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Proposée le 7/02/2013 par XrêveuseX
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IL était là, assis, à deux tables de la nôtre ; à deux tables de là où mon amie d'enfance et moi discutions. IL était là, assis, le regard plongé dans son journal sportif.
Julie me racontait ces mésaventures avec Marc. Je ne saurais dire quel était exactement le problème dans leur couple... car lorsqu'IL entra dans la pièce, je ne l'écoutai plus.
IL est entré d'un pas nonchalant mais assuré, habillé d'un jean foncé légèrement délavé et d'un sweat shirt blanc écru. Son arrivée dans le bar m'a complètement perturbée, des frissons se firent sentir en un éclair dans ma nuque.
Lorsqu'il se dirigea vers le comptoir, nos regards se croisèrent brièvement, et à nouveau les frissons m'envahirent; ils m'envahirent du bas du dos à la nuque, de la nuque au menton, et du menton, redescendirent jusqu'aux tripes.
Gênée par le regard noir, malicieux et plein de mystère que je venais de croiser, je repris la conversation avec mon amie qui n'en finissait pas avec sa tirade haineuse envers son mari; Je repris la conversation, tout en ne pouvant m'empêcher de regarder de temps en temps dans SA direction, LUI, le mystérieux jeune homme au regard malicieux.
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Premier regard :
il est en train de s'asseoir à deux tables de nous et ouvre de ses mains délicates son journal et l'étale sur la table.
Première pensée :
Ses mains sont merveilleusement bien sculptées, qu'est ce que j'aimerais qu'elles me touchent lentement du haut du dos jusque mes reins, qu'elles me caressent tendrement les fesses, pour remonter au niveau de mes hanches et jusque mes seins, pour pouvoir les attraper tendrement.
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Deuxième regard :
Il décolle lentement ces lèvres pour prendre commande auprès du serveur.
Deuxième pensée :
Ses lèvres sont merveilleuses, elles semblent douces comme de la soie, qu'est ce que j'ai envie de les croquer, qu'il s'approche de moi pour m'embrasser sensuellement, que nos langues se touchent et s'entrechoquent lentement, que nos lèvres se rencontrent, que les siennes s'en séparent pour descendre dans mon cou. Sa langue remonte sensuellement de mon cou jusqu'à mon lobe, qu'il finit par mordiller, avant de redescendre par une avalanche de doux baisers, pour enfin atteindre mon téton, qu'il ne cessera de titiller avec sa langue, d'exciter avec ces dents, et d'effleurer avec ses lèvres. Après ces quelques acrobaties buccales menées avec brio sur mes seins, il descend lentement en alternant un souffle d'excitation, chaud et troublant, avec de doux baisers et d'humides passages de langue.
Par ce florilège de pratiques aussi merveilleuses qu'excitantes, il passe lentement par mes hanches -c'est alors que je sens mon corps se lâcher complétement, cette douleur si exquise dans le bas du ventre, cette envie si palpable au niveau de mon clitoris- ensuite, il descend lentement... il descend, il descend, et continue à descendre -ce mal extraordinaire m'oblige soudain à lui attraper les cheveux, cette touffe de cheveux en bataille si séduisante, et de le diriger vers son but ultime que j'attends tellement- il atteint le milieu de ma cuisse, ces cheveux prisonniers de mes mains ne l'empêchent pas de prendre son temps.
D'un coup, il arrête de descendre, il est à mon genou. Il dirige ses baisers vers la gauche, afin d'arriver sur l'intérieur du genou. C'est alors que ces baisers, mordillements et léchouilles deviennent de plus en plus vifs et se dirigent vers mes parties intimes, en prenant le chemin intérieur de ma cuisse. C'est alors qu'il est tout proche de mon clitoris, que je peux sentir son souffle si chaud et saccadé, qui néanmoins, est assez tiède pour refroidir les sécrétions brûlantes provenant de mon vagin, et pour me faire ressentir physiquement cette excitation incontrôlable.
Là je ne peut m'empêcher de gémir et d'attraper violemment le haut de son crâne, un premier coup de langue inattendu s'est frotté sur le haut de mon clitoris et est reparti se perdre sur le bord de mes cuisses. Là, il revient vivement lécher mon clitoris, de haut en bas, et commence à faire des mouvements que je ne comprends pas avec sa langue, mais qui me font tellement de bien que je me perds dans des gémissements de plus en plus forts et réguliers.
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RETOUR A LA REALITE !!!!!
« Ohé !!! Tu m'écoutes au moins ???! ». Julie s'était sûrement rendue compte que malgré le fait que mon regard ne s'échappait que quelques secondes par moment, mon cerveau lui, m'avais fait voyager très loin, au pays des merveilles en quelques sorte.
« Tu es sûre que ça va ? Tu as l'air d'avoir vraiment chaud ! Boit ton verre pour te rafraîchir ! »
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Suite au prochain épisode =)