Cousines mais coquines III

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Proposée le 17/03/2013 par vince44

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Je dois dire que mes vacances d'été prenaient un tournant des plus pédagogiques. En effet, Caroline avec ses dix-huit ans m'apportait un plaisir abouti alors que sa petite sœur (presque dix-sept ans et toutes ses dents) découvrait l'amour physique avec moi.

J'avais eu l'occasion de progresser dans tous les domaines tels que le cunnilingus, l'anulingus et mes baisers étaient maintenant presque "pros" (je plaisante).

Ma grande cousine Caroline me guidait dans les différentes étapes qui mènent au plaisir et je pouvais en pratiquer quelques-unes avec Pauline la plus jeune. Pour rappel, j'étais toujours puceau, mais ne comptais pas le rester longtemps. Je me demandais laquelle des sœurettes me ferait l'honneur d'accepter la "chose" et j'avais acheté une boite de préservatif, au cas où, comme on dit.

Je dormais dans une des chambres d'amis, au second étage de la maison de mon oncle Albert. Les trois filles partageaient le premier. J'avais tout le niveau avec une salle de bains "perso" et je dois dire que c'est un luxe auquel je n'étais pas habitué.

Mes nuits étaient douces et réparatrices, car nos activités (même les plus honnêtes) nous demandaient pas mal d'énergie.
Je ne sais si c'est un mauvais rêve qui mit fin à cette nuit bien sage, mais je m'aperçus rapidement que mes organes étaient à l'air libre. J'avoue que je n'aime pas dormir tout nu et le moindre doute me réveille. Ici, au contraire, je n'émergeais pas trop vite. Apparemment, des mains étaient agrippées à mon sexe relevé et gentiment le faisaient voyager comme un joystick pour jeux vidéo...
Je tâchais de garder les yeux fermés mais tous les autres sens restaient en alerte maxi.

Je voulais deviner le prénom de la "coupable" avant de la voir (cela "décuplait" mon érection, je dois dire). Était-ce la grande Caroline avec son expérience de la vie (Son andouille de Yann avait dû lui apprendre deux trois trucs) ou était-ce plutôt la candide Pauline qui devait se doigter fébrilement pendant qu'elle matait l'engin dans toute sa "splendeur"?

Vous devez trouver que mon assurance grandissait et que je me prenais presque pour un homme.
C'est que depuis cinq jours maintenant, j'étais sur la fin de mon apprentissage. J'apercevais la ligne d'arrivée, l'aboutissement des vacances : MON DÉPUCELAGE...

Je m'explique : à dix-sept ans (ou presque), je n'avais réussi à jouir que dans ma main droite (je suis gaucher) ou sur le lavabo de ma grande sœur... J'envisageais à présent l'occasion de jouir dans un vrai sexe de fille avant la fin de l'été : Mes cousines (deux des trois, il est vrai) semblaient faire une "course à l'échalote" si je peux me permettre.
Le "gentil cousin de la ville" semblait un bon sujet d'étude. Je me demandais si les deux commères étaient déjà passée à "l'acte", si elles étaient sincères ou s'amusaient entre elles de mon inexpérience.
Toujours est-il que la situation me convenait, mais que je souhaitais prendre "les choses" en main le plus vite possible.

J'en étais toujours à mon réveil lent et langoureux, imposé par une main experte. Je me demandais ainsi qui osait me prendre en main, sans avertissement préalable.
N'était-ce pas Pauline qui venait de poser ses lèvres sur mon membre dressé ?
Je laissais faire: "Attendre... profiter de l'instant présent... Ne pas partir ridiculement dans les tours pour exploser trop tôt..."

Les caresses sur ma poitrine me procuraient quelques frissons d'autant que les nuits bretonnes restent fraîches. Je me tortillais de plus en plus, montrant ainsi l'intérêt que je portais aux deux zones de "massage".
Je sentis alors un doigt bien téméraire s'aventurer sous mes fesses afin d'en titiller l'orifice interdit. Mais là, il y avait un problème... Si une main tenait mon sexe et le baladait dans tous les sens et que l'autre pinçait gentiment mes tétons, à qui était ce doigt ???
Non !!! Mon cerveau analysa rapidement que le lit semblait bien lourd à présent. Il était en fait occupé par trois personnes. Les deux sœurs avaient du se donner le mot et je devenais avec une complicité évidente, un jouet sexuel nocturne pour deux.

Après quelques faux étirements et autres gestes maladroits, je réussis, toujours les yeux clos, à capturer une cuisse juvénile. Je l'attribuai à Pauline, tant la jambe était longue et douce. Une bouche atterrit rapidement sur la mienne en me chuchotant de ne pas bouger, de garder les yeux fermés.

C'était bien la voix de Pauline, mais l'angle que faisait la jambe avec la position supposée de sa tête ne coïncidait pas : ce n'était donc pas sa jambe, mais celle de sa sœur. Je continuais à la masser, me rapprochant forcément de la zone triangulaire qui occupait mes fantasmes. Je m'attendais à trouver la petite chatte soignée de Caroline, déjà bien dressée et consentante, dégoulinant de plaisir à l'idée de caresses tant attendues.

Et bien non. C'est une chatte plus "sauvage" qui se présentait au bout de mes doigts maladroits. J'ouvris les yeux par réflexe, et presque par peur aussi, pour découvrir... Mathilde !!! Zut alors, moi qui la voyais comme un garçon manqué avec sa pêche à la grenouille, je pouvais constater que la "chasse au serpent" lui convenait bien aussi.

Je vis dans son regard qu'elle hésitait à poursuivre ses caresses et provoquer les miennes. Je luis sourit alors et sa réponse ne tarda pas : elle reprit mon sexe en main et guida la mienne vers son "piège" en ondulant efficacement du bassin. Je sentis son bouton se frotter contre mon majeur, ses lèvres s'écarter lentement, puis son orifice engloutir un, puis deux de mes doigts. Je refusai le va et vient qu'elle me proposait pour mieux apprécier l'instant. "Au temps suspend ton vol!" aurait dit Lamartine...

Ma main gauche se voyait condamnée à l'immobilisme, mais la droite avait trouvé une autre "victime", qui n'était autre que la poitrine de la sœur jumelle.
Pauline n'avait pas des seins très développés, tout comme sa sœur d'ailleurs, et je débutais, je le rappelle.
Je ne sais si je m'y prenais bien, mais une main prit la mienne et l'obligea à redescendre vers le nombril, faire une petite pause pour croiser, et remplacer celle qui occupait l'endroit secret de Pauline.
C'était déjà très humide, et je compris que je n'était pas le premier arrivé en ces lieux de plaisir. Elle me fit d'ailleurs sentir délicatement ses doigts maintenant libérés, comme pour m'encourager à continuer dans son sens. Je ne tenais pas à me soustraire à cette "tâche" et c'était maintenant mes deux mains qui s'activaient à l'unisson, tendrement, sans brusquer les belles.

Elles organisèrent en quelque sorte la symétrie, posant chacune une main sur mon sexe de plus en plus fébrile, puis une joue sur mon torse agité par une respiration accélérée. Chacune passa une main sous une de mes fesses et elles se retrouvèrent au près de mon orifice sensible.
Je tenais à faire durer l'instant. Très détendu, je laissait leurs doigts tenter leur chance, sachant qu'elles les avaient bien léchés avant de les glisser sous moi.

Elles gloussaient en cadence, prenant tour à tour malin plaisir à me taquiner le bas-ventre et autre lieu sensible. Je ne bougeais que pour proposer mes lèvres à l'une puis à l'autre, mêlant nos salives, nos langues en un balai enivrant. Une des deux complices, Pauline je crois, estima qu'il était temps d'aller plus loin et expulsa gentiment mes doigts de son intimité pour me proposer le résultat de leur travail comme nectar. Leur "goût" était un peu sucré, présentant même un petit coté "noisette" (sans être sûr de mes connaissances en la matière, soit dit en passant).

A califourchon sur ma bouche, la belle ondulait de plus en plus vite pendant que sa Mathilde attendait gentiment son tour. Je vis qu'elles s'embrassaient à présent, et je compris que ce ne devait pas être la première fois, vu l'ardeur qu'elles y mettaient.

Satisfait du spectacle, j'accélérais aussi le mouvement en attirant le sexe de Mathilde vers ma bouche. Ainsi je pus goutter tour à tour le jus des deux sœurs qui face à face me chevauchaient la tête, au risque de m'étouffer dans leur intimité.

J'étais aux anges et je risquais d'éjaculer à tout moment. Pauline le comprit et vint d'autorité s'installer sur mon ventre, engloutissant alors l'objet de sa convoitise (pas le temps de récupérer le préservatif numéro 1). J'ai pu vérifier ainsi que la belle n'était pas vierge, comme je l'avais pré-senti lors de notre rendez-vous initiatique, autour de l'étang.

Il ne fallut pas plus de cinq ou six mouvements de reins pour que je ne me cambre. La belle m'expulsa gentiment (même si Pauline était délurée, il n'était pas question qu'elle ne me laisse remplir son sexe) et je dus jouir sur mon ventre. J'avais une spectatrice privilégiée en la personne de Mathilde qui n'en perdait pas une miette en m'inondant le visage de sa liqueur juvénile.

Cette nuit fut l'une des meilleures des vacances (et de mes souvenirs aussi). Mathilde promit de me harceler jusqu'à ce que je vienne en elle et je lui laissai entendre que c'était bien mon intention...

Affaire à suivre...