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Proposée le 30/12/2012 par angedusoir2
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Ça faisait trois mois que l'on était séparés. J'avais ressenti une lassitude de cette vie commune, la routine à tous points de vue. J'avais cédé à une relation adultère, que mon ex avait découvert, et me voilà dans un petit appartement seul... le fantasme des aventures à tout vent avait fait long feu et je regrettais le temps passé.
Mon ex était très froide et je savais qu'elle avait beaucoup souffert de cette situation, ses bonnes copines célibataires l'avait rapidement prise en main et j'étais devenu un gros con pour beaucoup.
Je ne pouvais m'empêcher d'essayer de savoir ce qu'elle faisait, elle était belle, avec ses 39 ans, en pleine maturité, brune, grande, parfaitement foutue et nécessairement une foulée de prétendants à ses pieds, qui attendaient leur heure depuis des années.
J'appris par hasard un jour qu'elle était invitée à dîner le soir même et que pour la première fois depuis notre rupture, elle avait accepté. Je ne savais pas qui était l'élu mais je bouillais de jalousie.
L'idée qu'un autre que moi puisse parcourir son corps, qu'elle en ressente du plaisir était une idée insupportable. Déjà du temps de notre vie commune, je fantasmais sur cette idée de l'imaginer avec un autre, qui m'excitait diablement tout en me rendant malade, une fois l'excitation retombée.
Je décidais donc de « planquer » et de l'espionner.
19h30 : sa voiture quitte la maison, ma maison qui n'était plus la mienne. Nos deux enfants avaient été casés, elle était donc seule et libre pour toute la nuit.
Elle était vêtue d'une petite robe noire avec de discrets talons, il faisait beau et chaud, elle paraissait rayonnante.
19h38 : elle se gare non loin d'un petit resto romantique, où nous n'étions jamais allés.
Par chance, je trouve une place où garer ma voiture, non loin de là, un peu surplombant la terrasse du restaurant.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver Fabrice, une connaissance, un mec que je ne connaissais pas vraiment, mais que je n'aimais pas... Beau mec, la quarantaine également, pas mal de pognon vu ses voitures... Je souris jaune intérieurement car elle disait toujours qu'il était la caricature du gros con, flambeur et dragueur, comme quoi, les gens changent... j'imaginais que ce salopard jouissait à l'idée de sa taper ma femme, celle que toute la ville connaissait et voulait, la femme de celui, en l'occurrence, moi, que tout le monde enviait avant, et raillait maintenant. Les petites villes bourgeoises de province sont socialement diaboliques.
19h45 : Elle s'installe à table, il lui tire galamment la chaise, il est en face d'elle.
Grace à mes jumelles, je peux voir très distinctement tout ce qui se passe. Manifestement, c'est un premier rendez-vous, il lui a fait une innocente bise, et la conversation parait très convenue.
Avec le temps, je devine l'ambiance, il parle beaucoup, elle l'écoute, puis il l'écoute, il la regarde droit dans les yeux... la conversation devient, alcool aidant, plus intime, les têtes se rapprochent.
Je le vois passer sa main sur sa joue, et elle ne l'en empêche pas. Je vois leurs pieds se toucher, j'imagine la tension érotique gagner ce jeune couple qui se prépare à leur premiers contacts charnels.
21 heures 10 : Les cafés sont servis, il lui tient la main, lui parle doucement, je la vois qui sourit, qui fait sa timide, baisse les yeux.
21h30 : Il paie, ils se lèvent, elle le remercie, en lui collant un bisou sur la joue, elle lui tient la main lorsqu'ils sortent du restaurant.
Il a fait le plus dur, cet enfoiré.
Je boue littéralement sur mon siège, une érection ne me quitte pas depuis que j'ai vu sa main toucher la peau de ma femme.
Ils s'éloignent dans la rue, main dans la main, puis il passe son bras autour de ses épaules, et elle autour de sa taille, ils marchent tranquillement dans les rues quasi désertes, comme un couple d'amoureux.
Je les suis discrètement, à pied, à bonne distance.
Arrivés devant la voiture de Fabrice, je les vois discuter joyeusement. Fabrice s'arrête, la fixe, et doucement penche sa tête vers elle pour l'embrasser. Elle ne le repousse pas, au contraire, et elle lui rend son fougueux baiser... au bout de quelques secondes, je devine le bas ventre de Flo se coller à celui de son futur amant.
Il la regarde, lui susurre quelque chose à l'oreille, elle le regarde, baisse les yeux, et opine du chef, il ouvre sa voiture, et elle prend place sur la siège passager. Il est 21h45.
Là, je panique, je suis à pied, ma voiture est encore devant le restaurant, je ne veux pas les perdre.
Alors qu'il démarre sa voiture, je retourne en courant vers la mienne, l'esprit en panique. Ou vont-ils, je ne sais même pas où il habite.
Bien évidemment, lorsque je reviens sur place en voiture, 10 minutes plus tard, il n'y a plus personne... j'enrage, je tape sur mon volant en m'en voulant d'avoir été si con.
Désespéré, je m'apprête à rentrer chez moi et une sorte d'instinct me pousse à passer devant mon ancienne maison.
22h10 : Je passe devant mon ancien domicile, et quelle ne fut pas ma surprise de voir la voiture de Fabrice garée dans mon allée, même pas cachée.
Je ne pensais pas qu'elle ramènerait son premier amant à notre maison, dans notre lit !! Mais oui, nous ne sommes plus ensembles, elle doit donc considérer qu'elle peut faire ce qu'elle veut.
J'en tremble de rage, de jalousie et de dépit. Je ne vais quand-même pas arriver là bas et faire un scandale, je n'ai plus aucune légitimité et un instinct de survie m'incite à m'éviter une nouvelle humiliation.
Il est 22h20, je ne sais que faire, j'ai garé ma voiture dans la ruelle suivante, et j'attends, je ne sais désespérément pas quoi faire.
22h25 : Je sors de ma voiture et me dirige vers « ma » maison. Il fait nuit à présent, il fait toujours aussi bon.
Je me glisse derrière la haie, non sans avoir vérifié que personne ne me voit, ça ferait drôle que des voisins appellent les flics parce qu'un rôdeur s'introduit de nuit chez une femme seule.
L'avantage, c'est que je connais les lieux, je bénis le ciel de n'avoir jamais coupé les arbres et buissons divers qui décorent mon ancien jardin, et ce en dépit des envies de coupe à chaque printemps !
22h35 : Je suis caché, non loin de la terrasse, je vois dans le salon, la baie vitrée est ouverte, je distingue une lueur étouffée, probablement des bougies.
J'ai le cœur qui cogne dans ma poitrine, cela doit faire une bonne demi-heure qu'ils sont là tous les deux.
Personne autour de la table, je change de point de vue, très discrètement car la nuit est très calme et heureusement très sombre, aucune voiture ne vient troubler la quiétude de cette belle nuit d'été.
Je me fixe instantanément lorsque j'entends le rire de ma femme, depuis le fond de la pièce, donc depuis le canapé.
Je file jusqu'au bord de la baie, ma déplace sur la gauche et mon regard est instantanément attrapé par le grand miroir fixé sur le mur de droite... je n'aimais pas ce miroir, mais là, je souriais, toujours jaune, de sa présence qui m'arrangeait bien sur le coup.
Encore un petit glissement, et je me pose, presque confortablement, adossé au mur.
Il est 22h40.
Sur la table basse devant le canapé, deux verres à moitié vide, sur le canapé, ma femme est allongée, la robe est baissée sur sa taille, Fabrice, torse et pieds nus a encore son pantalon en lin blanc. Ils s'embrassent fougueusement, les mains de Fabrice jouent avec les seins dressés de Flo, sa bouche parcours son corps, s'empare de ses seins lourds mais encore fermes.
Je vois distinctement, Flo, les yeux fermés, les mains dans les cheveux de son amant, un rictus de plaisir sur sa bouche entrouverte. Je l'entends soupirer puis gémir doucement sous les mains et la bouche de son amant.
Je suis sidéré par cette vision de cet homme, au corps parfait, ça me fait très mal le constater qu'il prend possession de ma femme consentante.
Ses mains glissent sur ses cuisses, il s'écarte, ses main remontent vers ce qu'il reste de la robe, je vois les cuisses tremblantes de Flo s'écarter afin de lui laisser librement le passage.
Lorsque j'entends le souffle rauque de Flo s'accélérer, je sais que sa main est maintenant passée dans sa culotte, Flo s'arque boute, écarte encore les jambes, bascule la tête en arrière et lâche un « oui » de plaisir qui semble résonner dans toute la maison.
La main calée dans la chatte de Flo, Fabrice remonte sa tête et embrasse Flo fougueusement. Les mouvements de la main se font plus vifs, plus brutaux, il sent qu'elle aime ça.
Flo a toujours aimé le cul, depuis quelques temps, je sentais qu'elle prenait moins de plaisir à nos ébats, il faut dire que j'étais aussi moins pressant et plus pressé, depuis quelques années, nos rapport étaient limités tant dans le nombre que dans la qualité, les préliminaires s'expédiaient et je dépassais rarement les 10 minutes, sauf les rares fois où j'avais du mal à finir, fatigué par mes ébats de l'après-midi avec ma maîtresse. Elle devait être donc bien frustrée sexuellement, d'autant que cela faisait plusieurs mois que Flo n'avait plus fait l'amour.
Je devinais que ce nouveau corps, ce nouvel amant et cette frustration contenue doublaient son ardeur.
Fabrice, la main ancrée sous le string s'activait à faire jouir ma femme, en lui mordillant les tétons. La voix cassé de Flo me parvenait, j'entendais ses halètements, ses ohhh, ses ouiii, ses han... J'étais surpris de son impudeur, avec moi, c'était très silencieux, héritage des enfants présents dans les chambres attenantes. Ce soir, il n'y avait personne d'autre que moi, et elle ne le savait pas.
22h55 : Ça fait un quart d'heure que je suis là, caché, le sexe bouillant et irrité par la compression de mon jean. Flo vient de jouir bruyamment une première fois grâce aux habiles doigts de Fabrice.
Les yeux fous, elle lui tire la tête, le regarde, lui sourit et lui prend la bouche furieusement... « C'était très bon, merci... », dit-elle d'une voix suave que je n'avais plus entendue depuis des années.
« J'ai très envie de toi.. », lui dit il... Elle sourit encore, et l'embrasse, le renversant le dos sur le canapé, elle, penché sur lui.... les mains de Flo parcourent le torse imberbe et musclé de son amant, elle le regarde elle le contemple.... « tu es très beau.. », dit-elle...elle se penche vers lui et lui mordille l'oreille, ce truc me rendait fou, son souffle saccadé, sa salive dans mon oreille, rien que ça, au début me faisait jouir presque instantanément.
Dans le même temps, le corps de Fabrice se tend, je l'entends soupirer de plaisir grâce à cette caresse buccale experte, la main de Flo parcoure ce torse, s'arrête sur ses tétons, les pince délicatement, faisant encore redoubler le plaisir de l'homme soumis à la bouche et à la main de Flo.
La main de Flo descend sur le ventre, glisse sur ses cuisses musclées, et remontent... le manège ne m'échappe pas, chaque fois, la main de Flo remonte s'approchant de plus en plus de la bosse formée sur le pantalon de Fabrice. La main s'arrête sur la bosse et commence à la masser doucement... Fabrice se tend encore et râle doucement son plaisir... Flo le regarde tout à son plaisir, il entrouvre ses yeux pour voir sa partenaire, elle lui sourit, tout en pétrissant le sexe de Fabrice sur le pantalon.... « tu aimes ? »... il ne répond rien d'autre qu'un soupir de contentement très explicite...
La main de Flo s'attaque à la ceinture qu'elle décroche d'un coup sec, elle ouvre fiévreusement le pantalon, qu'elle fait glisser grâce à la complicité active de Fabrice. Elle enlève délicatement le pantalon, ils se regardent droit dans les yeux, lorsque Flo, toujours en position dominante, glisse sa main sous le boxer gonflé de l'homme...elle le retire rapidement, et le voilà nu comme un ver sur mon canapé, aux côtés de celle qui est encore légalement ma femme, la robe roulée sur la taille.
Je suis sidéré, le sexe que ma femme vient d'extirper me parait incroyablement gros, long et dur. Je me sens alors tout petit car il est flagrant que la comparaison ne m'est pas flatteuse.
D'emblée, Flo se saisit de ce manche et commence à le branler doucement, elle fixe le sexe qu'elle a du mal à tenir d'une seule main..
« whaou », dit elle « je ne m'attendais pas à cela »... « Qu'y a-t-il ? », dit il... « Rien, mais je n'ai pas l'habitude de... ça. » et elle regarde ce beau grand sexe.
« ah bon, ton mari... ? », elle le coupe d'un petit rire « ... Ah non, il n'est pas comme ça, loin de là... lui, c'est plus modeste... c'est le moins que l'on puisse dire !! », s'esclaffa-t'elle..
J'étais pétrifié.
Elle se place à genou à côté de lui, sans lâcher l'objet de convoitise... « je suis heureuse d'avoir accepté ton invitation, je ne m'attendais à tout cela, ta gentillesse, ta douceur, j'ai très envie de toi, de te faire jouir, de jouir avec toi.... »
Tout en disant cela, elle branlait Fabrice de sa main droite, et lui tenait la tête de la main gauche, ses penchants dominateurs prenaient le dessus, elle aimait ça.
La main accélère encore et je crois voir le sexe de Fabrice prendre encore une autre dimension... au moment à priori propice, Flo arrête son mouvement, son amant rouvre les yeux, juste le temps de la voir sourire, satisfaite, et de voir sa bouche plonger vers le dard énorme qu'elle tient par la base... Fabrice crie littéralement lorsque la bouche chaude et humide Flo absorbe son gland.
Flo le gratifie d'une pipe que je sais exceptionnelle, je sais aussi que Flo mouille comme jamais, car sucer une bite l'excite, et je n'ose imaginer comme elle doit être sentant la taille et l'énergie de celui-ci.
Au bout de cinq minutes, Fabrice demande grâce, il relève la tête de Flo, l'embrasse...j'entends ma femme dans un souffle « viens, prends moi, va doucement... ».
Fabrice renverse Flo sur le canapé, enlève ce qu'il reste de son string maculé.
Ils sont nus tous les deux, ils sont beaux.
Il l'allonge sur le dos, elle écarte les jambes, et lui vient se placer entre ses cuisses, le sexe au bord des lèvres ouvertes de ma femme.
Le bassin de Flo se soulève, elle cherche le sexe dur, elle se frotte, gémit, lui semble prendre plaisir à la titiller ainsi, la forçant à réclamer... « viens viens vite », souffle-t'elle d'une voix aiguë... il plonge en elle, relativement vigoureusement, mais l'expert semble stopper sa progression au but d'une dizaine de centimètres.
Il se fixe, je vois les mains de Flo planté dans ses fesses musclées tenter de la faire pénétrer plus loin, il se retire doucement, puis rerentre, cette fois encore un peu plus, avant de se retirer tout aussi délicatement... Flo gémit, des « ahh » quand il rentre des « hoo » quand il sort, sa voix est forte, je me dis que toute la rue va l'entendre.
Fabrice accélère son mouvement, lorsqu'il est totalement fiché en elle, je vois au visage de ma femme qu'elle est à bloc, ses yeux sont écarquillés, sa voix se brise dans ce qui devient des cris de plaisir, cris que je n'avais jamais entendu auparavant...
Fabrice accélère le mouvement, ses fesses musclées se retirent pour replonger dans le sexe de ma femme qui l'accueille avec une facilité déconcertante.
Lentement son mouvement s'accélère, il s'est redressé et contemple Flo, les yeux fermés qui crie à présent son plaisir.. », oui, viens, oh oui, encore...plus fort... ».
Son va-et-vient est devenu rapidement un pilonnage en règle, il fixe toujours ma femme, tout en lui balançant sa grosse bite au fond du ventre, à chaque cognée, j'entends la voix de ma femme qui déraille, qui s'étouffe dans un gémissement crescendo.
Alors qu'elle hurle littéralement son plaisir, Fabrice se redresse encore, remonte les cuisses de ma femme qui entourent à présent son bassin dans une indéfectible étreinte, la tête de Flo est renversée, il continue à la défoncer ainsi de longues minutes, jusqu'à ce que me femme parte dans un mémorable orgasme lui arrachant un cri que sincèrement je n'avais jamais soupçonné.
Il se fiche alors en elle, sans bouger de longues secondes, lui laissant reprendre son souffle puis la lime à nouveau encore plus doucement et profondément qu'avant... Flo, insatiable, repart de plus belle, encourageant son fougueux amants... » oh, oui, vas y, baise... moi encore, c'est si ...bon... », chaque mot est entrecoupé de ses hoquets signifiant que son sexe la pourfend au plus profond d'elle-même.
Ça fait maintenant un bon quart d'heure que ça dure, mes sens sont en vrac, je ne contrôle plus rien, dans ma tête je suis écartelé entre un plaisir monstrueux de voir cette scène, plaisir torturé par la jalousie qui m'étreint et ce sentiment d'humiliation de découvrir ma femme prenant un plaisir que je n'avais su déceler ou animer.
Au bout d'un temps, Flo se redresse, et fait comprendre à son amant qu'elle veut reprendre le dessus.
Elle me tourne le dos, et je la vois venir s'empaler sur son amant, je vois ce sexe énorme écarteler sa chatte, dont je remarque qu'elle était parfaitement épilée (décidément, il s'en était passé des choses depuis 3 mois).
La vue de ce dard entrant totalement et ressortant luisant des sécrétions abondantes de ma femme me mettait hors de moi, le monde aurait pu s'écrouler que je n'aurais rien remarqué.
Flo glisse, remonte de plus en plus vite, encourageant sans cesse son amant de ses cris « oui, encore, encore, ne t'arrête pas... ».
Au bout de 5 nouvelles minutes et dans un mouvement incontrôlable, je vois le sexe de Fabrice, toujours aussi vigoureux s'échapper de la chatte déformée de Flo et lâcher une quantité de sperme impressionnante qui vient s'écraser sur son ventre, sur les cuisses de Flo, en même temps, je crois deviner que Flo vient également de jouir physiquement, ce qui n'était jamais arrivé avec moi, en dépit de tous mes efforts...
Elle s'effondre sur son amant, ils se frottent l'un contre l'autre, mélangeant leur sécrétions tout en se mangeant goulûment la bouche.
Fabrice, à ma grande surprise n'a toujours pas débandé... il se lève, la prend par la main... ils se dirigent vers moi...
En fait, ils s'arrêtent à deux mètres, je n'ose plus respirer, j'ai retiré ma tête pour ne pas être vu... je ne vois plus rien, mais je devine qu'il va la prendre sur la table...
Immédiatement, les gémissements de la femme reprennent de plus belle... j'entends le bruit des claquements de son bas ventre sur celui de ma femme, j'entends ces « flic flac » rythmant les va et vient sauvages de Fabrice, ma femme jouit encore de plus belle, elle l'encourage toujours à la défoncer de plus en plus fort...
Il est 22h40, ça fait plus d'une demi-heure, qu'il baise ma femme, il a jouit mais il continue à la baiser.
Je devine qu'il l'a retourné et la prend maintenant par derrière, debout, ma femme vautrée sur la table de la salle à manger familiale.
Alors que ma femme est dans un état second, elle se contente de subir ses assauts, elle est au bord de l'évanouissement, j'entends Fabrice s'abandonner à nouveau dans un cri sourd... « oui, viens en moi, je veux te sentir en moi... hmmmm, ouiiiii... ».
Les bruits de friction ont cessé, je n'ose plus bouger....
« merci », dit-elle « c'était si bon, j'avais oublié que ça pouvait être aussi bon... ».
Alors qu'ils tentent de se remettre en ordre, j'entends Flo lui glisser... « merci encore, je ferais savoir à mon connard que finalement, la taille, ça compte pas mal... comment ai-je pu passer tant de temps à être aveuglée... Tu veux prendre une douche, et si tu veux on recommence »....
Il répond « tu sais, ça faisait si longtemps que j'avais envie de toi...oui, ça nous fera du bien, la nuit ne fait que commencer... »
« ne me dis pas tu peux encore, que tu en veux encore... !!?? »
« tu n'as encore rien vu, sourit-il, se laissant entraîner vers la salle de bain...
Je suis resté de longues minutes sans bouger, pétrifié... Je cru rapidement deviner que la douche s'est encore prolongée, puisque 5 minutes plus tard ma femme criait de nouveau, à l'autre bout de la maison, je suis rentré seul chez moi, j'avais perdu.