Fantasme

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Proposée le 26/01/2013 par sexaddict

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Un an bientôt... un an déjà... le temps est passé tellement vite... mais rien n'a estompé nos souvenirs de ces jours magiques, de ces nuits gourmandes...
Au contraire, ils sont là, nous nourrissent, se rappellent à nous...

Et plus la date anniversaire approche, plus le désir monte...
Le tien, le mien... rien que l'évocation de tout cela me rend humide...

Nos appels se rapprochent, nos conversations deviennent de plus en plus tendancieuses...
Nous décidons de nous retrouver à Paris pour voler quelques heures, rejouer le film du plaisir...

Nous nous retrouvons sur les champs, au restaurant Renault... j'aime les voitures qui servent de décor aux tablées, j'aime l'espace confiné et intime qui rappelle celui d'une voiture... Tu es arrivé le premier, je t'aperçois immédiatement et mon coeur bat la chamade, comme lorsque nous nous sommes revus à Francfort, à l'hôtel. Tu portes un superbe costume gris qui te va à merveille, qui moule ton cul comme j'aime... Une envie un peu masculine me prend de claquer ce petit cul... comme un encas à ce qui nous attend... Le plus dur va être de ne pas craquer de suite... J'ai choisi une tenue plus inhabituelle pour moi, petite jupe noire sexy et jolie chemise... avec de grandes bottes... mais tu n'es qu'au début de tes surprises.

Heureux de nous retrouver, le désir est palpable dès nos retrouvailles.. Nos mains s'unissent, nos bouches se trouvent comme si elles s'étaient quittées la veille, nos langues se rencontrent avec gourmandise... et déjà nos mains se glissent sur le corps de l'autre,... cherchent à s'immiscer sous les vêtements... mais nous rions de concert devant nos envies et décidons d'un commun accord d'essayer d'être raisonnable...

Toujours aussi galant, tu me laisses rentrer la première dans le restaurant où tu as pris soin de réserver une table isolée, au fond de la salle. Le serveur nous installe dans l'alcôve d'une ancienne voiture, sur des banquettes rembourrées... confortables... qui appellent à ...

Nous hésitons... s'asseoir l'un en face de l'autre ou l'un à côté de l'autre... nous choisissons la première solution... nos mains glissent l'une vers l'autre... comme aimantées... nos yeux brillent de nos envies... et mon pied vient se glisser le long de ta jambe... remonte le long de ta cuisse... et sur tes lèvres je te devine me murmurer " je suis tout dur, j'ai envie de toi", tu me fais un clin d'oeil...

A ce moment là, le serveur arrive, nous donne les cartes, nous propose un apéritif, nous choisissons un verre de champagne... et attendons avec impatience qu'il s'en aille... pour que je puisse me glisser à côté de toi... ma main glisse sous la table, sur ta cuisse, découvre ton barreau... je te vois grimacer car tu as compris ce qui me trotte en tête... tu es à deux doigts de me dire que ce n'est pas raisonnable... mais l'envie est la plus forte, tu me laisses faire... mes doigts t'enserrent, exercent une légère pression... tu te pinces les lèvres... ton désir se lit sur ton visage... mes mouvements s'accélèrent... tu durcis... c'est bon.. j'adore ça...

Le serveur nous rapporte nos coupes... revient prendre la commande... nous n'avons pas plongé le nez dans les cartes et nous laissons tenter par le plat du jour...

Pendant ce temps, ta main s'est faufilé sous ma jupe... la douceur de tes doigts effleurent le lycra de mes bas... remonte vers mon intimité.. tu n'es pas au bout de tes surprises... ton sourire s'élargit... en continuant ton exploration, tes doigts caressent désormais ma peau... des frissons me parcourent... pour te montrer l'effet que tu me fais, et répondre à tes caresses, ma main se faufile dans ton pantalon, se frotte sur ton caleçon déjà humide, nos langues s'affolent et le baiser que nous échangeons est des plus passionnés... mais quand tes doigts atteignent ma petite chatte, ta langue se fait plus insistante, me laissant présager de ce qui m'attend... mon index est venu se frotter à ton gland, tourne autour... avant que ma main vienne t'enserrer... tu es surpris... mais tu es déjà à l'oeuvre... tu as découvert que je ne porte rien sous ma jupe... et tes doigts se sont engouffrés... retrouvent mon clito déjà tout gonflé de mon désir pour toi... je commence à te branler... trop envie.... nous essayons d'être discret mais ça devient difficile... je retire ma main et te murmure à l'oreille que je vais aux toilettes... que je reviens... ou pas...

A peine arrivée que la porte des toilettes s'ouvre... et que je vois ta belle silhouette se dessiner dans l'encadrement... ton sourire veut tout dire, et mes yeux ne tardent pas à découvrir la bosse qui s'est formée... tu me plaques contre les lavabos.... ta bouche vient se fourrer dans la mienne... tes mains se baladent sauvagement partout sur mon corps... moi, je suis allée à l'essentiel.. une main s'occupe de ta queue tandis que de l'autre, je te caresse le dos...et me retiens pour ne pas te griffer... je me transforme en tigresse... et tu le sens... tu me soulèves contre toi et m'emmènes dans une cabine dont nous nous empressons de fermer la porte à clé... je connais tes fantasmes, tes envies... je te tourne le dos, ma jupe se soulève comme par miracle et ta main vient claquer ce cul que je te tends... je sens que ça te démangeait... je me cambre d'autant plus... tes doigts s'enfournent dans ma chatte trempée, 4 d'un coup car tu sais que tu peux... et ton pouce commence déjà à venir se rapprocher de mon petit trou, s'y enfonce et prépare le terrain de ta gourmandise... ta queue raide vient prendre la place de tes doigts, d'un coup, brusquement, ta main ainsi libérée claque de nouveau sur mon cul, je geins de plaisir... je sens ton pouce dans mon cul... je suis à toi de tous les côtés... ma main se glisse pour venir caresser tes couilles... tu accélères tes va et vient... une nouvelle fessée claque... tes mains attrapent mes hanches pour que tu puisses mieux me remplir, aller plus au fond... nous gémissons tous les deux de plaisir... l'orgasme n'est pas loin... tu te retires... Pour venir glisser ta queue dans mon cul... ma main prend le relais et titille mon clito... tu accélères tes allers retours... une dernière fessée... et tu jouis profondément en moi, je hurle de plaisir... mon vagin se contracte de jouissance à plusieurs reprises... hummmmmmmm trop bon... Tu te retires, je me retourne et un long baiser gourmand scelle ce grand moment de sauvagerie... nous nous rhabillons et remontons... si quelqu'un est rentré, nous ne l'avons pas entendu...

Et nous nous réinstallons comme si de rien n'était ... ou presque.. nos visages béats et nos sourires "stupides" nous trahissent forcément. Le serveur devait nous guetter car à peine réinstallés, il nous apporte nos entrées... (je suis obligée de m'arrêter... trop envie... j'ai déjà mis mon jouet à la place de ta queue... mais il faut que j'aille au bout.. je suis trempée... je t'imagine à ce niveau de lecture.. tendu... allant aux toilettes pour te soulager... j'aimerai être là pour t'avaler jusqu'à la dernière goutte, te sucer comme tu as tellement apprécié que je le fasse le matin avant que tu ne partes au salon... ça c'était juste trop bon, excellent... j'adorais voir tes yeux briller, surtout la première fois quand tu ne t'y attendais pas...)

bonne journée, je crains que tu n'aies déjà du mal à te concentrer...

Ta réponse ne se fait pas attendre :
Voilà plusieurs fois que lis et relis tes mots et je dois avouer qu'ils me parlent... beaucoup même. Mon désir de te posséder croît à mesure que se rapproche cette fameuse date anniversaire. Tant de complicité, des rapports partagés au sens profond du terme... J'ai plus qu'apprécié te faire l'amour, j'ai parfois même eu le sentiment de te posséder. Alors que je frappe sur mon clavier des images de nous, de toi défilent devant mes yeux. Je te prends partout et n'importe où. Quoi que je fasse je sais que tu appréciera parce que comme moi tu curieuse et épicurienne. Le désir me consume. Ce week-end je me suis rasé le sexe comme pour mieux sentir, ressentir la quintessence ultime de la jouissance. Je te veux encore, humide, complice, douce, brutale, vulgaire, tendre... Guidé par mes sens, je me laisse aller à mes envies; mais les tiennes aussi. J'ai aimé comment tu m'a amené à la découverte de ton corps. Ce que tu aimais, ce dont tu avais envie... N'est-ce pas là le vrai sens du mot partage. Sans se parler parfois même nos corps se sont exprimés seuls... et compris.

Il me tarde de te goûter à nouveau. Je veux que tu me baise, tu vienne t'empaler sur mon sexe tendu, que tu te fasse jouir comme si je n'étais que l'accessoire, le moyen de prendre ton pied. Je te veux égoïste parce que quoi que tu fasse je suis certain d'en retirer du plaisir. Voir cette lumière dans ton regard décuple mon propre plaisir.

Je suis là dans mon bureau des centaines de trucs à terminer mais j'ai besoin de cette parenthèse pour arriver au bout de mon travail. La queue raide dans mon pantalon, je mouille mon boxer à l'idée de me faire sucer par toi. Voir tes lèvres glisser sur mon sexe, tes deux mains sur mes fesses; ta tête va et vient telle un métronome qui imprime une vitesse croissante à mesure que mes gémissements augmentent. A l'unissons plus je prend mon pied, plus tu accélère; mais je n'ai pas envie de jouir tout de suite. Prolonger le plaisir est une douleur tellement délicieuse. Tu es là au pied de mon bureau de verre à 4 pattes sur tes genoux, nue, les fesses offertes pendant que tu me suces et moi je n'ai qu'une seule envie c'est de le prendre ce cul qui m'est offert. Tu es tellement bonne que j'en salive d'avance. Humide et prête à me recevoir tu te tortille d'impatience mais tu continues à me sucer quand même. Assis sur mon fauteuil je t'invite alors à venir t'asseoir sur ma queue trempée et impatiente de venir buter contre toi. Tu me tourne le dos et vient te poser sur moi délicatement après avoir pris soin de faire glisser mon gland entre tes lèvres. Tu saisi mon sexe d'une main, écarte tes lèvres de l'autre pour lui faciliter le passage et alors la pénétration se fait tout en douceur pour bien sentir toute la longueur de ton utérus. Tu t'amuse à faire quelques allées et venue histoire de tester mon appétit et tu commence à jouer avec moi, avec elle... Tu te contracte pour mieux le sentir et me procurer davantage de plaisir. Tu te relâche, te dilates pour nous laisser du répit parce que j'ai besoin de contenir encore ma jouissance pour bien profiter de tout ton corps et alors que tu me sens venir tu te retire. Cette fois-ci tu te retourne et me lancer un "bouffe moi la chatte mon salaud" comme j'en ai trop envie. Je glisse de mon fauteuil tu m'y remplace et tu poses tes jambes sur les accoudoir. Une visite chez ton gynéco? Non juste une envie irrésistible de te manger le sexe. Le goût de sexe agit sur moi comme un aphrodisiaque. Je sur parti et je m'engouffre littéralement à l'intérieur de ta chatte. J'en ai plein la bouche, je te mordille le clito, l'aspire avec mes lèvres, écarte tes lèvres pour me plonger à l'intérieur de toi. Pendant ce temps je te glisse un doigt dans ton cul pour bien te signifier qu'il va y avoir droit aussi. J'adore te lécher le cul, y enfoncer ma langue comme si c'était ma queue. Quand je te sens prête, je saisis tes chevilles et les remonte tes jambes à ma hauteur. Je suis debout devant toi et tu a compris que j'ai envie de te pénétrer le cul. Mes mains sont occupées alors tu prend ma queue et me guide dans ton cul.... Ahhhhh et là je commence à te piner, doucement d'abord, puis très vite je ressens le besoin d'accélérer le rythme, je te fais glisser un peu plus dans le fauteuil et tes cuisses sont maintenant au creux de mes coudes je te maintiens ainsi solidement pour que tu ne puisse m'échapper. Tu aimes me recevoir et coquine que tu es tu te dis que t'éclater partout c'est une aubaine, alors pendant que je suis occuper à te piner, tu te fourres les doigts dans te chatte et les glisse frénétiquement sur ton clito parce que tu sens que je viens et tu veux venir avec moi. Je te lance un "putain comme t'es bonne là" et "vas-y mon salaud éclate toi et défonce moi le cul parce que je vais jouir aussi" et là le paroxysme du plaisir est atteint, je ne veux pas mais je n'en peux plus de me retenir c'est un vrai supplice et je dois m'abandonner à mon propre plaisir. Dans un râle comment nous jouissons tant que nous ne pouvons étouffer nos cris de plaisir. Je lance mes derniers assauts trempé de sueur et de toi partout sur moi, dans un dernier élan je me cambre et m'enfonce jusqu'au plus profond de toi. Puis je retombe sur ta poitrine en signe de soumissions encore à l'intérieur de toi. A ce moment là commence le ballet des caresses salvatrice.

Nous espérons que vous aurez pris autant de plaisir à lire que nous en avons eu à l'écrire et à le partager avec vous... a bientôt si vous le voulez...