Rencontre dans un petit train.

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Proposée le 15/02/2008 par LILAS

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Le chef de train donna un coup de sifflet, l'engin ce mit en marche
doucement. A l'intérieur les gens s'installaient et un petit bout de femme tirant son bagage cherchait une place libre. La chance c'est que le train était muni de compartiment, elle adorait, cela lui rappelait ceux de enfance. Enfin arrivée en fin de wagon un compartiment vide, rien que « pour moi » pensa-t-elle. Elle s'installa avec un réel plaisir, le miroir lui renvoya l'image d'une « encore bien jolie femme » dans sa petite robe impeccable, blanche, son collier de perle lui donnait un air plutôt chic.

Alors qu'elle commençait à lire, un voyageur passa la tête, et demanda, « les places sont libres ? » agacée elle ne pu que répondre oui, l'homme s'installa face à elle, lui adressa un beau sourire, auquel elle fit un signe de tête poli et se plongea dans son livre.

Le train les secouait, les jambes de l'inconnu touchaient alors les siennes, l'homme assis dos à l'avant de la machine, était soudain très blanc, son estomac lui jouait encore un tour, elle eu pitié, et dit « voulez vous vous asseoir à côté de moi, je suis dans le bon sens ? ». Il ne se fit pas prier. A chaque cahot leurs épaules se touchaient, un léger trouble l'envahissait, il flottait dans l'air un je ne sais quoi
de troublant, son petit cœur s'accélérait, elle se mit à observer à la dérobée son voisin, ses trait énergique lui plaisait, sous le pantalon on devinait de robustes jambes, l'ensemble était plaisant. Elle revint sur le visage, ses yeux pétillaient de malice, d'intelligence, et de sensualité, elle se surprit à frémir,et baissa vite ses yeux.

Pour échapper à son trouble, elle se leva et fouilla dans le porte bagage face à elle et en hauteur, ses bras relevaient laissés
voir une taille encore fine, une croupe certes petite mais bien rebondie, l'homme ne perdait rien du charmant spectacle, dans un fracas, le train entra dans un tunnel et éternua si fort que l'homme fut projeté contre elle, de ses deux mains il se retint à la taille de celle-ci, elle eut un tel sursaut qu'il comprit son émoi doucement il passa ses mains sous la jolie et impeccable robe blanche, caressant ses cuisses fuselées bien ferme.

Excité il passa ses doigts entre ses jarretelles, ravi qu'elle en portât, c'est si rare de nos jours. Les petites fesses musclées dardaient vers lui comme une offrande, comme un fou, il arrachât la minuscule culotte de dentelle, il entendit un petit cri étouffé de contentement, et aussi dans un gémissement « prend moi ». Il écarta ses deux moitiés d'orange, mouilla ses doigts afin de lubrifier cette grotte si secrète, et doucement,très doucement commença à visiter ce temple sacré. Elle elle gémissait à n'en plus finir, se cambrant encore plus, se donnait sans restriction.

Que c'était beau, cette femme bien comme il faut, sa robe relevait
Jusqu'aux épaules, cet homme derrière elle, pantalon sur ses pieds, son visage enfoui dans ce cou de cygne, une épaule dénudée, ou ses lèvres Se posaient pour donner des baisers. Spectacle irréel que cette dame se faisant trousser comme jamais elle n'aurait imaginé. Pensant même, « oh pourvu que ce tunnel n'en finisse pas », l'homme allait et venait dans ses reins, gémissait également, prenait manifestement beaucoup de plaisir aussi. Il murmura « caresse toi, je veux sentir tes doigts le faire ». Elle obéit étonnée de tout ce qui arrivait.

Découvrant une ivresse insoupçonnée à ce conduire en catin, et même plus ça l'a ravissait, elle se délectait de cette odeur d'amour. Son front perlait de gouttes de sueur, elle sentait qu'elle était au bord de l'explosion, qu'elle allait voir de qu'elle appelait ses étoiles. L'homme dût le sentir aussi car il accéléra sa danse d'amour, leur amour arriva au même instant comme si ils s'étaient connus, sans doute se reconnaissaient- ils !

TU...TU...TU..., fît le train et le jour entra dans le compartiment. Elle se
retourna, leurs regards se croisèrent, on pouvait y lire de la tendresse, et ... de la reconnaissance. Il déposa gentiment un tendre baiser d'amour sur ses lèvres au goût des cerises. Elle abaissa sa jolie robe blanche un peu froissée... Forcément les voyages en train laissent des traces...

Il se rajusta aussi, il était temps, le contrôleur tapa pour demander les billets et dit « vous faites un bon voyage madame ? ». Avec un sourire malicieux elle répondit « vous ne pouvez pas savoir à quel point monsieur ». « Et vous monsieur cela a-t-il été ? »
« oh...oui », répondit l'inconnu (mieux connu à présent), « ce voyage a été plein de surprises ».

Le contrôleur annonce l'arrivée dans dix minutes et s'en va. Ils se regardèrent et éclatèrent de rire, un de ces rires dont on se souvient. Il s'écarta pour l'aider à sortir, il baisa sa main avec élégance. Elle trottinait joyeusement vers la sortie quand elle s'aperçut, qu'elle sentait une douce brise entre ses cuisses. Elle sourit, et se souvint que sa petite culotte de dentelle blanche était restée en lambeau dans le train, ou... dans la poche de l'inconnu .

LILAS.