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Proposée le 18/03/2013 par pitchoun62

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Dans mon environnement professionnel se trouvait une admirable jeune femme brune 85B 1M62, 26 ans à l'époque à laquelle moi j'en avais 48. Un mauvais passage dans mon couple cette jeune femme très attirée par le sexe... et voila ce qui devait arriver arriva.
Lors de nos services en commun, elle me racontait ne pas aimer s'ennuyer la nuit avec son partenaire pacsé. Pour elle la nuit n'était que l'occasion de faire l'amour... cette femme avait pour prénom Isabelle. elle aimait les plaisirs de la vie.
Mon couple étant dans une ambiance morose je me suis confié à cette subordonnée. Un jour en entretien physique sur une ancienne voie de chemin de fer, Isabelle bien plus jeune avait pris de l'avance et dans un virage j'ai eu la surprise de la découvrir pied à terre, entièrement nue. Je me suis arrêté, je l'ai serrée dans mes bras, je lui ai caressé les seins posé ma main sur son sexe et lui ai dit que nous ne pouvions rien faire, j'étais son supérieur et en plus nous étions moi marié et elle pacsée. Elle s'est revêtue, nous sommes rentrés chez nous prendre une douche. j'ai alors reçu un SMS me disant que j'étais le premier homme à me refuser à elle. Je lui ai répondu que j'étais fier d'avoir su résister mais qu'en même temps je regrettais. Le lendemain à 8 heures nous nous sommes retrouvés dans la salle café avec les collègues je recevais des SMS d'elle alors qu'elle était face à moi, me disant qu'elle avait envie de moi qu'elle m'aimait...
Nous avons bu notre café tous ensemble puis les collègues sont partis en patrouille. Nous sommes restés seule Isabelle et moi. Elle a dégrafé son ceinturon doucement, a ouvert le bouton, puis la fermeture éclair de son pantalon. Elle l'a baissé doucement jusqu'à ses mollets elle s'est retrouvée en string rouge devant moi. Elle a baissé tout doucement son string laissant apparaître son si joli minou. Elle est alors allée s'asseoir sur un coin de table et m'a dit VIENS. je me suis approché d'elle. Elle m'a attrapé au ceinturon, l'a défait tendrement, a ouvert mon bouton de pantalon, l'a dégrafé, puis a baissé mon pantalon. Je me suis retrouvé en slip devant elle. elle a posé doucement sa main sur mon sexe, puis a baissé le rempart de tissu. Elle m'a alors dit: "Arrête de stresser, tu lui fais peur". En effet, je n'étais pas en érection malgré le spectacle qui se présentait devant mes yeux.. Elle a alors parlé à ma verge comme on parlerait à un enfant, la caressant doucement, lui disant que je lui faisais peur mais qu'il n'y avait aucune raison, qu'elle n'était là que pour lui faire du bien et la soulager. Elle soupesa mes testicules et je m'en souviens comme si c'était hier, elle dit à ma verge, tu vois, il faut les vider elles sont bien trop lourdes...
Isabelle m'a alors caressé tout doucement, les testicules d'abord, puis le gland, faisant monter et descendre sa main sur ma hampe en continuant de lui parler comme pour la rassurer, j'ai approché mes main de sa chemise bleue, (à l'époque nous portions des chemises et non des polos) j'ai défait doucement ses boutons, elle portait un maillot pour cacher son soutien gorge rouge. j'ai ôté sa chemise, la forçant à me lâcher la verge, ce qu elle fit avec regret, puis je lui ai enlevé le maillot. Elle a levé les bras pour le passer plus facilement, nous étions totalement fous, les collègues auraient pu revenir ou un plaignant aurait pu sonner à la porte en bas
Mais nous étions alors dans notre monde et l'adrénaline qui courait dans nos veines nous faisait tout oublier. Elle a repris bien vite possession de ma verge, malaxant tendrement mes testicules et effleurant de la paume de sa main l'extrémité de mon gland. Je revis la scène en la décrivant car tout c'est passé exactement comme je le décris. j'ai passé mes mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge, j'ai ensuite passé mes mains sur ses seins. Ses tétons étaient tendus à l'extrême et ma verge avait pris une belle ampleur
Je me suis agenouillé pour lui lécher le minou. Je l'ai ouvert comme on ouvre le plus beau des abricot, j'ai introduit ma langue dans sa fente; Isabelle s'est laissée aller en arrière prenant appui sur ses mains. Elle s'ouvrait tout à moi. Sa cyprine était délicieuse d'un goût tellement différent de celui de mon épouse. Je me redressais pour lui embrasser ses tendres petits seins, ils étaient si ferme. Puis doucement, j'ai approché ma verge de son minou. Elle se redressa et s'agrippa aux hanches en me réclamant de la pénétrer. j'approchai mon gland de ses lèvres et doucement, pour la faire languir, j'introduisais le bout de mon gland qui se trouvait aspiré par son délicieux minou. Tout doucement, je la pénétrais de plus en plus profondément, jusqu'à ce que mes bourses viennent taper contre son périnée. je restais ainsi un moment. Isabelle semblait comblée mais très vite elle me repoussa et m'attira. Je commençais alors un tendre va-et-vient dans sa chatte si chaude, si humide et si accueillante.
Alors que je pénétrai doucement Isabelle, ma bouche s'est approchée d'elle et nous nous sommes embrassés. Je l'ai soulevé de la table, alors que j'étais planté en elle.
Nous nous serrions l'un l'autre, et j'étais le plus heureux des hommes
Comment moi, 46 ans pouvais je être en train de faire l'amour à une femme de 26, belle intelligente instruite.
J'étais à ce moment le plus heureux des hommes.
J'ai lâché sa bouche pour lui murmurer JE T'AIME
Je lui dis que je ne voulais pas jouir avant elle, même si l'envie était immense.
Alors, mes mains descendirent sur ses magnifiques fesses et mon doigt se posa sur son anus. Isabelle me supplia de l'enfoncer. Je ne me le fis pas dire deux fois. Quelle sensation superbe Je sentais ma verge de l'autre coté de la paroi vaginale
Je ne pouvais pas faire grand mouvement, mais Isabelle le fit pour moi
et doucement je vis ses yeux briller et elle se mit à vibrer.
Moi je sentais la sève monter en moi, j'avais du mal à résister. Isabelle m'embrassa goulûment sa langue pénétrant ma bouche avec force et elle jouit intensément.
Je la laissais reprendre son souffle et nous restions debout, sans bouger. Je sentais mon cœur battre dans mon membre et je me mis à éjaculer en son ventre en lui murmurant des "Je t'aime".
Ayant retrouvé la raison, elle alla, "cul nu" chercher du papier hygiénique dans les toilettes juste en face pour s'essuyer. Je lui en demandai afin d'enlever le sperme qui avait coulé sur ma verge. Elle me dit "Attends j'ai mieux", elle s'agenouilla et me nettoya tout le sexe avec la langue... Je commençais à bander de nouveau.
La porte du bureau en bas claqua, alors très vite, Isabelle prit ses vêtements et alla s'enfermer dans les WC, moi je me rhabillai prestement
J'entendis la voix d'un collègue qui m'appelait. Je lui répondis que je descendais.
Nous avions eu très chaud
Isabelle descendit quelques instants après, toute pimpante et toute heureuse.
Elle dit devant le collègue, 1 partout. Je compris l'allusion, nous avions joui tout les deux. Le collègue ne comprit pas, mais ne releva pas mot
les jours qui suivirent furent magiques. Nous avions franchi le pas. Nous profitions de chaque occasion pour nous frotter, nous effleurer, nous caresser
Nous étions fous amoureux l'un de l'autre.
Nous partions en service, nous nous caressions en voiture.
Nous profitions de nos patrouilles pour s'arrêter en forêt et nous faisions l'amour dans le véhicule
Un jour, alors que nous étions en enquête, sur le chemin du retour, Isabelle me dit : "Veux-tu que l'on aille à l'hôtel'". Je lui dis que je ne pouvais pas, ma femme verrait le paiement. Elle me dit c'est pas un soucis, je paye.
Nous nous sommes alors arrêtés dans un hôtel ou l'on paye par carte à l'extérieur. Nous étions en tenue, nous jouions avec le feu.
Isabelle a inséré sa carte bancaire, puis a tapé le code.
Nous sommes entrés dans le hall de l'hôtel, il était vide, Nous avons cherché notre chambre.
Arrivés devant la porte, chambre 21 je m'en souviens encore Isabelle a tapé le code fourni par la machine.
La porte s'est ouverte elle est entrée là première...
Là j'ai eu véritablement le sentiment de tromper ma femme. Cela m'a refroidi un instant. Isabelle s'en est rendue compte. Elle m'a serré dans ses bras en me disant doucement "ça ne va pas'".
Et là, toute mon appréhension s'est évaporée.
Je l'ai prise tendrement, nous sommes restés enlacés longuement...

La suite bientôt.