Cousines mais coquines (suite et fin)

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Proposée le 22/03/2013 par vince44

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Au début de l'été, je m'étais bien amusé avec Caroline, l'ainée de mes cousines. Quelques jours plus tard, j'avais perdu ma virginité avec Pauline, la plus jeune (presque 17 ans), aidée de sa sœur jumelle Mathilde.

Les vacances plus ou moins imposées par mes parents me convenaient à merveille.

Mes cousines m'avaient quelque peu « déniaisé », et je rêvais à présent de coucher avec les trois sœurs dans un avenir proche...

A court terme, j'envisageais de faire l'amour avec Mathilde qui en avait clairement exprimé le désir. Nous étions comme deux jeunes chiots à nous tourner autour depuis trois jours, sans choquer Caroline ni Pauline qui avait déjà "tâté du cousin".

J'avais pu la « coincer » dans la salle de bains alors que ma tante Nicole était à faire la vaisselle juste à coté. En effet, la belle s'était présentée pour prendre une douche alors que j'étais aux toilettes. Un peu surpris au début de la sentir dans mon dos, j'avais fini ma petite affaire et je me lavais les mains quand elle referma la porte rapidement. Je ne pense pas qu'elle avait prémédité son coup, mais l'occasion était trop belle. Sans un mot, et en prenant soin d'enlever mes chaussures pour ne pas ameuter la famille, je m'installais sur le « trône », l'abattant en bois paraissant suffisamment solide. La surprise était aussi sincère dans ses yeux, mais elle fut remplacée par une envie aussi soudaine que violente.

Le jeu consistait à ne pas perdre le fil du timing de la douche classique : déshabillage : 2 minutes, puis douche à fond pendant 10 minutes (au grand dame de ses parents qui criaient au gaspillage), et séchage en 2 minutes (les finitions étant prévues dans sa chambre, à l'étage). Je me dépêchais d'ôter mon short en jean et sortit l'objet de sa convoitise de mon caleçon qui n'avait pas encore eu le temps de se déformer.

De son coté, elle réussit un striptease en moins de trois minutes, accélérant pour ôter short et chaussettes puis ralentissant lors du bouquet final, mimant pour l'occasion un déhanché de professionnelle. Pour le même prix, j'eus droit à un index mutin sur les parties intimes de la belle. Oh surprise, une petite chatte presque épilée remplaçait maintenant les poils hirsutes que je lui connaissais en début de semaine. J'en étais bouche bée et ma main allait de plus en plus vite sur mon membre excité.
Elle mit la douche à plein régime, mais préféra la laisser couler pour rien. Dès les premiers jets puissants sur les carreaux de faïence blancs, elle s'était jetée sur le membre viril que je maintenais d'une main. Elle le prit à son tour en main et accéléra le mouvement en plaquant sa bouche sur la mienne. Malgré le temps qui s'écoulait, je profitais pleinement de sa langue agile, baveuse à souhait, ce qui entraînait chez moi une érection encore plus impressionnante. Je la repoussai gentiment vers sa cabine de douche.

Elle comprit qu'elle n'aurait pas le temps de mener à bien la masturbation entreprise et s'engouffra derrière la paroi de verre. Leur cabine était très large, et en se décalant un peu je pus profiter de la toilette de mademoiselle. Il va sans dire que ses mains savonneuses choisirent les zones les plus sensibles, s'imposant des arrêts fréquents sur la pointe des seins, sur les fesses tendues avec passages obligés sur les parties les plus intimes. Elle me regardait avec des yeux à demi fermés, un sourire aux lèvres et je voyais mon dossier mal parti. Je lâchais mon pénis dangereusement énervé afin de sortir discrètement de la salle de bains. Il ne me restait qu'un instant avant que la douche ne cesse ou que ma tante hurle au scandale à travers la cloison.
Je fis de mon mieux et me retrouvai avec regret dans le petit couloir, au pied de l'escalier. Pour éviter les problèmes, je choisis l'ascension. Arrivé sur le pallier, j'entendis ma tante se plaindre de l'eau qui manquait sur notre planète et qu'on ne respectait pas la nature et bla bla bla... Sa fille de rétorquer qu'elle avait fait au plus vite et qu'elle fonçait se préparer à l'étage.

J'attendais depuis cinq minutes quand Mathilde fit une entrée théâtrale dans la chambre. Elle avait compris mes intentions et ôta délicatement son peignoir pour me laisser embrasser ses petits seins provocants. Je descendis rapidement vers son intimité en respectant un silence monacal (c'était vraiment pas le moment de se faire choper par la tantine...).

Je faisais attention à chacun de mes mouvements pour ne pas faire grincer le parquet. Elle m'aida en posant un pied sur le lit, amortissant l'assemblage érotique que nous formions. Je laissais mon sexe dans mon short afin de ne pas tout gâcher et pus profiter des sécrétions maintenant abondantes de son abricot trempé. Elle jouit en silence, ses mains sur ma tête, avec quelques soubresauts éloquents. Quand notre épopée prit fin, elle avait les yeux humides de bonheur et son sourire resplendissait. J'étais aux anges. Après un ultime baiser, elle me mit une petite fessée pour m'entrainer vers la porte. Elle ne perdait rien pour attendre...


Mathilde l'« ex-sauvageonne » provoqua le soir même une sortie chez une copine, Isabelle. Les parents, amis de la famille, avaient une piscine, luxe alors assez rare en Bretagne. Elle me montra une photo où les quatre filles éclataient de rire et m'expliqua que la petite blonde débordait d'énergie. Je me voyais déjà jouer le jeune coq au milieu de ces filles en fleur...
Le lieu était considéré comme "extra" pour les soirées avec une sono convenable et même un bar "immergé" dans un coin de la piscine.
Les parents devaient sortir ensemble pour un restau/ciné et nous avions convenu d'une soirée bien organisée : Je m'occuperais de réchauffer des pizzas, prendrais un peu d'alcool dans la réserve et les filles s'acquitteraient d'un dessert.
La fête débuta par les consignes parentales (pas trop d'alcool, pas trop de désordre,...) et nous pûmes sauter dans l'eau encore tiède vers vingt heures. L'apéritif fut servi par Mathilde, au bar de la piscine. Elle nous proposa une "tisane" à base de cidre, et d'alcool doux. Cela détendait l'atmosphère, et nous commencions à parler de plus en plus fort.

Isabelle avait vraiment l'air sympa et son maillot surmontait des petites fesses bien fermes. Je souriais intérieurement, échafaudant quelque plan machiavélique.
Je voyais bien qu'elle me mâtait en douce et j'en ajoutais un peu, jouant les gars de la ville. Les cousines me calmèrent en évoquant à demi-mot les performances raisonnables du cousin en matière de drague. Je devais être rouge quand elles abordèrent les sujets un peu plus chauds tels que le physique des garçons, en insistant sur les parties basses, bien entendu. Elles débattaient des façons qu'ils ont de se vanter d'expériences sexuelles torrides, alors que les jeunes filles ne jugeaient que sur le terrain. S'en suivirent quelques-unes de leurs anecdotes et là c'est moi qui me régalais, croisant les jambes pour éviter tout malentendu. Les filles n'arrêtaient pas de ricaner, l'alcool faisait peu à peu son effet.

Mathilde, impatiente, nous entraîna dans l'eau. Elle jouait à présent les requins, rodant autour d'une proie promise. Caroline semblait distante, mais il est vrai que son Yann n'était toujours pas rentré de vacances.

Quand on sonna à la porte, c'est Isabelle qui courut le plus vite et je vis arriver Ludo, beau brun de 19 ans, apparemment ami intime de la blonde. Son arrivée perturbait quelque peu mes plans, mais il avait l'air sympa. Les présentations rapidement expédiées, l'athlète nous gratifia d'un plongeon parfait.

Les starlettes avaient des maillots biens sages et nos caleçons restaient supportables. Caroline mit de la musique un peu "dance" et les cascades succédaient aux éclaboussures en tout genre. Nous attaquâmes les pizzas qui nous calèrent rapidement l'estomac. Ludo s'inquiéta alors du dessert.

"Pour le dessert, c'est moi qui commence, déclara Isabelle : c'est normal, c'est moi qui reçoit...". J'avoue que je ne comprenais pas où elle voulait en venir.
Elle s'assit sur le bord de la piscine, les pieds dans l'eau et ôta son haut de maillot, laissant admirer son 95 B, idéal pour ses dix-sept ans. Estomaqué, je me tournai vers Ludo pour voir sa réaction. Ce dernier applaudit et réclama plus de dessert : « Allez, les filles, passons aux confiseries et gourmandises !!! ».

Les jumelles se défirent mutuellement de leur petit carré d'étoffe et Caroline nous gratifia carrément de son maillot "une pièce". Là, je compris que Ludo et ses complices avaient déjà joué ensemble : j'étais en quelque sorte le gentil dindon de la farce depuis le début de la soirée.
Il va de soi que je n'en voulais à personne et que la situation ajoutait du piment à la fête.

« Alors, les midinettes, on va vraiment s'éclater à cette soirée. Vous l'aurez bien cherché et on va fabriquer de beaux souvenirs. ». Elles éclatèrent de rire et les quolibets fusèrent : « Je ne sais pas qui va s'épuiser le premier, mais je pense qu'il va falloir faire ses preuves. On parie que tu t'endors avant le retour des parents ? »
Les filles voulaient-elle vraiment en découdre avec le gentil cousin un peu naïf?

Et bien d'accord, j'allais relever le défi et montrer tout mon talent naissant.
Caroline, en tant qu'aînée avait des formes plus rondes et plus tentantes que sa copine, mais je doutais qu'elle aille plus loin avec moi. Cependant, elle comptait oublier son footballeur absent, vu qu'elle était nue à présent, allongée au bord de la piscine, et frottant ses jambes l'une contre l'autre.
Ludo attaqua son "dessert" préféré d'une bouche gourmande, écartant l'étoffe encombrante. Je pus constater alors que la belle était vraiment blonde, et que son sexe bien que peu épilé laissait percer des grandes lèvres impressionnantes. Isabelle trépignait déjà, ondulant sur place comme si elle était assise sur des plaques chauffantes. Il faut dire qu'il avait glissé un index fureteur sous le maillot de la téméraire, sans équivoque sur le but de la manœuvre.

Je me dirigeai tout droit sur Mathilde, ma petite sauvageonne assise au bord du bassin. Caroline et Pauline me regardaient faire avec curiosité et je fis rapidement tomber son maillot au fond de l'eau. J'avoue que son sexe fraîchement épilé m'attirait et m'excitait presque plus que celui de ses sœurs.
J'avais l'impression d'être le collectionneur de fleurs exotiques, le découvreur de merveilles, l' « Indiana Jones » des grottes sauvages : je voulais tout voir, tout sentir, tout caresser. Les frangines sautèrent dans l'eau et vinrent se coller à moi. Elles me caressaient le ventre et le dos à quatre mains. Quelles sensations !
Moins d'une minute après, j'avais Mathilde "en bouche" et Caroline qui s'attaquait à mon boxer, cherchant la cordelette qui libérerait mon intimité...
Mes mains accompagnaient l'exploration, titillant un sein, s'engouffrant ensuite dans un sillon magique, allant même jusqu'à glisser vers l'orifice tant convoité.

Mathilde frimait un peu devant les frangines en frétillant du bassin, mais j'avais du mal à respecter la cadence : les deux autres avaient libéré mon maillot et me troublaient par des caresses appuyées.
« Je n'aurais jamais imaginé nos retrouvailles comme ça, les filles. Je vous aime. »

Tout le monde riait à présent et Isabelle demanda à Ludo de la prendre en premier. Elle avait attendu toute une semaine et cela se voyait. Monsieur ne se fit pas prier et sortit de la piscine, à moitié prisonnier de son boxer qu'il avait bien du mal à quitter.
Une minute après, il était sur sa belle, étendue elle-même sur un solide « bain de soleil » en bois exotique. Il lui servait une volée de coups de reins rapides en bon sportif qu'il était. Caroline sortit rapidement de l'eau et s'approcha du couple. "Doucement, mon gaillard, profite un peu de la vue! Ce faisant, elle s'installa à califourchon sur la tête d'Isabelle, imposant ainsi une caresse buccale pendant qu'elle embrassait le beau gosse à pleine bouche. "Alors, ce n'est pas mieux comme ça ? Regarde comme elle se débat, on dirait une anguille. Vas-y lentement, qu'elle comprenne qu'elle est ta prisonnière, et non l'inverse...". Il s'exécuta, découvrant ainsi des sensations nouvelles.
Décidément, c'était mieux à trois qu'à deux, surtout quant on se laissait guider.

Je pense qu'ils en n'étaient pas à leur coup d'essai, ces trois là.

Je n'appréciais le spectacle que partiellement, toujours occupé que j'étais à me régaler de la chatte juvénile de Mathilde.
Pauline avait trouvé un jeu étrange qui tournait autour de mes fesses d'une main alors que l'autre se chargeait de mon sexe tendu. Je compris rapidement qu'elle voulait me titiller, voire carrément me sodomiser avec son majeur. Je la laissais s'amuser, tant que ses deux mains me comblaient sans douleur...

Mathilde, un peu jalouse reprit l'initiative et sauta dans l'eau. Elle se colla à sa sœur jumelle et nous formions à présent un étrange "radeau" avec nos bras et nos bouches pour liens provisoires. Mathilde avait passé une main entre les jambes de Pauline, l'autre entre les miennes. Elle aspirait goulûment les tétons particulièrement longs et pointus de sa sœurette, risquant au passage de boire la tasse à chaque vaguelette. Heureusement que nous avions pieds car nous avions bien du mal à maintenir l'équilibre comme ça.

Je fis brusquement face à Mathilde, les yeux dans les yeux, laissant Pauline s'installer derrière moi. Cette deuxième comprit rapidement mes intentions et guida mon sexe vers la fleur de Mathilde. "C'est bien ça que tu veux, coquin, me dit-elle". Je ne pouvais répondre, ayant maintenant la langue de sa sœur autour de la mienne. Mes mouvements de bassins "parlaient" à ma place et évoquaient mon impatience.

J'attendis que Mathilde soit prête et poussai mon pénis vers son ventre offert. Cela prit plus de temps que je ne le voulais, mais le résultat était à la hauteur.
Ce sexe chaud dans un environnement fluide un peu frais, avec ces mains qui traînaient un peu partout, quel bonheur...

Mathilde n'était pas plus vierge que ses deux sœurs, mais vous l'aviez comprit, je pense. Pauline ne voulait pas rester sur la touche et s'activait sur les fesses de Mathilde, puis à l'intérieur des miennes. Elle finit par réussir à introduire une phalange en elle, et une autre en moi. Cela nous électrisa et je ne sais comment je pus me retenir d'exploser. "Doucement, les filles, je ne vais pas y arriver si vous insistez...". Pour Mathilde, c'était déjà trop tard et elle jouit dans l'eau, en de petites secousses qui ravissait sa sœur, coquine experte en caresses.

Nous sortîmes rapidement de l'eau pour nous sécher mutuellement.

Caroline chevauchait Ludo maintenant et embrassait sa copine à pleine bouche. Celle-ci avait son sexe au dessus du visage du beau gosse qui ne savait plus "où il habitait". Je n'avait jamais vu de sexe d'homme "en action" et cela me fit l'effet attendu.

Pauline ne ratait rien du spectacle et me dit "alors, on remet ça, mais en plus fort ?" Je ne savais pas vraiment ce qu'elle voulait, mais j'étais d'accord par principe. Elle se mit « à quatre patte » et me tendit sa croupe à déguster. Mathilde avait probablement idée du nouveau jeu, et elle s'agenouilla derrière moi, écartant légèrement mes fesses, fourrant au passage sa langue là où vous savez...
Pauline, guidait mes doigts et ma langue dans sa vulve qui lui dégoulinait sur les jambes, poussant le luxe à m'orienter vers son petit œillet serré. Je fis ce que je pus pour le détendre, utilisant la cyprine comme lubrifiant, et compris vaguement ce qu'elle attendait de moi.
Je m'effondrai alors sur les coussins des transats de la terrasse, à même les dalles de pierre blanche et elle s'installa rapidement face à moi, "posée" sur mon sexe tendu au possible, mais retardant la pénétration.
Mathilde, à califourchon sur mon torse imberbe, prit mes deux mains qu'elle attira vers son bas ventre. Je ne pouvais plus contrôler la situation au niveau de mon pénis affolé, mais la vue imprenable sur les secrets de Mathilde m'électrisait.
Pauline s'occupait de mon sexe turgescent, le baladait de gauche à droite, se masturbant frénétiquement par la même occasion. Elle engloutit enfin l'objet de son désir et s'immobilisa, laissant ses muscles internes malaxer mon sexe.
C'était génial, mais surprenant. Au bout de quelques instants, elle reprit l'objet "en mains" et le guida directement vers son anus.
Elle s'arrêta une dizaine de seconde avant de forcer le passage et d'exprimer sa satisfaction par un "hum..." de bonheur. Elle entama rapidement une petite danse "du ventre" et sa sœur qui avait presque tous mes doigts en elle, l'accompagnait en cadence. Je jouis assez rapidement, sans que l'une ou l'autre ne m'expulse d'aucune façon.

Je découvrais l'amour anal, l'amour à trois et le voyeurisme en une seule soirée. Je n'étais plus le jeune puceau de cousin, mais un partenaire à part entière pour ces jumelles effrontées.

De son coté, Caroline avait jouis deux fois avec son couple d'amis et me souriait tendrement.
Décidément, je n'avais pas réussi à faire l'amour à mes trois cousines en même temps, mais j'aurais eu du mal à me plaindre de nos performances...

Vers onze heures, tout était « consommé » et nous n'avions plus qu'à ranger tout le bazar, dans l'attente du retour des adultes.
Ludo prit congé en promettant d'organiser à son tour une soirée pour fêter le retour du beau Yann.

Je n'étais pas là pour accueillir le sportif, mais je pus imaginer le contenu de la soirée quand mes cousines m'appelèrent au téléphone. Elles me narguaient car pour moi, les belles vacances étaient bien terminées.

Mon éducation, elle, ne faisait que commencer...