La montée du désir...

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Proposée le 15/12/2012 par Darladirladada

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- Je te propose un pari alors, le premier de nous deux à sauter sur l'autre a perdu !
- Avec plaisir...

Quelques jours plus tard, Damien et Aurélie se retrouvèrent au restaurent, bien décidés à faire fléchir l'autre le premier. Elle avait décidé de s'habiller sexy mais classe : une jolie robe noire décolleté laissait à tout le monde le plaisir d'apercevoir un bon tiers de ses seins joliment galbés. Sa robe arrivait à une dizaine de centimètres au dessus de ses genoux et laissait deviner de très belles jambes gainées de collant (ou bas) noirs. Des talons aiguilles amélioraient encore cette tenue qui, si elle avait pour principal atout la simplicité, n'en n'était pas moins extraordinairement aguicheuse. Elle avait comme dessous un soutient-gorge sans coque noir en dentelle bien entendu, avec la culotte très échancrée assortie.

Lorsque Aurélie arriva au restaurent avec un retard parfaitement calculé de 10 minutes, elle vit Damien qui l'attendait avec un grand sourire, très beau avec une simple chemise blanche et un jean bien repassé. A peine l'aperçu-t-il qu'il contracta les muscles de son aine... Dieu que le pari allait être dur à gagner ! Il lui fit la bise, presque plus sur les lèvres qu'ailleurs, puis elle se recula avec un sourire plein de feu et des yeux brillant de convoitise, et lui prit le bras.
- Je nous ai réservé une table un peu éloignée. Ça te va ? chuchota-t'il.
- Bien entendu, nous ne ferons rien de mal de toute façon, lui susurra-t-elle, collant presque sa bouche à son oreille.

Un serveur les plaça, et ils commencèrent par prendre un verre de rouge. Ils avaient beau parler de tout et de rien, un désir planait entre eux. Lorsque la côte de bœuf qu'ils allaient partager allait arriver, il effleura sa main "par inadvertance". Ce simple geste eut pour effet de les électriser encore plus. Alors qu'il essayait de lui prendre un morceau de pomme de terre, elle lui enleva délicatement la main de son assiette et lui dit : "Je ne partage pas mes casse-croûte" tout en passant une langue mutine sur ses lèvres. Damien sentit alors l'espace dans son pantalon rétrécir.

Arriva alors le dessert. Lui avait commandé une banale tarte aux pommes, mais elles des pâtisseries arabes : un cigare sucré de forme propice aux quiproquos délicatement enrobé de miel à la fleur d'oranger. Lorsque Aurélie prit subtilement le cigare en main et le porta à ses lèvres en le suçant pour en extraire le suc, Damien crut qu'il allait lui sauter dessus. Il les porta alors, elle et sa chaise, pour les placer au côté gauche de la table et plus en face. Ce faisant, il en profita pour lui embrasser le cou, ce qu'elle affectionnait tout particulièrement. Elle croisa alors nerveusement les jambes, ce qui n'eut pour effet que d'intensifier le désir qui se propageait maintenant à tout son corps. Alors qu'elle rapprochait le cigare de ses lèvres, une goutte de jus délicatement parfumé tomba sur son décolleté. Damien la récupéra alors sur le bout de son doigt en en profitant pour lui caresser la poitrine. Sentant qu'elle ne lui résisterait plus longtemps, Aurélie reprit sa place originale. Ensuite, elle se déchaussa et plaça son pied sur l'entrejambe de son compagnon.

- Tu penses toujours gagner le pari ? Demanda-t-elle.
- Oui, répondit-il dans un souffle.
Elle commença alors un léger va-et-vient en insistant sur le haut de la proéminence qu'elle sentait de mieux en mieux.
- Et là ? murmura-t-elle.
- Là, je pense qu'on ferait mieux de rentrer, dit-il la voix saccadée.

Damien alla alors rapidement payer, et ils montèrent rapidement à son appartement qui était fort heureusement contigu au restaurent. Il la plaqua alors violemment contre le mur par les poignet et commença à lui lécher le cou. Puis il la regarda droit dans les yeux... Et ce fut elle qui perdit : Elle se rua sur sa bouche comme assoiffée. Il la porta alors sans rompre leur baiser jusqu'à sa chambre. Elle se frottait à lui en serrant les jambes au maximum, tentant de se masturber par ce moyen. Il la posa alors sur le lit, et commença à l'embrasser partout : tout d'abord l'oreille, puis les seins qu'il lécha.

- Oh mon Dieu ! Cria-t-elle. Tête-les !

Il la déshabilla alors, et découvrit émerveillé la lingerie fine qu'elle portait. Dégrafant le sensuel sous-vêtement, il s'exécuta alors, déclenchant des gémissements de sa part. Puis, il descendit de long se son ventre tout en évitant son mon de Vénus. Arrivé au bas du ventre, il lui retira ses bas-jarretière, sa culotte détrempée et repartit des genoux. Il remonta alors jusqu'à l'entrecuisse et s'y arrêta alors.

- Prends-moi, gémi-t-elle. Je t'en supplie !

Ce disant, elle l'attira à elle et, arrachant les boutons de sa chemise, la lui retira à toute allure, ainsi que son pantalon, le laissant ainsi seulement en caleçon. Elle tenta de le forcer à la pénétrer, mais il voulait jouer, prendre son temps. Il enleva doucement son caleçon, puis commença à la branler avec son pénis. Lorsque enfin il s'enfonça en elle jusqu'à la garde, elle en cria presque de soulagement. Il commença alors un doux et lent va et viens, mais elle fit un roulé boulé et, au dessus de lui, accéléra le mouvement. Lors d'un geste un peu brusque, leurs sexes se séparèrent. Alors qu'elle essaya de le reprendre en elle, elle échut tellement elle était mouillée. Pleurant presque de rage, elle l'implora :

- Je t'en prie ! Je n'en peux plus, je te veux ! Maintenant !

D'un mouvement expert du bassin, il réessaya sans succès. Ce faisant, il titilla son clitoris.

- Ouch ! Oh oui ! Encore !

Mais lui-même ne se contrôlait plus. Il se remit au-dessus, et, prenant sa bite, la réenfonça. Il la pilonna alors sauvagement, de plus en plus excité par le bruit de mouille qui s'échappait de leur danse érotique. Aurélie recommença alors :

- Vas-y mon amour ! Plus vite ! Je te sens bien ! Je vais jouiiiiir !

Après quelques derniers coups de reins violents, ils eurenttous deux un orgasme dévastateur. Écroulé sur elle, il lui dit après quelques minutes de pause :

- J'ai gagné le pari ! Tu me dois un gage !
- Lequel, interrogea-t-elle ?
- Je veux te prendre par là, dit-il en caressant son anus.
- Non ! Pas par là, ça me fait peur...
- On verra ça plus tard chérie, mais j'y compte bien, susurra-t-il.

A suivre...

C'est ma première histoire érotique, alors que ce soit compliments ou reproches, dites tout ! En espérant vous avoir plu :)
P.S.: vous me donneriez quel âge ?