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Proposée le 20/01/2013 par ninisse

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Voici les sujets. Vous avez 2h.
Je suis professeur à la faculté et cette semaine avaient lieu les partiels du premier semestre.
J'aime les périodes d'examen : pas de cours à préparer, pas besoin de parler, 2h de calme pour moi, pendant que tous les élèves sont concentrés sur leur sujet. Cela me permet également de les observer tranquillement ; en particulier ces jeunes filles, à peine sorties de l'adolescence, au tee-shirt moulants laissant deviner leurs poitrines fermes.
Habituellement elles s'amusent, minaudent en posant des questions, se déhanchent en se rendant à leur place. Elles trouvent toutes les occasions de se mettre en valeur auprès de leurs camarades masculins, jeunes garçons naïfs et bourrés d'hormones, qui ne voient rien à leur petit jeu. Ceux-ci sont à leurs pieds, obéissant à tous leur caprices en se félicitant du moindre regard qu'elles leur accordent.
Pourtant, là, ils sont tous logés à la même enseigne, planchant sur leur copie.
Il y en a une en particulier, brune aux cheveux longs, particulièrement intelligence, qui ne peut s'empêcher de relever la moindre imprécision de mon cours, avec un sourire ironique, et une lueur provocatrice dans le regard. Toujours habillée simplement, un jean ajusté met en valeur ses fesses qui dansent devant mes yeux à chaque début de cours lorsqu'elle rejoint sa place.
Elle ignore royalement les garçons de son âge, mais parfois lorsque je me retourne, après avoir écrit au tableau, je vois son regard sur moi, comme si elle me détaillait de haut en bas. Je ne peux m'empêcher de penser qu'elle a un petit faible pour les hommes plus mûrs, ayant de l'autorité.
Je laisse vagabonder mon esprit, profitant de sa concentration. Je nous imagine seul dans cet amphithéâtre, elle attentive au moindre de mes gestes, buvant mes paroles, lèvre entrouverte, offerte, le regard humide.
La sonnerie me tira brutalement de ma rêverie.
C'est terminé, posez vos stylos. Merci de poser vos copies sur le bureau en partant.
Il ne vaut mieux pas que je me lève pour l'instant, mes pensées ayant eu un effet certain sur mon corps. Pour me calmer je pense à la pile de copies que j'ai récupérées, et au temps qu'il va me falloir pour les corriger.
Tous les élèves étant partis et les effets visibles s'étant estompés, je me lève et me dirige tranquillement vers mon bureau pour poser les copies. Vais-je commencer à les corriger dès maintenant ? Ma motivation est assez faible et j'ai encore la tête ailleurs et pleine de pensées osées. Je décide donc de quitter la fac plus tôt, et continue de laisser vagabonder mon esprit en faisant le chemin jusqu'à ma voiture. Sur mon chemin je croise un collègue qui me regarde l'air goguenard :
- Salut ! Alors, comment s'est passé l'examen cet après-midi ?
- Très bien, pas de soucis. J'ai pu passer un après-midi tranquille.
- Oui, dans tes pensées je présume.
- Euh... oui, on peut dire ça.
- Méfie-toi, tes pensées sont parfois visibles...
- Ah... euh... ok, merci, je vais faire attention.
- Si j'ai un conseil à te donner, je connais un petit salon de massage. C'est un endroit discret, une très bonne adresse pour te détendre. Voici leur carte, n'hésite pas à y faire un tour.
- Je ne suis pas très convaincu par les bienfaits d'un massage, mais je remercie toutefois mon collègue.
De retour chez moi, je décide donc de me détendre tranquillement dans mon canapé en buvant une bière. Malheureusement j'étais toujours tendu, et je n'arrivais pas à me sortir cette jolie étudiante de la tête. L'envie de me retrouver seul avec elle me faisait imaginer des scénarios de plus en osés, où nous finissions invariablement nus et haletants. Je décidais donc de suivre le conseil de mon collègue. Je regardais la carte de visite : ce salon de massage se situait dans un quartier assez éloigné de mon domicile, que je connaissais peu. Je pris donc ma voiture et me garai tout près de l'adresse indiquée.
L'entrée était très discrète, et indiquait à peine l'usage de ce local. A l'accueil, une magnifique asiatique en peignoir de soie me demanda ce que je désirais, et devant mon hésitation, me proposa de commencer par une séance de massage de 30 minutes, histoire de découvrir les services de la maison. J'acceptai la proposition. A sa question de savoir si j'avais une préférence quant au physique de ma masseuse, j'ai fermé les yeux et revu immédiatement mon étudiante :
Brune aux cheveux longs, si possible pas trop grande, avec des formes harmonieuses, des fesses et des seins fermes...
Elle m'installa alors dans un salon, et me dit de me déshabiller en attendant ma masseuse. Je le fis donc, et entoura mes hanches d'une serviette pour cacher mon érection naissante. J'étais un peu nerveux, ne sachant pas comment me comporter dans ce genre d'endroit. J'entendis soudain un bruit de porte, et une voix sensuelle me demander de m'allonger sur la table de massage, sur le ventre.
Dans cette position je ne voyais pas la personne me massant, je pouvais donc à loisir imaginer mon étudiante. J'entendais sa douce voix me demander si c'était ma première fois, me demander de me détendre. Se mains commencèrent à frôler mon dos, de haut en bas, puis se firent plus caressantes. Elles commencèrent à me masser les épaules, et continuèrent jusqu'au bas du dos. Ces attouchements étaient vraiment agréables, et je sentais que ces caresses me faisaient un effet fou. J'avais de plus en plus de mal à me contenir, et me félicitais d'être allongé sur le ventre, même si cette position commençait à devenir inconfortable.
J'imaginais que la voix sensuelle qui me parlait, que les mains qui me touchaient, appartenaient à mon étudiante préférée, et à cette pensée j'eus un tressaillement.
- Tout va bien ? Vous avez froid ?
- Oui oui pas de soucis, excusez-moi.
- Pas de problème vous savez. Vous êtes ici pour vous détendre, profitez-en. D'ailleurs si vous voulez bien vous retourner nous allons passer à l'autre côté.
A ces mots j'hésitais un peu, puis décidant de jouer le tout pour le tout, je me retournais franchement. Mon étudiante était là, souriante, vêtue d'un peignoir de soie crème qui laissait deviner ses formes en transparence. Ses yeux étaient fixés sur la bosse que dissimilait mal ma serviette. Elle me reconnut soudain, et rougit. Elle était tellement belle et désirable ainsi, que je ne pu m'empêcher de faire un mouvement vers elle, qui eu pour effet de faire tomber complètement la serviette qui camouflait encore le milieu de mon corps. Je la vis soudain se focaliser sur mon érection. Sans parler, sans plus me regarder, elle se pencha sur moi, et commença à me lécher avec un air gourmand.
Sa langue titillait le bout de mon sexe, puis le léchait de bas en haut, avant qu'elle ne le prenne complètement en bouche et commence à l'aspirer. Je ressentais des décharges électriques dans tout le corps, et je me sentais tellement dur que ça en devenait presque douloureux.
Brusquement je la relevai, et j'arrachai son peignoir. Je la voyais enfin, nue, encore plus belle que dans les rêves. Elle resta immobile quelques instants. Je pouvais voir ses seins fièrement dressés, sa peau lisse, ses fesses rebondies, et son sexe auquel j'ai tant rêvé. Je la pris par la taille, la soulevai du sol et la posai sur la table de massage. Je me penchai vers ces lèvres enfin révélées, et commençai à titiller son clitoris avec ma langue. Elle se mit à gémir doucement, puis à pousser des cris de plaisir lorsque je me mis à la mordiller. Son sexe venait au devant de ma bouche et de mes lèvres, mais je faisais durer le plaisir. Pour une fois elle ne semblait plus aussi sure d'elle, elle ne minaudait plus. Au contraire, son regard semblait me supplier d'enfin prendre possession de son corps, d'enfin assouvir mes envies. Elle avança ses mains vers moi, caressant toutes les parties de mon corps à sa portée, essayant d'attirer mon corps vers le sien, comme une droguée en manque.
Je l'allongeai brutalement sur la table, et lui maintiens les mains au-dessus de la tête. Je commençai à approcher mon sexe du sien, lui arrachant un cri à chaque fois qu'il frôlait l'entrée du sien. Son entrejambe luisait, dégoulinant de plaisir. Elle commençait à trembler tellement l'attente lui devenait insupportable. Mon sexe n'avait jamais été aussi dur, et je sentais que je ne tiendrais plus longtemps.
Je la pénétrai d'un coup jusqu'à la garde. Elle poussa un tel hurlement que je crûs lui avoir fait mal, mais ses halètements me rassurèrent aussitôt. Je restais immobile en elle, puis me retirai d'un coup. Elle me fusilla du regard, furieuse. Je la fixai durement, droit dans les yeux, mon corps le plus près possible du sien, mais sans la toucher. Sa fureur se transforma en étonnement, puis en supplication. Je savais qu'à ce moment-là elle était à ma merci. Je commençai à la pilonner brusquement, le plus loin possible, sans plus faire attention à ses réactions.
Je faisais des mouvements amples, de plus en rapides. Mon corps était comme électrisé, j'étais une machine, je ne pensais plus à rien, seul mon plaisir me dirigeait. Je n'en pouvais plus, accélérais encore et encore, de plus en plus violent, jusqu'à jouir en elle sans pouvoir me retenir, au moment-même où son orgasme lui donnait des spasmes violents.
Je me retirais et m'habillais rapidement, la laissant allongée sur la table, à demi-inconsciente.
Je sortis un peu honteux de la salle de massage. La belle asiatique à l'accueil était toujours là. Elle me tendis une note, que je payai en carte sans même regarder le montant. Je retournai à ma voiture et rentrai chez moi.
Je pense que cette aventure va alimenter mes fantasmes pendant bien longtemps...