Martin

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Proposée le 16/02/2013 par charlotte2

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A cette époque j'étais représentante en jeux éducatifs pour les maternelles et les crèches. Au cours de mes tournées j'avais rencontré Martin un instituteur dans un petit village. Martin c'était un prénom rare, mais le personnage l'était aussi. Grand, brun aux yeux bleus, tout à fait le genre tombeur. En fait il était très beau.

Pendant tout l'entretien que j'ai eu avec lui je suis restée subjuguée par son charme. Je ne voyais que ses yeux, j'essayais de deviner les muscles de son torse par la chemise entrouverte, et même, chose rare chez moi, le renflement de son pantalon à l'endroit du sexe. Bref j'étais sous le charme de cet homme. Et instinctivement j'essayais de lui plaire.

A la fin de ma visite il a fallu que je m'ébroue pour redescendre sur terre, et je m'aperçus alors que j'avais fait une très belle commande, sans en avoir le moindre souvenir.

Nous devions nous revoir 6 semaines plus tard pour une nouvelle collection. Je vivais avec un homme sans le moindre problème sexuel étant entièrement satisfaite de ce côté là. Mais quand vint le jour de ma visite avec Martin, mon conjoint était en stage à l'étranger depuis plus de 7 semaines et je n'avais eu aucun rapport sexuel depuis son départ. J'étais en manque d'amour. J'y pensais presque tous les jours. La nuit je faisais des rêves érotiques qui me laissaient pantelante au petit matin. Quand je tombais sur une revue, c'était bien sûr une revue érotique et je ne tardais pas à me caresser. Mais c'était bien insuffisant. C'est d'un corps d'homme que j'avais besoin et il n'aurait pas fallu grand chose pour que je trompe mon conjoint juste pour le plaisir. Cela explique peut-être ce qui s'est passé.

Reçue gentiment par Martin comme la dernière fois, nous avons d'abord bavardé sur le ton du badinage, tout en buvant un petit punch bien frais. Martin avait une attitude bizarre faite d'attention exagérée et de tendresse contenue. Du désir aussi. Le regard presque trop caressant pour être vraiment honnête. Je me sentais troublée, émue. Et l'alcool n'étais pas étranger à mon émoi. D'ailleurs je voyais trouble, dans un halo, et j'avais envie de rire. Presque inconsciemment je me plaçai dans la lumière de la fenêtre. En suivant le regard de Martin dans le miroir je constatai qu'on me voyait plus que nue par transparence
Je commençais à lui montrer ma collection, légèrement grise. J'avais pris l'habitude pour cela de me mettre à genoux étant plus à l'aise dans cette position. J'étais vêtue d'une robe à boutonnage sur le devant très largement fendue et décolletée, et en cette fin de printemps, je portais des bas, ayant définitivement jeté les collants aux orties.

Pendant ma démonstration Martin me regardait en souriant. Je sentais son regard me frôler tout le corps, et cela me faisait chaud. Mais ce n'est qu'au bout de quelques instants que je vis que ses yeux fixaient l'endroit où ma robe s'était largement ouverte sur mes cuisses à cause de ma position. En vérité, on voyait très bien le haut de mes bas et un peu de chair nue au-dessus. Je tentais de couvrir mes jambes en tirant sur le tissu, mais celui-ci était tellement tendu que ma robe s'entrouvrit à nouveau. Une autre tentative s'avéra inutile. Martin dit doucement:

- Laissez. C'est bien ainsi, et puis le spectacle est très agréable à regarder. Surtout ne changez rien.

Troublée, serrant les jambes, toujours assise sur mes talons, dans une pose légèrement indécente, je continuais ma démonstration sentant son regard brûlant posé sur mes cuisses.

Interrompant mon laïus il murmura :

- Je vous trouve très belle.

Il s'agenouilla face à moi et me fixa dans les yeux. Mon souffle devint un peu plus court. L'atmosphère était tendue, lourde d'érotisme. J'étais profondément troublée.

- Continuez, dit-il.

Pendant un long moment nous sommes restés les yeux dans les yeux. Je n'arrivais plus à parler. Des envies de sexe commençaient à m'envahir. Mon regard rivé au sien je me mis à balbutier mes arguments de vente.
Je m'arrêtais soudain alors que ses mains défaisaient un bouton en bas de ma robe et en écartaient doucement les pans, découvrant ainsi un peu plus de mes cuisses.

- Mais que faites-vous ? protestai-je la robe déjà ouverte jusqu'au slip.

- Chut continuez votre démonstration.

Il se pencha en avant et doucement il me caressa les jambes. D'abord longuement, lentement, du genou à la lisière des bas. Toujours ancrée dans son regard et agenouillée devant lui, je me mis à trembler. Les mots sortaient de plus en plus difficilement de ma bouche et sous ses caresses mes cuisses s'ouvraient toutes seules et mon sexe mouillait. Il s'approcha et murmura :

- Oui c'est ça écarte! Me tutoyant pour la première fois.
- Non, soupirais-je déjà gagnée par le désir.
- S'il-te-plait, écarte chuchota-t-il.


Alors comme envoûtée mais pas vraiment consentante, j'écartais doucement les jambes, découvrant totalement mes cuisses et presque complètement mon slip.

- Oui, dit-il, je sais que tu en as envie autant que moi.

Sa main continua sa caresse diabolique puis alors que je gémissais, monta lentement jusqu'à ma peau nue, me procurant un long frisson. Puis elle monta encore plus haut et me caressa la chatte par dessus mon slip. Je haletais encore plus fort sous ses doigts, sentant le désir monter.

- Non chuchotais-je, penchée en avant sur son bras, tandis qu'il me massait le sexe et que le désir me submergeait.

- Chut répondit-il.

Les bouts de mes seins étaient durs et douloureux, prêts à traverser le tissu de ma robe. Il embrassa délicatement mes lèvres. Ses mains massèrent mes seins puis mon ventre puis mes cuisses puis encore ma chatte. Soudain, alors que, n'y tenant plus, je lui rendais son baiser, il glissa un doigt sous l'élastique de mon slip et écartant les lèvres de mon sexe me caressa le clitoris. Puis il dit :

- Tu es toute mouillée.

Je tremblais et coulais sur son doigt.

Ensuite, alors que je haletais sous sa caresse, il prit ma main droite et, sans que je proteste, la glissa dans son short en murmurant :

- Regarde comme je bande, comme ma queue est dure. De sentir ce gros sexe vibrant de désir et tout gonflé de sève me fit carrément tremper mon slip.

Malgré moi je me mis à le masturber.

Alors protestant encore un peu, entre deux baisers, mais abandonnant progressivement toute résistance, je le laissais m'incliner lentement en arrière, bras tendus, cuisses ouvertes. Je m'offrais. Il se pencha en avant et déboutonna ma robe. L'ayant écartée, il saisit mes seins à pleines mains déclenchant d'autres gémissements.

- Tu as envie hein?

- Oui, arrivais-je à dire en tremblant.

Ensuite il me souleva un peu et fit glisser mon slip sur mes jambes. J'étais tellement impatiente que je m'énervais à l'enlever complètement. J'étais pratiquement nue, offerte, le sexe coulant de désir, Je ne savais plus qui j'étais, je ne pensais qu'à son sexe énorme qui allait me prendre et que je devinais sous son short, gonflé de sève.
Doucement Martin m'écarta les cuisses, se pencha et me lécha le sexe. Il trouva mon clitoris et l'aspira. Je ne pus retenir un râle de plaisir. J'étais prête à être prise, à jouir, privée de mâle depuis si longtemps. Je ne résistais plus, submergée par cette montée de désir qui semblait tout annihiler en moi. Je fermais les yeux pour mieux en profiter, décidée à laisser faire les choses.

Quand je les ouvris quelques secondes plus tard, il y avait un autre homme qui nous regardait en souriant. Martin leva la tête de mon ventre et dit :

- Viens Pierre, elle est prête.

Je n'avais pas encore complètement réalisé que le dénommé Pierre me caressait les seins.

- Non criais-je, légèrement dégrisée en tentant de me dégager.

- Chut, ne crie pas dit Martin.

Je me débattis, protestais, les traitais de salauds, essayais de leur échapper, mais Pierre avait saisi mes bras et les tendait en arrière et surtout, Martin me léchait à nouveau la chatte et deux doigts dans mon vagin me branlait doucement et je compris que j'étais perdue.

Pierre se pencha et m'embrassa les seins et le torse. Il lécha les bouts que redevinrent durs et longs. Sa caresse était si douce et bonne que je sentis une boule de chaleur monter de mes reins.
Alors je me laissais aller et je fis tout ce qu'ils me demandaient. Oui j'écartais les cuisses plus grand, oui je leur dis de me baiser, que je ne pensais qu'à ça depuis que j'étais entrée dans la pièce, oui j'acceptais qu'ils me prennent, qu'ils me sucent. Ils pourraient me faire tout ce qu'ils voudraient, je ne dirais rien. Martin sortit son sexe, l'approcha de ma chatte et me pénétra d'un lent coup de rein jusqu'au fond du ventre. A peine avait-il commencé à me limer que je jouis. Pierre me présenta sa queue et oui je me mis à la sucer avec gourmandise.
Je ne savais plus où j'en étais, j'étais folle de désir. Je voulais jouir et encore jouir. Martin se retira sans avoir joui et Pierre prit sa place dans mon ventre. Puis Pierre me saisit à bras le corps et me retourna sur lui. Il continua à me limer et je sentais le plaisir revenir. Je me démenais sur lui, son sexe enfoncé dans la chatte au bord de l'orgasme.

Puis Martin m'écarta doucement les fesses et me lécha l'anus. C'est une caresse qui me fait partir à toute vitesse. Je me démenais encore plus sur le sexe de Pierre. Martin mit un doigt dans mon cul et me branla par l'arrière, puis s'enduisit les doigts d'un corps gras et me caressa la raie des fesses. Je protestais sachant ce qu'il voulait faire.
Mais Pierre étouffa ma protestation en prenant ma bouche et en me donnant de plus grands coups de rein. Alors Martin présenta sa queue à l'entrée de mes fesses et dit :

- Ça n'est pas la première fois, hein, alors aide-moi.

- Non ce n'est pas la première fois soufflais-je, et tendant les bras je saisis chacune de mes fesses et les écartais pour l'aider à me sodomiser.

Il entra délicatement mais sans grand effort, toute dilatée que j'étais. Une fois au fond de mes reins il bougea lentement. Puis ensemble ils me limèrent encore et encore jusqu'à l'éjaculation. Quand je les ai sentis partir, que j'ai senti ces deux énormes queues se gonfler et grossir encore au moment de leur jouissance, j'eus le plus bel orgasme de ma vie. Prise par le ventre et par les fesses et de si belle manière, que pouvais-je faire d'autre que de jouir très fort?

Ensuite ils furent très gentils et je rentais chez moi avec encore une belle commande.... Mais ce fut la porte ouverte à d'autres aventures de ce genre.