La mystérieuse forêt - 3

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Proposée le 30/10/2012 par Jul75

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Lire le chapitre 2.


La mouille de l'entre-cuisses de Catherine continuait de couler tandis qu'elle poursuivait, sans relâche, les va-et-vient de sa croupe sur les deux godes ornant le mur. Les jambes luisantes pour cause la mouille qui les avaient inondées et les seins ballottants, elle poursuivait sa récitation...
- Animus aeger curatus do sexualis...

Puis, enfin, elle s'arrêta. Elle exécuta une fellation de deux va-et-vient sur le gode d'en face, accroché au mur, et elle s'écroula sur le sol carrelé. Elle resta allongée un moment, nue et les orifices dilatés, sur le plancher et dégagea ses cheveux derrière ses oreilles. On put lire sur son visage une certaine satisfaction.
Soudain, elle se réveilla, quitta la pièce et fit tourner la bibliothèque pour cacher la pièce dans laquelle elle s'était trouvée, et remonta les marches à toute vitesse. Elle traversa le long couloir, arrivant ainsi sur le salon et découvrit qu'il n'y avait personne, elle perçut tout de même des gémissements, voire des cris, à l'étage. Elle devina la suite de la soirée qu'entreprit Cindy.

Elle sortit de la maison et traversa les bois, habillée seulement de ses bottes, le cul se dandinant, les seins respirant à plein tétons et son vagin servant de refuge pour le vent, jusqu'à atteindre une petite maison où elle pénétra sans hésiter.
- Bénédicte ! Appela t-elle.

Une femme arriva de la pièce d'à coté, une rousse très sexy, les cheveux lui arrivaient jusqu'au cou et on devinait sa poitrine opulente à travers sa robe de chambre qui laissait la moitié de ses cuisses nues. Elle regarda Catherine lui demandant par là ce qu'elle voulait.
Catherine se mit alors à raconter la rencontre qu'elle venait de faire, la nuit qu'elle était entrain de vivre, sans rentrer dans les détails.
- Cinq ? Rétorqua la rousse, tu as utilisé le Rituel de Willy ?
- Oui, à l'instant, répondit Catherine. Mais dès demain ils voudront partir et je ne veux pas qu'ils sachent qu'ils sont coincés, poursuivit Catherine, il me faut de la Lipodaire si je veux les rendre accro et prisonniers de Silva...
- Bien sûr, la coupa Bénédicte, je vais en préparer et te ramener ça en début d'après-midi. J'irai aussi voir cette garce d'Ophélie, je lui demanderai de faire tomber la pluie que tes visiteurs ne puissent pas partir tout de suite. Et arrête de courir nue partout, ma petite chérie.

A nouveau, Catherine traversa les bois jusqu'à sa demeure.
Elle monta à l'étage et jeta un coup d'œil dans chaque chambre à travers la serrure. La première était celle de James et Cindy qui dormaient. A la deuxième porte, Catherine vit que Joe et Hélène ne dormaient pas. Cette dernière se faisait tringler le minou, un pied au sol et l'autre sur le lit, avec derrière elle, bien sûr, Joe qui la tenait par les fesses. Tous deux se retenaient de crier.
Elle avança enfin près de la troisième porte, à travers la serrure et à son grand plaisir, elle découvrit que Vince, seulement en boxer, était toujours éveillé et que ce dernier feuilletait quelque livres qu'il prenait des étagères. Elle posa sa main sur la poignée de la porte et se rappela qu'elle était nue. Elle joignit la pièce d'en face pour y prendre des vêtements.

J'ai relevé les yeux vers le haut, tenant toujours un livre pris au hasard dans les mains, je suis sûr d'avoir entendu du bruit. C'est peut-être Cindy qui revient me dis-je pour éviter de me faire des films d'horreur encore une fois. J'ai posé le livre sur le lit et avancé jusqu'à la porte que j'entrouvris. Il n'y avait personne, à-droite-à-gauche, mais je perçus un grincement dans la pièce d'en face. J'ai regardé à travers la serrure et là... Elle était carrément nue, Catherine était totalement nue, et je pouvais désormais voir sa poitrine alors qu'elle était debout près du lit et qu'elle commençait à enfiler sa robe. Elle fit un tour sur elle même, comme si elle se regardait dans un miroir, et découvre que la robe est trop serrée. Ce qui met sa poitrine en avant et fait dresser encore plus ma tige prisonnière dans mon boxer. Elle se déshabille et se dirige vers la partie ouest de la pièce. J'ouvre la porte et joue la comédie.

- Oh putain ! désolé, j'ai entendu du bruit et j'ai un peu paniqué. J'ai flippé, merde ! M'affolai-je pour faire comme si je ne savais pas qu'elle était là.
- La peur a de drôle de conséquences sur toi, dit-elle pour rire en regardant mon membre qui bandait dans mon boxer.
J'étais démasqué, et puis la situation ne me gênait pas vraiment. Elle s'approcha de moi et glissa sa main sur mon membre.
- Je viens de voir que Joe s'occupe de sa copine, commença t-elle, et tout à l'heure j'ai entendu Cindy, je suis sûre qu'elle a aussi pris son pied avec James.
Je pense qu'elle parlait plutôt de moi, à moins que Cindy ne l'eût refait avec James, ce qui m'étonnerait vus que je n'ai rien entendu.
- Alors, poursuivit-elle, nous aussi on a le droit de s'occuper, non ? Me demanda t-elle tout en glissant sa main dans mon boxer.
Je pris sa tête dans mon épaule et lui murmurai que j'avais toute la nuit.
- Et moi j'ai toute la vie ! Rétorqua t-elle en collant son front sur le mien.

Je l'ai conduis sur le lit où je l'ai renversée. Je me mis à l'embrasser à pleine bouche tandis que ma main commençait à lui caressait l'entrejambe. Elle s'humidifia tout de suite, et en quelques secondes ma main se vit inondée. Je la sentais déjà chaude, je suis sûr qu'elle en avait envie, alors je lui logeai deux doigts dans sa grotte sans problème. Elle aurait pu engloutir ma main. Je descendis ma tête sur sa poitrine, généreuse et corpulente, j'entrepris de lui manger chaque sein tandis que je le tenais de la main gauche. Le bout de ma langue parcourait chaque mamelon en remontant à chaque fois un peu plus vers ses tétons que j'aspirai. Et qui par moment je mordais doucement, gentiment.
Ses gémissements se faisaient plus fort et plus nombreux ce qui me fit comprendre qu'elle appréciait et qu'elle prenait du plaisir.

Je remontai ma tête vers elle, et tandis que je l'embrassai, ma main droite, celle qui hantait sa grotte, vint se placer entre nous. Nous partageâmes alors le délicieux nectar qui coulait de son minou et que j'allai chercher quand on en manquait. Sa main remplaça la mienne et elle me fit goutter son jus en me faisant sucer le bout de ses doigts fins.
J'empoignai mon membre vigoureusement que je fis glisser entre les lèvres de sa vulve pour l'exciter d'avantage et lui dire que je voulais la pénétrer. Elle posa ses mains humides sur mes fesses et fit glisser mon pénis dans son vagin.
Mon chibre glissa entre ses lèvres jusqu'à ce qu'il s'y loge totalement. Mes mains à droite et à gauche et les yeux dans les yeux, elle lâcha un gémissement de plaisir presque sourd.
J'approchai ma tête de la sienne jusqu'à pouvoir lui lécher l'oreille gauche tout en lui chuchotant quelques paroles salaces.
J'entrepris enfin mon va-et-vient à toute vitesse, je gémissais de plaisir dans son oreille et elle dans la mienne.
- Hmm! Bon ! t'arrête pas ! Disait-elle.
Après quelques minutes je finis par me retirer, je la mis à quatre pattes sur le lit et illico mon pénis se fourra à nouveau dans son vagin.

Je la tenais fermement par les hanches et m'acharnais sur sa chatte. Mes jambes tapaient contre ses fesses et mes boules ballotaient tout comme sa poitrine charnue aux tétons pointues et durcies.
Désormais elle ne se retenait plus, ses gémissements se sont transformés en hurlement et ses paroles étaient ceux de la nymphomane la plus impudique.
- Continue. Baise, baise moi ! c'est ça ! Criait-elle sans s'arrêter de gémir.
De mon coté je sentais que ça venait, et à ce rythme là et vu comme son vagin était inondée mon chibre risquait d'envahir son corps entier et de le lui remplir jusqu'à saturation.
- Trop bon ! Dis-je. Je viens ! Arrivais-je à lâcher.
- Dans la bouche ! Me lança-t-elle en retournant la tête.

C'est à ce moment là que je vis le visage de Catherine, tout comme celui de Hélène lorsqu'elle se faisait défoncer dans la voiture, défiguré par la volupté et tout plein de sueur avec les cheveux qui lui collaient au visage. On pouvait y voir le plaisir qu'elle y prenait et le prix de ce plaisir-là : La destruction de son vagin. Sa bouche toute baveuse m'encouragea à venir y mettre mon pénis.
Elle se mit sur la pointe des pied, la plante en l'air, les genoux fléchis et jambes écartées. Elle continuait de se masturber tandis que ma tige s'enfonçait dans sa bouche. De la main gauche elle se doigtait le vagin et de la droite elle se cramponnait à mes fesses pour éviter de perdre l'équilibre. Elle s'accéléra sur mon membre tout comme elle accélérait sa masturbation jusqu'à ce que l'éjaculation se fit.

Je jetais alors un coup d'œil sur mon amante, remarquant que le drap avait été totalement trempé par sa mouille, qui continuait d'aller-et-venir sur mon membre et chaque secousse qu'elle recevait était un régal partagé. Je me voyais me vider dans la bouche d'une femme magnifique qui, en plus, pour faire de la place pour les saccades suivantes avalait toute la semence qui envahissait sa bouche. Elle me regarda, le sexe toujours dans la bouche, comme pour me dire...
- Tu aimes j'espère, mon petit chéri. Dit-elle en se retirant, une goutte de sperme à la commissure droite de ses lèvres.
Elle s'allongea sur le lit et je fis de même. Silence. Elle se releva, prit une robe de chambre qu'elle enfila devant moi. Elle m'embrassa et me chuchota quelques mots...
- J'ai toujours envie.
Elle quitta la pièce et je rejoignis ma chambre.

Tout le monde dormait, la première nuit venait de passer.