Inception

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Proposée le 5/08/2012 par want2beaslave

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

11h, mon réveil met un terme à mes envies de grasse matinée, pourquoi dois-je me lever si tôt un samedi matin ? J'essaye de faire le tri dans mes rêves de la nuit... oui... samedi... le rendez-vous avec cette fille...

J'ai toujours du mal à y croire, alors avant toute chose je me connecte quelques instants sur ma boite mail pour vérifier mon état d'éveil, méthode moins douloureuse que de se pincer la joue. Et son dernier mail me confirme la réalité de nos échanges et notre rendez-vous tout à l'heure :

? J'arriverai à 14h10 à la gare samedi, à bientôt ;)


Cette réponse me paraît limpide, et renvoie aux oubliettes mes rêves les plus fous de la nuit, en voici un bien réel qui arrive, elle va venir passer le week-end avec moi.
Je profite du temps qu'il me reste pour remettre un peu d'ordre chez moi, les sous-vêtements usagés éparpillés autour de moi ne sont pas du plus bel effet. J'essaye d'imaginer ce dont on pourrait avoir besoin s'il nous venait l'idée de rentrer ici rapidement... J'imprime quelques feuilles et je prépare tout minutieusement avant de filer à la douche.

Chemise et veste enfilées, me voilà en chemin pour la gare quelques minutes plus tard. J'ai de l'avance, aussi je ne me presse pas dans les transports en commun, et préfère me perdre dans mes rêveries habituelles. J'essaye de m'imaginer à quoi elle ressemble, comment elle sera habillée, comment elle se comportera avec moi...
Je suis étrangement aucunement stressé, je ne réalise sans doute pas encore bien ce dans quoi je m'engage. Le trajet pourtant assez long passe rapidement et j'arrive à la gare l'esprit rempli d'insouciance et d'allégresse.

Un rapide coup d'oeil au tableau lumineux des trains à l'arrivée m'indique sur quelle voie elle devrait descendre dans quelques minutes.
Me voilà au bout du quai, brandissant mon carton avec inscrit en grandes lettres noires son prénom, noyé dans une masse de personne venue accueillir parents et amis. Je me fraye un passage devant tout le monde, il ne faut pas qu'elle me rate !

Ponctuel, le train entre en gare, il ralenti puis s'immobilise enfin à quelques mètres du bout de la voie. L'heure de vérité est arrivée, la tension monte d'un cran, elle est dans ce train et je vais enfin la rencontrer...
C'est dans ces moments là, alors que ce dont on aurait le plus besoin est une confiance en soi inébranlable, que face à la réalité les doutes ressortent. Est-ce qu'elle est vraiment dans ce train ? Ou s'est-elle dégonflée et a décidé de ne pas honorer mon invitation ? Et si elle est venue aura-t-elle le courage de venir m'aborder ? Est-ce qu'elle me trouvera à son goût ? Est-ce que je serai à la hauteur de l'idée qu'elle s'est faite de moi ?
Mais il est trop tard pour ces questions, voilà les premiers voyageurs descendus du train qui arrivent à notre niveau.

En effet comme nous ne nous sommes pas échangés nos photos, je ne sais pas à quoi elle ressemble et elle non plus. Et comme nous n'avons pas non plus échangé nos numéros de téléphone je n'ai aucun moyen de la reconnaître dans ce flot de voyageur qui débarquent maintenant, elle est donc libre de passer à côté de moi sans que je ne l'interpelle, et de profiter de ce week-end sans ma compagnie. Ce serait, je dois bien l'avouer, une cruelle conclusion à cette histoire, mais c'était la règle pour qu'elle accepte.

Mon regard se pose sur toutes les demoiselles seules qui correspondent plus ou moins à la stature qu'elle m'a donnée, espérant lire dans leur regard un léger signe qui les trahirait.
Je commence à désespérer de la voir arriver, quand j'attends une petite voix à côté de moi.

? Excusez-moi, c'est avec vous que... j'ai rendez-vous ?


Devant moi se tient une jeune femme, la vingtaine, un joli visage allongé, des yeux marrons et de long cheveux châtains clairs qui se baladent librement sur ses épaules et dans son dos.
Elle porte un pantalon noir assez serré, un débardeur blanc pas trop échancré mais qui laisse néanmoins apprécié les courbes de ses seins, et enfin un petit gilet par dessus le tout pour parer aux fraîcheurs du voyage. Des petits escarpins relèvent quelque peu ses talons, lui donnant une silhouette des plus gracieuse et séduisante.

? Pour passer un week-end avec ton correspondant ? Oui c'est avec moi ! Ravi de te rencontrer !
? Moi aussi, me répond-elle souriante.
? Est-ce que tu as mangé ?
? Non, pas eu le temps.
? Alors commençons par là.


Je l'invite à me suivre jusqu'à la terrasse d'une brasserie voisine. On s'installe et on commande dans la foulée. Nous échangeons quelques regards complices, mais la discussion a un peu de mal à s'engager, nous sommes certainement tout deux un peu intimidés.

Je suis encore sous le choc de cette jolie jeune femme sortie de nulle part qui se matérialise sur le quai de la gare. Je la regarde et me revienne en tête un à un ses mails dans lesquels elle me détaillait ses séances de masturbation et autres anecdotes croustillantes de sa vie intime. Le contraste est saisissant, comment une jeune fille comme elle, a priori bien innocente, peut m'avoir écrit avec précision et sans complexe tant de chose sur ses habitudes les plus perverses ?

J'ai ce sentiment étrange, d'avoir partagé plein de choses avec une personne mais au final de ne rien connaître de sa vie.
Attablé à la terrasse de cette brasserie je me remémore la manière un peu folle dont je l'ai rencontrée, une petite digression s'impose pour vous en dire un peu plus.

Je m'essaye à l'écriture depuis quelques années, laissant resurgir des besoins littéraires enfouis au fond de moi par plusieurs années d'enseignement scientifique. Je me suis dirigé dans un premier temps vers les histoires érotiques pour retranscrire mes fantasmes, que j'ai fini par publier sur Internet.
Et récemment une lectrice m'a contacté pour me féliciter, nous avons échangé quelques mails et une discussion s'est engagée avec cette jeune femme. Voilà maintenant plusieurs semaines que nous échangeons régulièrement des messages, l'occasion pour nous de partager nos désirs, nos expériences et nos fantasmes en toute franchise.

J'ai pris l'habitude de lui soumettre mes textes avant de les publier pour avoir son avis. Et le dernier que je lui ai envoyé a été le déclencheur de notre rencontre. En effet, j'y conte ce qui aurait pu se passer si je lui avais proposé de se rencontrer physiquement et si elle avait accepté, imaginant ensuite le détail de la rencontre et les moments que nous aurions passés à explorer nos corps, mettant en pratique les désirs intimes que nous avions partagés.

Un peu anxieux à l'idée d'avoir son retour sur cette histoire, elle a fini par me répondre au bout de quelques jours qu'elle l'avait beaucoup appréciée, et qu'elle était séduite par l'idée d'une rencontre, pour ma plus grande surprise. Elle m'a d'ailleurs proposé quelques paragraphes supplémentaires à rajouter à l'histoire, que je me suis empressé de mettre à jour.
Quelques échanges de mails plus tard, son voyage et notre rendez-vous été organisé.

C'est une manière peu banale d'apprendre à connaître une femme, en commençant par ses habitudes et ses préférences sexuelles avant même de savoir ce qu'elle fait dans la vie ou à quoi elle ressemble. Vive Internet !

Les regards se multiplient et les langues se délient petit à petit au cours du repas. Nous faisons alors connaissance de manière un peu plus conventionnelle.

Plus je l'observe et plus je m'interroge sur les raisons qui l'ont poussée à accepter mon invitation. Est-ce l'insouciance de la jeunesse ? Il doit y avoir de cela oui. Est-ce une propension à se jeter dans le lit du premier venu ? Au vu de nos échanges par mail et de discussions depuis tout à l'heure j'en doute, elle m'a plutôt l'air d'une jeune fille raisonnable. Alors c'est peut être tout simplement de la curiosité, elle a été amusé par cette rencontre faite de manière fort atypique et a voulu voir ce qui se cachait derrière, son ouverture d'esprit a fait le reste.

La fin du repas approchant elle m'a l'air un peu tendue, se demandant ce que je lui réserve pour la suite. Je lui demande ce qu'elle souhaite faire et lui propose quelques monuments à visiter, et après avoir établi notre parcours pour l'après-midi nous quittons les lieux, le ventre plein et l'esprit enjoué.

*** VR ***



Elle n'a eu de cesse de jouer avec son décolleté tout au long de l'après-midi, me laissant régulièrement deviner la galbe de ses seins. Elle m'a expliqué qu'elle aimait beaucoup s'amuser avec les hommes, les allumer un peu en dévoilant de manière fortuite ses atouts, puis surprendre leur regard insistant sur sa poitrine, et se sentir ainsi désirée et désirable.
Et force est de constater qu'elle maîtrise parfaitement son sujet, elle n'a fait qu'attiser mon désir depuis notre rencontre.

L'heure tourne, et comme elle me semble un peu fatiguée ? ou en tout cas elle le laisse paraître ? je lui propose d'écourter notre périple touristique et de rentrer chez moi pour terminer la soirée.
Direction la bouche de métro la plus proche, elle me suit toujours, de plus en plus près, me frôlant régulièrement.

A cette heure de début de soirée le métro est bondé, et au moment de rentrer dans le wagon je lui prend la main pour ne pas être séparés.
Nous sommes poussés dans un coin, je me retrouve collé à elle, face à face, sa poitrine s'écrase contre la mienne, sa tête vient par dessus mon épaule et inversement, comme dans un slow improvisé.

Je n'ai plus la possibilité de croiser son regard, mais sa proximité suffit à me troubler. La chaleur de son corps m'envahit, et se dirige tout droit vers un endroit bien précis de mon anatomie, qui gonfle et gigote dans son étui. Sa jambe est collée entre mes cuisses, et si elle est un brin attentive il est probable qu'elle se soit rendue compte de mon état.

Hum oui, c'est même sûr, puisque j'ai bien l'impression qu'elle est en train de remuer excessivement sa jambe entre les miennes, frottant sa cuisse contre mon sexe qui cherche une place pour se redresser. J'attendais ce petit signal pour aller plus loin, maintenant qu'elle m'a ouvert la porte je m'y engouffre.
Je glisse une main sur son dos et descend comme je le peux vers ses fesses, qui collées à la porte me sont encore inaccessibles.
Elle continue à frotter sa cuisse sur mon entrejambe, et mes mains se font plus pressantes sur son dos, la serrant plus fort contre moi. J'ai très envie de poser mes lèvres sur son cou qui n'est qu'à quelques centimètres de ma bouche, mais la masse de personne à côté de nous s'agite et nous bouscule, coupant court à notre étreinte.

Elle est maintenant collée face à la porte, et il me faut jouer des coudes pour la rejoindre. Je me plaque contre son dos et mes mains s'égarent à nouveau sur son corps. La première parcourt son échine et la courbure de ses reins, puis glisse plus bas pour empoigner sa fesse droite. Son pantalon est relativement léger, je sens sa culotte au travers du tissu. L'autre main s'est posée sur sa hanche et s'engage petit à petit vers le devant.

Personne alentour ne semble remarquer mes attouchements, alors je continue, me serrant toujours plus près d'elle, imposant mes caresses sans lui laisser la possibilité de se libérer. Quand la lumière le permet, je distingue un petit sourire sur son reflet dans la vitre, preuve en est que ce n'est pas pour lui déplaire.

Ma main gauche passée en éclaireuse sur le devant est un peu perdue, mais quand je sens poindre sous mes doigts un peu d'humidité je comprend où je suis. Zut alors, je me suis trompé de route, il fallait prendre à droite après le nombril. Enfin ce petit détour complètement fortuit m'aura permis de vérifier ses dires, à savoir qu'elle commence à mouiller très rapidement dès qu'elle est un peu excitée.
Marche arrière, je remonte sur son ventre et son buste, restant discret bien que personne à proximité ne prête attention à nous, puis j'ose m'emparer d'un de ses seins.

Arf, je m'aperçois qu'à m'occuper d'elle sans faire attention à ce qui ce passe autour nous avons raté la bonne station, et nous nous écartons dangereusement de chez moi. Il va nous falloir descendre, ça tombe bien c'est une station où beaucoup de personne s'arrête et nous aurions difficilement pu continuer à nous caresser à l'insu de tous dans un wagon à moitié vide.

Nous nous sommes un peu éloigné de mon appartement, ce n'est pas grave nous terminerons à pied. J'achète deux petits sandwichs que nous mangeons rapidement, pour ne pas traîner et surtout parce que je n'ai pas très faim, enfin si, mais faim d'autre chose... Et tout dans son attitude me laisse penser qu'il en va de même pour elle.

Je marche sans hâte, appréciant le simple fait de flâner de rue en rue à ses côtés, la chaleur de son corps contre le mien, ses longs cheveux portés par la brise venant me chatouiller le visage et sa main qui s'est glissé une nouvelle fois dans la mienne.

*** VR ***



Nous arrivons enfin, il ne reste plus qu'à monter au quatrième. Ce n'est pas très galant, mais je la laisse monter en premier dans l'escalier à colimaçon, lui donnant ainsi la possibilité de m'aguicher encore un peu, et je crois qu'elle l'a très bien compris puisqu'elle se déhanche excessivement. Je ne vois plus que son cul dans mon champ de vision, il est pourtant loin d'être large, bien au contraire. Son pantalon noir assez fin me laisse apercevoir un petit pli, signe trahissant la présence de sa petite culotte pour un oeil averti. Je me demande dans quel état je vais la retrouver, puisque tout à l'heure dans le métro elle me semblait déjà bien humide.

Arrivés en haut, je l'invite à rentrer dans mon petit studio et à s'asseoir sur le canapé. Je lui propose d'ouvrir une bouteille de Champagne, remontée spécialement de la cave le matin même. La discussion tourne un peu autour du pot, mais ce n'est pas pour me déplaire, nous avons toute la soirée et toute la nuit pour nous...

L'atmosphère se détend petit à petit, et assis également sur le canapé je me rapproche doucement d'elle. Deux coupes de Champagne plus tard, la température commence à monter et je fini par lui demander :

? Tu me montres comment tu te caresses en lisant mes histoires ?
? Hum, je sais pas trop, me répond-elle même si je sens le "oui" poindre aux coins de ses lèvres.
? Après promis je te montre comment je fais.
?...
? Si ça peut te mettre à l'aise je peux te lire une de mes anciennes histoires.
? D'accord.


Je récupère les pages imprimées ce matin en prévision de ce moment secrètement attendu, puis m'assieds sur une chaise, à deux mètres en face d'elle toujours assise sur mon canapé. Je me mets alors à lui lire mon récit, comme on lit une histoire aux enfants pour les endormir, ici je lui fait la lecture pour la mettre dans des bonnes dispositions, attiser son désir et stimuler son imaginaire.

Le chapitre d'introduction est survolé, la suite de ma lecture s'adoucit et devient plus lente à mesure que la tension du récit monte et que les personnages entrent dans le feu de l'action. Elle a fermé les yeux et reposé sa tête en arrière, ses mains se promènent un temps entre ses cuisses puis elle déboutonne prestement son pantalon et le baisse légèrement, me laissant entrevoir une petite culotte blanche.

Ses mains jouent avec les coutures de sa culotte, glissant un doigt à l'intérieur de temps en temps mais le ressortant aussitôt. Elle tapote ensuite doucement ses doigts contre le haut de son sexe, avant de venir les frotter délicatement toujours depuis l'extérieur de sa petite culotte.

Elle s'affaisse dans le canapé et écarte légèrement les jambes, à la recherche certainement de la position idéale. Je sais qu'elle se masturbe généralement couchée sur le ventre, une main entre ses cuisses à se titiller le clito, mais elle préfère visiblement restée plus ou moins assise pour que je puisse profiter du spectacle qu'elle me donne, et je ne peux que lui donner raison.

Je reste subjugué par cette femme en train de se donner du plaisir sur mon canapé, m'exposant dans le détail tout ce qu'elle m'a appris sur elle dans nos échanges. Je découvre la puissance de mes mots, c'est une chose d'imaginer une femme se caressant en lisant mes écrits, c'en est une autre de la voir le faire sous mes yeux en buvant mes paroles.

En frottant ainsi sa culotte contre sa vulve, elle imprègne celle-ci de sa cyprine, la rendant translucide par endroit, et j'ai donc tout loisir d'observer ses grandes lèvres gonflées collées au tissu, et qui sont maintenant bien ouvertes. Elle s'en empare tour à tour et vient les frotter vivement contre son clitoris qui me reste invisible mais que j'imagine gonflé de désir.

Quelques douces lamentations commencent à sortir de sa gorge, et il m'est difficile de rester concentré sur ma lecture, mon regard ayant du mal à se détacher de cette jeune femme en train de se masturber en face de moi. Je continue toutefois, pour quelques instants tout du moins, bégayant et bafouillant régulièrement mon texte.

Elle glisse alors sa main à l'intérieur de son dernier rempart, bien peu efficace face à ses doigts inquisiteurs. Je distingue la forme de sa main qui s'agite vigoureusement à l'intérieur, et ses gémissements s'accélèrent en conséquence. C'en est trop, il faut que je m'occupe d'elle, je ne peux pas la laisser se donner du plaisir comme ça sans rien faire.

Elle est sur un autre monde, elle n'a plus besoin que je lui conte une histoire, elle est en train de la vivre. J'envoie voler mes feuilles et me lève aussitôt, puis je déboutonne et retire ma chemise ainsi que mon jean. Elle entrouvre les yeux et me voit debout face à elle, nu, seul mon boxer blanc cache encore ma virilité, même s'il laisse peu de doute sur la forme de ce qu'il abrite.

Je viens m'installer à ses côtés sur le canapé, et je lui glisse à l'oreille :

? Doucement ma belle, attends-moi.


Mon épaule collée à la sienne je sens à nouveau la chaleur de son corps m'envahir, son parfum mêlé à l'odeur de son excitation m'enivre. Je me penche pour venir l'embrasser dans le cou, puis je me déplace jusqu'au bas de sa joue. Et quand j'arrive une nouvelle fois près de son oreille je lui souffle :

? Viens t'asseoir sur moi.


Elle me regarde du coin de l'oeil, hésite un instant puis se lève pour déchausser ses escarpins et retirer complètement son pantalon, m'exposant au passage sa croupe sous un très joli angle. Il lui reste son débardeur, son soutif et sa culotte qu'elle s'apprête également à enlever, mais je la prend par la main pour lui intimer de ne pas le faire et de venir sur moi, je me ferai une joie de retirer ce qu'il reste moi-même.

Elle pose ses petites fesses sur moi, ses jambes maintenant libérées du pantalon sont largement écartées de chaque côté de mes cuisses. Elle vient caler son dos contre moi et poser sa tête sur mon épaule, à quelques centimètres de la mienne. En retour mes mains se posent naturellement sur ses cuisses et explorent les alentours, remontant ensuite sur ses hanches puis son buste que j'ai envie de peloter de plus près. Je lui retire donc rapidement son débardeur et découvre un petit soutien-gorge blanc qui retient ses deux jolis seins.

Pendant ce temps elle a replacé ses mains entre ses cuisses et joue à nouveau avec ses grandes lèvres depuis l'extérieur de sa culotte, donnant de temps en temps quelques petites tapes sur sa vulve, tout en remuant inconsciemment son bassin sur moi. Ses longs cheveux châtains dansent sur ma poitrine au gré de ses mouvements, les sentir chatouiller mes tétons durcis par l'excitation est une délicieuse sensation.

Je m'attaque aux siens, de tétons, en venant les pincer à travers le tissu, et je lui dégrafe bien vite son soutif puis l'envoie valser à l'autre bout de la pièce. Je peux maintenant poser mes mains sur chacun de ses seins, joliment dessinés et bien fermes, et les masser délicatement dans mes paumes. Puis, essayant de rester synchronisé sur chaque sein, je promène mes index sur ses mamelons, tournant de plus en plus près des tétons que je viens ensuite chahuter du bout du doigt. Son souffle s'accélère et sa poitrine se gonfle comme pour m'inciter à aller plus loin, elle semble vivement apprécier le traitement que je réserve à ses seins.

De son côté, elle a glissé une main dans sa culotte, et remue vigoureusement ses doigts. Je lui attrape le poignet pour la faire ralentir, et lui glisse encore un mot à l'oreille :

? Doucement.


Je veux lui faire comprendre que maintenant que je suis à ses côtés elle peut se laisser aller à mes caresses, pendant quelques instants au moins, avant de s'envoler vers le septième ciel. Et pour lui faire passer le message, je penche ma tête vers elle et pose mes lèvres sur son cou, tandis qu'avec mes mains j'appuie mes gestes sur sa poitrine que je sais fort sensible aux caresses des hommes.

Elle me répond de la meilleure de façon, en faisant rouler son joli petit cul sur moi, se frottant à mon entrejambe comme pour me branler avec ses fesses. Hum, je savoure quelques instants cette délicate attention, mais j'irais bien un peu plus loin, je baisse légèrement mon sous-vêtement et viens ensuite poser sa petite main sur mon boxer juste en dessous d'elle, pour lui montrer mon état d'excitation. Elle comprend le message et libère ma queue assoiffée de caresse qui, comme aimantée, vient tout de suite se coller contre son sexe brûlant. Un petit bout de tissu les sépare encore, mais il y a bon espoir de passer en dessous rapidement.

Sa main s'empare de ma verge et la tâte minutieusement pour vérifier mon état d'excitation, et elle constate avec plaisir que j'ai très envie d'elle.
Elle me branle maintenant ouvertement d'une main, de l'autre elle se masturbe elle même, tandis que les miennes retrouvent le chemin de ses seins et ma bouche celui de son cou. Voilà un très joli tableau, que je dépeindrai bien volontiers dans une de mes prochaines histoires.
Mes soupirs se mêlent petit à petit aux siens, je la laisse quelques instants maîtriser les débats puis je glisse à mon tour une main vers son sexe.

Je la caresse au travers de sa culotte qui, bien que mal en point est toujours là. Je sais qu'elle apprécie particulièrement le contact du tissu contre son petit minou, mais j'ai quand même envie de rentrer en contact direct avec sa petite chatte, alors je glisse ma main à l'intérieur de son sous-vêtement, rejoindre la sienne qui s'active autour de son bourgeon.

À nouveau je souffle quelques mots à son oreille attentive :

? J'ai envie de te faire jouir, tu me guides ?


Sans un mot, elle prend ma grande main dans la sienne et la pose contre son sexe ardent. Mes doigts découvrent et explorent sa fente et l'entrée de son vagin, mais elle me remet vite dans le droit chemin en collant mes doigts contre son clito et en appuyant sur ma main, seules des caresses à cet endroit là lui permettront de jouir, je le sais bien mais je n'ai pu m'empêcher d'aller fouiner autour.

J'ai beau me souvenir mot pour mot de ce qu'elle m'a expliqué sur la façon qu'elle a de se faire jouir, je n'en reste pas moins maladroit quand il y va d'appliquer ses conseils. Elle me prend alors les doigts pour les positionner contre sa grande lèvre charnue puis m'incite à l'appuyer fortement vers son petit bouton... voilà comme ça, elle ne bouge plus sa main et se laisse faire, je dois être dans le vrai.

Ma queue, un peu délaissée dans l'histoire est toujours dressée contre son entrejambe et réclame aussi un peu d'attention. Elle s'en rend compte et la prend à nouveau en main, me branlant au rythme de mes caresses sur sa vulve.
Ma main libre continue de pétrir ses seins et d'en taquiner les tétons, et ma bouche de lui déposer des bisous au creux du cou, sur le menton et la joue. Je la sens fondre de plaisir, elle s'agite de plus en plus sur moi et sa gorge laisse s'échapper des gémissements plus profonds. Elle est proche de l'extase, et je la suis de près.

Sa main inerte vient reprendre du service pour finir le travail, en pinçant son clito entre son pouce et son index tandis que je continue à pousser ses grandes lèvres vers son organe du plaisir comme elle me l'a appris. Elle a ainsi en main ? c'est le cas de le dire ? les deux manettes pour gérer l'excitation de chacun de nous et synchroniser les choses. Quand je sens sa petite main qui accélère ses va-et-vient sur mon sexe je sais qu'elle est proche de l'envol et je me prépare au décollage également.

Je jouis le premier, aspergeant son ventre, nos mains et sa culotte. Mon bassin est pris de mouvements saccadés, la faisant sauter sur moi, et je ressens en même temps le besoin de la serrer fort contre moi avec mes bras. Me sentir jouir collé contre elle, ressentir la force de mes mains sur son corps puis la chaleur de ce liquide fruit de nos ébats se répandre sur son ventre la propulse vers l'orgasme. Il est sauvage, elle se cambre, tressaute, pousse sa tête plus en arrière sur mon épaule, essaye de resserrer les jambes, cri à mes voisins son bonheur.

Puis elle se calme, se fige, relâche toutes tensions de son corps, s'affale sur moi et s'effondre ensuite sur le flanc, transpirante de mouille et de sueur, une main encore collée à son entrejambe pour le protéger après toutes les misères que nous lui avons infligées.

*** VR ***



Je reste quelques minutes béat, me prélassant dans le canapé, fixant le plafond la bouche entrouverte. Couchée à moitié sur moi et à moitié sur le canapé, elle reste immobile également, certainement repue. Si elle peut logiquement se sentir las, ce n'est pas mon cas puisque c'est elle qui a fait tout le travail manuel, je n'ai fait que lui apporter mon support, psychologique tout d'abord pour stimuler son esprit par mes mots, puis physique pour stimuler son corps par mes caresses, en suivant à la lettre tous les conseils qu'elle m'avait donnés.

Ces quelques minutes de repos me font du bien, et je suis prêt à passer à table une nouvelle fois, mon membre ayant retrouvé un peu de vigueur à la simple vue de son cul qu'elle m'expose négligemment. Et si elle me semble bien exténuée, j'ai ma petite idée sur la façon dont procéder pour la remettre d'attaque rapidement...

Le soleil est allé se coucher après avoir ébloui notre journée, baissant le rideau sur ce premier acte, nous laissant dans la pénombre du crépuscule. Mais déjà les clameurs de la foule se font entendre et nous réclament la suite, il est temps de passer au deuxième acte. Je me lève pour allumer une petite lampe proche, nous permettant d'apprécier à nouveau la vue de nos corps nus.

Je me rapproche ensuite du canapé sur lequel la demoiselle est toujours avachie, et commence par lui retirer une fois pour toute sa culotte qui a enduré suffisamment de peine pour aujourd'hui. Paix à son âme.
Je me place à genoux devant elle, l'attirant un peu à moi. Elle comprend mon geste et se retourne sur le dos, les fesses posées sur le bord du canapé, les jambes légèrement écartées.

Je pose alors les yeux sur son entrejambe après y avoir poser les doigts, admirant les courbes de son Mont de Vénus, son pubis dégagé de tous poils et ses grandes lèvres encore rougies par son dernier orgasme.
Mes mains se posent sur ses cuisses, et elle les écartent machinalement un peu plus, prête qu'elle est à se laisser aller une nouvelle fois à mes caresses. Je me promène sur sa douce peau, remontant à l'intérieur des cuisses, puis bifurquant vers l'extérieur à l'aine et redescendant vers le genou pour recommencer la boucle.

Je m'approche encore un peu, je suis maintenant suffisamment près pour qu'elle ressente mon souffle sur sa peau. Je penche la tête en avant et mes lèvres chassent mes mains, embrassant l'intérieur de ses cuisses puis la chatouillant avec quelques coups de langue bien placés.

Mes mains s'aventurent alors plus haut, vers son ventre et épandent sur son corps le jus de nos ébats qui n'a pas encore séché. Elle frissonne à chacun de mes coups de langue, de plus en plus fort à mesure que je me rapproche du haut de ses cuisses, où elle est manifestement très sensible.

Le parfum et la couleur de sa fleur du plaisir m'enivre et m'attire irrémédiablement, et en bon insecte que je suis mon instinct me pousse à me poser dessus, espérons que ça ne soit pas une plante carnivore...
Après un atterrissage en douceur, je pars à la récolte de son nectar et tout de suite les pétales s'ouvrent me donnant accès à son intimité la plus profonde.

Ma langue joueuse découvre les moindres recoins de ce sexe et ma bouche en aspire son essence avant de grimper tout en haut, et d'écarter un dernier pétale pour venir lui chatouiller le pistil.
Je lui apporte un peu de douceur et de tendresse là où mes doigts avaient apportés force et rudesse.

Elle se délecte de mes caresses, se trémousse et commence à rouler un peu du bassin, écartant d'avantage ses jambes et venant en placer une par dessus mon épaule. Un besoin irrépressible de me sentir contre son corps et de me toucher s'empare d'elle à mesure que les sensations dans son bas ventre s'intensifient, son pied dans mon dos fait des allers-retours rapides le long de ma colonne vertébrale et ses doigts qui se sont posés sur ma tête me tirent tantôt les cheveux ou m'enfoncent entre ses cuisses au gré de mes chatouilles.

Je continue de la butiner, un peu en haut, un peu en bas, puis à gauche, puis à droite, la faisant languir avant de venir lui suçoter son clitoris. Mes mains vagabondent sur son corps, s'attardant particulièrement sur ses seins, faisant rouler ses tétons durcis entre mes doigts pour son plus grand bonheur. Encore quelques minutes de ce traitement et elle basculera dans un autre monde... Mais je suis sûr que comme nous l'avons fait tout à l'heure elle peut m'attendre pour que je l'accompagne dans ce voyage.

Je me relève alors rapidement avant de lui faire franchir le point de non-retour, et vient l'embrasser à pleine bouche, lui faisant goutter par la même le jus de son fruit d'amour. Je lui souffle ensuite quelques mots :

? Attends-moi pour continuer, je reviens tout de suite.


Je me lève et me presse vers la salle de bain, mais elle m'arrête et me fait un signe de la main :

? J'en ai emmené, regarde dans mon sac.


Hum... elle est encore assez lucide et a compris ce que j'avais en tête... je fouille dans son sac et trouve une boîte complète de préservatifs, elle avait prévu d'en arriver là elle aussi !

Le temps de retirer complètement mon boxer et de protéger mon sexe des assauts qu'il s'apprête à mener, elle s'est redressée et mise à genoux sur le canapé, m'incitant à venir m'asseoir à ses côtés.
Elle m'enjambe alors, se positionnant à califourchon au dessus de moi et me faisant face, collant nos sexes impatients l'un à l'autre.

Elle commence alors quelques doux mouvements du bassin d'arrière en avant, branlant mon sexe entre ses grandes lèvres pulpeuses. En bout de course elle se cambre pour que son clito vienne bien frotter contre mon gland. Je pose mes mains sur ses fesses pour l'entraîner dans le mouvement. Elle accélère et se cambre de plus en plus, au point où ses seins viennent pratiquement taper contre mon visage. Oui ma petite, j'ai compris ton message, je sais que tu désires plus que tout que je vienne poser mes lèvres sur tes mamelons, mais soit patiente, ton heure viendra bien assez tôt.

Elle fini par se reculer légèrement, puis s'empare de mon membre, le guide entre ses cuisses vers l'entrée secrète et s'empale sur moi. Elle pose ses mains sur mes épaules, se donnant ainsi la force de chevaucher au trot, faisant coulisser rapidement mon sexe gonflé à bloc entre les parois resserrées de son puits d'amour. Avec une précision extrême, elle remonte jusqu'en haut du gland et s'arrête juste au bon moment pour ne pas perdre l'alignement, puis s'embroche à nouveau fermement sur moi, pour apprécier au maximum le plaisir de se sentir ouverte puis comblée.

Elle se fatigue cependant assez rapidement, et reste finalement assise sur moi à me défier du regard, liés que nous sommes par la pénétration très profonde qu'autorise cette position, tout en continuant à remuer son bassin, d'abord d'avant en arrière puis par de grands cercles.

Profitant de l'accalmie, je remonte mes mains le long de ses flancs jusqu'à atteindre son buste pour m'emparer de ses seins. Mes doigts les entourent et en chatouillent les rondeurs, mes pouces sont les plus actifs sur cette peau fine et tendre, ils massent délicatement l'intérieur des deux globes qu'elle m'exhibe avant de se rapprocher des mamelons.
Mais avant que je n'ai pu en faire plus elle se penche en avant, repoussant mes mains et venant se coller contre moi et je lui dépose un baiser dans la vallée entre les deux collines.

Se pose alors à moi une question existentielle, si j'ai deux mains pour pouvoir lui prodiguer des caresses synchronisées sur sa poitrine je n'ai qu'une bouche, il va donc falloir faire un choix, de quel sein vais-je m'occuper en premier ? Cruelle décision qui m'attend, et je crains un instant finir comme cet âne qu'on place à égale distance d'un sceau d'eau fraîche et d'une botte de foin, et qui meurt bêtement de faim et de soif sans avoir su se décider.

Mais heureusement, ne supportant pas l'attente, elle prend une décision pour moi, ça sera le gauche qui vient me fouetter le nez, et je l'aimante ensuite avec ma bouche. Son téton tendu à l'extrême se glisse entre mes lèvres, je le mordille tendrement puis l'aspire complètement. Ma langue le prend en tenaille en le plaquant contre mon palais, et je la tête littéralement, pour mon plus grand plaisir mais surtout pour le sien, c'est une petite gâterie qu'elle m'a dit adorer et ça se confirme, elle geint régulièrement et en demande toujours plus.

Tandis que je continue à me délecter des deux tétines qu'elle m'offre, mon sexe est toujours enfoncé en elle et ne sort pas de son doux fourreau, mais il ne reste pas immobile pour autant, et explore différent angle de pénétration avec son aide. La sensation est délicieuse, et n'a rien à envier au classique va-et-vient. J'imagine que pour elle ça doit l'être également, se sentir fouillée dans les moindre recoin par ce gros pieu de cher, et pour accentuer le tout j'ai posé mes mains sur le haut de ses cuisses, et à chacun de ses coups de bassin mes deux pouces se déplacent de son Mont de Vénus vers le haut de son sexe pour lui titiller les alentours de son petit bouton.

Ce petit jeu est ma foi fort plaisant, mais je sens que j'ai besoin d'autre chose pour aller au bout. Je la saisis par les bras puis la dépose à côté de moi, dans une position semblable à celle où elle était il y a quelques minutes encore. Cette fois je sens qu'elle est prête à aller plus loin que nos jeux de touche minou, allongée sur le dos, la tête légèrement relevée sur le dossier, les jambes en partie à l'extérieur du canapé.

Elle les remontent et les écartent d'ailleurs très largement, m'invitant sans l'ombre d'un doute à venir l'éperonner. Je suis à genoux devant elle, devant son assurance et son indécence, mais aussi devant son sexe grand ouvert prêt à m'accueillir. Je la tire un peu par les hanches pour positionner ses fesses juste au bord, puis je passe à l'attaque. La position et l'excitation sont telles que je rentre très facilement.
Après quelques coups de chauffe pour ajuster la position de tir, je me penche vers elle pour l'embrasser, et elle réagit en entourant ma taille avec ses jambes.

Mes lèvres quittent les siennes, je me redresse et commence quelques profonds va-et-vient, prenant mon temps et accélérant ensuite doucement mais sûrement. Une de ses mains se retrouve bientôt sur son clitoris pour recommencer à jouer avec, elle ne veut pas être de reste et elle a bien raison.
Ses deux jolis seins s'agitent à chacun de mes coups de rein, je pose donc mes mains dessus pour les cajoler et les protéger de ces vibrations, puis pour leur en prodiguer d'autres, beaucoup plus subtiles.

Je poursuis mon travail sur ses seins ? centre névralgique de son plaisir ? et me penche vers elle pour venir lui les bécoter. Ce contact l'électrise, et elle gémit de plus belle, sans aucune retenue. Elle se cambre et passe une main dans mon dos pour me serrer plus fort contre elle tandis que de l'autre elle se caresse toujours le bourgeon.

La main sur mon dos passe sur ma nuque et m'attire plus haut, vers sa bouche que j'embrasse avec fougue, et elle me répond avec autant de passion. Que de bonheur que de la sentir gémir quand nos bouches sont jointes, les vibrations passent d'une bouche puis d'une gorge à l'autre, et que de joie de savoir que j'en suis en grande partie la cause.

Emportée par son ivresse, ses jambes m'attirent à elle frénétiquement, tel un cavalier donnant des coups de talon dans les flancs de sa monture pour accélérer, elle fait la même chose sur mes reins, m'imposant ainsi un rythme soutenu. Nous sommes dans la dernière ligne droite et elle ne me lâchera plus. Je m'enfonce alors gaiement en elle, profitant béatement de ces derniers instants, en collant ma bouche à la sienne et mes mains à ses seins.

Le besoin de crier ma jouissance me fait lâcher prise, je suis soudain pris d'un orgasme violent comme rarement il m'est arrivé, de puissantes convulsions secouent tout mon corps tandis que j'explose au fond de son ventre. J'ai quelques mouvements incontrôlés un peu brusque au niveau de son bassin et de sa poitrine qui témoignent de la force de ma jouissance, mais elle n'a pas l'air de s'en offusquer, au contraire c'est même le déclencheur de son orgasme, quelques instants plus tard elle se joint à moi pour former la Chorale du Septième Ciel. Elle jouit à son tour, ses cuisses resserrent l'étau autour de ma taille, son vagin celui autour de ma queue, elle se cambre à s'en casser les reins et rejette la tête en arrière.

Ses doigts insistent quelques secondes de plus autour de son sexe puis se calment, et elle cesse enfin de gémir. Elle relâche petit à petit son étreinte et me libère, je m'écroule à côté d'elle, à bout de souffle et le c'ur toujours à cent à l'heure. Elle aussi est épuisée, avachie sur le canapé les jambes et les bras ballants.

Les murs en carton-pâte de mon studio n'ont certainement pas couverts le bruit de nos ébats, et mes voisins sont peut-être déjà dans le couloir en train de se diriger vers ma porte pour me reprocher nos nuisances sonores, à moins que ça ne soit simplement par curiosité pour savoir ce qui se trame de l'autre côté de la cloison, voire pour faire une demande d'inscription à la Chorale...

Avec les dernières forces qu'il me reste, je la déplace et l'allonge convenablement sur le canapé puis me lève pour aller chercher une couverture, que j'étends ensuite sur nos corps nus pour nous protéger de la fraîcheur de la nuit.

*** VR ***



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