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Proposée le 30/01/2013 par Virginie

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Nous avons commencé Paul et moi à faire de l'échangisme il y a 15 ans, j'avais alors 34 ans, puis par goût commun nous sommes passés au triolisme. Je préfère me retrouver seule avec deux hommes rien que pour moi, quant à Paul il aime me voir dans les bras d'un autre en train de jouir. Je ne me souviens plus comment Paul avait trouvé cet hôtelier il y a 6 ans. Peut-être par Internet ou par annonce. Un jour Paul me dit « nous sommes invités ce week end par Claude, il possède une auberge sur les hauteurs de Valence, nous pourrons y faire de la randonnées ». Je savais pertinemment que nous n'y allions pas que pour faire de la randonnée. Nous sommes arrivés un vendredi soir. Il y avait peu de monde au restaurant. Claude un homme de 50 ans nous accueillit et se présenta comme le gérant et le cuisinier de l'hôtel. On nous servit un excellent repas. Vers 11h du soir alors qu'il n'y avait plus personne dans la salle, Claude nous rejoignit. Il apporta une bouteille de champagne et nous avons commencé à discuter de tout et de rien. Une demi-heure plus tard la serveuse et l'employé aux cuisines quittèrent le restaurant. Claude nous indiqua qu'il n'y avait personne à l'hôtel et se proposa de nous faire visiter les chambres situées dans une tour. Son regard était de plus en plus pressant sur moi et sans équivoque. Paul à mi-voix me fit comprendre que Claude voulait me voir plus intimement. Je m'en étais doutée un peu ! Il me fit passer devant lui pour monter dans la tour où se trouvaient les chambres. L'escalier était en colimaçon, je m'en souvient très bien. J'étais la première, Claude me suivait, Paul fermait la marche. Alors que nous montions les marches, je sentais à travers ma robe le regard concupiscent de Claude. Nous sommes arrivés à l'une des chambres, Claude me dit alors « déshabille toi ma belle ». Paul me fit comprendre que je devais m'exécuter. Après m'avoir un peu caressée, Paul me lécha longuement comme il le fait à chaque fois que nous rencontrons un partenaire, très vite je me mis a jouir. Il me retourna et me fit m'accroupir sur le lit. « Elle est a toi maintenant », dit Paul à Claude et il me pénétra violemment, je sentais en moi sa verge de belle taille. A chaque coup de boutoir, je sentais son ventre qui venait s'écraser contre mes fesses. Au bout de quelques minutes, il se retira, enleva son préservatif et se masturba pour éjaculer sur mes fesses. Je l'entendais dire « Quel cul, quel cul ! ».
Après avoir passé une nuit courte mais au sommeil réparateur, Claude vint de nouveau me retrouver dans la chambre, alors que Paul était déjà descendu prendre son petit déjeuner. Il me baisa de nouveau cette fois avec plus d'application.
Nous sommes repartis le samedi soir après le repas. Alors que nous roulions je demandais à Paul ce qu'il avait payé. « Rien, me dit-il, « C'est toi qui a payé avec ton corps, d'ailleurs notre ami a été satisfait de tes services et il m'a chargé de te donner cela », dit-il en me tendant, je ne me souvient plus du montant, quelques billets d'euro.
Je crois avoir eu a ce moment une bouffée de chaleur, j'étais honteuse et j'en voulais à Paul. « J'ai honte et je te hais », je crois lui avoir répondu.
Alors que nous arrivions à quelques kilomètres de chez nous, Paul s'est arrêté dans un chemin a l'abri des regards et des phares de voitures. « Descends » me dit-il, il me fit m'allonger face contre le capot, souleva ma robe, je sentis ses doigts qui me fouillaient, je mouillais. « Tu mouilles salope », me dit-il « Tu as aimé, tu vois tu es une vraie pute maintenant ». Il m'a prise violemment, nous avons joui tout les deux en même temps.
Par la suite nous avons continué à rencontrer d'autres partenaires masculins jusqu'à ce que l'un d'entre eux souhaita me revoir seule. Je lui avais laissé mon numéro de portable. Lorsqu'il me rappela quelques semaines plus tard j'hésitai à le rencontrer, j'en parlai à Paul qui bien sur m'encouragea à le faire. Je ne sais pas ce qui m'a pris lorsque je lui ai téléphoné, mais je me souviens lui avoir dit « D'accord je viens seule, mais je souhaite une attention de ta part » Interloqué il fit comme s'il n'avait pas compris. Dans mon esprit je pensais à une lingerie ou un parfum. Je lui ai réitéré ma demande. Je l'entends me dire alors « Tu es une pute, tu veux de l'argent ». Excitée à ces mots et sans contrôle je lui répondis « oui ». Cet instant de folie aurait pu être sans suite, c'était sans mesurer combien Paul fut ébranlé par mon culot pour ne pas dire mon inconscience.

Virginie