Cousines mais coquines...

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Proposée le 21/02/2013 par vince44

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C'est après plusieurs années sages auprès de ma compagne que me reviennent quelques épisodes coquins qui ont égayé mon adolescence. En effet, je n'étais pas à priori un cas intéressant pour les filles de ma classe de seconde, dans ce petit lycée breton. Les plus sympathiques étaient forcément les plus moches et ne s'intéressaient qu'à mon aide en D.S. de maths. J'avais beau faire le luron, voire l'insubordonné, les plus délurées n'avaient d'attention que pour les deux ou trois sportifs de la classe. Je pris donc mon mal en patience et attendis les vacances d'été pour me dévergonder. Mon oncle et ma tante n'avaient rien trouvé de mieux que de m'inviter à passer trois semaines chez eux. La campagne ne m'attirait guère, mais mes parents qui travaillaient sans relâche trouvèrent l'idée généreuse et l'affaire fut décidée... Mes trois cousines me firent rapidement oublier ces longues journées à... ne rien faire.

Caroline, l'aînée, en classe de première, avait déjà des formes qui éveillaient en moi les souvenirs (pas si lointains) de revues à pages centrales émoustillantes. J'étais sûr qu'à la sortie des classes, elle avait découvert l'amour avec ce grand escogriffe de Yann, son voisin. Monsieur était en vacances et je pus donc jouer les curieux de tout, posant à Caroline les questions classiques pour mes 16 ans.
Lors de nos petites siestes (eh oui, les traditions ont la peau dure), je me rapprochais d'elle pour chuchoter et je crois qu'elle trouvait la situation amusante. Elle confirma mes craintes quant aux approches du beau Yann. Je pense qu'elle en rajoutait, mais cela me convenait. Elle m'expliqua que la plus forte émotion prenait naissance lors du baiser langoureux numéro 1. Elle avait en effet senti une forte chaleur lorsque le footballeur du dimanche lui avait pris la langue pour la première fois.
J'étais bien évidemment suspendu à ses lèvres et ma main gauche se promenait sur mon caleçon sans que je m'en aperçoive. Elle devait sentir mon manège car elle se blottit un peu plus vers le centre du lit et le ton de sa voix devint plus complice, plus tendre... Je crois qu'elle avait l'intention de s'entraîner avec son petit cousin afin de paraître plus "grande" qu'elle n'était lorsqu'elle reverrait le bellâtre...
Fort de ce changement d'attitude, je m'arrangeais pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté sur ce que ma main farfouillait maintenant dans le caleçon tendu. J'entrepris de faire vibrer en cadence le seul petit drap qui nous couvrait. Elle décida de mettre fin à l'hypocrisie qui régnait en m'embrassant tendrement sur la joue : "Tu vois, me dit-elle, la chaleur qui va monter en toi ne s'apaisera que lorsqu'on aura fini la sieste...", elle mit sa main sur ma poitrine imberbe et se pencha de nouveau, mais là nos bouches se trouvèrent, naturellement, sans que la nervosité qui montait en moi ne s'affiche de trop. Ce premier baiser dura une éternité à mes yeux et je croyais que mon caleçon allait exploser tant la "chaleur" me prenait.

Elle profita de ma paralysie passagère pour laisser ses mains courir plus bas, à l'orée du morceau d'étoffe, là où l'élastique décollait d'au moins deux centimètre de mon nombril. J'entrepris moi aussi une exploration des plus lentes, craignant à chaque instant qu'elle arrête là l'expérience par crainte des conséquences ou tout simplement pour se moquer de moi.
Rien en était car elle laissa ma main libre remonter jusqu'à sa poitrine, même si elle était maladroite et peu efficace à procurer du plaisir.
Elle me guida alors et les cercles se firent plus efficaces, plus lents. Quand mes doigts atteignirent les petits boutons de mes fantasmes, ils les trouvèrent tendus et le soupir qu'elle émit confirma ce que je pensais : ma cousine était vraiment une gentille salope...

"Viens, me dit-elle, embrasse-moi encore et laisse-toi aller". Je n'en demandais pas tant. Mon autre main lâcha mon petit mat de cocagne pour se diriger vers ses fesses. Le short en toile qui les couvrait fut vite déboutonné et mes caresses approchaient de son petit œillet, tant elles étaient appuyées. "Doucement, ne fais pas n'importe quoi...", me souffla-t-elle. Je me calmai et la laissais reprendre l'initiative. Elle ne perdait pas le nord et avait déjà mon sexe en main : "Mais qu'il est dur !", fit-elle en faisant mine d'être surprise, "Il ne faut pas te laisser comme ça, c'est peut-être dangereux...".
Elle entreprit de faire le tour de la chose avec un doigt, sans appuyer, et la sensation me paru beaucoup plus douce (et insoutenable aussi) que lorsque je me donnais du plaisir moi-même. Elle continua son manège alors que ma main droite s'occupait toujours de ses tétons durcis. Je l'embrassai à nouveau et l'échange de salive nous chavirait l'un comme l'autre. Les roulades se firent plus soutenues et le drap s'envola. Nos shorts aussi, d'ailleurs. Ses jambes étaient collées aux miennes, et l'intérieur de mes cuisses sentaient la douceur de ses petits poils bien entretenus.
Je sentais alors un liquide couler contre ma jambe sans vraiment savoir à quoi il correspondait. Je me détachais de son corps brûlant pour aller voir de plus près l'objet de mes désirs. Elle me laissa approcher maladroitement les doigts de sa vulve déjà trempée, puis ma bouche que ne demandait qu'à aspirer ce fruit jusqu'alors défendu. son petit bouton se dressait vers mes lèvres et je me demandais si mon plaisir n'allait pas éclater stupidement entre ses doigts. Elle du penser la même chose et ralenti mon ardeur. Elle me plaqua sur le dos et entrepris elle aussi un petit "tour du propriétaire". Je pense qu'elle contemplait la chose sans oser y déposer les lèvres.
Ma main rejoignit la sienne pour imposer un rythme plus soutenu et elle osa enfin prendre l'extrémité de mon sexe qui semblait la supplier. Sa langue ne tarda pas à faire le tour du petit gland et sans ordre précis, elle nettoya mon sexe frémissant des petites gouttes qui suintaient sans cesse. "Je trouve ça un peu sucré", me dit-elle. Tu avais déjà goutté ???". Je lui dit que non (sans la convaincre) et elle m'embrassa à pleine bouche pour tenter de me faire partager le fruit de sa collecte.
Je reconduisis sa tête vers mon bas-ventre à l'aide de mes deux mains nerveuses et ma respiration s'accéléra. De peur d'être privée du bonheur, elle se retourna et m'offrit son intimité à goûter... Je crois que j'ai compris alors que c'était le meilleur fruit qu'il me serait donné de lécher, de mordiller et d'aspirer pour le reste de mes jours... Nous avons jouis ensemble et les décharges de son corps ont fini de m'enivrer. Elle n'a pas avalé mon sperme, mais je n'ai quant à moi pas perdu une goutte de ce que je pouvais soutirer de son petit abricot. Par la suite, nous avons continué nos tendres galipettes, sans aller plus loin, mais avec à chaque fois des sensations nouvelles, plus approfondies. J'ai intérieurement remercié le gars Yann qui avait déclenché la curiosité chez ma tendre cousine, même si je devinais qu'elle n'allait pas tarder à lui montrer ses progrès rapides...

... à suivre ???