Mon cousin Henri m'a filmée

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Proposée le 9/08/2012 par Fanny2

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Mon cousin Henri a deux ans de plus que moi et c'est le vilain petit canard de la famille. Il a compris très tôt qu'il aimait les garçons et il a assumé. Personne n'a accepté, sauf moi, qui l'admire d'avoir eu le courage que je n'ai pas. Moi je n'assume pas, depuis longtemps je triche. En fait il n'y a que lui dans mon entourage qui soit au courant de mes préférences pour les filles que je masque. Pour mes proches, seul l'aspect hétéro de la sexualité est respectable, hormis la totale chasteté. Impraticable. J'aime bien mon cousin Henri, depuis toujours, il n'y a pas de fausses pudeurs entre nous, il m'est même arrivé de coucher dans son lit, en tout bien tout honneur, chacun s'est masturbé de son côté avec ses propres fantasmes. Quand je me sens un peu seule, il m'arrive d'aller chez lui. Je le trouve toujours au milieu de ses appareils, ordinateurs, caméra et d'autres engins bizarres dont j'ignore le nom. Il vit dans un grand studio qu'il a transformé en salle de cinéma ? c'est un passionné ? avec un écran de trois mètres au moins accroché au mur en face de son lit, un vidéoprojecteur et des enceintes partout. De temps en temps j'amène un dvd et on se fait une soirée cinéma.
Aujourd'hui je me sens d'humeur coquine et j'ai envie de le taquiner. Il aime papillonner, je l'interroge sur ses dernières conquêtes, lui se moque gentiment de mon souci de respectabilité, et la conversation aborde des aspects de plus en plus intimes, tout en restant sur le ton de la rigolade.
« Toi qui aimes tant les hommes, je vais t'en montrer un. »
Il descend l'écran, allume ses appareils, il trifouille dans ses boutons et fait apparaître la silhouette d'un homme, filmé debout, devant le lit sur lequel je suis assise. Tiens, il filme ses conquêtes maintenant ?
« Ça m'arrive. »
Mais pourquoi donc lui a-t-il coupé la tête.
« Pour qu'on ne puisse pas le reconnaître. »
Du coup je me demande à quoi je vais avoir droit. L'homme est pieds nus, il porte un jean et une chemise blanche à manches longues qu'il commence à déboutonner puis qu'il retire. Ce sont des gestes simples, privés de toute sensualité, ou bien est-ce moi qui ne leur en attribue aucune, même lorsqu'il commence à ouvrir son jean, à le baisser, et que la caméra s'approche et montre en gros plan la bosse au milieu de son caleçon noir. Changement : il est maintenant allongé sur le lit, filmé de côté, ce qui met encore plus en évidence la bosse en question qu'il caresse presque distraitement, puis des deux mains il retire son caleçon en repliant ses genoux pour l'ôter complètement et là je vois sa verge en érection. Elle n'est peut-être que normale, mais filmée d'aussi près, sur l'écran elle doit faire presque un mètre.
« Elle est monstrueuse ! »
Henri, ça le fait rire.
« Tu n'as encore rien vu. »
De fait, l'homme commence à se masturber. Sa verge est verticale, sa main l'empoigne vigoureusement et fait des va-et-vient, de haut en bas, dégageant le gland brillant, puis le cachant. Au bout de quelques instants, sa main ne remonte plus jusqu'en haut, le gland reste bien visible, et un doigt de l'autre main vient se poser dessus et fait des petits cercles. Après le premier moment de curiosité, ce spectacle me laisse plutôt indifférente. Henri, en revanche, ça semble lui faire de l'effet à en juger par la bosse qui s'est formée dans son jean.
« Si tu veux, pas de souci, ça ne me gêne pas. »
Je ne me moque pas de lui, je l'ai déjà vu se masturber.
« Tu veux que je fasse quelque chose pour toi ? »
Je suis gentille. Je l'ai déjà fait, la première fois il y a longtemps, j'avais treize ans.
« Non, ça va. »
Sur l'écran, l'homme continue son jeu. A pleine main. De plus en plus vite. La caméra est maintenant au-dessus de lui. Le gland est énorme dans la double couronne du prépuce et des doigts qui s'agitent, puis, soudain, ça gicle. Je n'ai jamais trop aimé ça, mais là c'est sans effet. Sauf pour le type : sa main inondée ramène la verge sur son ventre où le liquide continue de s'écouler. Une belle flaque gluante.
« Ça t'a plu ? »
Je ne peux pas dire que j'ai trouvé ça particulièrement excitant. Je l'ai fait souvent à mes petits copains, plus par esprit de sacrifice que par plaisir car je savais qu'ils aimaient bien. Sans doute autant que moi quand je me caresse, ou, mieux encore, lorsqu'une c'est une autre fille qui me le fait. Mais je ne veux pas décevoir Henri.
« Dis-donc, c'est torride. Et après qu'est-ce que vous avez fait ? »
Naturellement, ils ont fait l'amour. Je ne lui demande pas de détails.
« Et le film ? »
Il lui en a fait une copie.
« Je le regarde de temps en temps. J'en ai d'autres, tu sais. »
Je n'en doute pas, mais en voir un m'a suffi.
« Et toi, tu n'as jamais été filmée toute nue ? »
J'avais refusé quand l'un des garçons avec qui je sortais aurait bien voulu. Je redoutais l'usage qu'il en ferait. Légende métropolitaine ou pas, des bruits couraient sur des filles qui s'étaient retrouvées sur des sites. Je l'avais raconté à Henri à l'époque. Ça l'avait fait rire.
« Tu n'aimerais pas que je te filme ? »
Quelle drôle d'idée, pourquoi faire ? Et pourquoi me filmerait-il, lui que les filles laissent indifférent ?
Certes, j'ai confiance en lui, je sais que jamais il ne me ferait du mal.
« Tu pourrais te voir comme jamais tu ne t'es vue. »
Ça donne à réfléchir, mais j'évite de lui répondre et je change de sujet.

Quelques jours passent. L'idée me trotte dans la tête. Je me regarde nue dans la glace, je prends toutes les poses possibles pour explorer tout mon corps, j'utilise même ma petite glace grossissante pour mieux détailler certains endroits difficilement perceptibles. Je ferme les yeux et je revis mon grand fantasme, me trouver dans une pièce entièrement tapissée de glaces, sol et plafond compris, moi nue au milieu, et mon corps visible sous toutes les coutures et reproduit à l'infini. Et voilà qu'un autre fantasme, celui de mon corps sur le grand écran petit à petit le remplace. Le ver est dans le fruit.
« Ok, je veux bien que tu me filmes. Je viens quand ? »

J'ai quelques idées. Je choisis ma tenue avec soin. Mon beau soutien-gorge et ma culotte noire, stricts mais élégants, une jupe noire légèrement évasée, un tee-shirt blanc ? mais tout à l'heure je lui demanderai de me prêter une de ses chemises ? mes ballerines, mon blouson, mon sac et j'y vais. C'est le rendez-vous le plus étrange auquel je me suis jamais rendue.

« Du coca, merci. »
Il me tend un grand verre et nous reprenons la mise au point des détails. J'apprends que je vais me voir en grand sur l'écran pendant qu'il me filme.
« A moins que ça te gêne. »
Non, pas du tout, ça va être un peu bizarre car, il m'a prévenu, ce n'est pas comme devant un miroir, là les gestes sont inversés. J'ai ôté mon tee-shirt et j'ai passé la chemise blanche que je lui ai demandée, bien trop grande pour moi. Pour le début, j'hésite entre deux scénarios un peu différents.
« On fait les deux. On commence par celui avec soutien-gorge, ça t'évitera de le remettre après. »
Il fait quelques essais de lumière. Il me place face à l'écran et de façon à pouvoir circuler autour de moi sans être gêné par le câble. Il allume les appareils et je vois mon profil en gros plan sur l'écran.
« T'inquiète, je ne filme pas. Je te dirai avant de commencer. »
Il tient sa petite caméra d'une main, il la balade autour de moi en regardant le petit écran latéral. Moi, je regarde le grand. Il est doué Henri, l'image ne tremble pratiquement pas.
« C'est bon, quand tu veux. »
Je me mets en position. Il est à ma droite et sur l'écran je vois mon genou et ma main sur le bas de ma jupe que je remonte lentement le long de ma cuisse. La caméra suit le mouvement vers le haut jusqu'à découvrir le côté de ma culotte dans lequel j'engage mon pouce. Il passe devant moi et élargit l'image : des deux côtés ma jupe est relevée sur mes hanches, mes pouces écartent l'élastique de ma culotte, cachée sur le devant par la jupe et les pans de la chemise. Je commence à la descendre lentement, il repasse sur le côté, resserre l'image et suit le mouvement jusqu'au genou que je relève pour la dégager. Il descend ensuite pour cadrer la culotte étalée sur le sol, il se baisse, filme mes pieds puis remonte le long de mes jambes, de ma jupe, jusqu'aux boutons de la chemise que je défais un à un, laissant entrevoir la peau de mon ventre. Je jette la chemise et je reste un instant immobile pour contempler ma poitrine, large de plus de deux mètres. Henri tourne lentement autour de moi, jusqu'à cadrer mes mains dans mon dos qui dégrafent mon soutien-gorge, puis il revient pour saisir l'instant où je dégage mon sein. Je ralentis mon geste, l'image grossit, s'insinue sous le bonnet et je sens comme une caresse. Le soutien-gorge va rejoindre la culotte et de nouveau il tourne autour de moi, exaltant mes seins si petits au naturel, de profil puis de face, et j'ai envie de les caresser, par-dessous jusqu'aux pointes, à pleines mains. C'est bon, et encore plus de regarder mes mains le faire. La caméra redescend jusqu'à ma taille. Mes mains font tourner ma jupe pour faciliter l'accès à la fermeture puis la dégrafent. Une main descend le zip et l'autre la retient, l'empêchant de glisser trop vite. Henri passe derrière moi et suit la jupe qui descend lentement, découvrant le début du sillon entre mes fesses. Je vois mon petit cul ? petit au naturel, car sur l'écran ! ? comme jamais je ne l'ai vu et il me plaît bien. Je comprends la frustration des garçons avec qui j'ai couché de ne pas y avoir eu accès et le plaisir que les filles prennent à le caresser. La jupe est au sol, le mouvement alterné de mes cuisses montre que je m'en dégage, puis la caméra tourne autour de moi, mon sillon disparaît, profil de ma fesse et devant apparition de mon petit buisson noir qui finit par occuper la quasi-totalité de l'écran. L'image s'immobilise, puis tout s'éteint.
« C'est bon ! Dis-donc, t'es douée. On dirait que t'as fait ça toute ta vie. »
Je reste nue pendant qu'Henri trifouille dans ses appareils. Je bois une gorgée de coca. Il repasse les images, je pensais que c'était plus long mais ça a l'air bien. En tout cas, ça me fait un effet bizarre, ça m'excite, certes.
« J'enregistre et on reprend. »
Je remets ma culotte, ma jupe et la chemise et reprends la position. Henri est face à moi, en gros plan mes mains sur le côté qui dégrafent ma jupe et qui la laissent glisser. Par transparence, l'ombre noire de ma culotte sous la chemise dont les pans m'arrivent à mi-cuisse. Henri tourne autour de moi jusqu'à la cadrer de derrière. L'image s'élargit, mes mains relèvent la chemise sur mes hanches et mes pouces s'insèrent dans l'élastique de la culotte que je fais descendre. Puis je relève lentement la chemise découvrant petit à petit mes fesses. Je les trouve jolies comme jamais, même si elles sont petites, je regarde émoustillée les légers plis qui en soulignent la rondeur vers l'intérieur des cuisses et qui disparaissent dans mes zones de plaisir. Mon doigt vient s'y poser et remonte lentement le long du sillon, le frôlant à peine, me procurant de douces sensations accrues par la douceur que l'image exprime. Puis Henri tourne autour de moi et cadre une nouvelle fois mon buisson. Je passe mes doigts ouverts dans mes poils au-dessus de la ligne plus touffue entre mes lèvres que je vois gonflées. Mon doigt descend entre elles, les écarte légèrement, pour aller chercher la chaleur moite de mon orifice.
L'écran s'éteint.
« On reprend là. »
Je ne peux pas m'arrêter comme ça. Je ferme les yeux et j'enfonce mon doigt, une fois, deux fois, puis tout mouillé je le remonte dans ma fente pour titiller mon clicli, lentement puis de plus en plus vite. C'est bon, mais je ralentis et m'arrête pour aller prendre ma position sur le lit. J'ai deux oreillers sous ma nuque, appuyée ainsi, je vois sans effort ce qui se passe sur l'écran.
« Remets ton doigt. »
La caméra est entre mes genoux écartés. Je vois ma fente légèrement ouverte. Mon doigt s'y glisse de nouveau et va se perdre dans mon intimité. Ça occupe tout l'écran. Je vois les moindres replis de ma peau remués par les mouvements de mon doigt luisant quand il ressort de moi, je vois la volupté que je ressens lorsqu'il s'y enfonce et me fouille. J'ai envie de m'ouvrir complètement, j'écarte mes jambes au maximum, de ma main gauche j'ouvre mes lèvres et mon majeur parcourt mes chairs exposées, d'un rose très vif, jusqu'à mon clicli qui pointe à peine. Je vois à l'intérieur de moi, des replis secrets agités par le plaisir et l'excitation. Je titille mon clicli, le plaisir monte mais je veux le maîtriser. Je varie les attouchements en essayant de ne pas trop me tortiller, de modérer les mouvements de mon bassin qui se soulève. Comme j'aime ces moments où le plaisir est là, encore incomplet, mais comme une promesse.
« Coupe ! »
J'ai placé les oreillers au pied du lit et je me suis étendue sur le ventre. Jambes serrées, mon majeur est dans ma fente sur mon clicli qui vibre à chaque ondulation de mon corps pour mieux venir s'y frotter. La tête bien relevée, je vois en gros mes fesses serrées qui occupent tout l'écran. Elles s'entrouvrent légèrement à la cadence de mes mouvements et la caméra se rapproche de cet endroit qui laisse à peine entrevoir mon petit trou joli. Je le sens qui palpite, j'ai envie de mieux le voir. Je remonte lentement mes genoux en les écartant et je m'ouvre toute. Je m'offre entièrement à moi. Jamais je ne me suis vue ainsi, malgré tous les jeux de miroir que j'ai tentés. Mes chairs brillent, mon petit trou palpite au rythme de mon doigt qui parcourt de plus en plus frénétiquement ma fente. Le plaisir monte, il arrive, j'essaie de le contenir, de fixer ce bref instant qui le précède, mais il éclate. Mon corps s'effondre, agité de spasmes, puis petit à petit s'apaise. L'écran s'éteint.
Si je peux être aussi précise dans la description de ce moment où la conscience se noie dans le flot des fortes sensations, c'est qu'en fait je fais défiler encore et encore les images sur mon écran pendant que j'écris. D'une main seulement... l'autre... mmmm.