Critique de films

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Proposée le 12/02/2013 par Coquin

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J'ai revu récemment à la télé le film "Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick" et je trouve que ce film a bien vieilli.
D'accord certaines scènes sont toujours excitantes, pleines de sous-entendus et de fantasmes. Comme la soirée où elle se fait séduire par son cavalier, puis lorsqu'elle parle à son mari de ses fantasmes. Là, oui, c'est sensuel. Mais la scène d'orgie dans cette maison, ce manoir, avec ces gardiens, ces pièces gigantesques, cette mise en scène grandiloquente, non, désolée cela ne m'inspire pas. D'ailleurs quel homme normal, en dehors de hardeurs, serait capable de bander et d'honorer une femme dans cet univers froid, chirurgical, presque stérile.
La vie, c'est autre chose. Je peux en parler en toutes connaissances de cause, car à un moment de ma vie, j'ai côtoyé des personnes qui participaient à ce genre d'évènements. Rien à voir avec le film. Si tout de même, liberté sexuelle, libertinage et partage sont des points communs.
Mais d'abord, je me présente. Je m'appelle Sloane. Je suis d'origine Africaine, par ma mère, mais née en France. On dit de moi que je suis une belle plante car mes parents m'ont donné le meilleur d'eux mêmes. Enfin pour la beauté je tiens plus de ma mère que de mon père. Elle est du peuple Sérère, réputé pour les filles fines et élancées avec des traits très fins. Mon père m'a donné mon teint de métisse et des cheveux européens.
J'ai très vite pris conscience de ma beauté, sans prendre la grosse tête, heureusement. D'ailleurs si j'avais fait la pimbêche, certains se seraient fait un plaisir de me rappeler mes origines. Mais je sais aussi que sans ma beauté, je n'aurais pas vécu cette aventure.
Tout commence, au mois de juillet de mes dix huit ans, alors que je suis en vacances en Corse chez des amis de mes parents. Eux doivent nous rejoindre plus tard.
J'adore la planche à voile et je me débrouille très bien, mais ce jour là je me suis laissé entraîner trop loin et la fatigue se fait sentir. Heureusement un grand voilier est au mouillage et comme tout à l'heure j'ai vu que des gens étaient sur le pont, je m'efforce de le rejoindre pour qu'ils me donnent un coup de main.
Enfin, mes mains touchent la chaîne. Je tremble tellement, qu'il me faut reprendre mon souffle avant d'appeler. Mais personne ne répond. Un début de panique m'envahit. Je m'approche à toucher la coque et je ressens, plus que j'entends de la musique qui filtre à travers la structure.
Ouf, voila pourquoi ils ne répondent pas. Lentement je longe le bateau à la recherche d'une échelle, regardant par les hublots si je vois quelqu'un. A bâbord, les ouvertures sont plus grandes, certainement sur un salon ou une pièce à vivre.
En effet c'est un salon et des gens sont en train de danser. D'où la musique. Petite particularité, ils sont nus. Deux femmes, deux hommes. Les femmes se trémoussent, se frottent, se caressent sous les yeux des hommes, spectateurs confortablement assis dans des fauteuils. Une des femmes, la plus âgée, tourne maintenant autour de sa partenaire. Elle se plaque contre son dos pendant que ses mains caressent les seins, flatte le ventre plat et les hanches peu marquées pour atteindre le pubis et se plaquer sur la chatte. L'autre se dandine doucement, les yeux clos, en fléchissant les jambes pour s'ouvrir aux caresses.
La scène est d'un érotisme torride et me trouble. Il y a longtemps que j'ai perdu ma virginité et que j'apprécie les joies du sexe. Mais ces deux femmes le font avec douceur et tendresse. Cela semble si naturel.
Naturel bien sur, comme le sexe des hommes qui se dresse de ce spectacle et que leurs mains entretiennent. Naturel aussi, comme les femmes viennent s'accroupir pour sucer leurs amants. L'échange de partenaire est évident. La jeune femme s'occupe d'un homme plus âgé. Et inversement bien sur. Le sexe n'est il pas sans âge.
Les fellations ne durent pas. La jeune femme s'appuie contre un fauteuil et l'homme s'engage derrière elle. C'est à ce moment qu'elle me voit, pointant son doigt dans ma direction.
Branle bas de combat. Les couples se séparent et montent sur le pont. Je n'en mène pas large, surprise en flagrant délit de voyeurisme alors que je ne cherchais que du secours.
- Qu'est ce que tu fais là? Hurle le plus âgé des hommes, se penchant par le bastingage.
Si je n'étais pas littéralement terrorisée, la situation serait des plus cocasses. Tous les quatre me toisent de la balustrade, deux mètres au dessus de moi et j'ai une vue détaillée, par-dessous, de leur anatomie. Car ils n'ont pas pris le temps de se rhabiller. Spectacle qui pourrait choquer !
- Arrête Marc. Ne crie pas. Tu vois bien que tu lui fais peur. Manifestement elle est épuisée.
C'est la femme la plus âgée qui vient à mon secours. Ils descendent une échelle, me hissent, et récupèrent ma planche.
- Hé, les garçons. Allez mettre un maillot.
Et en m'entraînant dans le bateau.
- Alors qu'est ce qu'il t'arrive?
Quelques instants plus tard ma situation est éclaircie et ils vont me reconduire à terre. Mais je continue de trembler. La fatigue, le froid. La femme propose que je quitte mon maillot pour des vêtements plus chauds. Comme je cherche un endroit à l'abri des regards elle me charrie.
- Allez, pas de chichi, on est entre nous.
C'est vrai que les autres sont partis et qu'elle-même est toujours nue. Je me change donc, mais je sens son regard qui ne me quitte pas.
Lorsque je suis prête et vais quitter le bateau pour le canot, elle revient vers moi et me donne une carte de visite.
- Ecoute petite. Tu es très bien faite et je m'y connais. Je suis photographe et j'aimerais faire des photos de toi. Pour un "Book", "Book mannequin, par exemple si cela t'intéresse. Nous louons une villa dans la région. Si tu veux appelle-moi sur le portable.
Sa proposition m'amuse, plus pour le fun que par besoin. Mais lorsque j'aborde le sujet avec mes parents au téléphone, ils sont plus que réticents, craignant l'arnaque ou un traquenard. Et, je n'avais pas parlé de ce que j'avais vu. Pourtant lorsque je donne le nom inscrit sur la carte "Mme M...... ", ma mère sursaute.
- Isabelle M... ?
- Oui, je réponds.
- Attend, je te rappelle dans cinq minutes.
En effet elle me rappelle après m'avoir envoyée un MMS.
- C'est elle?
En effet la femme sur la photo est bien celle que j'ai vue sur le bateau. Plus maquillée, plus élégante avec ses longs cheveux blonds coiffés tendance.
Ma mère.
- Alors cela change tout. C'est une photographe reconnue sur la place de Paris. Je sais qu'elle ne photographie que le gratin.
Ma mère est dans la confection et sa passion est le people.
- Si tu veux je l'appelle pour dire que tu es d'accord et prendre contact.
Je suis majeure mais le cordon familial est loin d'être coupé.
Voila comment, deux jours plus tard, je roule sur mon scooter pour aller à mon rendez-vous.
C'est elle qui m'accueille. Après les courtoisies habituelles elle m'emmène dans ce qu'elle appelle son "atelier de campagne". Pendant les deux heures suivantes, j'ai été une chose obéissante entre ses mains. Nous sommes passées dans de nombreuses pièces, pour, "La lumière! Les meubles! La couleur! etc." A l'extérieur, sur la terrasse autour de la piscine et dans l'eau, ses demandes sont devenues plus intimes. Elle à su me mettre à l'aise. Par exemple, à sa demande de poser nue, elle a proposé de faire pareil. Pas de vulgarité dans ses gestes, même si elle me touche pour corriger une position, accentuer un déhanchement. Pourtant pour les dernières prises, elle m'a demandé de prendre des poses que je qualifierais d'érotiques. Devant ma retenue, elle me rassure à nouveau.
- Rassure toi, c'est juste entre nous. Un essai pour mieux faire ressortir la sensualité de ton corps de jeune femme.
J'ai bien senti qu'elle me testait. Allais-je réagir à ses demandes, à ses gestes, presque des caresses? Ses mains qui effleurent ma poitrine alors qu'elle place les miennes en coupes sous mes seins. Les doigts qui touchent mes pointes pour "les faire se dresser". Cette façon aussi de me positionner jambes ouvertes avec juste une main qui fait office de cache sexe.
Mais je n'ai rien dit. J'ai laissé faire, "déjà très professionnelle" comme elle dit. Puis elle a décidé que tout était "dans la boite".
- Allez, c'est bon. Je pense que j'ai tout ce qu'il faut. Demain je devrais pouvoir te montrer une première version. Tu es libre pour 16h ?
- Oui, bien sur. Et comme je me lève pour la quitter.
- Mais reste. Tu vas manger avec nous. Des amis vont venir nous rejoindre. Tu les connais. Sur le bateau... Ingrid et Brian... Installe toi, je vais chercher à boire.
A son retour, elle me demande si j'ai été choquée de ce que j'avais vu sur le bateau. Comme je réponds "pas vraiment", elle insiste.
- Quel moment as-tu préféré ?
Je réfléchis.
- Peut-être lorsque vous dansiez avec votre amie.
- Pourquoi?
- C'était très doux et très sensuel.
- Tu as raison. Et toi tu l'as déjà fait avec une fille?
- Non
- Tu ne veux pas, ou tu n'as pas eu l'occasion?
- Pas l'occasion.
Je fais l'indifférente, la fille déjà blasée, mais en réalité je flippe. Je bouge sur mon transat, faisant semblant de chercher une position confortable pour me relaxer, comme si cette conversation était anodine. Je vais même jusqu'à fermer les yeux et pourtant je sens son regard sur moi.
Une ombre passe. Je sens sur mon visage comme une brise. Des lèvres touchent les miennes, effleurement furtif. Des milliers de contacts glissants me donnent la chair de poule, traçant des sillons sur ma peau. Les cheveux passent sur ma poitrine, descendent sur mon ventre, visitent une cuisse en effleurant mon sexe, puis remontent par l'autre, pour lentement revenir vers mon visage.
Cette fois le baiser est plus long, mais toujours chaste. Les lèvres m'abandonnent pour reprendre l'exploration de mon corps. Cette fois ce sont elles qui tracent des sillons sur ma peau s'arrêtant sur mes seins, mon nombril, l'intérieur de cuisses et mon jardin secret. Une brise sur ma fente, pas plus. Pourtant je voudrais plus. Je soupire.
Peut-être attendait elle ce signal secret. Elle remonte et c'est maintenant une bouche audacieuse qui presse mes lèvres. La langue force la barrière, si faible, de ma bouche. Elle cherche ma propre langue pour une bataille que je ne refuse pas. Je repousse l'agresseur et il cède pour mieux conquérir.
Elle m'abandonne. Je n'ose ouvrir les yeux de peur de briser le sortilège. Des mains se posent sur mes cuisses pour les écarter. Des cheveux balayent mon ventre et mes cuisses.
- Aah!
Je ne peux retenir ce cri lorsque ses lèvres et sa langue touchent ma chatte. Les mains poussent mes cuisses et je m'ouvre largement, jambes repliées en appui sur les bras du transat. Quel spectacle d'une indécence extrême je dois offrir, même si mon intimité est cachée par la chevelure d'Isabelle. L'instant n'est plus aux attouchements furtifs. Non sa langue plonge dans mon vagin, doux serpent, entrant et sortant comme une petite verge souple qui explore ma féminité.
- Aah!
Encore, lorsqu'elle pince mon clitoris avec ses lèvres pour l'aspirer et le sucer. Oh, cette langue qui glisse, lèche mon jus et descend bas, si bas, dans une zone que personne n'a jamais touchée. Elle joue avec mon anus comme si cela était naturel. Aussi naturel qu'un baiser sur la bouche, essayant de forcer le passage entre les lèvres, mais c'est mon anus qu'elle force. Je sens bien la pointe qui tourne, comme pour hypnotiser le sphincter, oui l'endormir, lui raconter une histoire, lui faire croire qu'il doit s'assouplir, pour son bien, pour celui de sa maîtresse.
Mais il veille au grain et elle abandonne, surement un repli stratégique.
- Caresse-toi, me dit Isabelle alors que ses mains enveloppent mes seins, les écrasant pour mieux faire jaillir mes tétons. J'obéis et mes paumes viennent les frotter, comme je le fais quelques fois lorsque je suis seule devant ma glace pour satisfaire un besoin que je vais satisfaire en caressant mon clito.
J'ouvre les yeux découvrant le charmant spectacle de ma poitrine soumise aux caresses et cette tache blonde des cheveux qui recouvrent mon bas ventre. Mais ce n'est pas tout. Dans le prolongement, le mari d'Isabelle est là qui nous regarde. Nous échangeons un regard. Je ne suis même pas surprise ni choquée de sa présence, même s'il est nu et que son sexe parait tendu. Il me sourit, tout en avançant jusqu'à pouvoir toucher, de la main, les hanches de son épouse.
Elle tourne la tête et dit "Marc". Ce n'est pas une question, juste une constatation. Il ne répond pas, mais ses mains quittent les hanches pour venir se rejoindre vers le sillon fessier. Isabelle, jusqu'à présent accroupie entre mes cuisses, bouge pour monter ses fesses. Heureusement elle replonge pour s'occuper de moi. C'est bon. Je voudrais que jamais elle ne s'arrête.
Marc aussi plonge. Il s'agenouille derrière Isabelle et son visage vient s'appuyer sur les fesses. Lui aussi joue de la langue et lorsqu'il remonte, ses yeux me regardent.
C'est étrange comme ce regard me perce, comme s'il savait toutes mes pensées.
Après un long moment, il se redresse. Son sexe maintenant apparaît parfaitement raide, plaqué contre son nombril. De la main, il le penche pour venir le pointer entre les fesses de sa femme. Oui, je dis bien les fesses. Il pointe si haut que cela ne peut être le sexe. Je ne peux pas m'empêcher de relever la tête pour mieux voir. Le gland est bien là, positionné. La seconde d'après il a disparu et j'ai ressenti la poussée par la pression nouvelle de ma suceuse. Les lèvres s'écrasent contre ma fente sous la pression de la queue qui envahit l'anus. Car elle entre, facilement, manifestement dans un terrain déjà conquis maintes et maintes fois.
Image encore inimaginable pour moi, il y a seulement quelques heures, du ventre de cet homme plaqué contre les fesses de la femme et de la verge qui réapparaît entre eux lorsqu'il recule. Image torride de cette queue qui disparaît si facilement dans le cul de cette femme alors que l'homme pousse en avant.
Je ressens chacun de ses mouvements à travers la bouche qui me caresse, la langue qui avance un peu plus sous la vague montante. Et les mains d'Isabelle qui s'accrochent à mes seins comme une naufragée que le flux et le reflux brassent sur la bouée.
Je jouis, encore et encore. Je coule par le plaisir des caresses et le régal des yeux. Les deux amants, mari et femme signalent par des grognements qu'eux aussi vont atteindre l'orgasme. Il jaillit sous mes yeux, longues éclaboussures de sperme que Marc éjacule sur les fesses et le dos d'Isabelle. Preuve affichée, pour m'impressionner peut être, de la virilité de cet homme et de l'excitation que deux femmes lui inspirent.
Quelques minutes plus tard, tout trois nous reprenons des forces.
On sonne à la porte. Chacun reprend une attitude plus civilisée, enfin si civilisation signifie, vêtements.
Ce sont les amis attendus. Les présentations ne sont pas nécessaires.
Le repas tire en longueur. Je dois montrer des signes de lassitudes aux conversations professionnels de parisiens en vacances. Isabelle le voit et m'invite.
- Si tu veux, descend à la plage. Juste le chemin derrière la maison. Tu verras la crique est magnifique et peu fréquentée. Met un maillot, il y a quelques fois des familles.
Comme si j'avais l'habitude de me baigner nue. Ce n'est pas le genre de la maison. Enfin pas dans ma famille.
J'accepte.
Je profite de la mer pendant un long moment.
Lorsque je reviens à la villa, Isabelle est seule dans son atelier.
- Vos amis sont partis?
- Non ils sont avec Marc, à l'étage.
- Je voulais les saluer avant de m'en aller.
Elle a un petit sourire lorsqu'elle me dit.
- Bien sur, Viens suis moi.
Nous montons et je la suis dans une chambre. Dés que je passe la porte je découvre une scène surprenante. Comme je reste figée, Isabelle me prend par la main pour m'approcher du lit. Marc y est couché avec la femme sur lui, enfin ce n'est pas si simple. En réalité elle lui tourne le dos et ne s'appuie que par ses jambes et ses bras. Cette position montre la maigreur de ses membres et sa poitrine peu développée. Mais elle montre aussi une souplesse qui la fait onduler du bassin de bas en haut avec un plaisir évident. Isabelle me pousse encore plus prêt. Je pourrais les toucher. Mais aussi je vois mieux ce qui donne du plaisir à Ingrid, le sexe de Marc qui la sodomise et sur lequel elle se possède.
Pendant ce temps son ami regarde. Il bande fort. J'avais bien remarqué sur le bateau, mais trop vite, pour vraiment réaliser, que la verge de l'homme pendait bas, lorsqu'ils m'aidaient à monter à bord. Mais là, déployée, presque à l'horizontale, je voyais bien qu'elle sortait de l'ordinaire. Enfin de mon ordinaire, de ce que je connaissais avec mes copains. Étroite mais longue, si longue, avec un gland totalement dégagé de sa peau protectrice. Il brille, certainement humide des lèvres d'Ingrid. J'avais raté la mise en place, que dis je la mise en bouche. Il est vrai qu'il fait envie ce sexe.
Il avance. Brian, je me souviens de son prénom, avance. Tout naturellement le gland pousse les petites lèvres, îlots écarlates dans un océan de rose, disparaît, avant-garde de la hampe qui suit. Cela parait si simple. Et pourtant, comment deux queues peuvent elles tenir dans ce ventre si plat, encore plus marqué par la position d'Ingrid. Je me surprends à chercher un gonflement, une protubérance qui montrerait la progression de l'engin. Non, rien et pourtant le sexe a totalement disparu, comme happé dans un tunnel vivant.
Ingrid pousse un petit cri. De douleur? De plaisir? Tout trois restent immobiles un moment. Chacun doit savourer l'instant. La femme recommence à bouger, d'abord lentement, attentive, comme si elle prenait la mesure de ce qui la pénètre. Ce mouvement du bassin lui permet de jouer avec les sexes, séparément, l'un avançant pendant que l'autre recule. Oh pas sur toute la longueur, non, quelques centimètres. Les hommes grimacent, leur visage se tend, le jeune comme le vieux, unis dans la même recherche du plaisir.
Isabelle se déplace. Elle vient se plaquer contre le dos de Brian. Ses mains caressent les épaules, la poitrine de l'homme. Puis elles descendent vers les fesses pour disparaître entre les cuisses.
- Ahhh ! Petit râle de Brian. Qui tourne la tête vers celle qui le caresse. Je ne vois rien, mais je peux imaginer les mains douces venir palper les testicules. Peut-être même qu'elles peuvent atteindre ceux de son mari.
Juste imaginer.
Ingrid change de rythme, de mouvement. Maintenant elle avance et recule sur les deux pieux. L'amplitude est plus grande. Les sexes réapparaissent par instant, puis sont avalés, encore et encore.
Frénésie. Mots incompréhensibles sortant de bouches pourtant closes. Vite, de plus en plus vite. Le choc des corps est violent, audible.
Ouiiiiii ! Elle jouit tout en continuant sa course. Il faut encore un long moment avant qu'elle ralentisse comme pour redescendre sur terre en douceur. Elle s'écroule sur Marc. Brian, seul, la baise maintenant. Ses mouvements sont profonds et doux. Sa queue sort du conduit magique, le temps que le gland frotte sur le petit bouton, arrachant encore quelques souffles à Ingrid, puis replonge. Il dure, dure, infatigable dans la grotte distendue mais maintenant libérée de la pression du sexe de Marc qui doit doucement débander.
Il se crispe. On devine son sperme jaillir, d'ailleurs des traînées sont visibles alors qu'il continue ses vas et viens.
Voila, les muscles se relâchent. Il se penche pour échanger un baiser fougueux avec son amie, alors que Marc l'embrasse tendrement dans la nuque. Plaisir, jouissance, trio, mais si tendre.
Personne ne bouge, de peur de rompre la magie. Si, Isabelle revient vers moi et dit.
- Sloane voulait vous saluer avant de partir.
Ses paroles brisent l'harmonie. Ils se séparent comme à regrets. Se lèvent et viennent dans un geste naturel me saluer. Nous échangeons des bises. Étrange situation de ces deux hommes, le sexe encore turgescent, qui m'embrassent comme une amie de longue date. Plus étrange encore, mes yeux n'arrivent pas à quitter le bas ventre d'Ingrid qui laisse s'écouler le sperme de ses amants.
Pendant le trajet du retour sur mon scooter, je pense à cette journée, si riche en évènements. Ce qui n'était au début qu'une séance de photos, s'est transformé en cours d'éducation sexuelle avec travaux pratiques. Vu de l'extérieur cela parait impossible et pourtant tout s'est enchaîné sans que je me sente forcée ou même perturbée. Ils sont si gentils, si naturels que cela ne choque pas. On sent la délicatesse, même pendant l'amour. Ces petits gestes, ces baisers échangés, on dirait une famille aimante. Enfin, gare à l'inceste même virtuel.
Avant de retrouver ma maison, j'ai une pensée que d'autres jugeraient vulgaire ou déplacée. Quelles sensations ressent-on, lorsqu'un homme jouit en vous et éjacule son sperme? Question idiote? Moi cela ne m'est encore jamais arrivé, capote oblige.
Le lendemain j'ai la primeur de voir mon book. Isabelle est une magicienne, je suis une véritable beauté sur ses photos. Mais je découvre aussi une autre personne, une Sloane insoupçonnée, sur l'autre book. Le book perso, à ne pas montrer aux parents, à la famille, celui ou j'apparais totalement nue, dans des positions que je n'ai même pas le souvenir d'avoir prises. Comme je reste bouche bée sans savoir quoi dire, que penser, Isabelle m'encourage.
- Regarde comme tu es belle. Ma chérie, la nature t'a donné ce "je ne sais quoi" en plus de la beauté qui fait que tu es d'une sensualité époustouflante. Regarde ces photos, et elle me montre celles ou je donne l'impression de me caresser, et bien tu dégages un érotisme fou juste par évocation. Ah, tu as de la chance. Si tu savais combien de très belles filles sont froides, sans "peps".
Je ne réponds pas. Que dire? J'ai juste la nette impression que ces gens me font découvrir la partie cachée de ma personnalité. Qui aurait pu penser qu'en quelques jours je vivrais de telles aventures? Et si facilement! Si naturellement! Même pas choquée! Même pas inquiète!
- Au fait, nous sommes invités à un mariage. Si tu veux venir..
- Mais, je ne connais personne.
- Et alors?
- Mais un mariage, il y a la famille, les amis. Moi je ne suis rien.
- Mais nous non plus, rassure-toi. C'est juste pour le plaisir de se retrouver entre amis avec les mêmes goûts.
- Les mêmes goûts?
- Mais oui, le mariage est juste un prétexte pour se retrouver.
- Je ne sais pas. Je n'ai rien à mettre.
- Nous allons régler cela. C'est oui?

Huit jours plus tard, Marc, Isabelle et moi franchissons la grille d'une propriété, résidence dédiée aux séminaires et réceptions en tout genre. Beaucoup d'invités sont déjà arrivés et nous sommes accueillis par les mariés, charmant couple, beaux et élégants. La femme porte une robe à la fois chic et osée. Courte et largement décolletée sur une poitrine appétissante. Le mari est plus classique en costume sombre.
L'ambiance est sympathique et tout le monde fait connaissance autour d'un buffet somptueux. Isabelle me présente à ses amis. La plupart sont en couple. Je suis une des rares célibataires.
La soirée avance et vers les minuits, quelqu'un prend le micro pour annoncer.
- Bonsoir. A partir de maintenant c'est "open bar". Le personnel est parti. La propriété est fermée. Que la fête commence.
Aussitôt les lumières s'éteignent. Il fait noir, enfin pas vraiment car des éclairages diffus persistent. La musique, jusque là assez rythmée, devient langoureuse, appelant les couples sur la piste de danse. L'ambiance change totalement. On m'invite. Hommes, femmes se succèdent. Autour de nous les gestes se font plus lascifs, les baisers échangés plus passionnés, les corps soudés. Mes partenaires s'essayent avec moi à des caresses que je repousse.
Un homme se présente pour m'inviter. Bien sur je l'avais remarqué dans l'assemblée car avec sa femme nous sommes trois représentants de la race noire, encore que je ne compte que pour une moitié.
Lorsqu'il m'invite, je ne peux éviter de me souvenir de ce que ma mère me répète souvent. "Ma fille, méfie toi des noirs." Pourtant elle est Africaine elle-même. "Les hommes ne pensent qu'au sexe et ils sont prêts à tout pour coucher avec une jolie fille."
Mais le fruit défendu attire plus que les autres. Aussi je me laisse guider par cet homme dans un slow si langoureux que nos deux corps semblent souder et que je sens contre mon ventre un sexe d'homme en attente. Étrangement il est sage, ses mains restent posées sur mes hanches. J'aimerais qu'il soit plus audacieux. Peut être a-t-il vu mes refus?
Les danseurs se bousculent. Très vite un cercle de couples se forme qui, tout en continuant d'évoluer, tournent autour des mariés, qui sont maintenant au centre de la piste. La robe de la mariée apparaît négligée, le garçon en chemise. Quelqu'un s'avance et les débarrasse de leurs vêtements. Ils sont nus, au centre de la piste, au centre des regards, et pourtant le marié montre une belle érection.
- Beau couple, n'est ce pas? Et ce garçon, quelle ardeur, non?
Une voix susurre à mon oreille pendant qu'un corps vient se coller à moi, par derrière. Je suis entre l'homme et la femme. L'épouse s'est jointe à nous.
- Vous voyez ce sexe comme il rend hommage à la beauté et la sensualité de la femme?
Ce message est accompagné de baisers dans mon cou, pendant que l'homme m'embrasse goulûment. Je sens maintenant son sexe grossir entre nous, érection provoquée par le spectacle des mariés ou de la femme qui nous a rejoints.
La jeune mariée est maintenant à genoux face à son jeune époux et elle s'efforce de sucer le membre gonflé et durci par sa présence.
Les couples sont maintenant immobiles et regardent la scène. Ils sont beaux, bronzés sur tout le corps et malgré la pénombre, leur nudité est totale, exposée. Est-ce que ce sont des acteurs habitués à se donner en spectacle, ou bien des amateurs sans complexes. Car il faut avoir une bonne dose de courage pour se montrer ainsi, le garçon surtout, être capable de bander en public.
Le public n'est pas seulement spectateur. Des mains s'égarent, des robes sont chiffonnées, déplacées ou relevées faisant apparaître qui un sous vêtement, qui un sein ou un bas ventre libéré. Mes complices sont plus sages. Lui me tient par la main alors qu'elle est toujours contre moi, contre mon dos. Je sens son corps pressé contre le mien qui bouge chaque fois qu'elle me parle. Et elle me susurre à l'oreille, comme un secret entre nous, ses remarques sur ce que nous voyons. Oh ses confidences me troublent bien plus que ce que j'ai sous les yeux. Chaque mot est une caresse de l'esprit, une décharge d'hormones qui se répand dans mon sang. Ce petit jeu dure de longues minutes. J'ouvre et ferme mes paupières au rythme du couple et des commentaires.
- Regarde comme elle suce le gland... Ses mains qui palpent les bourses... Ses seins qui pointent... Oui, il disparaît dans sa gorge... Imagine sa langue... A lui maintenant... Sa langue... Oui, en levrette... Il entre... Regarde comme il entre... Puis après un long silence. Mon mari veut entrer en toi.. Tu veux?...
Qui résisterait? Un hochement de tête suffit.
Ils m'entraînent. Nous abandonnons les mariés alors qu'il bourre la femme avec des cris de bûcherons. Peu de personnes sont encore là pour assister au final.
Le chemin est long jusqu'à la chambre. Nous passons d'abord dans un long couloir ou les portes des chambres sont ouvertes, enfin presque toutes. Chacun décide de la publicité et de l'exposition de ses actes sexuels. Nous faisons de longues pauses pour jouer les voyeurs. Deux, trois, quatre personnes s'ébattent dans un enchevêtrement de corps et de cris. Je ne sais plus à partir de quel moment je me retrouve nue ainsi que mes amis. Appuyée au chambranle d'une porte, nous regardons un homme en sodomiser un autre, manifestement sous le regard bienveillant de leurs femmes, pendant que je subis, non je quémande les caresses de mes partenaires. Jeux à quatre mains qui parcourent mon corps, explorent mon intimité alors que de mon coté je branle doucement un sexe sombre.
Enfin une chambre libre. Je suis si chaude que je suis prête à tout. Je m'allonge sur le lit. J'attends. Je sursaute. Une bouche lèche ma chatte. Elle ne peut que vérifier que je coule depuis un moment. D'autres lèvres sucent mes seins.
- Viens.
C'est tout ce que je peux dire. Finis les agaceries. Ils m'ont échauffés si fort que seule une queue peut éteindre le feu. Tout cesse. Que font-ils? J'ouvre les yeux. La femme est en train de recouvrir le sexe de son mari avec une capote. Un sexe normal, enfin suivant mon expérience. Rien à voir avec les bâtons noirs que l'imagerie populaire et féminine attribue au mâle africain. Non un sexe court, puissant, recouvert maintenant du film indispensable et que la femme guide vers ma fente.
Des mains puissantes soulèvent mes jambes et la verge glisse en moi dans mon puits d'amour.
- Elle est bonne, hein, Tu vas voir, il est résistant. Tu vas jouir, jouir...
La femme s'est allongée à mes cotés et reprend ses commentaires. Elle caresse aussi ma poitrine et par moment une main glisse jusqu'à mon clito qu'elle frotte doucement. L'homme me baise profondément, avec méthode. Il cherche à gagner chaque millimètre de plus en m'attirant à lui, forçant mes jambes à reposer sur ses épaules. Chaque poussée me fait avancer sur le lit, aussi il me rappelle à lui en tirant sur mes cuisses. Et il va et viens en moi, dans mon vagin humide, dilaté, préparé pour la possession. Je sens sa queue en moi. Je sens ma chair souple mais aussi ferme s'ouvrir pour mieux l'emprisonner et enserrer ce pieu de sang qui me fait tant de bien. Régulièrement il incline mes jambes sur un coté ou un autre, faisant pivoter mon conduit autour de sa verge. C'est comme si son bâton changeait de forme pour atteindre des zones inexplorées.
Et toujours, les paroles que sa femme continue de distiller à mon oreille. Elle me décrit tout ce que je ressens comme si elle était à ma place, mais avec une précision qui amplifie mon plaisir. Oh oui, mon plaisir. Cela fait déjà un moment que j'ai eu mon premier orgasme et il continue de me baiser. Non, Ils continuent de me donner du plaisir.
- Il va venir... Il va jouir... Regarde son sperme qui...
Sans prévenir, comment sait-elle? L'homme sort son sexe, arrache la capote et éjacule sur mon ventre. Étrangeté de la nature de voir ce liquide blanc jaillir de la bite noire.
- Le boire, oui le boire.
Ce sont les dernières paroles que j'entends avant que la femme se précipite pour recueillir des lèvres et de la langue le sperme que son mari a généreusement répandu sur moi. Quelques minutes plus tard, je suis propre comme un sou neuf.

- Alors petite sirène, on se fait de nouveaux amis?
Tout trois nous tournons la tête dans la direction de l'intrus. C'est Brian. J'imagine qu'il est là depuis un moment, mais après tout il en à le droit, mes amis n'ayant pas fermé la porte de la chambre. Il est aussi nu que nous et sa verge pend entre ses cuisses. Elle attire les regards alors qu'il fait les quelques enjambées qui le sépare du lit ou nous sommes maintenant assis. Un métronome, un métronome inversé, voila l'idée qui me vient à l'esprit en voyant ce morceau de chair se balancer au rythme de ses pas.
Il est maintenant en face de nous. A portée de mains, à portée de bouche. Je suis la première à le saisir. Une main suffit pour lui redonner un peu de vigueur. Une seconde se joint à moi, plus sombre, celle de la femme. L'homme est en retrait, spectateur. Petit à petit nos deux mains ne se font plus concurrence, la verge se transformant en tige presque assez longue pour elles deux. Soudain ma voisine plonge pour attraper le gland dans sa bouche. Je laisse faire, lui cédant la place. Manifestement cette queue lui fait envie et je reconnais qu'elle aussi à droit à son plaisir. D'ailleurs c'est un spectacle charmant de voir de si près cette bouche partir à la conquête de l'eldorado.
L'idée me vient de lui rendre la monnaie de sa pièce. J'ai constaté combien les remarques et confidences de cette femme à mon oreille pendant mes ébats, m'avaient excitée et contribué à mon plaisir. Mais moi, gamine de dix huit ans, saurais je trouver les mots pour elle qui, manifestement, est une experte.
- Elle est belle, oui... Quel plaisir de la prendre dans sa bouche... Tu sens son gland vibrer... ?
Je me suis lancée. Un chuchotement à son oreille. Les hommes doivent se demander ce que je fais. Mais la femme abandonne la queue un instant pour, à son tour, me susurrer.
- Continue.
- Oui, suce-le... Et ses couilles... Elles aussi sont belles... Tu vois ce qu'elles préparent pour toi...
Je me sens lyrique, cherche dans ma mémoire tout ce vocabulaire inconnu de l'enseignement au lycée mais découvert sur internet et lors de confidences entre copines. Pendant ce temps la femme fait une pipe magistrale à Brian qui donne de petits coups de reins pour s'avancer au plus près. Elle arrive à en gober les trois quarts, les derniers millimètres gagnés par une lente reptation des lèvres. Fin serpent gobé par plus large que lui.
- Oui, mets-lui beaucoup de salive... Il va te prendre... Tu en a envie... Il va te défoncer... Viens... Installe-toi...
Elle m'obéit. Un instant je suis sa maîtresse. Je la place à genou sur le lit. Sa croupe noire est une offrande majestueuse, à la fois généreuse et ferme. Le mari s'approche et montre que lui aussi veut prendre part au festin. Ses mains plaquées sur les fesses de sa femme écartent les lobes pour lui en faciliter l'accès. Son visage se plaque contre les fesses et il joue des lèvres et de la langue pour lécher son épouse. Elle se cabre sous les caresses.
Pendant ce temps j'entretiens Brian de la main pour garder cette longue tige bien raide. Je peux encore parler à l'oreille de la femme.
- Rassure toi je garde le pieu raide pendant que ton mari te suce. Tu aimes qu'il te lèche... ici... là... ton clito... ton cul...
Elle ne répond pas. Ce n'est pas nécessaire. Elle se tortille, gémit, tourne son regard vers moi et me sourit.
- Tu veux...? Maintenant...?
Elle hoche de la tête. Je me redresse. Le mari aussi. Il me donne un préservatif. Je le déroule sur la verge tendue. La queue est maintenant prête. Je la conduit vers la chatte mais au moment de l'abandonner pour la pénétration, je sens qu'une main la déplace pour viser l'anus. C'est le mari qui intervient. Le sort en est jeté. Brian pousse son gland humide dans l'orifice, lui aussi brillant de salive. Un mouvement, il entre. Facilement. Ce chemin doit être bien rodé même si le serpent qui l'envahit n'est pas un monstre de grosseur. Le chemin est long pour que l'animal disparaisse et pourtant il le fait. Cela parait si facile.
Brian commence aussitôt à bouger. C'est très excitant. Le mari bande à nouveau. Je vais le branler un peu pendant que nous regardons ce spectacle.
Un flash, vision furtive dans mon esprit. J'entraîne l'homme sur le lit et le guide pour qu'il se fasse sucer par sa femme qui s'est redressée à son arrivée. Moi aussi je m'agenouille, mais pendant que je me caresse le clito, je reprends mes commentaires pour la femme.
- Deux queues... Le cul... La gorge... Suce ton mari pendant qu'un homme t'encule...
La femme est ballottée par les coups de butoir de Brian qui, maintenant la prends de toute la longueur de sa bite. La bouche est propulsée en avant et enfourne le sexe du mari. Tous poussent de petits gémissements et je crois bien que moi aussi, excitée par ma propre caresse.
C'est le mari qui vient le premier et qui déverse son sperme dans la gorge de sa femme. Lorsqu'elle jouit à son tour, son cri accompagnateur de l'orgasme libère des filets gluants, mélange de salive et de sperme, qui tombent de ses lèvres. Cette vision, loin de me rebuter, me libère et moi aussi je reçois ma récompense par un orgasme intense. Quelques va et viens plus tard c'est au tour de Brian de cracher sa purée sur le dos de son enculée. Traces blanches sur peau noire. Tout un programme pour combattre le racisme.

Voila, vous voyez que nous sommes loin de l'ambiance froide et constipée du film. Et je vous parle d'expérience car j'ai participé de nombreuses fois à ce genre de petites fêtes. Croyez-moi, c'est un monde chaleureux.