Suite des mémoires d un puceau

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 26/03/2013 par pitchoun62

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Je pénétrai Régine, je faisais l'amour à la femme que j'aimai depuis des années. Mon bassin avançait à la demande de ses mains. C'est elle qui imprimait la cadence, mais je sentais que j'allais de nouveau jouir très vite. J'étais honteux et confus.
Je dis à Régine que mon plaisir venait que je le sentais monter. Elle me demanda de me retenir, mais je ne pus rien faire, ce fut plus fort que moi, je jouis dans son ventre..
Je restai la tête enfouie entres ses deux superbes seins sans oser la regarder, j'étais honteux.
Je sentais mon sexe rapetisser et vint le moment où il sortit seul du minou de Régine.
Je me suis alors redressé. je lui ai présenté mes excuses.
Elle me dit alors "Tu vas devoir apprendre à te retenir. Tu es trop excité. Il faut y aller doucement et penser à autre chose.".
Ces remarques me firent de la peine, je savais qu elle était déçue. Je me suis levé. Elle m'a dit d'aller me rafraîchir dans la salle de bain. Je suis allé me laver la verge. J'étais heureux mais triste à la fois
Je suis retourné chercher mes vêtements près du lit. Je lui ai demandé si elle m'en voulait et là elle dit une phrase qui me mit du baume au cœur. C'est très vieux et pourtant je me souviens de cette phrase comme si elle me l'avait dite hier :
"T'en vouloir de quoi ? De m'aimer trop fort, mais non je ne t'en veux pas, j'en suis flattée au contraire, mais il faut juste que tu apprennes à te retenir, je suis à toi maintenant donc plus besoin de paniquer."
Je n'en revenais pas. Elle venait de me dire qu'elle était à moi. Je me suis mis à genoux et j'ai posé ma tête entre ses jambes.
elle me caressa les cheveux et me dit :
"Il va falloir y aller ton frère va bientôt rentrer et je sens le sperme, je dois prendre ma douche malgré ma fièvre."
Je me suis approché pour l'embrasser sur la bouche, elle a ouvert grand ses lèvres et nos langues se sont mêlées tendrement.
Elle posa sa main sur ma verge en me disant :
"Nous allons bientôt nous revoir joli coquin."
Je finis de me rhabiller et je quittai l'appartement. j'étais ivre de joie et de bonheur.
Le soir dans ma chambre, je repensais à ce qui m'était arrivé, à la poitrine de Régine, à son minou, à ma première fellation, à mon premier cunnilingus à ma première pénétration. Je me suis masturbai comme un fou
J'ai été plusieurs jours en raison de ma scolarité à ne pouvoir aller chez Régine et aussi pour ne pas attirer l'attention de mes parents.
Le vendredi j'avais pris l'habitude après les cours d'aller la rejoindre pour faire les courses avec elle et rejoindre son mari et mon frère en ville.
C'est avec une certaine appréhension que je gravissais les marches de l'escalier donnant à son appartement.
Je sonnais à la porte la peur au ventre.
Elle vint m'ouvrir. Elle semblait guérie. Je m'approchais pour l'embrasser sur les joues, mais d'elle-même, elle me tendit sa bouche. je la pris alors directement dans mes bras pour l'enlacer et l'embrasser amoureusement.
Elle me dit qu elle n'était pas encore en état de sortir faire les courses et que mon frère n'allait pas tarder à rentrer. Je fus un peu déçu.
Elle posa alors une main sur mon jean à hauteur de ma verge. "Alors, je ne t'ai pas trop manqué ?"
Je lui dis "Oui."
elle me dit "tu as été sage pendant ce temps ?". Je lui avouai alors que je m'étais masturbé chaque jour depuis notre dernière rencontre et plusieurs fois par jours, à tel point que ma verge était toute échauffée.
"Tu veux que je regarde ce que l'on peut y faire ?"
Et d une main agile et décidée, elle entreprit de déboutonner ma braguette. Elle déboucla mon ceinturon, fit tomber mon jean, descendit mon slip et prit mes testicules en main.
Doucement elle prit ma verge. j'étais vraiment échauffé. Elle me dit "Ah oui là il va falloir la laisser au repos un moment c'est bien dommage, elle me fait bien envie. Bien sur simplement le fait de me retrouver sexe à l'air devant elle, ma verge était en pleine érection.
elle me dit "Attend va dans la salle à manger."
Elle partit dans la salle de bain puis revint me voir, elle tenait un tube de vaseline à la main.
"Je vais te mettre de la vaseline dessus, ça va aider à calmer l'échauffement."
Doucement, elle enduisit mon membre de vaseline. D'un doux mouvement de va-et-vient.
"Tu as mal quand je fais ça ?"
J avais un peu mal, mais c'était si bon que je lui dis "Non ça fait du bien."
Elle me malaxa les testicules d'une main pendant que de l'autre elle continuait son va-et-vient sur ma verge.
Elle mit de la vaseline dans le creux de ses mains, les frotta l'une contre l'autre et me reprit le pénis. J'étais raide comme du bois et cela me brûlait un peu autour du gland à l'endroit où la peau est tendue.
Son autre main se mit à me caresser les fesses.
Ton frère va rentrer, quel dommage. j'aurai aimé te soigner plus longtemps en plus tu ne peux pas rester comme ça, ça te fait mal parce que tu es en érection.
Alors, je sentis son doigt toucher mon anus.
"Jamais tu ne t'es mis un doigt dans le derrière ?", me demanda t'elle.
Je lui dit "Non pourquoi cette question ?"
Parce que ça fait jouir beaucoup plus vite les hommes et tout en disant cela, elle poussait son index sur ma rondelle. j'étais debout, le pantalon en bas des jambes, la verge tendue en avant, la main de Régine en train de soit disant me masser pour faire pénétrer la vaseline et un doigt dans l'anus. Cela eu l'effet escompté. Je lui dis "Régine, ma chérie, je vais jouir."
"Mais c'est bien pour ça que je le fais.". Elle cessa de me masturber un instant, sortit un mouchoir en tissu de la manche de son pull me le tendit et me dit "Mets-le devant ta 'bite'.", c'est la première fois que je l'entendais employer ce mot. Elle reprit sa masturbation et ses aller-retour dans mon anus. Je jouis par saccades au rythme de ses aller-retour dans mon arrière-train.
Je jouissais sans pouvoir m'arrêter, c'était délicieux le bien qu'elle me faisait.
Elle cessa de me masturber, m'essuya le bout de la verge, me dit "Maintenant il faut de rhabiller, Jean-Michel va rentrer.". Elle alla se laver les mains dans la salle de bain, revint allumer un bâton d'encens sur la table du salon puis m'embrassa goulûment.
J'attendis que mon frère rentre du travail puis après quelques discussions sans grand intérêt, je quittais l'appartement qui venait de connaître mes ébats.
Il fut convenu que dorénavant, chaque vendredi soir, je viendrai rejoindre Régine afin d'aller faire les courses en ville avec elle. Ils n'avaient qu'une SUPER5 que Jean Michel prenait pour aller travailler.
Je ne voyais donc Régine que le dimanche lors du repas familial et le Vendredi...
Que la semaine était longue.
Chaque dimanche j'étais collé à Régine comme de la glue, j'attendais sur le pas de la porte que le couple arrive. Dès que je les voyais arriver, je me précipitais sur Régine pour être le premier à l'embrasser, mes lèvres effleurant les siennes.
Quand je pouvais, je lui caressais discrètement les seins, je profitais de chaque instant pour la toucher.
Le soir venu, je me masturbai comme un fou dans ma chambre en pensant à son corps magnifique et en élaborant des plans sur mon prochain vendredi.
Le vendredi arrivait, je finissais les cours et aussitôt je partais la rejoindre à son appartement. Je sonnai à sa porte. Dès qu'elle m'ouvrait je me ruais sur elle.
Elle m'avait dit : "Il n'y a rien de sale dans l'amour quand le corps et propre.". Alors, nous avions pris l'habitude, dès mon arrivée, après des baisers torrides, elle venait me doucher.
D'abord elle me déshabillait, tout en me caressant des cheveux jusqu'aux pieds. Puis quand j'étais nu devant elle, elle m'emmenait, des fois en me prenant par la verge, jusqu'à la douche.
Je montais dans le bac à douche, là elle se déshabillait seule, puis ouvrait les robinets d'eau chaude et d'eau froide, prenait le savon liquide, et me lavait tout le corps.
Elle commençait par les cheveux, puis la nuque, mon torse, descendait sur mes jambes en prenant soin de ne pas effleurer ma verge qui bien sur était déjà bien raide. Ensuite elle me faisait me retourner, elle me frottait le dos, me savonnait les fesses, glissant sa main entre les deux et savonnant bien ma rondelle. Elle me prenait alors par entre les jambes mes testicules et les malaxait les mains savonneuse puis attrapait ma verge qu'elle faisait pliée pour la descendre vers le bas.
elle la savonnait correctement mais si tendrement que je devais crier grâce et la faire arrêter si elle voulait en profiter un peu alors elle me rinçait et me rejoignait totalement dans la douche.
Là, c'était mon tour de la préparer. Je n'avais pas le droit de lui mouiller les cheveux, alors je m'occupais de son cou, du lobe de ses oreilles, de son dos puis de son ventre remontant sous ses seins avant de les envelopper de mes deux mains, puis je lui savonnais les jambes, les fesses et son adorable minou.
Nous nous séchions ensuite, puis nous rejoignons ou bien dans le salon, ou bien dans la cuisine ou encore la chambre.
Nous nous promenions nus dans son appartement, en règle générale, elle s'agenouillait sur le parcours qui nous emmenait dans la pièce du plaisir. Là, elle me prenait à pleine bouche, me suçant jusqu'aux testicules et moi je n'avais le droit que de lui caresser la chevelure. Quand elle sentait que mon plaisir était proche, elle me donnait un tape sur les fesses pour me rappeler à l'ordre tout en poursuivant sa fellation. Je m'obligeait alors à penser à quelque chose de désagréable pour refouler cette jouissance qui montait, quand je n'y tenais plus, je la repoussais doucement, lui disant "C'est trop bon ma chérie, attends que je m'occupe de toi un peu."
Alors, je l'emmenais sur la table de la cuisine, elle s'asseyait dessus, les jambes dans le vide, je m'accroupissais et là, je léchais ce minou qui bien que fraîchement lavé sentait déjà l'odeur du plaisir. Sa cyprine inondait déjà ses lèvres et ce goût salé m'enivrait de bonheur. Je lui léchai le clitoris en faisant aller mes doigts sur ses lèvres comme des petites bêtes qui fouillent, elle adorait cela.
je la repoussai en arrière afin d'avoir accès à ce petit orifice brunâtre et je le léchai à son tour, pénétrant ma langue à l'intérieur alors que mes doigts continuaient de jouer avec son minou.
Bien souvent je la doigtais avec deux doigts. Puis je me redressais pour embrasser cette poitrine qui me faisait tant bander.

Un jour, elle me fit prendre appui les deux mains sur la table de la cuisine, elle s'agenouilla et commença à me sucer la verge par en dessous, c'était divin. Puis elle me fit un anulingus d'une douceur divine. Reprenant sa fellation, elle m'introduit de nouveau son majeur dans mon anus; ces souvenirs sont sublimes et malgré les années écoulées, je les ai toujours en mémoire.

Après m'être occupé de sa superbe poitrine, nous attaquions les hostilités, elle me prenait la verge et l'introduisait dans son minou. Là, elle me guidait de la voix, en me disant doucement, plus vite, viens au fond, prends moi plus fort.

Elle jouissait souvent une première fois, quand elle avait pris son plaisir, elle me laissait alors diriger comme bon me semble.
Je m'amusai alors à sortir totalement ma verge de son vagin trempé et j'attendais qu'elle fasse cette demande du bas ventre pour la pénétrer de nouveau.
Puis nous jouissions comme deux amants, en nous embrassant langoureusement et en nous disant des "je t'aime".
S'en suivait un petit passage à la douche juste pour enlever les traces, ma verge était toujours très propre après l'amour car Régine se faisait fort de nettoyer toute trace en me suçant admirablement.
Elle se parfumait ensuite pendant que je me rafraîchissais la bouche car je portais sur mes lèvres l'odeur de sa cyprine puis nous nous rhabillons avant de rejoindre mon frère en ville pour faire les courses de la semaine.