Soulevé comme une plume et dominé par la grande et forte Stéphanie(2/6)

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Proposée le 1/04/2013 par Bgp

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Travestissement forcé, peut choquer!



Lire le premier chapitre.

Une toilette très osée
Arrivés à la salle de bain, elle me posa sur un marche pied, si bien que mes yeux étaient à la hauteurs des siens. Elle me dit : "Tu es si mignon, j'adore te porter. Tu es si léger, ma petite cousine de 8 ans est plus lourde que toi !, et puis ça l'air de vraiment t'exciter mon petit cochon...". Elle fixait alors mon maillot de bain tendu par mon sexe. Elle plaçât alors ses grosses mains autour de ma taille de guêpe. Elle pouvait faire le tour facilement ! Je n'en revenais pas ! Elle en fut surprise également et me dit : "Mais comme tu es mince !". Ses mains glissèrent alors sur mes hanches en passant sous mon maillot de bain. D'un geste rapide et puissant, elle écarta ses bras et déchira mon slip de bain dont les débris tombèrent à mes pieds sans que je n'ai eu le temps de faire quoi que ce soit. Ma première réaction fut de tenter de cacher mon sexe avec mes mains, mais l'ayant anticipé, elle saisit mes poignets tous fins dans ses grandes mains. Mes avant bras disparaissaient presque totalement dans ses grandes paluches. J'avais commencé ma puberté et petite touffe de poiles surmontait mon sexe. Elle me dit : "Mais tu commences à devenir un homme !".
Les choses sérieuses commencent.
Je me sentais tellement petit, tellement faible, nu devant cette amazone pour laquelle j'étais un poids si léger. Elle était si forte ! Elle remonta alors mes mains au dessus de ma tête pour pouvoir maintenir mes deux poignets dans son énorme main gauche. Elle me tirait en haut si bien que j'étais obligé de me mettre sur mes pointes de pieds. Elle commenta alors en disant : "tu ferais une une belle petite danseuse étoile". J'étais rouge de honte. Sa main droite était libre pour faire ce qu'elle voulait de moi. Elle caressa le coté gauche de mon corps, en descendant jusqu'à mes fesses. Ses doigts s'attardèrent alors dans ma raie et titillèrent mon anus. Je n'avais jamais senti cela avant, c'était excitant et terrifiant à la fois, comme si cette caresse avait éveillé chez moi ma part de féminité. Sa main se dirigea alors vers mon petit pénis tendu par l'excitation. Elle voulu me masturber en enserrant mon sexe dans sa main immense, mais mon zizi était bien trop petit ! Elle utilisa donc seulement le bout de son pouce et de son index. Je sentais en moi des ondes de plaisirs émerger. 30 secondes plus tard je jouissais sur elle, tachant son maillot de bain. Pendu par une de ses mains, mon corps ondulait sous l'effet du plaisir. Elle lâcha mes poignets et je retombais alors sur mes pieds. Je secouai mes petits bras que la position imposée par cette brute avaient rendu douloureux. Stéphanie passa sa main sur son corps pour récolter mon sperme et quand elle en eut assez, elle le lécha goulûment ! Elle adorait ça et c'eût pour effet d'augmenter son excitation. Elle se délectait réellement de ma semence. Elle en voulait encore plus. Elle passa son bras gauche derrière mon dos et faucha mes jambes de son bras droit si bien que je me retrouvais assez confortablement installé, porté par ses gros bras. Elle leva et fléchît ses bras pour amener mon sexe à sa bouche dans laquelle elle engloutit tout mon entrejambe, pénis et testicules. Elle aspirait si fort que j'ai cru que j'allais finir émasculé. Je craignais aussi qu'un coup de dents ne produisent le même effet. Sa langue massait mes parties et mon sexe se remis tout de suite érection ! Quelques minutes plus tard je jouissais à nouveau dans sa bouche et cette nouvelle rasade de sperme provoqua une vague supplémentaire d'excitation chez Stéphanie. Elle lécha scrupuleusement tout mon sperme et me porta alors jusqu'à la douche.


La douche
Un fois arrivé, elle me posa par terre. Mes jambes tremblaient. La douche était vaste et on tenait à deux sans problème. Passant ses mains derrières son dos, elle dégrafa son soutien gorges qui tomba à ses pieds. Quel spectacle ! Ses seins d'adolescentes ne semblaient pas être affectés par la gravité. Ces énormes melons pointaient torridement vers moi et gigotaient de gauche à droite sur les mouvements de Stéphanie. Je ne pouvais détacher mon regard de ces masses. Ils étaient bien plus gros que ma tête ! Voyant mon admiration, Stéphanie passa sa grande main derrière ma nuque et me plaqua la tête sur sa poitrine. Je n'avais pas eu le temps de respirer et je manquais cruellement d'air. Je battis des mains pour le lui faire comprendre et elle me relâcha. Je pris alors un bonne inspiration pour retrouver mon souffle. Elle aurait pu me tuer sans que je ne puisse faire quoique ce soit. Elle enleva le bas de son maillot pour exposer un pubis très fourni. Elle avait plus de poils que moi ! Elle passa alors un gant de toilette sur sa main droite, ouvris les robinets de la douche et dans un geste rapide, elle me saisit avec son bras gauche de manière à ce que je me retrouve le ventre sur son avant bras, avec tout mon corps sous son aisselle. j'étais tourné de telle manière que j'avais une vue imprenable sur ces énormes et puissantes fesses. Elle passa le gant sur moi, puis d'un geste souple, jeta le gant au sol. C'est alors que son énorme index pénétra mon anus sans que je m'y attende ! Quelle surprise et quelle douleur ! Son énorme doigt allait et venait au plus profond de moi. Je gesticulais mais son étreinte était bien trop forte pour que je puisse en échapper. A ma grande surprise, je commençais à prendre du plaisir. Mon sexe était à nouveau dressé et à nouveau je jouis comme jamais ça ne m'était arrivé. Stéphanie me laissa alors tombé et j'atterris à quatre pattes par terre. Elle dit alors: "Satisfaite petite chienne ?!". Je me rendis alors compte de la position dans laquelle j'étais : à quatre patte devant elle,lui présentant mon anus dilaté par son gros doigt. Oui, j'étais une chienne. Elle rajouta : "Tu encaisses pas mal, elles vont bien s'amuser avec toi ce soir". Mais de qui parlait elle ! Elle dit alors: "A moi de prendre du plaisir maintenant". Je pensais que j'allais enfin avoir ma place d'homme et que l'on allait faire l'amour plus classiquement, mais elle saisit ma tête dans la palme de sa main droite. Elle avait un poigne phénoménal. Mon petit crane tenait sans problème dans sa grande main. Elle serrait si fort que j'ai cru qu'il allait exploser. Me forçant à me mettre à genoux, elle plaqua ma bouche contre son sexe et m'ordonna de la lécher. Je m'appliquait de mon mieux et ma langue trouva bientôt son gros clitoris que je stimulais sur ses conseils. Elle me plaquait si fort que j'avais du mal à respirer. Quand elle atteint l'orgasme, elle ne contrôla plus sa force et oublia de me relâcher pour respirer. A bout de souffle et épuisé, je m'évanouis. Je m'étalais alors sur le carrelage de la douche. Dans une semi-conscience, je vis Stéphanie fermer le robinet puis se baisser pour passer une main derrière mon dos et l'autre sous mes genoux. Elle souleva délicatement mon corps inanimé pour le poser sur ce qui ressemblait à une table à langer. Là, elle me sécha dans une serviette. Je sentais ses grandes mains pétrir mon petit corps. Elle m'enveloppa enfin dans une grande serviette. Seule ma tête en sortait et je ne pouvais bouger ni mes bras ni mes jambes. En enserrant ma taille de guêpe de ses battoirs, elle me souleva puis me plaqua contre sa poitrine. Elle fit alors glisser une de ses mains sous mes fesses, puis l'autre derrière mon dos, me portant ainsi contre sa musculeuse épaule. Elle m'emmena dans la chambre de ses parents où elle me posa sur le lit. Toujours dans une mi-conscience et emprisonné dans ma serviette, elle m'embrassa sur le front et je sombrai dans un sommeil profond, tellement les derniers événements m'avaient épuisé.


Une bonne fessée pour me faire obéir
Je me réveillais une heure plus tard. Je ne savais plus trop où j'étais. Je ne savais pas non plus si les scènes de sexe qui venaient à mon esprit étaient des rêves. Un douleur diffuse à l'anus me rappela que tout était vrai. Je cherchais à m'extraire de cette serviette mais elle était tellement serrée que je n'y arrivais pas. Stéphanie m'ayant entendu bouger arriva dans la chambre. Elle était habillée d'un bas de treillis noir qui mettait ses fesses larges et puissantes en valeur. Elle portait un débardeur prêt du corps qui sublimait sa poitrine et ses épaules larges et musclées. Ses bras puissants étaient également mis à l'honneur. Elle me dit : "Tu es réveillé mon petit, c'est bien, je vais pouvoir te préparer pour ce soir...". Je savais qu'elle voulait faire quelque chose de moi, mais je ne savais pas quoi encore. Elle me déplia de la serviette de manière à ce que je me retrouve sur le ventre et dos à elle. Passant ses mains aux niveaux de mes aines, elle me souleva de manière à ce que mes jambes soient écartées et qu'elle puisse examiner mon anus. Je me retrouvais donc à nouveau soulevé par cette géante la tête en bas et totalement nu sans que je ne puisse faire quoique ce soit. Stéphanie s'exclama : "C'est bon, il a bien retrouvé sa forme, on va pouvoir s'en occuper à nouveau ce soir !" Mais de quoi parlait elle bon sang ! Elle continua : " Il va falloir que je t'habille maintenant". Elle me jeta alors face sur le lit. Elle sortit de la chambre et revint avec des vêtements pliés. Elle m'ordonna : "Mets toi debout sur lit". Ce que je fis. Je constatai avec horreur que c'était des vêtements de femme, et des vêtements sexy ! Elle pris d'abord la petit culotte noire que seules des strip-teaseuses devaient porter. Elle était minuscule ! Déjà parce que Stéphanie l'avait choisie à la bonne taille pour mes petites fesses, et aussi parce ce petit bout de tissus semblait minuscule dans ses mains de géantes. Elle l'a tenait tendue pour que je puisse passer mes jambes dedans. C'était trop pour moi. Je me mis en colère : "Non, là ça va trop loin ! Tu m'a pris par surprise sous la douche, mais là non, je refuse !". Je descendis du lit pour me diriger vers mes vêtements que j'avais rangés dans un coin. Stéphanie ne me laissa pas faire. Elle saisit violemment mon poignet droit dans sa main gauche, et levant son gros bras, elle me força à me mettre sur la pointe des pieds ! J'ai cru que ma main et mon avant bras allait être broyés tellement elle était forte ! J'avais l'impression d'être un ver qui se balançait au bout d'un hameçon. C'est alors que son immense et lourde main droite se leva et s'abattit durement sur mon petit fessier. Elle était entrain de me donner une fessée sans que je ne puisse faire quoique ce soit ! Au deuxième coup, les larmes me vinrent aux yeux, autant par douleur que par humiliation. Malgré mes supplications, elle frappa 10 ou 15 fois, je n'étais plus en état de compter de toutes façons. Elle n'entraîna alors toujours en tenant mon poignet haut en l'air devant le miroir. Je vis alors un pantin désarticulé toute petit, tout mince et nu, qu'une jeune géante tenait en l'air à la force d'un seule bras ! Me faisant légèrement pivoter, elle m'ordonna de regarder l'état de mes fesses : Elles étaient rouges cramoisies ! Ses larges mains avaient laissé des traces sur toutes leurs surfaces ainsi que sur le haut de mes cuisses et le bas de mon dos. Stéphanie me cria en pleine face : "Quand on pèse 40kg, que l'on est maigre comme un clou et que l'on n'a pas de force, on ne s'oppose pas à la volonté d'une fille qui fait plus du double de son poids et qui est tout en muscle !". Sur ce, elle lâcha mon poignet et me laissa m'écraser comme un poupée de chiffon sur le sol. Mes jambes n'étaient plus capables de me porter. Stéphanie me dominait de toute sa hauteur, j'avais l'impression qu'elle avait encore grandi. Je restais là à sangloter, nu et faible à ses pieds. Son visage se fit alors plus souriant. Elle se baissa, saisit le haut de mes bras dans ses mains, et me souleva ainsi pour m'amener contre sa poitrine. Une fois contre elle, elle fit glisser sa main droite sous mes petites fesses encore endolories et l'autre dans mon dos. Mes mains vinrent machinalement se placer autour de son coup de taureau. Son téton se trouvait juste contre mon petit sexe. Je sentais à la fois la douceur de son énorme sein contre mon buste et la dureté de son corps puissamment musclé. Elle me berçait pour me consoler. Quelque chose lâcha prise en moi, résigné face à tant de force et de puissance, je crois que j'ai abandonné à ce moment là une partie de ma virilité pour laisser s'épanouir ma part de féminité. Elle me dit alors: "Tu vois ma puce, tu ne peux rien contre moi. Fais ce que je demande, tu n'as pas le choix". Je soupirai alors sur son épaule. Elle se dirigea alors vers le lit pour m'y poser debout.


Habillé et maquillé de force comme une traînée
Saisissant à nouveau la petite culotte noire, elle m'ordonna de l'enfiler, ce que je fis. Elle m'allait très bien. Mon petit sexe tenait à l'intérieur. Stéphanie ne s'était pas trompé en choisissant une taille 34. Elle saisit alors un des bas résilles noires. Je passais ma jambe droite à l'intérieur m'appuyant sur ses épaules de mes petites mains pour ne pas perdre l'équilibre. Elle remonta délicatement le bas qui m'arriva juste quelques cm sous mes fesses, de même avec l'autre. Elle avait choisi une brassière en dentelle noire pour cacher ma poitrine, qu'elle me posa elle même. Vint ensuite le porte jarretelle noire. Elle me mis alors une mini-jupe faite d'un tissus blanc hyper transparent qui semblait être du lin. On pouvait voir ma culotte à travers ! Vint ensuite un cache coeur fait du même tissus. Mon nombril était visible. Elle se recula pour voir le résultat et sembla satisfaite: "Tu commences à être vraiment bandante petite traînée". Elle me saisit alors par ma taille de guêpe et me souleva face à elle. Elle me porta jusqu'à une chaise où elle s'assit tout en me tenant à bout de bras. Elle me fit m'asseoir sur ses genoux. Mes fines jambes gainées de résilles pendaient de part et d'autre de ses grosses et dures cuisses. Comme elles étaient vraiment très large, j'étais obligé de beaucoup écarter les jambes. Stéphanie s'empara d'un nécessaire à maquillage sur la table à coté. Ne me voyant pas, je la laissait peindre mon visage : Fond de teint, rouge à lèvre, mascara et même gloss. Elle sortit ensuite une perruque brune aux cheveux longs et lisses qui m'arrivaient à mi dos. Elle les attacha avec un élastique pour me faire un queue de cheval, prétextant que ça mettait en valeur mon coup mince et ma nuque fine. Elle acheva son oeuvre en me clipsant deux petites boucles d'oreilles en forme de coeur rouge, et un collier en perles roses fluo. Elle me saisit alors sous les aisselles et me porta jusque devant le miroir, dos à celui-ci. Une fois posé au sol, elle mit ses grosses mains sur mes frêles épaules pour me forcer à me tourner et voir mon image... et ce fut un choc ! Je voyais une très jolie petite brune habillée comme une tapineuse. Les bas résilles affinaient d'autant plus mes jambes. Le jeu de transparence me rendait extrêmement sexy ! Mon nombril et le porte jarretelle exposés étaient un véritable appel au viol et cette queue de cheval mettait vraiment en valeur la finesse de mes épaules et de mon coup. J'étais troublé et à ma grande surprise terriblement excité. Stéphanie sortit d'un placard une paire de ballerine rose taille 36 qui convenait parfaitement à mes petits pieds. Je ressemblais définitivement à une entraîneuses et même pire. Stéphanie, posant ses mains de part et d'autre de mes épaules et me serrant ainsi me dit : "Tu as vraiment l'air d'une belle petite pute, si je t‘emmenais dans un resto pour routiers, tu pourrais me rapporter pas mal d'argent". J'étais terrifié, mais aussi terriblement émoustillé par cette idée d'être un jouet sexuel pour tous ces mâles en manque de leur femme. Stéphanie rajouta : "Tu vas beaucoup leur plaire. Elles adorent les demi-portions comme toi". La sonnette de la porte sonna alors. Stéphanie avec beaucoup d'excitation dans le regard me lança : "Elles sont là !"