Une villa en Toscane

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Proposée le 30/08/2012 par libero

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Du rififi en Toscane

Le taxi s'arrêta dans un nuage de poussières devant une vieille villa entourées de cyprès et d'oliviers. La dernière partie de la route était seulement une piste et il se demandait où allait-il arriver ? En descendant de la voiture il s'aperçut que le soleil était brûlant et la chaleur intense. La Toscane avait la réputation d'être brûlante au mois d'août et il s'y attendait. Le voyage avait été assez long, vol de Paris à Pise avec deux heures de retard et le taxi jusqu'au petit village d'Ulignano à côté de Volterra.

Paul, 22 ans, avait accepté l'idée de ses parents de partir quelques jours dans une villa avec piscine prêté par des amis en Toscane. Il avait de nombreux examens à préparer et avec les partiels qu'il avait déjà passés en juillet il n'avait rien organisé pour ses vacances.

- Paul tu devrais téléphoner aux Lespinasse, ils vont te donner les consignes et tu pourras les remercier !
- OK Maman tout de suite.

En une après-midi il avait tout organisé. C'était une bonne solution, il serait seul pour réviser, loin de ses amis et de sa petite copine Stéphanie, un peu « collante ». La villa possédait une piscine et il y avait un scooter dans le garage pour faire les courses et quelques ballades. Après avoir payé le taxi il voulut ouvrir le portail mais, il était déjà ouvert ! Il entra dans le jardin, découvrit la piscine, très surpris il y vit une jeune femme rousse en bikini allongée sur un lit de plage. Quand elle le vit elle se leva et le salua un peu gênée.

- Buongiorno.
- Bonjour qui êtes-vous ?
- Loretta, je suis la « cameriera », la femme de chambre !
- Bonjour ah oui ! les Lespinasse m'en ont parlé.
- Et vous êtes Paolo ?
- Oui, Paul, je vais passer quelques jours ici. Vous habitez ici ?
- No no passo toutes les matine ! Je ne savais pas à quelle heure vous arriviez et après avoir fait le ménage je profitais de la piscine. Vous n'allez rien dire à la Signora ?
- Mais non pas de problème indiquez-moi ma chambre !
- Vous pouvez me dire tu « sono Loretta ».
- Tu parles bien français !
- Mes parents s'occupent de la Villa des Signori Lespinasse depuis longtemps et moi aussi j'aide et puis je l'ai étudié à l'école. Mais attendez, venez sur la terrasse je vous apporte un verre d'eau vous devez avoir soif !

Paul s'installa sur une chaise et observa cette jeune Italienne. Elle devait avoir le même âge que lui, pensa-t-il. Un mètre soixante-dix environ, c'était une blonde vénitienne tirant sur le roux, ses cheveux frisés très fournis lui arrivaient dans le bas du cou. Sa peau pleine de taches de rousseurs était très bronzée comme le sont souvent les Italiennes l'été. Elle ne s'était pas rhabillée et déambulait tranquillement dans la maison devant Paul en exhibant son corps. Il faut dire que le petit bikini cachait vraiment peu de choses. Sa taille était très marquée, sa poitrine flatteuse tendait le petit soutien-gorge et sa croupe avantageuse n'avait rien à envier à celle d'une africaine. Son visage mutin avait de grands yeux sombres et rieurs et sa bouche pulpeuse lui donnait un air fripon.

Paul pensa qu'elle le provoquait en se fichant un peu de lui, mais elle était vraiment très attirante et quelques pensées canailles commencèrent à se frayer un chemin dans sa tête, mais peut-être cherchait-elle seulement à l'allumer ?

Elle partit après lui avoir montré sa chambre et donné quelques informations pratiques. Il se baigna dans la piscine et commença le roman qu'il avait emporté, il débuterait ses révisons à partir de demain ! Il se prépara un dîner léger et zappa rapidement sur les chaînes de télé italiennes, on n'y voyait que des femmes partiellement dénudées qui dansaient dans des décors kitsch et des présentateurs qui parlaient à toute vitesse en hurlant dans leur micro. « La télé italienne de Berlusconi ce n'est pas encore ça ! », pensa-t-il. La fatigue du voyage se faisait sentir et il alla se coucher en pensant à Loretta, « elle pourrait travailler à la télévision avec son physique ! ».

Le lendemain matin il se réveilla en entendant chanter dans la maison, il était neuf heures, il avait dormit comme une souche.

- Loretta c'est toi ?
- Sig. Paul vous êtes réveillé ? Je vous amène un café et une brioche ne bougez pas !
- Non ce n'est pas la peine je descends dans la cuisine !
- C'est un ordre Sig. Paul « cinque minuti e arrivo ! ».

Paul se précipita dans la salle de bain pour uriner et se laver les dents, il n'avait pas l'habitude de se faire servir au lit, surtout par une « bombe sexy » comme Loretta !

Elle entra dans la chambre avec un plateau sur lequel se trouvaient une tasse de café ridiculement petite et quelques brioches recouvertes de sucre glacé. Elle portait une petite robe à fleur très courte et largement décolleté sur sa poitrine, un petit tablier brodé et de légères ballerines noires aux pieds.

- Vous devez être affamé Sig. Paul ?
- Arrêtes de m'appeler Signor et tu dois me tutoyer, on a le même âge non ?
- Comme vous voulez, j'ai 23 ans et Vous ?
- Attends je bois mon café, après on discute d'accord ?
- Certo ! Dit-elle en ce retournant vous m'appelez ?

Ça devait l'amuser de continuer à le vouvoyer ! Elle voulait se distraire, Paul aussi ! Il but son café rapidement et il sentit son sexe déjà tendu sous les draps. Quelques minutes plus tard il l'appela :

- Loretta viens s'il te plaît.
- Sig. Paul « cosa posso fare per lei ? ».
- Regarde là au-dessus du lit il y a des toiles d'araignées il faut les nettoyer !
- Va bene ! Dit-elle avec un petit sourire, voyons voir ça !

Elle monta sur le lit et enjamba Paul à la hauteur de son buste en regardant vers le haut. Le spectacle était des plus suggestif, elle portait une petite culotte blanche qui moulait sa fente et d'où quelques poils blonds et frisés s'échappaient de chaque côtés. Il distinguait aussi très bien ses fesses pratiquement nues, car son slip semblait s'être enroulé dans son sillon fessier.

- Ça vous plaît ce que vous voyez ?
- Beaucoup, mais il n'y a pas beaucoup de lumière sous ta robe !

Elle la souleva un peu en dénudant sa croupe callipyge, puis avec son pied elle écarta le drap avant que Paul n'ait pu l'en empêcher.

- Mais vous dormez tout nu ? Ce n'est pas propre ça !


Il l'attira sur lui et l'embrassa à pleine bouche pendant que ses mains se mirent à courir sur corps souple, ferme et chaud. Son visage se perdit dans ses cheveux frisés, lourds et abondants, il fut envahi par une odeur de shampoing au lait de coco. Rapidement se penchant sur elle il lui souleva sa robe, elle s'assit en levant les bras pour l'aider à l'enlever après avoir défait le n'ud de son tablier. Puis il enfouie sa bouche entre ses seins abondants pendant qu'elle décrochait son soutien-gorge, ses larges auréoles d'une couleur rouge pourpres se terminaient par des tétons sombres qui durcissaient sous ses baisers. Elle attrapa son pénis et commença à le masturber, il s'allongea sur le dos pour mieux profiter de cette caresse, puis il poussa la tête de sa partenaire vers son sexe fièrement dressé. Elle s'agenouilla sur le côté et sans préliminaires le prit entièrement dans sa bouche pour une fellation profonde et décidée. Paul regardant sa croupe à quelques centimètres de son visage et en profita pour caresser sa vulve par-dessus la culotte tendue où quelques fines boucles de poils pubiens dépassaient. Elle commençait à mouiller et une tache humide se formait sur le tissu. Il tira la culotte sur ses cuisses dénuant complètement ses fesses d'une couleur beaucoup plus claire, on voyait parfaitement la marque de son bronzage. Puis après avoir écarté avec ses doigts ses petites lèvres fripées il introduisit son pouce à l'intérieur de son vagin brûlant. Il essaya de faire la même chose avec son index dans l'anus plissé, mais avec un mouvement brusque elle lui fit comprendre qu'elle ne voulait pas.

- Maintenant tu vas me baiser « vieni dentro di me » !

Elle le lâcha, s'allongea sur le dos en remontant ses jambes sur son torse, puis elle écarta amplement les cuisses ce qui ouvrit sa fente longue et rose ou perlait une liqueur nacrée encadré d'une frise de boucles blondes. C'était un spectacle d'une insoutenable lubricité. Il voulu d'abord la lécher.

- Non viens me baiser tout de suite !

Il s'allongea sur elle, son sexe tendu à la main et la pénétra brusquement dans un soupir partagé. Elle croisa ses jambes dans son dos et commença à conduire le rythme de sa pénétration qui se faisait de plus en plus profonde. Avec une main Paul empoigna son sein droit et de l'autre sa fesse gauche en les malaxant fermement. Il sentit sa jouissance arriver et il se retira inopinément pour éjaculer avec de longs jets de sperme sur son ventre et ses seins rebondis.

- Ma no cretino, je n'ai pas encore joui ! Tu peux venir en moi je prends la pilule et tu vas tout salir !
- Loretta ce n'est pas fini, retourne-toi je vais te prendre par derrière !
- Sì ma no nel culo ! Va bene ?

Loretta se mit à quatre pattes le visage enfoui dans les coussins, Paul a genoux derrière elle écarta avec ses doigts ses poils cuivrés de chaque côté sur ses grandes lèvres. Elle mit ses mains sur ses fesses et se les écarta pour une invitation sans équivoque. C'était trop tentant ! Sa bouche se perdit dans son intimité humide avec sa langue pendant quelques temps il la léchait goulûment avec quelques passages sur le périnée et le froncé de l'anus. Son pénis avait repris toute sa vigueur, il s'enfonça en elle et recommença à la besogner tandis que sa main droite glissée sous elle lui agaçait le clitoris. Après quelques minutes leurs mouvements s'accélérèrent rapidement et l'orgasme les pris tous les deux ensemble au milieu de soupirs de jouissance.

Un quart d'heure plus tard elle lui donna un petit baiser et se leva pour prendre une douche, elle finit son ménage en chantant, puis elle disparut de la maison sans rien dire. Paul s'était rendormi pour un sommeil plein de rêves lubriques, il était en vacances, les révisions attendraient !

Il profita de la piscine et essaya le scooter qui fonctionnait parfaitement ! En début d'après midi elle l'appela au téléphone.

- Paul j'ai quelque chose à te demander ! Ce soir je sors avec des amis, il y a une « festa » dans le village. Tu viens avec nous ?
- Non merci pas ce soir peut-être demain je voudrais continuer mon livre !
- Mais le problème est que je prévoyais de rentrer très tard et je ne pourrai pas rentrer chez moi ! Je pensais dormir à la villa, mais maintenant que tu es là !
- Pas de problème viens quand tu veux, même tard !
- Alors, à ce soir Paolo ! Merci Ciao !

C'était parfait, il n'avait pas envie de sortir, encore moins de rencontrer des gens, mais recommencer une partie de jambes en l'air avec elle ça oui ! Il commença ses révisions sans ardeur, car il pensait à Loretta à son corps, ses seins, ses fesse, sa fente?. Rien qu'en pensant à elle il sentait son érection revenir !

A minuit, toujours pas de Loretta ! Son livre ne le passionnant pas il finit par s'endormir. Le lendemain matin il se réveilla un peu déçu, car elle ne l'avait pas rejoins pendant la nuit ! Il se leva, enfila short et tee-shirt et descendit vers la cuisine pour se faire un café. En bas de l'escalier il s'arrêta brusquement ! Le divan du salon était déplié et il y avait deux corps enlacés, deux corps nus sur le drap blanc, deux corps de femmes dont celui de Loretta. Incroyable ! Elle aimait aussi les filles et l'avait déjà remplacé après leur première étreinte de la veille. Une odeur de parfum flottait dans la pièce et deux verres d'alcool à moitiés vides se trouvaient encore sur la table basse. Après avoir discrètement regardé le spectacle qui s'offrait à lui il se rendit dans la cuisine en fermant la porte, puis s'installa sur la terrasse pour profiter du soleil matinale et du paysage bucolique des collines toscanes.

Dix minutes plus tard la porte de la cuisine s'ouvrit et une grande fille brune aux cheveux courts et à la peau très bronzée se planta devant lui, elle était seulement vêtue d'une petite culotte en dentelle. Ses petit seins pointaient et elle ne semblait pas être gêné par son exhibition.

- Ciao ! C'est toi Paolo le français ?
- Ciao ! Loretta t'a déjà parlé de moi ? Mais vous n'avez pas peur de prendre froid comme ça ?
- J'étais déjà réveillé quand tu nous as maté ce matin, alors un peu plus où un peu moins ! Il fait chaud ici et j'ai pas encore retrouvé mes vêtements que ta copine m'a arrachés cette nuit, ça te gêne ?
- Absolument pas ! Au contraire c'est très agréable c'est un beau spectacle ! Et tu es ?
- Simonetta ! J'habite à Milano et je suis en vacances dans le coin avec des amis.
- Tu connais Loretta depuis longtemps ?
- Mais non ! Elle m'a draguée hier au soir à la fête, elle est belle non ? Elle m'a déjà tout raconté !
- Et elle perds pas le nord Loretta ! Mais tu parle très bien le Français ?
- J'ai suivi le lycée Français à Milano et je travaille à l'export avec la France.

- Ciao ragazzi ! Alors, mes chéries vous m'abandonnez ?

Loretta était derrière eux vêtue d'une petite nuisette courte et un peu transparente, elle les embrassa d'un chaste baiser sur la joue.

- Vous avez bien dormi ? Bon alors maintenant je vais préparer le petit déjeuner pendant que vous faites connaissance.

Pendant le petit-déjeuner elles lui demandèrent si elles pouvaient rester pour profiter de la piscine, Paul fut bien sûr très heureux de les inviter. Il profita de la matinée pour travailler tandis que Loretta prépara des pattes avec une recette secrète de sa grand-mère, par ailleurs délicieuse ! Le tout fut abondamment arrosé d'une bouteille de vin blanc que Paul se permit de subtiliser dans la cave de la villa et ils terminèrent avec une pastèque fraîche qu'ils mangèrent goulûment. Le café fut servi sur une petite table basse près de la piscine où ils s'assirent tous les trois. Simonetta et Loretta étaient toujours vêtues comme le matin et l'effet désinhibant de l'alcool aidant Paul reluquait sans pudeur le corps de Simonetta. Celle-ci s'en apercevant ouvrit largement les jambes pour l'aider a voir. Le petit slip en dentelle ne cachait pas grand-chose !
- Tu as vu Paul, Simonetta elle a la ?minette? toute lisse tu aimes ? dit Loretta.
- C'est différent de la tienne ! Mais je ne la vois pas bien !
- Allez Simonetta fait lui voir !
- Simonetta écarta encore plus les jambes et avec ses doigts écarta le tissu !


Effectivement son sexe était complètement glabre, on voyait ses petites lèvres fripées très longues ressortir de sa vulve en dessous de son pubis bombé sans poil lui aussi. Paul fasciné par ce spectacle impudique resta sans voix.

- Elle est belle sa minette hein Paul ? Si tu veux demain je ferai la même chose avec la mienne pour toi ! Mais maintenant tu vas lui faire l'amour, elle en a très envie depuis ce matin qu'elle t'a vu.
- OK mais d'abord vous vous caressez devant moi je veux du spectacle !
- Ah ces Français s'exclama Simonetta ! Vient avec moi Loretta, il veut du spectacle il va y en avoir !

Elle la prit par la main et elles se dirigèrent vers le grand matelas de plage double sur le bord de la piscine. Elles s'embrassèrent avec un long baiser puis Simonetta après avoir retiré son slip en dentelles, s'étendit sur le dos tandis que Loretta commença à la masturber avec sa main. Ensuite elle s'allongea tête-bêche sur sa partenaire engouffrant sa tête entre ses jambes pour la lécher avec passion tandis qu'elle offrait sa propre vulve aux baisers mouillés de Simonetta.

Paul s'approcha pour profiter du spectacle. Il s'assit sur le bord du lit près des deux filles et après avoir relevé sa nuisette commença à caresser les fesses dodues de Loretta tout en regardant la bouche de Simonetta qui lui lapait le sexe aux milieux de ses poils clairs.

A nouveau il voulut introduire un doigt dans son anus, mais Loretta interrompit son cunnilingus pour lui dire qu'elle n'aimait pas ça. Il se dévêtit complètement libérant son pénis dressé et il commença à se masturber tout en continuant ses attouchements sur le corps des filles. Puis il sentit une main se substituer la sienne sur sa queue pour une caresse torride. Quelques instants plus tard leurs trois corps furent intiment imbriqués et se frottaient l'un contre l'autre avec de longs et langoureux mouvements.
Ensuite ils changèrent de position, il s'étendit sur le dos, Loretta vint s'empaler sur son sexe face à lui tandis que Simonetta, s'accroupissant sur son visage, lui offrant sa vulve à lécher tandis qu'elle embrassait à pleine bouche sa partenaire. A quelques centimètres de lui Paul observait ce sexe avec des petites lèvres tellement longues qu'elles pendaient, bougeant au rythme de leur étreinte. Avec ses doigts il les écarta pour en observer l'intérieur rose et y introduire tour à tour son doigt et sa langue.

Puis Simonetta se mit a quatre pattes, Paul s'agenouilla derrière elle. Il sentit Loretta coller ses seins et son corps dans son dos, puis lui attraper son pénis et le présenter à l'entrée du vagin de leur partenaire. Loretta dirigeait de nouveau leurs jeux érotiques et il se demanda jusqu'où cela les entraînerait ?
Après avoir frotter de nombreuse fois son pénis sur la fente lubrifiée de Simonetta, Paul la pénétra avec jubilation les mains accrochées à sa croupe. Loretta, toujours collée dans son dos imprima le rythme à son va et vient tout en tenant entre ses doigts la base de son pénis tandis qu'avec son autre main elle commença à travailler le petit orifice de sa compagne devant le regard sidéré de Paul. Ensuite avec fermeté elle retira son pénis du sexe de Simonetta pour le positionner à l'entrée de l'anus où après quelques poussés il s'introduisit dans le couloir étroit et brûlant. Ils gémissaient et bougeaient en cadence tous les trois, Paul devait faire beaucoup d'effort pour ne pas jouir immédiatement. Il sentit Loretta quitter son dos et il la vit se placer face à eux pour profiter du spectacle tout en se masturbant de plus en plus rapidement.
Simonetta imprimait des pressions internes sur le pénis de Paul et quelques instants plus tard il éjacula puissamment en elle. Il se retira et subitement Loretta se précipita pour le lécher et nettoyer avec sa bouche son sexe qui avait perdu sa rigidité.

- Bon maintenant ça suffit il faut que je travaille leur déclara-t-il !

Elles se parlèrent a voix basse puis Loretta déclara en rigolant :

- Aller on te laisse tranquille, mais on passe te prendre ce soir pour sortir.
- On verra vous m'appelez, ciao ragazze.

Il se dirigea vers le séjour tout en pensant que si cela continuait comme ça, les révisions risquaient d'être difficiles.