Morgane ( 3 )

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Proposée le 30/09/2012 par KKo

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Lire le chapitre 2.

Je peine à dissimuler ma surprise lorsque je vis Morgane nue, de dos, divine sous sa douche. L'eau ruisselle sur ses longs cheveux bruns, dont la brillance se fait encore plus éclatante. Mon regard glisse du haut de son corps jusqu'au bas : je regarde ses beaux cheveux lisses, puis ses épaules qui paraissent si douces. Morgane se retourne un peu, mais elle ne m'a pas encore vu. Je continue de contempler con corps angélique : je regarde maintenant ses seins ronds et roses, délicieux petits globes tendres, juvéniles et si adultes à la fois. Je regarde maintenant son ventre plat et doux, et j'admire ses hanches délicates, qui me rappellent les courbes d'un violon. Je descends, vers son orifice de chair rose et son petit bouton, caché sous un capuchon de chair tendre, ces lèvres si fines qui tracent un parfait sillon entre ses jambes, objet légèrement bombé, vulve douce, qui me fait rêver. Je suis comme paralysé. Il m'est impossible de faire le moindre mouvement, même le plus infime. Mon regard glisse maintenant entre son entrecuisse, partie la plus douce que l'on puisse trouver chez une femme. Finalement, je la contemplais de la tête aux pieds, mais Morgane son retourna encore, et cette fois je pus m'attarder sur son beau et angélique visage. Je me mis à contempler ce nez légèrement retroussé, ses yeux noirs délicats, ces lèvres douces, ses joues roses. Cette fois, elle m'aperçut. Merde. J'ai tout foutu en l'air. Au bout du premier soir. Elle va me détester, me foutre dehors...

Mais non. Elle me sourit, et me dis :

- Ah Damien, tu es là ! Je ne t'avais pas entendu entrer. Viens donc avec moi...

Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris ce qu'elle m'a dit... Elle me demande de venir prendre une douche avec elle ? Je dois rêver, ce n'est pas possible...

- Si tu voyais la tête que tu fais !, s'esclaffa-elle. Allez, viens ! Je ne vais pas te mordre.

Lentement, je me déshabillai, restant en caleçon. Elle me dit alors :

- Tu peux l'enlever aussi, tu sais... Allez, enlève-le, me dit-elle d'un air aguicheur.

Je l'enlevai, et je l'avais dure, ce qui n'avait pas l'air de la déranger, malgré les nombreux regards furtifs qu'elle y jetait. Moi, je ne pouvais détacher mon regard de sa poitrine délicate mais déjà fort joliment développée et de son petit abricot rose.

Elle accrocha la pomme de douche au dessus de nous afin que nous soyons tous les deux sous l'eau délicieusement chaude de la douche, ce qui fait tant de bien après le froid qu'il fait dehors. Elle mit du savon sur une éponge qu'elle me tendit, je la pris et frotta son corps divinement bien proportionné avec. Je faisais de mon mieux pour la frotter dans la cabine de douche exiguë. Elle me caressait sous le jet d'eau chaude, je lui frottais tendrement les fesses comme si elles allaient se briser si je ne faisais pas attention. C'est alors qu'elle approcha lentement son visage du miens, et je sentais son souffle rapide chatouiller mon menton, tandis qu'elle me prenait les lèvres, et m'embrassa à pleine bouche, me mordillant les lèvres, léchant ces dernières. Elle se colla à moi de façon à ce que mon pénis repose contre son ventre à la verticale, situation qui m'excitait au plus haut point. Puis, ce fut elle qui saisit l'éponge pour me savonner. Elle commença par mon torse et mes épaules tout en me léchant le cou et me mordillant. Ses caresses étaient sensuelles et m'excitaient de plus en plus. Je saisis ses seins doux, puis elle descendis, passa l'éponge sur ma verge décalottée. Elle continua de me caresser le corps de la main gauche, tandis qu'elle gardait sa main droite sur mon pénis. Elle entama un va-et-vient avec celui-ci, et je m'accrochais fermement aux parois de la cabine. Le jet d'eau continuais de nous asperger tandis que le savon s'effaçait lentement de nos jeunes corps. Mon esprit se vide. J'oublie tout. Plus rien n'existe. Je suis dans un autre monde. Je ne pensais plus qu'a la vue de rêve que j'avais d'elle à une dizaine de centimètres de mon visage, se pinçant les lèvres en me regardant avec un regard provocateur. Sa main était si délicate, sensuelle. Elle faisait tourner son poignet. Elle frottai son entrecuisse contre ma hampe, et ma tête se mit à tourner.

Soudain, elle descendit, je sentais son souffle qui descendais lentement de mon torse à mon bassin. Elle était maintenant accroupie, ses divines fesses reposant sur ses mollets, et elle saisit mon pénis. Elle le lécha, tout en continuant un va-et-vient avec sa main droite, me massant au passage les testicules, faisant rouler sa langue sur mon gland, l'embrassant, s'amusant à le mettre en bouche et à le relâcher avec un bruit de succion. Et là, elle se mit à entamer des allers-retours, et je sentais les parois de sa bouche et de temps en temps le fond de sa gorge lorsqu'elle tentait de m'avaler complètement. J'étais parcouru d'une sensation de chaleur extrêmement agréable, c'était ma première fellation, une nouveauté extraordinaire.

Elle m'avalait maintenant avec hargne, agrippant mes fesses nues en me griffant. Je gémissais, j'avais chaud, entre le plaisir et l'eau chaude de la douche, je bouillais. A un moment, je sentais que ça venait, que je ne pourrai plus tenir très longtemps. Elle aussi l'a comprit, et elle accompli ses derniers allers-retours. Je pensais qu'elle allait se retirer au dernier moment, mais non, elle avale de tout son long le membre turgescent, jusqu'au fond de sa gorge. Je ne tenais plus. Je fus secoué de spasmes violents tandis que j'envoyais la purée au fond de sa gorge. Elle ne perdit pas une goûte de semence, léchant les dernières goûtes qui restaient sur ma hampe.

J'étais aux anges. Mais je voulais qu'elle aussi prenne son pied. Alors je l'aidais à se relever, j'écartais ses jambes et la doigtais sensuellement. Elle comprit ce que je voulais faire, se mit à l'aise. Je baissais la force du jet afin de ne pas être gêné tandis que je l'embrassait, tout en descendant le long de son corps. Je suçai un sein, m'y attardai un peu, puis je pris l'autre, égal à son jumeau. Je léchai son ventre plat, passai sur son nombril. Une fois à genoux, je commençais par l'intérieur de ses cuisses d'une douceur de soie, faisant rouler ma langue autour de son fruit. Je le faisais languir, elle se cabrait, forçant un contact entre ma langue et son fruit. Elle était magnifique d'où je la voyais : Je voyais son visage au regard vague entre ses deux seins ronds aux pointes durcies par le plaisir. Je trouvai finalement le clitoris, et je commençais à le lécher et l'aspirer, faisant tourner ma langue contre celui-ci. J'écartais les lèvres et y glissais ma langue, contre la fente encore fermée, puis pénétra par à coups son vagin lubrique avec ma langue, ce qui lui arracha de longs râles de plaisir. Son bassin accompagnait mes gestes avec de lancinants mouvements. Elle se cambrait, écartais les jambes afin de mieux s'offrir à moi. Mes mouvements de langue faisaient de plus en plus rapides. Son souffle était rapide. Sa main qui était sur ma tête commençait à se crisper entre mes cheveux. Elle gémissait :

- Oh ouiiiii Damieeeeen ! Mmmmmm

Elle ne gémissait plus, elle criait, me suppliant d'aller plus vite et plus fort. Soudain, elle se tordit, laissa échapper un long râle, ses cuisses furent secoués d'une multitude de spasmes et je reçut une giclée de liquide dans le visage. Je me relevais, et nous restâmes collés l'un à l'autre en nous embrassant passionnément, voir sauvagement. Nous restâmes collés l'un à l'autre, les yeux dans les yeux, en souriant, dans la buée. En attente de la suite des événements