Elle

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Proposée le 28/01/2013 par CAVAL

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Je pense à la vidéo qu'Elle m'a envoyée, où Elle exhibe ses gros nichons, ses lolos dodus, ses imposants nibards flasques, ses énormes mamelles pendantes, ses seins hors du commun. Un petit clip de 20 secondes avec un gros plan sur son néné gauche, puis le néné droit, puis encore le gauche qu'elle prend en main. Une main d'homme ce serait mieux pour satisfaire pleinement sa libido...

La mienne ? Je n'y crois pas, je n'y pense pas. Je ne la connais pas, bien que je pense à Elle.

Elle, c'est une beurette kabyle. J'ai entendu sa voix douce de jeune prude, mais qui ne l'est pas vraiment. Outre la vision de ses mamelles de nourrice, alors qu'elle n'a jamais eu d'enfant, Elle m'a donné une photo de son visage. Un tendre minois, des cheveux blonds comme les blés et des yeux bleus comme l'azur. Son père était Kabyle, mais sa mère Alsacienne. Pas particulièrement belle, sans être moche. Ce qu'elle a pour elle, ce sont ses magnifiques roberts. Je bande en regardant encore et encore ses nichons se balancer. Je me branle en continuant le film dans ma tête.

Quel film ?

J'arrive chez elle. Rien n'a été prévu. Nous devons seulement nous rencontrer, discuter, rien de plus. Pourtant, je sais que quelque chose va se passer. Je ne ressortirai pas indemne de cet appartement. Mes yeux se baladent dans l'échancrure de son haut, une chemise qui moule parfaitement le galbe de ses nichons. Rien n'est visible. Ah si ! Entre deux boutons, je peux deviner qu'elle porte un soutien-gorge rouge. Quelle leçon inédite d'Aubade pourrait-Elle me donner ?
« Hypnotisez-le avec vos roberts et leurs dentelles. »

Elle ne peut ignorer où se porte mon regard. Toutefois je découvre d'autres parties de son corps à travers les vêtements : un cul rebondi, bien en chair, des cuisses larges et puissantes.

Qu'y a-t-il sous cette jupe ?

Elle m'a dit qu'elle avait la chatte totalement épilée, avec une fente rose : « Je ne pourrais plus avoir de poils ». Bien des promesses de découvertes en perspective, car Elle n'a pas voulu me donner une photo de sa chatte et de sa fente... elle a joué les minorées. J'avais déjà un avantage sur son copain qui n'avait pas eu droit à la vision de ses nichons en clip.

Soudain, alors que nous parlons de la cuisine orientale qu'Elle aime particulièrement faire et manger, Elle ouvre sa chemise et de la dentelle rouge apparaît, pas un Aubade, plutôt un soutien-gorge venant d'un catalogue de sex-shop. Il se peut qu'Elle ne puisse trouver que dans ce genre de magasin des sous-vêtements adaptés à la taille de ses lolos, qui ne ressemblent pas à des camisoles de grand-mère.

Puis, l'attache devant saute et le sein gauche est mis à nu.

Oh ! Superbe vision !

- Ce qu'il y a dedans, c'est une spécialité orientale également, me dit-elle.
- Sont-ils pleins de lait comme tu me l'as dit ?
- Oui. Mais ne touche pas, regarde seulement.
- Pourtant il faut bien que je goûte à cette spécialité. Le plaisir des yeux n'est pas suffisant. Il faut que j'en prélève un peu...

Je n'attends pas sa réponse, je me précipite sur le sein découvert dont la pointe s'érige outrageusement. Je pose la bouche sur le mamelon tel que le ferait un bébé. A peine ai-je fait la première succion, qu'une giclée de lait coule dans ma bouche.

Elle est désemparée, voudrait me repousser.

Quelle idée avait-elle derrière la tête en me montrant son nichon ?

Voulait-Elle que je reste de glace, que je sois seulement là à regarder ? Je ne suis pas là pour la violer, mais tout de même, Elle m'a tant chauffé avec ses mails, ses coups de téléphone, etc. Je lui ai dit que j'étais fasciné par les seins nourriciers, que c'était un de mes fantasmes de sucer un sein plein de lait. Merveille chez Elle, ses seins sont pleins de lait sans avoir jamais enfanté. Elle savait bien, en m'accueillant ce que je recherchais. En me faisant découvrir ses nichons, elle ne pouvait ignorer que j'allais les emboucher, que je ne me contenterais pas de les regarder bien sagement. De plus, ce rendez-vous, c'est Elle qui l'a proposé. Je ne peux plus résister maintenant que je suis sur place !

Elle se calme bien vite et à présent elle m'aide presque à la goûter à sa délicieuse tétine. Pour cela Elle soutient son nichon tombant. De l'autre main Elle dénude l'autre mamelle. C'est une invitation : je la prends en main.

Le lait est abondant, il coule dans ma gorge. Je me glisse jusqu'à l'autre sein, tout aussi gorgé de lait. Quelle aubaine pour moi ce traitement qui lui a donné une montée de lait alors qu'elle n'a eu aucun enfant.

Je me sens à l'étroit dans mon futal tant je bande. Je veux lui rendre la monnaie de la pièce. Elle m'offre une partie de sa nudité, je veux en faire autant. Comme lorsque nous nous sommes échangés nos photos et vidéo par téléphone : Elle ses gros roberts et moi dans la tenue des naturistes à poil avec ma femme... et tous nos poils. Je quitte mon futal, entraîne mon boxer. Ma queue bandée surgit. Elle est toute surprise :

- Tu l'as déjà vu en photo, lui dis-je.
- Oui, mais pas dans cet état là.
- C'est vrai que sur la photo je ne bandais pas. Ce priapisme est pour toi.
- Je ne suis pas une fille facile, se défend-elle, je ne veux pas...
- Allez, tu as déjà vu le loup. Tu m'as donné tes seins, je te donne ma queue. Tu peux en tirer du liquide aussi.
- Ce n'est pas du lait.
- Allez, ne te fais pas prier.

Je reprends ses nibards qui sont encore pleins de lait, tandis qu'elle prend mon zob en main et commence à me branler. Puis je sens sa langue venir se poser sur mon gland. Je m'affaire toujours sur ses mamelles, mais une de mes mains se fait baladeuse. Elle la repousse, j'insiste. Elle ne veut pas que je remonte sous sa robe.

J'en ai trop envie. Je la déshabille sans ménagement en lui arrachant les derniers boutons de sa chemise, lui baissant sa robe et subtilisant la culotte qui va atterrir à l'autre bout de l'appartement. Elle est à poil devant moi, tente de cacher la nudité qu'Elle ne veut pas me montrer. Je la force à baisser la garde et je vois sa fente. Je porte un doigt sur sa vulve, il revient tout humide.

- Mais tu mouilles ma belle. Tu ne demandes que ça en fait.
- Non, je t'en prie, je ne couche pas comme ça...
- Qui te dit de coucher, je veux simplement qu'on baise.
- Non, je ne veux pas baiser.
- Oui, mais moi j'en ai trop envie. Regarde comment je bande. Je ne peux pas repartir sans que tu passes à la casserole. Je ne vais pas mettre ma queue derrière l'oreille et la fumer plus tard. Si tu ne veux pas baiser, ce n'est pas grave, moi je vais te baiser.

Elle continue à protester, mais je ne tiens pas compte de tes supplications. Je l'immobilise le temps de mettre un préservatif. Je la fais mettre à genoux et je rentre ma queue sans ménagement dans son vagin.

Hum ! C'est bon. Elle pousse un petit cri, pas assez fort pour que j'arrête mon introduction. Ma colonne dure comme un morceau de bois entre en Elle, elle perfore ses chairs, elle va au fond de sa grotte. Ne voulait-elle pas mon gourdin au fond d'elle ? Eh bien elle l'a. Elle ne voulait pas tout me donner ? J'ai tout pris.

Je la viole ? Peut-être, bien que je ne vois pas les choses ainsi. Je pense qu'Elle voulait cette étreinte un peu sauvage, tout en la refusant intérieurement. Aussi en dépassant les limites, en la prenant contre sa volonté profonde, je prends un réel plaisir. J'ai l'impression qu'Elle aussi ne déteste pas.

Je commence à la ramoner vigoureusement. Ses « non ! » sont de plus en plus espacés, de plus en plus faibles, ses grognements, ses gémissements sont de plus en plus prononcés. Je m'enfonce en Elle. Aux premières loges je vois ma queue qui entre dans ses muqueuses, puis qui se retire un peu avant d'entrer à nouveau plus profondément. Je vois son tout petit trou du cul plissé. J'y mets un doigt... Elle se rebiffe, je n'insiste pas, tout en disant :

- Tu ne sais pas ce que tu perds salope.

Je vais pétrir ses nichons qui doivent ballotter en tout sens sous elle. Cela doit être un spectacle hallucinant de lubricité. Si seulement il y avait une glace que je puisse voir ça. Oh, qu'ils sont lourds, je ne peux les tenir en main, ils dépassent de toute part. On n'est pas trompé sur la marchandise, rien à voir avec les nymphettes dont le corps ressemble à des planches à repasser et dont la poitrine ressemble au mieux à des œufs sur le plat. Non, là il y a de la consistance, les morceaux de viande d'un couscous royal, les mets cuits dans le miel du tajine, la saveur d'une salade de carottes aux épices et dans son con, une grosse merguez. Et ma merguez continue ses va-et-vient en Elle. A présent, je n'entends plus que sa respiration qui s'accélère.

- Tu te rappelles, la position d'Andromaque.

Je lui en avais parlé au téléphone, car Elle n'en connaissait pas le nom de cette position, tout en l'ayant déjà pratiquée.. Elle est prête à tout à présent et suit mes instructions. Je me couche sur le dos, Elle vient positionner son bassin au-dessus de ma queue toujours dressée. Sans timidité, Elle la prend d'une main et la dirige vers son sexe qu'elle ouvre de l'autre main.

Oh sa jolie fente rose totalement dénuée de poil, qui s'ouvre, dégoulinant de mouille. L'impudeur à l'état pur ! C'est un ravissement. Elle enfonce mon dard en Elle, puis bascule son corps vers le mien. Ses gros nibards sont à porter de mes lèvres et je ne prive pas des les baiser. Elle monte et descend sur ma tige tandis que je malaxe toute cette chair, cette viande. Je me crois sur l'étal du boucher, je ne sais où donner de la tête. Alors je donne les lèvres, de la langue, je baise et rebaise les pointes; je suce encore et encore et je me barbouille le visage de son lait.

N'en pouvant plus, je me dégage, retire ma capote et dirige ma queue sur ses gros nichons. Elle m'emprisonne le sexe entre les deux globes monstrueux pour une ultime branlette espagnole et je jute sur ces montagnes.

Je lui présente ma bite devant les lèvres. Elle ne semble pas disposée à me nettoyer la queue avec sa langue. Alors je me rhabille. Je me tire sans un mot, la laissant pantelante nue sur le lit.

Je sais que je ne la reverrai plus jamais, que nous n'existeront plus l'un pour l'autre.

Je ne vais pas mettre mon bonheur conjugal en péril pour une paire de gros nichons et une chatte totalement épilée. Moi qui préfère les poitrines plus menues et les chattes bien poilues.


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