Plus qu'une amie : introduction

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Proposée le 27/12/2012 par Nibelung

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Cette histoire est réelle, et s'est passée il y a peu.
J'ai 17 ans, j'ai eu peu de petites amies, trois, au cours de ma vie. Je considère ma première relation comme une simple erreur, étant romantique et sensible, le fait que plus tard cette fille me proposa un plan cul parce que je "baisais" mieux que son copain qui s'avérait être un ami me fit ressentir un sentiment de trahison ultime avec l'image que j'avais d'elle et sa vraie personne. Elle me confia plus tard qu'à l'époque, c'était une folle du cul et qu'elle avait bien changer... Mouais... Bref, j'ai simplement repassé la croix que j'avais fait sur elle au stylo indélébile. Ma seconde relation fut une relations à distance très intéressante et qui m'apprit énormément sur la patience et le contrôle de soit, notamment la jalousie. Ma troisième fut un échec, car je me suis persuadé d'être amoureux de cette fille alors que j'aimais finalement une autre depuis bien plus longtemps, sans m'en rendre vraiment compte.

Appelons cette fille Mathilde. Amis depuis plusieurs années, nous parlions souvent au lycée, et au fil des mois, je me mis à éprouver de forts sentiments pour celle qui faisais désormais partie des personnes comptant le plus pour moi. Mais malgré mes sentiments, je ne fis rien, la regardant jalousement mais discrètement faire des câlins à d'autres, qui, eux, étaient amoureux et soit faisaient exprès de le montrer de façon coincée et de la manière des petits enfants, soit... n'étaient vraiment pas doués ! Elle les aimait surement plus que moi à l'époque, mais en tant qu'amis, et elle était déjà en couple depuis un an avec un mec fort sympathique, intéressant et gentil. Et elle en était amoureuse ! Je me suis donc rapproché d'elle, sans arrière-pensée et au fil des mois, l'appréciant de plus en plus. Mais refusant d'être un monstre et de la rendre malheureuse, il était hors de question de briser son couple, qui finirait bien par se briser, les liens s'émoussant. Un an plus tard, donc, après une soirée entre amis au cinéma et de shopping, elle m'annonce qu'elle n'était plus avec son copain. A vrai dire, pas de surprise, tout le monde l'avais senti venir. Deux jours plus tard, ma copine et moi mettons un terme à notre relations, sans regret, ou presque, car l'amour n'était plus tellement au rendez-vous lors de nos rencontres. Coïncidence ou mon subconscient qui me manipule ? Bref, tout les deux célibataires et s'auto-consolant, je remarquai que notre relation s'était intensifiée, nous étions plus proches depuis quelques semaines ou mois. C'est dans ce contexte que je lui proposai un cinéma, un film d'animation Pixar, surement pas top mais le film d'horreur voulu à la base n'était plus à l'affiche et puis on ne va pas au ciné entre amis pour le film mais pour rire ensemble ou s'effrayer ensemble... Pour les films d'horreur, elle avait le don de se coller à moi, de me grimper dessus, littéralement, et de me faire peur pour un simple lapin (Silent Hill). La séance est pour le vendredi des vacances ds noël, je l'attends devant le lycée.


Les écouteurs dans les oreilles, écoutant de la dubstep, je suis assis sur un des bancs où s'attroupent en général les "hypes", attendant avec impatience la fin des cours. La musique... C'est tellement bon... Le temps passe vite, et l'avance d'une heure que j'ai ne me parait pas si longue que ça. Tiens, les petits collégiens commencent à sortir du collège-lycée. Ils finissent cinq minutes avant les lycéens. Mathilde est en terminale L, moi en première S, redoublant suite à une dépression, due à ma seconde copine, la lointaine. Je me lèves et me dirige vers le point de rendez-vous, près du bureau du principal. La seconde sonnerie sonne, cette fois pas le bruit strident bien connu, mais une mélodie ringarde au piano. Elle arrive ! Je brûle d'impatience d'avoir mon câlin habituel. Tiens, on m'appelle, je me retourne et vois Floriane, une très grande amie aussi. Elle me saute au cou, cela fait une semaine que nous ne nous sommes pas vus. Puis la bise, puis les nouvelles, et voilà Mathilde qui arrive, avec deux amies, que je connais bien. Un énorme câlin, dernier bisou à Floriane et un souhait de bonnes fêtes. Elle était très jolie aujourd'hui, habituellement habillée de façon assez masculine, aujourd'hui elle s'était bien mise en valeur. Tiens ça me fait penser au rêve que j'ai fait d'elle, dans une piscine, les seins nus. Je fais la bise à Charlotte et Amélie, les deux amies, puis encore un câlin à Mathilde, et un bisou dans le cou. Un regard souriant, oui, elle veut y aller. Un au revoir, et je m'en vais en compagnie de la charmante jeune fille de mon coeur.

Mathilde ne se trouve pas belle, se plaint quand je touche son ventre, idem pour ses jambes et ses fesses, que je touche tout de même rarement. Ok, toutes les filles sont pareilles, elles font ça pour être complimentées, mais Mathilde, c'est différent. Elle respire la joie de vivre, toujours d'une humeur rayonnante, un immense sourire en toutes circonstances, et une folie incroyable. Une heure avec elle vous rend plus heureux que si l'on vous offrait... Une semaine de vacance en plus pour chaque vacance, ce n'est pas peu dire. Outre le bonheur et la joie qu'apportent ses dents magnifiques et ses lèvres lisses et douces dessinant ce sourire charmeur, Mathilde est jolie. Très jolie. Pas banale. Elle est très mignonne. De petits seins biens dessinés, je ne connais pas la taille de ses soutien-gorge, mais surement un grand B ou un petit C. Une belle peau d'une magnifique blancheur, des cheveux noirs, des yeux noisettes, souvent peu de maquillage, si ce n'est pas pas du tout, et un petit nez à croquer. Un ventre bien plat, de belles jambes fines mais pas maigres et de petites mains fragiles. Si elle complexe sur sa beauté, ce n'est pas pour entendre des compliments, mais parce que... Ah bah si, finalement, c'est une fille après tout, et comme la plupart des filles de 15-150 ans, c'est pour des compliments. Personne n'est parfait !


Après être sortis du lycée, nous nous dirigeons... Aléatoirement vers le centre-ville. Il est 16h40 et la séance n'est qu'à 18h30. Il fait froid et elle est en jupe, même si elle dit le contraire, je pense qu'elle à froid, puisque lorsque l'on passa devant un petit café ou on avais l'habitude d'aller avec des amis, elle se rua dedans et on se précipita au fond, là où il faisait chaud. Pendant une heure, le sujet de discussion fut principalement d'ordre culturel, j'entend bien entendu pas là : films, BD, et livres, lus récemment, science-fiction, fantastique, etc. Vers 17h50, on se mit à parler amour, pourquoi si, pourquoi ça, elle m'expliqua sa rupture et moi la mienne, puis après avoir payer l'addition, direction le cinéma !

Il fait encore plus froid, ainsi, le rythme de marche n'est pas des plus lent, mais lorsqu'on croisa un homme et sa fille qui nous regardèrent étrangement, je ralentis...
« Attend, ce n'est pas...», me suis-je mis à marmoner, malgré la lenteur de la venue au cerveau des informations. J'avais bien reconnu le père et la soeur de Mathilde. Celle-ci se retourne, elle a remarquée que j'avais ralenti, et surprise ! Après les politesses de bases, discussion rapide sur le film que l'on va voir, la soeur qui veut venir avec nous et Mathilde qui refuse, nous fait bien rire, son père et moi. Finalement, chacun repart de son côté, le père et la soeur direction la maison, nous le cinéma. Quand soudain Mathilde s'arrête et me demande :
- Tu as vraiment envie de voir ce film ? Dit-elle avec hésitation.
- Pas plus que ça, dit-je avec un grand sourire, mais ça va être marrant, mais de tout façon, y a que ça.
- Non, je ne crois pas... Ça te dirais de passer la soirée chez moi ? Comme ça le problème du repas est résolu et ce soir, j'ai pas tellement envie d'aller voir un film au cinéma.
- Volontier !

Donc suivit un marathon à travers le centre-ville afin de rattraper son père pour qu'il nous emmène, puisqu'aucun bus ne permettait de se rendre chez elle.