Morgane ( 4 )

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Proposée le 3/10/2012 par KKo

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Lentement, j'ouvre les yeux. J'ai du m'assoupir. Je regarde au dessus de moi, et je vois une poire de douche, des gants, du savon... Je suis dans une douche. Mais ce n'est pas la même que chez moi... Bon Dieu, mais où suis-je ? Qu'est-ce que je fais là ? A côté de moi, Morgane se mit à bouger, et c'est alors que tout me revînt à la mémoire : Je suis chez Morgane. Ses parents sont partis à Londres pour 3 jours, et je suis venu chez elle pour lui donner des cours de russe... Sauf que ce soir, elle n'avait pas envie de travailler. Et moi non plus d'ailleurs. Elle m'avait proposé de dormir chez elle pour les trois jours, et j'ai accepté avec plaisir... Je suis allé chez ma mère chercher quelques affaires, puis je suis retourné chez Morgane. Seulement, à mon retour, je l'avais cherchée dans toute la maison, sans la trouver. C'est alors que j'ai ouvert une porte au hasard, et que j'ai vu mon Aphrodite sous la douche. Et c'est de là que tout à commencé. Nos ébats amoureux dans la douche me reviennent petit à petit... C'était merveilleux. Maintenant, je sais que Morgane ressent les mêmes choses que moi pour elle. Elle vient de se réveiller. Elle se tourne alors vers moi, m'embrasse tendrement, et me dis :

- C'était magique Damien... C'était...

- Chuuut, lui dis-je en mettant mon index sur ses lèvres. Je sais. Je t'aime.

- Moi aussi je t'aime. Je suis toute à toi maintenant, je t'appartiens, me souffla-elle à l'oreille .

On resta un petit moment sans rien dire, puis elle me dit finalement :

- Tu as faim ?

- Oui, lui avouai-je.

- Alors suis moi, me dit-elle.

Je me rhabillais, et l'aidais à s'habiller tout en caressant sa peau douce comme de la soie. Il n'y avait rien de sexuel dans mes gestes, juste un peu de tendresse. Une fois que nous fûmes habillés, elle me prît la main, et m'emmena dans la cuisine. On mangea des restes à la va-vite, et Morgane s'absenta quelques minutes. Quand elle revînt, elle avait des DVD dans les mains, et me dis en souriant jusqu'aux oreilles :

- La collec' de films d'horreurs de mes darons ! Lequel tu préfères ?

Je jetais un coup d'?il aux DVD en questions, et choisissais celui qui me semblait être le plus flippant. On éteignais ensuite toute les lumières, on mit le DVD dans le lecteur, je m'allongeais sur le canapé, et elle vînt s'allonger sur moi. Ma tête était sur l'accoudoir du canapé, et la sienne sur mon torse, près de mon visage. Elle prît une longue et large couverture, et nous recouvris. On se blottis l'un contre l'autre, et on lança le film. Dès le début du film, je sentais qu'elle avait la trouille : elle frissonnait, et, au milieu du film, tandis que le personnage du film marchait dans une maison hantée, un homme ensanglanté a soudainement surgi en beuglant, et ma douce a sursauté si fort qu'elle a failli se retrouver par terre. Et je ne vous raconte pas le cri d'indigène qu'elle a poussé. J'étais plié en deux, et elle, vexée, me dis :

- Te marre pas ! Et puis j'ai pas peur de toute façon....

- Hahaha ouais bien sûr.

Constatant qu'elle faisait la gueule, je l'embrassais dans le cou, et lui disais :

- Allez viens, je vais te faire un câlin.

Pendant le reste du film, pour l'apaiser, je caresse sa silhouette du bout des doigts, et elle se mit à frissonner. Délicatement, elle conduit ma main vers sa poitrine. Lentement, je retire la bretelle de sa robe sur son épaule, et je glisse ma main sur sa peau en la caressant pour atteindre un de ses seins. Sa main accompagne chacun de mes mouvements, sans brusqueries. Malaxant tendrement d'une main, je caressais ses doux cheveux de l'autre. Le contact de son corps contre ma cuisse eurent tôt fait de me rappeler nos ébats dans la douche. Sans que je ne puisse l'en empêcher, mon pénis se gonflait. Naturellement, comme elle était allongée sur moi, elle ne tarda pas à ressentir les effets de mon érection fulgurante. Elle en fut agréablement surprise, suite à quoi elle se mit sur le ventre, s'appuyant sur ses coudes, et commença à déboutonner ma braguette .

Elle est maintenant à quatre pattes sur le canapé, et je soulevai sa robe déjà si courte que ses fesses étaient à moitiés découvertes. Ma main glissait désormais entre ses cuisses, et j'atteignis son minou déjà bien humide. Je faisais comme dans la douche, mes doigts se plaisant à découvrir les bords d'une faille pénétrée seulement et uniquement par mes propres doigts, sauf peut-être par les siens, idée qui était plutôt excitante. Une fois sûr qu'elle était suffisamment excitée, j'insérais un de mes doigts dans ce puits délicat, elle gémit, et accompagnais mes mouvements par de longs balancements de hanches.

Tandis que je la caressais, elle prit ma hampe et la mis en bouche. Ses va-et-vient me faisaient un bien fou.Je fis alors en sorte de me renverser de façon à être allongé sous elle en 69. Ma langue vint ainsi en contact avec son intimité au moment même où celle de ma partenaire vint au mien. Sentant avec quelle ardeur elle commençai à m'exciter de je fis de mon mieux pour la combler au même niveau, mais plus cela allait plus j'avais de mal à me concentrer, je la sentais trembler sous la montée du plaisir, ses jambes écartées face à mon visage m'offraient un spectacle exceptionnel. J'avais l'impression que mon pénis allait exploser. J'avais la tête qui tournait. Ses mouvements devenaient frénétiques, une vraie furie, tandis que je perdais moi-même le contrôle de mon être sous ses soins. J'insérai alors mes doigts dans son coquillage. Elle mouillait tellement que je pouvais lui rentrer trois doigts d'un coup. Tandis que je massais à l'intérieur, je prenais mon autre main pour m'occuper de son clitoris. C'en était trop. Je jouis. Dans sa bouche, qu'elle garda fermée sur ma verge tout en faisant quelques va-et-vient avec sa main le temps que je finisse de me vider. Je faisais le meilleur de mes mains, je devais bien me débrouiller d'ailleurs car elle cria :

- Oh oui ! OUI! OUIIII !!! Continue ! Mmmmm !!

Ses jambes tremblaient comme si elle était prise de spasmes, comme si elle était au point d'exploser mais qu'elle n'y parvenait pas. Elle accompagna le mouvement de mes mains avec une des siennes, ce fut donc un mouvement de trois mains sur un même vagin, mouillé, excité, torturé par un plaisir débordant de désir. Elle avait les yeux fermés, la tête en arrière, la bouche entrouverte d'où ne pouvais s'échapper que des gémissements. Son bassin commençait à se démener. Elle laissa enfin s'échapper une longue complainte :

- Mmmmmmmmm ! Oh oui !! Oui !!! Ouiiiiiiiiii !!

Je reçus un jet d'une puissance surprenante en pleine figure. Une courte mais abondante douche de sa cyprine. D'abord surpris, je trouvai ensuite agréable d'être imprégné de son plaisir. Après s'être assuré qu'elle ne mouillait plus, elle se leva et alla me chercher une serviette. Avant de m'essuyer, elle m'embrassa. Elle avait le regard hagard, comme si elle était en état de choc. Elle m'essuya attentivement. Nous avons ensuite repris une douche, chacun de son côté cette fois.


Après avoir pris notre douche, nous regardâmes l'heure : 11 heures 20 ! Il était temps d'aller au lit. Demain, il y a école, bien malheureusement. Je dis alors à Morgane :

- Bon, il faudrait qu'on aille se coucher... Heu, où vais-je dormir ?

Elle se mit à rire, et me répliqua :

- Tu plaisantes ? Tu dors avec moi, cette blague, dit-elle en m'embrassant.

Satisfait, je la pris dans mes bras, et l'amena dans sa chambre. Là, on se déshabillai, et on se blottissais l'un contre l'autre. Morgane s'endormit aussitôt, et moi je restais au moins une heure à contempler ma belle. Puis je finis par m'endormir à mon tour...