Toujours plus loin, toujours meilleur

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 6/12/2012 par Coquinetimide

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Après avoir commencé mon éducation de soumise lors de ma dernière histoire, voilà que je vais la poursuivre.
En effet, la rencontre avec cet homme d'âge mûr m'a tellement plu que tout de suite après je n'ai eu qu'une hâte : recommencer ! Je vais donc sur mon « terrain de chasse » favori : un célèbre chat.
Après quelques recherches, je trouve enfin chaussure à mon pied : un homme de 28 ans, habitant la capitale, aimant dominer et insulter les femmes, et dont le premier mot a mon égard est « salope ». J'adore.
Nous sympathisons assez vite, je lui envoie 2-3 photos de moi et rien qu'à mon visage il devine mon amour du sexe. Il me dit qu'il serait ravi de m'accueillir un après-midi sur Paris pour que je sois « sa petite pute ». J'accepte avec un grand plaisir, nous convenons d'une date et je m'empresse d'acheter les billets de train.

Le jour J, je suis toute excitée en me préparant. Je choisis mes vêtements avec soin : chemisier un peu décolleté, soutien gorge imprimé « léopard », jupe courte à carreaux et culotte noire ; puis je me rends à la gare et je prends mon train, où je somnole jusqu'à destination. Arrivée gare de Lyon, je sors rapidement du train. Il est là, sur le quai, à m'attendre.
Il s'approche de moi et me roule une énorme pelle, me dévorant littéralement la bouche. En même temps ses mains empoignent fermement mes petites fesses. Puis il se penche à mon oreille et me dit:
« Bonjour, salope »
Je murmure une faible salutation. Il me dit ensuite de le suivre, nous nous dirigeons vers sa voiture. Une fois à l'intérieur, il démarre et commence à me parler :

- Je suis très content que tu sois là petite pute. Nous n'avons que quelques heures devant nous, ne perdons donc pas de temps. Je vais fixer des règles si tu le veux bien.
- Bien sûr !
- En premier lieu tu dois m'appeler maître. Compris ?
- Oui, maître.
- En second lieu, si jamais je vais trop loin, tu dois me le dire, OK ? Je veux qu'on prenne notre pied, pas te faire de mal.
- Oui, maître.
- Enfin, à part bien-sûr si je dépasse tes limites, tu dois obéir à tous mes ordres.
- Pas de problème !

Une petite claque fuse sur ma joue gauche.

- J'ai pas entendu !
- Pas de problème, maître...
- Bien. Maintenant ferme ta gueule et pompe moi. On a 20 minutes de trajet, et je veux jouir dans ta belle bouche avant d'arriver à la maison.

Je me penche donc au dessus de lui. Je dézippe son jean et en dégage une belle queue circoncise. Les poils de sont pubis sont coupés court et son scrotum est rasé.
Je la prends en bouche et commence à jouer avec ma langue. J'adore sentir une bite grossir dans ma bouche. Ca tombe bien, là elle grossit très vite. Une fois qu'il est bien dur, je commence les va-et-vient, en salivant bien. Ma main s'active aussi, lui caressant délicatement les testicules afin d'augmenter son plaisir. A chaque aller et retour de son membre, ma langue lèche le bout de son gland. Je continue, de plus en plus vite car je sens que le laps de temps qui m'est alloué s'écoule.
Quand sa main droite agrippe ma tête, je sais que c'est le signal. J'avale sa bite jusqu'au fond de ma bouche, et je sens la salve de sperme couler dans mon œsophage pendant qu'il pousse un léger râle. Je nettoie bien son gland et relève la tête. Il me dit :

« Tu sais bien te servir de ta petite bouche, ça me plaît bien ça. »

Moins de cinq minutes plus tard, nous arrivons chez lui.
A peine passé le pas de la porte, il se jette sur moi pour m'embrasser, et pendant que nos langues se mêlent il se saisit de ma poitrine avec violence, m'arrachant un hoquet de plaisir. Soudain, il me retourne, me colle contre le mur, sort sa queue de son pantalon, baisse ma culotte et m'enfonce d'un coup sec sa bite dans ma rosette serrée. Je crie de douleur.

- Tiens ! A sec dans le cul, salope, c'est tout ce que tu mérites ! Je suis sûr que t'aimes ça en plus !
- Oui, maître !
- T'as dit quoi ?
- OUI, MAITRE !

Jamais je n'avais été sodomisée avec une telle violence. La douleur est totalement annulée par le plaisir frénétique que cela me procure. Je gémis de ma voix aigüe, de plus en plus fort, et lui me retient par les seins et s'enfonce en profondeur. Je ne saurais dire depuis combien de temps il me fait crier quand je sens son sperme couler en moi. Il se retire avec lenteur.

- Hummm, c'était très bon... Je vais aller me rafraichir un peu, prépare moi un petit truc à boire dans la cuisine, et viens me rejoindre dans ma chambre, au fond du couloir, en sous-vêtements.
- D'accord maître.

Je remets donc ma culotte pendant que lui s'éloigne, et je vais dans la cuisine observer les boissons disponibles. Je décide de lui préparer un mojito, au moins ça je sais bien faire. Une fois le cocktail prêt, j'enlève ma jupe et déboutonne mon chemisier pour le rejoindre.
Il est nu, à moitié allongé dans son lit, à m'attendre.

« Un mojito, j'adore ! Bon, il va falloir que tu fasses redurcir ma bite sale chienne ! Garde ta culotte et frotte ta chatte dessus pendant que je bois mon verre. »

Je m'accroupis donc au dessus de lui, et je pose mon entrejambe sur son pénis tout mou. Je commence à onduler du bassin. Petit à petit, sa bite enfle, et vient frotter mon clitoris ; une bonne chaleur se répand dans mon bas-ventre. Il finit son verre et m'ordonne de me mettre a quatre pattes. Là il m'enlève mes sous-vêtements et me donne des claques sur les fesses.

« De grosses mamelles et un joli petit cul blanc, tu es née pour être un sac à foutre ma parole ! Allonge-toi sur le dos et tends-moi tes mains. »

Je m'exécute. Il sort ensuite des menottes de sa table de chevet et me menotte les deux mains à la tête de lit. Il m'écarte bien les jambes, m'embrasse, et me pénètre aussi violemment qu'il ne l'avait fait pour mon autre trou. Je me sens bien, et le fait d'avoir les mains attachées augmente considérablement mon plaisir. Mes jambes s'entrelacent aux siennes.

Pendant prêt d'une heure, il effectue des va-et-vient, variant la vitesse, s'arrêtant quelques instants quand il se sent sur le point de jouir, me tripotant les seins ou m'embrasser, le tout entrecoupé d'insultes à mon égard. Je pense qu'il essaye de me pousser à bout, mais je suis aux anges, je jouis plusieurs fois.
Puis il met sa bite entre mes seins, les compresse, et entreprend de se branler méthodiquement. Je suis un peu frustrée de ne pas avoir droit à son pénis dans ma bouche, je suis prise d'une furieuse envie de le sucer, pour remercier cette queue de m'avoir donné tant de plaisir. Il se met ensuite à genoux devant mon visage et pousse un long râle pendant que sa semence coule sur mes joues, mes lèvres, et mes lunettes. A l'aide de son membre, il rabat le sperme déposé sur mon visage : j'avale tout, goulûment et méthodiquement.

- Merci, maître...
- Merci à toi surtout ma pute ! Il va bientôt falloir que l'on se quitte mais il faut que tu reviennes un week end entier ! Et à ce moment là je te réserverai quelques surprises...

En rentrant dans le train le soir, je ne peux que penser à cette phrase énigmatique. Pour sûr que je reviendrai, maître !