur les 4 cotés de la table carré. Les filles étaient déjà assises. Ingrid me faisait face, Stéphanie et Catherine étaient à mes cotés. Elles avaient déjà commencé à boire la bouteille que Stéphanie avait ouverte. Je servis de grandes louchées de pâtes. A peine leur assiette servie, les 3 colosses se mirent à dévorer. Ingrid releva la tête et me regarda. De sa grosse bouche huileuse à laquelle quelques pâtes étaient encore collées, elle me dit : "Bois un coup, ça va te détendre, et il vaut mieux pour toi que tu sois détendu pour la fin de soirée si tu ne veux pas avoir trop mal.". Elles éclatèrent toutes de rire. Catherine tira alors ma chaise vers elle et saisit ma tête dans le creux de son coude. J'ai cru qu'elle allait éclater contre le biceps de cette brute. Ainsi maintenu, elle me força à boire un verre de vin entier. Elle me relâcha ensuite. Crachant une partie du vin qui avait manqué de m'étouffer en pénétrant dans mes poumons, je repris difficilement mon souffle. Ces trois brutes avaient déjà avalé tout le plat. Stéphanie m'ordonna de ramasser les assiettes et de venir les rejoindre.