Tim...

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Proposée le 19/01/2013 par enkor e enkor

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J'ai bien envie de vous parler de Tim. Tim, c'est Timoteo. C'est mon ami, mon amour, mon amant. C'est un bel Italien de 23 ans, fin, racé, bourré de joie de vivre et d'énergie positive, bien dans sa peau et ses baskets.
Tous les jours, je me félicite de l'avoir rencontré. C'est d'ailleurs ce que je voudrais vous raconter. Notre rencontre.

C'était début juin, à l'approche de l'été, j'avais pris de bonnes résolutions : je vais me remettre à courir un peu. Chaque soir, vers 18 heures, je me rendais donc au stade pour enchaîner les tours de piste. Le troisième jour, quand j'arrive, sur la piste il y a déjà quelqu'un entrain de tourner. Je l'aperçois, à l'opposé, vêtu d'un seul short de running couleur brique. je commence à trottiner. Bientôt, je me fais doubler par le coureur déjà en piste et qui a une belle foulée. J'ai à peine le temps de le détailler un peu. Ruisselant de sueur, brun, frisé, la peau mate déjà un peu halée, une très belle tête. J'esquisse un sourire qu'il me rend de toutes ses dents éclatantes. Je continue ma course pendant une bonne demi-heure. De temps à autre, il me double avec toujours un sourire à la clé. A un moment, je décide m'arrêter et je rejoins les douches. Douches collectives, ouvertes à tous les vents mais l'eau est très très chaude. Je m'imbibe copieusement et longuement. C'est alors que je le vois arriver, totalement nu, prendre la douche juste à côté de moi. Franchement, il a un corps superbe, bien délié, avec de fins abdos pas trop dessinés, une belle toison bouclée sur le torse et... la toison du pubis taillée... artistiquement. Très à l'aise, toujours très souriant, il se savonne très copieusement. J'ai du mal à détacher mon regard de son corps, de sa bite en semi érection (?) qui décrit un bel arc de cercle vers le bas. Lui, ne se gêne pas pour me détailler intégralement, de manière très naturelle. C'est d'abord ça - à part son physique - qui m'a tout de suite plu chez lui. Son côté naturel, spontané, franc, à l'aise partout.

Je vais me sécher et me rhabiller pas trop vite. Il en termine lui aussi et vient me rejoindre au vestiaire. Il engage la conversation.

- Tu viens souvent ?
- Deux, trois fois par semaine...
- On se reverra, alors...
Je me souviens, en rentrant, m'être dit que j'aimerais vraiment m'en faire un ami.

Le lendemain, j'y retourne, évidemment. Personne ! J'en suis quitte pour une séance de course.

Le surlendemain, je remets ça. Mon coeur bondit. Il est déjà en train de courir, toujours torse nu, en short.. En m'apercevant de l'autre côté de l'anneau, il me fait un grand signe du bras. Je remarque qu'il n'y a pas que moi qui ait flashé sur son corps superbe. Le jeune gars, en Ray Ban, qui manœuvre la tondeuse tractée sur le terrain de foot, aussi. Sa tonte commence à prendre une drôle d'allure, à force de vouloir toujours l'avoir dans son champ de vision ! Je me demande s'il se rend compte de l'effet qu'il peut produire sur les autres...

Bientôt, il me rejoint et se met à trottiner à mes côtés.

- Tu sais, faut pas te retarder, tu cours plus vite que moi...
- Pas de souci, j'ai déjà une heure dans les jambes. En plus, ça me fait plaisir...

On continue ainsi pendant une bonne demi heure, en bavardant de temps à autre. Après une bonne heure de course, on décide d'arrêter. On se pose sur un coin du terrain de foot pour faire des élongations, du stretching, de la récup. Assez vite, l'ouvrier jardinier vient nous rejoindre en tournant autour de nous avec sa tondeuse, décrivant toujours le même cercle. Ça nous fait rigoler et on l'invite à nous rejoindre. On passe ainsi un bon moment à discuter. C'est ainsi que j'appris qu'il était vendeur dans un magasin de fringues et qu'il avait aussi de super yeux gris-verts... Le jardinier aussi est super sympa. Malgré ses Ray Ban, j'ai bien remarqué qu'il dévore littéralement Tim des yeux... On passe un super moment ainsi. Toujours drôle, léger, toujours le mot pour rire...
Arrive le rituel de la douche, Douche prolongée, le plus souvent les yeux dans les yeux. Je ressens une boule dans le ventre. Ce type m'émeut. J'espère que ça ne se voit pas trop au niveau de mon bas ventre... moyen !!En rentrant, je me fais la réflexion que je n'arrive plus à me le sortir de la tête. Sans cesse, il revient occuper mes pensées...

Le lendemain, on arrive à peu près en même temps au stade. Tiens, il a changé de tenue. Aujourd'hui, il porte un cycliste vert anglais qui lui va à merveille et qui lui moule avantageusement les formes. D'ailleurs, certains appellent ça un moule bite ! On enchaîne les tours de piste, dans la même foulée. J'essaie de me maintenir à son rythme, qui n'est pas le mien. Tiens, aujourd'hui, le jardinier n'est pas là, je vais l'avoir pour moi tout seul... A la fin de notre séance, après nos élongations, il sort de son sac de sport un petit appareil numérique et me demande s'il peut prendre quelques photos de moi. Je lui dis OK à condition que ce soit réciproque et que ça ne finisse pas sur Facebook. S'ensuit une bonne séance de rigolade à se montrer réciproquement les photos. Je lui fais remarquer qu'il a tendance à multiplier les gros plans plutôt... suggestifs, il me dit que je n'ai qu'à en faire autant. On passe à la douche que l'on prolonge à plaisir car on se sent très bien d'être ainsi côte à côte, nus et attirés l'un par l'autre, tout en essayant de retarder au maximum le moment où l'on passera à l'acte. Ça se remarque d'ailleurs sur l'état respectif de nos bites, plus gonflées que la normale sans toutefois être carrément bandées. Mais, cela ne nous gêne pas, au contraire cela surajoute à notre excitation. On est bien sur la même longueur d'onde ! A un moment, il arrive même à nous prendre en photo à deux, avec l'appareil en automatique !

Le vendredi, à peine arrivé, il tient à me montrer le résultat de ses photos de la veille. Pas mal du tout. Il a d'ailleurs imprimé un tirage en A4 sur lequel il a collé des agrandissements de certaines parties. "Cadeau !". On commence à enchaîner nos tours de piste avec régularité. Je devine qu'il se réfrène dans sa foulée car il est capable d'avoir un rythme beaucoup plus soutenu. Je suppose que c'est pour rester avec moi et je lui en sais gré. Tout à coup, je le vois bloquer net, en pleine course et faire quelques pas en boitant bas.

- M... , une crampe ! Ouaaaah ! Ça t'embête d'aller me chercher un tube de pommade dans mon sac, là bas ?
- pas du tout! Bouge pas, je reviens !

Je reviens le plus vite que je peux et je lui donne.

- Ça t'embête de me masser ?
- ... non.

C'est la première fois que je le touche vraiment et ça me fait tout bizarre. Mais je m'applique du mieux que je peux à essayer de le soulager, un peu trop peut être... ? Dès que ça va mieux, on prend le temps de bien récupérer en discutant longuement. Puis, on décide d'aller aux douches.

- La chaleur de l'eau, ça devrait te faire du bien.
- Tu sais, ça va déjà beaucoup mieux !

Nouvelle séance de douche brûlante, côte à côte. je me sens de plus en plus attiré physiquement par lui. Tout à trac, il me demande si je peux lui savonner le dos. Surpris, mais emballé par l'idée, je m'empresse de lui appliquer du gel de douche très très lentement sur tout le dos, en m'attardant longuement sur la naissance de ses fesses. Je dois reconnaître que ça relève plus de la caresse... Heureusement que je suis dans son dos, il ne peut pas voir l'état de ma bite qui a beaucoup gonflé... A un moment, elle effleure sa raie. Il se raidit. A partir de ce moment, on savait parfaitement, tous les deux, comment tout ceci allait finir. On se rhabille à regret. Il enfile un mini slip blanc qui le moule parfaitement. il me propose alors de repasser prendre un pot chez lui, si j'en ai le temps ou l'envie... Tu parles !

On est bientôt dans son petit studio. Il m'installe sur son clic-clac, m'offre un jus d'orange et disparaît dans la salle de bain. Il revient presque aussitôt, vêtu de son simple slip immaculé et vient s'asseoir tout près de moi, jambe contre jambe, souriant, décontracté, excité aussi car je vois bien que l'arc de sa bite dressée tend son slip. Sans un mot, en me fixant droit dans les yeux, il soulève mon tee shirt et le fait glisser au dessus de ma tête. puis il fait glisser mon bermuda au sol. Nous voilà en slips tous les deux, mourant d'envie de nous jeter l'un sur l'autre et de nous dévorer...

Il déplie son clic-clac et m'allonge dessus, les jambes en dehors. Il s'agenouille au sol et commence à me caresser les pieds, les mollets, en alternant avec de petits baisers humides. Il remonte lentement vers l'intérieur des cuisses. Je suis aux anges. Je le regarde progresser doucement. Lui aussi essaie constamment d'accrocher mon regard. Il va ainsi me parcourir tout le corps en évitant soigneusement mon slip, pour remonter jusqu'à ma bouche, qu'il avale goulûment. S'ensuit un très long baiser fougueux. Puis, il se met à califourchon sur moi et vient frotter son slip contre le mien dans un léger mouvement de va et vient. J'ai empoigné ses fesses, passé mes mains sous le tissu de son slip et accompagne son mouvement de mes mains. Puis il rapproche sa bouche de mon slip et entreprend de me caresser à travers le tissu avec sa bouche. Il entrebâille mon boxer et pointe le bout de sa langue sur mon gland dégoulinant de cyprine. Ça me fait l'effet d'un choc électrique. Savamment, il me caresse le gland du creux de sa langue. J'ai empoigné ses cheveux, je voudrais qu'il m'engloutisse d'un coup mais je sens qu'il résiste à ma pression. Il va prendre son temps pour m'avaler la tige. Wouaaahhh ! C'est trop trop bon ! Ce gars sait sucer, c'est clair ! Je sens la chaleur de sa bouche de sa gorge, ses mouvements de succion, sa salive, tout ! Je me cambre au maximum pour m'offrir encore et encore à sa bouche. Bientôt, il me fait glisser le boxer et me retourne sur le ventre en plaçant deux coussins sous mon ventre. A grands coups de langue, il remonte de l'intérieur de mes cuisses vers mes couilles, ma raie, mon trou. Je sens sa langue qui me lèche le périnée et remonte le long de ma raie vers mon trou. Je devine que c'est la caresse qu'il préfère donner car il se donne à fond. Il s'excite, s'emballe, me bouffe le cul comme jamais on ne me l'a fait.. Il noie son visage dans ma raie, salive abondamment sur mon trou, me lèche, me lèche encore et encore. Puis il donne des petites poussées du bout de sa langue sur ma rondelle, me malaxe furieusement les globes de mes fesses, glisse ses mains sous mon ventre et vient m'empoigner la bite et les couilles. il est comme fou. Je l'entends pousser des râles de plaisir de plus en plus sonores. Ça m'excite encore plus de le savoir dans cet état.

Après un long moment délicieux, je sens un doigt plein de salive qui pousse. Assez facilement, il entre en moi et commence à me dilater. Je sens son majeur qui frotte contre ma prostate : trop bon ! Il fait glisser son slip, libérant sa tige trop longtemps comprimée, va chercher un flacon de gel, s'enduit copieusement le gland, la tige et mon trou. Il a un sacré bel engin. j'ai hâte de le sentir me labourer les entrailles. Je le regarde se préparer, la tête tournée vers lui. Je tends ma main et attrape ses couilles que je tripote tout en lui caressant le périnée du bout du majeur, poussant jusqu'à sa rondelle...

Ça y est, il est prêt. Je sens sa longue tige qui vient coulisser lentement dans ma raie. Je serre les fesses pour l'emprisonner... Doucement elle glisse vers mon trou pour me pénétrer. Je me cambre, avide de la recevoir en moi. Je sens la poussée de son gland et ses petits va-et-vient. Il m'écarte les globes au maximum. Ça y est, il a passé son gland. Je le sens en moi. Je resserre mon sphincter pour mieux le garder. Il commence lentement sa progression par des poussées et des retraits successifs. C'est fou comme j'aime cette sensation. Se sentir envahi par quelque chose de chaud, de doux, de vibrant. je ne m'en lasserai jamais... Il s'enfonce encore, je le sens de plus en plus me posséder au plus profond de moi. J'ai vu sa taille, je sais que je vais en avoir un maximum.. Il est entré complètement en moi, je sens sa toison contre moi. Il ne bouge plus. Je me retourne, son visage est radieux. Lui aussi scrute mes sensations...

- Tu aimes ? Tu me sens ?

Je lui réponds par un grand sourire et l'attire encore plus vers moi en empoignant ses fesses.

- Bourre moi ! Laboure moi ! Défonce moi !

Il commence alors un va-et-vient lents et puissants. Il se retire complètement pour mieux m'empaler la seconde suivante. je profite d'un moment où il a sorti sa bite pour me retourner rapidement sur le dos. Je croise mes pieds derrière son cou et je guide sa bite vers mes entrailles. J'ai envie de voir son plaisir sur son visage. il reprend ses langoureuses allées et venues. Il a empoigné mes globes et me tire vers lui à chaque fois qu'il me pénètre. J'ai la bite tendue au maximum vers lui par le désir et la volupté de l'instant. Il me l'attrape du bout des doigts et me la branle lentement par le dessus. J'adore ! Mon ventre me brûle mais j'en veux encore et encore... La sueur commence à perler sur son visage, sur son torse, sur son ventre. il accélère un peu la cadence. je sens ses couilles claquer contre mes fesses à chaque allée et venue.

- Aaah! Aaaaah ! Aaaaahh !

Il commence à crier régulièrement et de plus en plus fort. Je vois les traits de son visage se durcir sous le plaisir. Il a fermé les yeux et basculé légèrement la tête en arrière. Sa respiration se fait de plus en plus courte. il a encore accéléré la cadence de son pilonnage. J'enfonce mes ongles dans ses fesses et contracte mon sphincter. Il hurle :

- Wooouuuaaahhh !

Il se raidit et se retire brutalement pour m'inonder le ventre de deux, trois, quatre jets brûlants qui m'aspergent jusqu'au cou. Je suis heureux et fier de lui avoir donné tout ce plaisir. Du bout de mes doigts, j'étale doucement son sperme sur mon torse, mon visage et respire cette odeur que j'aime tant ! Je nettoie son gland de mon autre main. Sa bite est encore superbement gonflée...

Après avoir repris un peu ses esprits, il entreprend de me faire jouir à mon tour. Il s'agenouille sur le sol, face à ma bite et entreprend une splendide masturbation succion. Il a empoigné mon membre à deux mains et coulisse lentement pendant que, du bout de ses lèvres, il me pompe le gland, en le noyant de sa salive. Délicieux !! Durant tout ce temps, il a plongé ses yeux dans les miens et me regarde intensément. J'ai empoigné ses cheveux, j'ondule du bas ventre pour accompagner son mouvement. De temps à autre, il remonte le long de mon torse pour venir m'embrasser à pleine bouche.. Savamment, il fait durer, durer pour faire monter le plaisir tout doucement. Je voudrais jouir, jouir et en même temps j'ai envie que ça continue le plus longtemps possible. Ce gars sait donner du plaisir, attentif à la moindre de mes réactions. Il a dû sentir mon corps se tendre et ma respiration s'accélérer car je sens qu'il accélère son mouvement de branle de plus en plus frénétiquement en plongeant de plus en plus sa bouche pour m'englober.

- Ouuuiii !

A la dernière seconde, il a retiré sa bouche et reçoit ma semence sur son visage. C'est ce qu'il voulait. Il me vide complètement les couilles jusqu'à la dernière goutte ! Il se glisse alors sur moi, jusqu'à venir coller son visage contre le mien. L'odeur du sperme nous submerge tous les deux. On reste là, apaisés, repus.

Plus tard, on passe tous les deux à la douche. Il en profite pour me retailler la toison de mon pubis à son goût, c'est à dire très courte, avec des lignes déco sans poils... Va falloir assumer aux vestiaires ! En revenant dans le studio, il me propose:

- J'ai envie de t'offrir un de mes slips pour que tu le portes et que tu penses à moi !

- Si tu veux...

Il me demande alors de choisir entre une flopée de modèles, de couleurs, tous plus beaux les uns que les autres. Difficilement, je choisis un modèle rouge, très slipé et au tissu très doux.

Huit jours plus tard, j'emménageais chez lui. J'y suis encore. Depuis, on a vécu six mois de rêve, pleins de sexe - dans les endroits les plus loufoques, avec une prédilection pour la nature -, de rigolades, de joies, de bonheur...

Pourvu que ça dure...