Chemin de Jacques : 14-On élargit le cercle

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Proposée le 8/11/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des séjours plus ou moins longs. Il est en Allemagne depuis plusieurs mois, où il a rencontré Evi, bisexuelle et naturiste. Ils ont passé des vacances naturistes et libertines avec un couple, Eveline et Boris, en Grèce. Ils se sont rendus dans un club échangiste pour cultiver leur goût du libertinage.

14 On élargit le cercle

Nous avons rencontré dans ce club échangiste un couple marié, Karl la quarantaine bien sonnée, mais restant bel homme, svelte et athlétique. Sa jeune femme Bieta n'a pas plus de 25 ans. Elle est très féminine et chic lorsqu'on la voit dans la vie de tous les jours, aimant la mode et particulièrement les créateurs comme Valentino, Cavalli et Gucci. Il y a toujours en elle un côté sexy sans aucune indécence. Dans ses tenues très osées, lors de ses venues dans les clubs échangistes, elle a toujours la même élégance dans une impudeur manifeste et assumée. Dans son choix des partenaires, elle préfère les hommes raffinés, matures, particulièrement ceux âgés de plus de 40 ans, comme l'est son mari. Elle les trouve plus calmes, rassurants et ils lui permettent de repousser les limites qu'elle pouvait encore avoir et qui ne demandaient qu'à reculer toujours un peu plus. Bieta est grande avec une silhouette athlétique, ayant des seins d'une taille très modeste et, pour peu qu'ils ne soient pas soutenus, assez flasques. Mais son caractère cool, sa blondeur naturelle, ses yeux bleus, son accueil chaleureux, font d'elle une femme attirante.
Ils nous confient que pour eux :
- L'échangisme renforce à la fois le désir et les sentiments dans notre couple. Je suis marié depuis cinq ans à une femme que j'aime et nous nous connaissons depuis près de 10 ans. Elle avait 16 ans lorsque je l'ai rencontrée. Elle me plaisait beaucoup, j'ai pris sa virginité, histoire de supprimer cette membrane disgracieuse même si elle est invisible. Cependant, elle était pleine de tabous. J'ai pris en main son éducation sexuelle, en douceur, mais avec fermeté. Elle m'avait promis de se plier à la moindre de mes volontés.
- Karl a été un professeur exceptionnel. Mais il ne fut pas le seul homme...
- Oui, je voulais qu'elle se donne à d'autres hommes pour qu'elle connaisse d'autres corps, des sensations différentes. La plupart du temps je choisissais moi-même ceux qui lui feraient l'amour.
- Il m'a offert à des hommes pour mon plus grand plaisir. J'ai joui avec ces mâles et finalement, ce fut pour moi comme des cadeaux que me donnait mon amant. Il m'a aussi incité à prendre des maîtresses. Faire l'amour avec une femme m'a beaucoup plu, même si je suis au final très hétéro : j'aime trop les queues pour me contenter d'un corps semblable au mien.
- Nous nous sommes mariés quatre ans après notre rencontre. Ce fut une élève très studieuse et avec le temps de plus en plus douée. Quand elle me parut mure, je l'ai amené ici.
- J'étais terrorisée à l'idée de me livrer à des hommes que je ne connaissais pas. Certes, avec Karl je m'étais donnée à des hommes de toutes sortes : blancs, noirs, jaunes, jeunes, vieux... On avait déjà fait l'amour en trio avec des hommes ou des femmes, en quatuor aussi avec des couples, mais là c'était totalement différent. Nous n'étions pas chez nous et la sélection qu'avait opéré Karl jusqu'à maintenant n'était plus la barrière à des rencontres non voulues.
- Lorsque je la vois se faire caresser et désirer par d'autres, ça me fait un peu mal parfois, mais, du coup, toute la fougue de mon désir pour elle renait. Je la revois comme au premier jour : jeune, farouche et vierge. Elle s'offre comme une vestale sur l'autel d'un sacrifice : la jouissance du martyre dans les yeux.
C'est le style grandiloquent qu'aime tenir Karl.
- Mettre à l'épreuve sa propre jalousie, sentir la peur de l'autre, ça crée une complicité en plus. Quand on rentre du club et qu'on se retrouve tous les deux, on refait l'amour en se repassant le film de ce qu'on vient de vivre. On est encore plus liés parce qu'on a vécu ensemble des situations hors du commun. La jouissance est toujours au rendez-vous.
- Et elle est dévastatrice tant pour Bieta et pour moi.
- La plus grande difficulté pour moi au début, c'était de refuser. Karl m'avait tellement habituée à tout accepter, que je n'étais pas programmée pour dire à un homme « non merci ». Cela m'a occasionné quelques déboires. A présent je sais repousser des avances que je ne désire pas et je ne prends que du plaisir en venant ici. J'aime les rencontres que je peux faire au hasard. Je n'aime pas me dire, en y allant aujourd'hui je vais rencontrer un tel ou un tel, non je préfère la surprise.
- C'est vrai, les boites échangistes, ça permet de briser les conventions et surtout l'habitude.
- J'aime beaucoup baiser avec des hommes, car ici c'est une question de cul, pas de jeu de la séduction. On ne va pas se dire vais-je baiser le premier soir ou non. On baise, s'est tout. Il y a aussi parfois, des rencontres très sensuelles avec des femmes. Lorsqu'une me plait vraiment, je lui demande si elle est partante.
- J'aime voir Bieta forniquer avec une autre femme, sans participer, même pas me branler devant elles, c'est très beau, très sensuel. Un peu comme une œuvre d'art qu'on admire tout en sachant qu'on ne possédera jamais.
- J'aime aussi beaucoup m'exhiber devant tous ces gens. Avec Karl nous avons été sur des plages naturistes, mais l'ambiance me parait trop prude. Les gens y sont sans vice. Heureusement, il y a le Cap d'Agde qui est un véritable baisodrome. Ça m'a bien plu qu'on puisse s'exhiber nuit et jour. La nuit dans les boites libertines et le jour dans les dunes où l'on peut baiser avec tous ceux qu'on veut, devant plein de monde. Je ne sais ce que l'avenir nous réserve, mais je crois que je ne pourrais pas me passer de ces visites dans les lieux libertins.
- Il convient tout de même d'opérer une sélection. Je ne lâcherais pas mon épouse n'importe où. Lorsque je ne connais pas, je suis toujours à ses côtés. Par contre, ici par exemple, j'ai une confiance sans borne et il est arrivé qu'elle y vienne sans moi, alors que j'étais en déplacement à New-York... Et là-bas, je fais ceinture chez ces coincés du cul.
- Il préférait me savoir ici, plutôt que je prenne un amant.
- Ici il y a moins de risque de s'attacher à une personne durablement.


Voilà comment s'est déroulée notre première soirée dans ce club échangiste avec ce couple :

Nous nous installons sur les banquettes rouges d'où nous avons une vue sur la piste de danse de la pièce principale. Quelques couples sont enlacés voluptueusement. Les mains parcourent les corps, s'insinuent sous les vêtements (s'il y en a) et branlent ce qui s'offre à elles, un fessier rebondit, un nichon s'échappant, une queue trop apparente...
Evi repère Bieta, qui se trémousse seule au centre de la salle, comme si elle se donnait en spectacle, sans gène ni pudeur. Car, elle est vêtue (si on peut parler ainsi) d'un soutien-gorge quart de Sein. Ses nichons sont ainsi tout à la fois soutenus et visibles de tous. Pour la culotte, c'est un string mini nu en forme de triangle évidé dans la totalité, composé de galon, de lacet en dentelle, garni de rubans de satin. Vu de dos, la ficelle du string entre dans la raie de ses fesses, jusqu'à disparaître. Pour parfaire cette tenue sexy, elle porte un bracelet en dentelle mêlée d'un ruban en satin en haut du bras, un second en haut de la cuisse et troisième au ras de cou. Ce dernier et garni d'un pendentif en argent et en strass.

Ma charmante compagne se dirige vers elle et la prend dans ses bras. Les corps se pressent, se palpent, s'encastrent. Evi baisse la tête pour baiser les bouts turgescents des seins de Bieta. Ici, c'est l'une des façons de se saluer, de prendre contact. Celle-ci remonte la courte jupe de sa nouvelle partenaire et découvre qu'il n'y a aucune culotte en dessous, elle peut ainsi branler tout à loisir cette moule offerte. Alors, Evi plonge ses doigts vers le string, qui encadre le sexe sans le voilé de la danseuse.
Tout le monde regarde ces deux femmes se branler sur la piste. Les hommes n'en perdent pas une miette, les femmes s'en amusent. Certains couples devant cette scène s'enhardissent dans des étreintes buccales plus intimes, les mains s'égarent et ne s'embarrassent plus de faux-fuyants. Moi, je me délecte de voir mon amour offrir ce numéro avec une indécence démesurée.

Les femmes s'étant bien chauffées sous les yeux de nombreux admirateurs, viennent nous retrouver, moi et l'époux de Bieta sur les banquettes rouges. Les deux femmes se placent entre nous, Evi près de moi, Bieta près de Karl. Elles continuent à s'embrasser. L'homme pose une main sur la cuisse de sa femme, j'en fais autant et comme lui je remonte jusqu'à la fente de mon amour qui, maintenant, pelote les nichons dénudés de l'autre femme. Des couples nous regardent en se caressant ouvertement. Dans de tels lieux, il faut être à la fois exhibitionnistes et voyeurs pour s'y sentir bien.

Bientôt, les deux filles permutent leur place et c'est tout naturellement que ma main se pose sur la chatte encadrée par le string de cette femme inconnue, dont je ne connaitrai le nom que bien plus tard. Karl, lui pose sa main la fente nue d'Evi. Il tient à découvrir ses nichons et elle l'aide à ce qu'ils apparaissent. Sans plus de manière les deux filles, comme dans un ballet bien réglé font sortir de nos pantalons nos queues déjà au garde-à-vous pour entreprendre une agréable fellation.
Nous allons rejoindre un salon privé à l'étage.

Nous faisons l'amour avec le couple rencontré quelques minutes avant dans un esprit de totale liberté. Il n'y a aucune gêne, aucune arrière-pensée dans le rapport de nos corps et de nos sexes. Je ne suis qu'à quelques centimètres d'Evi que je vois se faire prendre par cet homme que je trouve physiquement quelconque, même un peu âgé pour nous. Moi-même, je n'ai pas une grande d'attirance physique pour cette jeune femme aux seins menus et flasques, mais lorsque je la pénètre, je la sens d'une réceptivité hors du commun. Elle est là pour prendre du plaisir, pour jouir avec, en elle, la queue d'un autre que celle de son homme et justement, je suis celui-là. Je m'active en elle, ayant la volonté de lui donner un maximum de plaisir tout en satisfaisant le mien. Je la prends de diverses manières avant qu'elle ne jouisse et que je l'accompagne en déversant mon foutre sur sa pauvre poitrine, qui, décidément, n'est vraiment pas à mon goût.
Mais sa manière de faire l'amour compense largement son aspect physique.
Il vaut mieux une fille quelconque qui baise bien qu'une Miss Monde frigide.

Karl poursuit ses assauts sur Evi qui prend un pied énorme. Je vois aussi un autre couple qui nous observe depuis le chambranle de la porte de la chambre que nous avons laissée ouverte. Evi est tout à son plaisir. Enfin c'est ce que je crois, car elle fait un signe à ce couple qui me parait très jeune ; ils n'ont peut-être même pas 20 ans. A cette invitation, ils s'avancent et le garçon baisse son boxer devant Evi et lui présente sa queue. Elle la gobe tout en continuant à subir le pilonnage en règle de son partenaire. L'image est presque irréelle. La jeune femme, quant à elle, m'ignorant, vient mêler son corps avec celui que je venais de faire jouir.


Boris et Evelyne étaient libertins, tout comme nous, même s'ils n'allaient pas dans les clubs échangistes. Ils aimaient faire l'amour avec d'autres couples, échangeant les partenaires, contemplant les corps s'encastrant les uns dans les autres, se laissant observer dans le coït. Evelyne, totalement bisexuelle, ne laissait jamais repartir les femmes de chez elle sans avoir échangé des caresses saphiques avec elles. Les libertines, même si elles étaient peu versées dans ces pratiques ne se dérobaient jamais. Elles ne le regrettaient pas, notre amie étant experte dans les caresses que savent se donner les femmes pour arriver à la jouissance.

Rarement, mais cela arriva à ce qu'il me dit, Boris fut la proie (consentante) des hommes de ces couples. L'esprit de bisexualité n'étant pas réservé aux seules femmes. Au début il fut gêné, puis troublé. Par la suite, il ne refusa pas ces étreintes virils, n'ayant rien contre le fait de sentir une main puissante lui branler le sexe, puis se faire sucer la queue par une bouche non féminine. Pour autant il n'accepta jamais la sodomie. Lorsque Evelyne voulut lui préparer l'anus avec un gode, il lui permit, mais la pénétration d'une queue était pour lui quelque chose qui surpassait sa volonté et ses désirs. Il acceptait avec contentement un doigt dans l'anus venant caresser sa prostate, cependant, cela n'alla pas plus loin.

Lorsqu'ils passaient par chez nous, nous n'hésitions pas à réitérer les jeux estivaux pratiqués dans les îles Grecques. Nous trouvions toujours beaucoup de plaisir à faire l'amour avec eux. Cependant je n'eus jamais aucun rapport homosexuel avec Boris, ni avec aucun de nos complices libertins. Je n'étais pas tenté par ce genre d'expérience. Pourtant, je ne cache pas que la sensation d'avoir ma queue en contact avec une autre, me troublait énormément. C'était le cas lorsque nous effectuons une double pénétration, la membrane entre le vagin et l'anus étant assez mince. Que dire alors des quelques doubles pénétrations vaginales auxquelles j'ai eu la joie de participer : deux verges tendues dans le conduit lubrifier d'une de nos compagnes, la peau fine du sexe massée par l'autre phallus.

Bieta et Karl ont, eux aussi, participé avec nous à ces soirées échangistes organisées chez nous. Là encore c'est avec beaucoup de plaisir que nous nous sommes mélangés les uns les autres. Lorsque Bieta venait chez nous, elle mettait toujours beaucoup de soin à être particulièrement excitante. Sous un large manteau elle portait des dessous aussi sexy que ceux qu'elle portait en club ou comme ce fut le cas une fois, totalement nue, si ce n'est une chaine d'or à la taille et un collier de dentelle.
- Je me suis fait plaisir en exhibant mon sexe au taxi qui nous a déposé dans le quartier... pas devant chez-vous, rassurez-vous.
Elle était décidément très chaude et prête aux transports les plus vibrants.
Dans le salon, nos deux couples se plaçaient face à face. Tout en discutant de choses et d'autres, le plus naturellement du monde, j'embrassais Evi et Karl sa Bieta. Puis nous caressions nos chéries respectives tout en les déshabillant jusqu'à ce qu'elles soient intégralement nues. Alors, comme dans un ballet irréel, Evi se dirigeait vers Karl tandis que Beita venait me rejoindre. Les femmes nous déshabillaient n'omettant jamais de flatter nos sexes au passage.
Nous les honorions alors qu'elles étaient avides de caresses. C'était un émerveillement de les voir se soumettre à notre domination, d'accepter une possession totale de leur être. Cet abandon se faisait en totale confiance.

Après des étreintes torrides dans le salon, nous allions dans la chambre. Mais jamais nous ne nous quittions des yeux. Si Evi jouissait, je voulais la voir dans la beauté de l'orgasme. Le fait d'être voyeur et exhibitionniste à la fois, décuplait ma propre jouissance.

Par moment, les femmes se transformaient en lesbiennes très chaudes et se laissaient admirer dans un ballet bien plus puissant que tout film porno, car naturel. Elles nous offraient ce spectacle, non par obligation, mais par plaisir.
Lorsqu'elles jouissaient intensément devant nous, il fallait bien accepter que les femmes puissent avoir des orgasmes sans que nous intervenions, sans que nos queues soient d'une quelconque utilité. La pénétration n'est pas la seule possibilité pour la femme de partir vers les cieux de la jouissance.


Je trouvais que l'échangisme avec un couple, dans l'intimité de notre appartement, était bien supérieur à l'expérience du club. Ce qui gênait Evi dans ces invitations, c'est qu'immanquablement l'identité des uns et des autres se dévoilait, tandis qu'en club, sans un mot on pouvait baiser et se quitter sans rien connaître du partenaire. Nous avons décidé d'alterner les deux principes, entre inviter des couples (triés sur le volet) pour une partie carrée avec nous ou aller dans un club échangiste.


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