Le chemin de Jacques : 3 - USA

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Proposée le 15/07/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques a été initié sexuellement par une femme mature. Son travail le fera voyager dans le monde. Après un premier poste en France?


3. USA


Je ne restai pas longtemps en France. Après six mois passés en Bourgogne, on m'envoya à l'étranger afin d'acquérir de nouvelles expériences professionnelles. J'allais pouvoir découvrir le monde.

Un petit passage aux Etats-Unis où je n'ai pas réussi à m'intégrer dans une vie sociale très différente de la nôtre, malgré ma chef de groupe qui se montra très attentive à mon égard. Elle s'appelait Annette et était noire. Cette jeune femme me fascina dès que je la vis tant par sa beauté, sa peau noire, les yeux expressifs, presque clairs et un corps aux rondeurs exquises, que par son caractère à la fois calme et dirigiste. Elle fut tellement bienveillante, qu'un jour, alors que les bureaux étaient déserts, elle se retrouva à mes pieds me faisant une fellation. Sans rien dire, elle s'était mise à genoux, devant mon fauteuil, me déboutonna le pantalon et prit sans plus de façon ma verge dans la bouche. Je ne bougeai pas, goûtant à ce doux moment auquel je ne m'attendais pas.

Lorsque j'ai éjaculé, elle avala tout mon foutre, sans faire sur sa robe une tache à la Monica. Quelle suite serait donnée à cette fellation ? J'avais envie d'elle, mais je ne me voyais pas l'étendre sur la moquette du bureau et la prendre là. L'excitation était grande, mais la raison voulait que je reste prudent. On pouvait nous découvrir à tout instant. Même dans cette situation, avec la queue sortie du pantalon et elle l'enfournant dans sa bouche jusqu'à la garde, nous aurions été en très mauvaise posture si une personne était entrée dans le bureau. De cette chef qui m'avait semblé calme, presque réservée, je découvrais une nouvelle facette de sa personnalité : l'âme sauvage qui existait en elle, une âme qui recherchait la sensualité sans faux semblant, sans fausse pudeur, entrant de pleins pieds dans la sexualité.

Le lendemain, elle me fit constater, en entrainant ma main sous sa robe, en haut de ses cuisses, qu'elle ne portait pas de culotte. Elle me demanda de la branler, elle se tenant debout, à mes côtés, moi assis à mon bureau alors que le personnel passait dans le couloir, nous voyaient sans pour autant pouvoir deviner ce que je faisais. Je caressais sa fente à l'aveugle sous son vêtement, je l'écartais avant d'introduire délicatement entre les grandes lèvres un doigt fureteur. Elle se dandinait sur mon doigt que je fis plus inquisiteur en l'enfonçant profondément en elle, en allant jusque dans son vagin. Elle eut un sursaut, mais reprit tout de suite une attitude studieuse à mes côtés pour dissimuler son trouble à nos collègues. Je retirai ce doigt, puis entrais à nouveau avec deux, puis trois doigts avec lesquels je ramonais son puits d'amour tout humide. Au bout de quelques instants, Annette fut saisie d'un orgasme. Je dus la soutenir pour ne pas qu'elle tombe au sol alors que mes doigts se couvraient de sa cyprine.

Le travail terminé, elle m'amena chez elle et nous avons terminé la soirée dans son lit. Là je pus visiter son sexe en pleine lumière. Sa chatte n'était pas totalement glabre, il subsistait juste une fine bande de poils allant jusqu'à l'ouverture de ses lèvres, lesquelles en étaient dénuées. Lorsqu'elles s'ouvraient, c'est un monde rose et frais que je découvrais. Je pouvais alors mieux ajuster mes caresses, sollicitant son clitoris. Elle n'était pas la dernière à vouloir lécher ou sucer mon corps. Notre position préférée était incontestablement le 69. Mais elle adorait lorsque mon membre dressé entrait en elle. On dit que les femmes sont clitoridiennes ou sont vaginales. C'est une différenciation trop arbitraire et réductrice, mais je pense que ma belle Annette faisait partie des femmes vaginales.

Les nuits d'ivresse que j'ai passées avec Annette étaient très différentes les unes des autres. Je peux tout de même en faire ce scénario qui est le plus proche possible de la réalité.

Au retour du travail, Annette aime prendre un bain. Je la suis dans la chambre où elle se déshabille, ôtant les vêtements avec calme et assurance. Le chemisier court sur les épaules, la jupe tombe à ses pieds, elle roule ses bas le long de ses jambes fuselées, le soutien-gorge toujours de dentelles blanches, tranchant avec la couleur de sa peau foncée, dévoilent deux seins, fruits appétissants, et enfin le string lui aussi en dentelles (si elle a daigné en mettre un en sortant). Je la regarde faire, tout en elle n'est que sensualité. Pourtant, elle n'a rien d'une effeuilleuse, non ces attitudes sont naturelles, sans pudeur, mais sans volonté (apparente) de m'exciter.

Je reste dans la chambre lorsqu'elle entre dans la salle de bain, mais elle laisse la porte grande ouverte et je ne perds pas un de ses mouvements. En sylphide, elle se déplace avec grâce allant de la baignoire où elle fait couler l'eau chaude au lavabo où elle se démaquille. Elle place, entre indécence et innocence, une petite glace entre ses jambes pour voir si sa minuscule pilosité pubienne a besoin d'un rafraichissement. Elle sait que je la regarde, que je l'observe, que je l'admire dans l'exhibition de son intimité. Elle entre dans son bain, telle une naïade, une nymphe. Ce n'est que lorsqu'elle est dans l'eau, que son corps m'est dissimulé par les rebords de la baignoire, que je commence à me dévêtir. Lorsque je suis nu, je la rejoints dans la salle de bain, non pour venir avec elle dans le bain, mais pour la servir comme une déesse. Je lui passe un gel de bain sur son corps entier, aussi bien la partie qui est immergée que celle qui est hors de l'eau. Mon sexe, légèrement gonflé, est à sa portée, mais elle ne s'en occupe pas, comme si j'étais un eunuque au service de l'odalisque.

Lorsqu'elle sort de l'eau, je passe sur son corps sublime le jet d'eau pour la débarrasser de la mousse. J'aime voir l'eau ruisseler sur sa peau, couler comme des sources vives s'insinuant dans le moindre recoin. Puis je l'essuie consciencieusement, peut être un peu trop, mais elle ne s'en plaint pas. Je lui enfile son peignoir de bain. Elle ne le garde pas longtemps, car sitôt revenus dans la chambre, je fais glisser son unique vêtement pour l'avoir nue dans mes bras. Je profite alors de ce corps pour le pétrir, profiter de sa poitrine ferme et lourde, ses fesses tout en rondeur et musclées, ma main venant à la rencontre de son pubis, descendant à la recherche de la naissance de son sexe. Elle se laisse faire, mais ne reste pas longtemps passive, elle prend ma verge déjà bien gonflée et la malaxe tout doucement, elle la branle avec une infinie délicatesse.

Je la pousse sur le lit pour pouvoir tout à loisir lécher ses seins. J'aime les caresser, les baiser, les lécher pendant de longs instants et ma partenaire n'y trouve rien à redire, elle y prend même beaucoup de plaisir, ses globes par leur dureté et leurs sommets érigés en attestent. Puis je descends le long de son ventre en lui prodiguant de doux baisers. Je fais un petit arrêt sur son nombril. Une de mes mains continue à lui caresser les seins. Mon visage atteint son pubis, puis va s'insinuer entre ses jambes largement écartée. Elle m'offre son intimité avec confiance et impudeur, en attendant l'hommage que je vais lui rendre. Avec ma langue, j'ouvre ses lèvres vaginales, puis je le fais du bout des doigts afin que l'entrée soit plus large. Des chairs roses apparaissent à l'orée de la peau noire. Je ne suis pas long à découvrir le clitoris qui ne demande qu'à être caressé. Je dis qu'Annette est vaginale, mais lorsque je titille son petit bourgeon, elle ne reste pas insensible.

Comme elle en veut toujours plus, qu'elle désire me donner ce que je lui offre, nous nous retrouvons en 69, elle suçant mon sexe, moi visitant son intimité. L'excitation monte assez rapidement. Je sens sa cyprine s'écouler de son vagin. Je plonge un doigt dans son intimité. Elle pousse un petit feulement. J'active cet inquisiteur dans l'épaisseur des chairs chaudes et humides. Soudain une liqueur abondante s'échappe de son divin con, je lape ce breuvage exquis, je la suis dans la jouissance en éjaculant mon foutre dans sa bouche. Elle aussi avale avec délectation ma liqueur.

Nous nous embrassons pour échanger nos liqueurs respectives, puis restons étendus ainsi quelques instants, histoire de reprendre notre souffle. Elle me lance un sourire en me disant :
- Après cet apéritif, on pourrait passer à table.
- Avec plaisir.
- Va prendre un bain, je prépare tout' mais reviens nu, je ne t'ai que trop vu habillé toute la journée.
- Oui, mais toi aussi, reste nue ma chérie.
- Je n'avais aucune intention de revêtir le moindre voile.

Après le repas, nous refaisons l'amour. Parfois sans plus attendre dans la cuisine, parfois sur canapé du salon (recouvert d'une couverture), sur le tapis entre le canapé et la télé (qui n'a pas souvent marché), dans la salle de bain et plus prosaïquement, dans la chambre. Là notre sexualité ne reste pas simplement orale. Non sans avoir lécher certains attributs de son corps, je la pénètre. Elle aime lorsque mon sexe dur et ferme entre en elle, j'exerce une première poussée, puis une seconde qui va un peu plus loin, à la troisième, mon sexe a totalement investi son vagin. Je me meus en lui. Nous changeons plusieurs fois de positions, celle classique du missionnaire ou en levrette. Dans cette dernière, je ne peux m'empêcher de titiller son anus avec un doigt ; comme elle n'est pas très réceptive à cette introduction, je n'insiste pas. Il y a le mime de varlope, tous les deux sur le dos avec moi sous elle, la seule position où je suis à l'initiative alors qu'Annette est en position supérieure ; je ne prive pas de lui caresser les seins et le clitoris. Egalement la posture du crabe avec ses jambes sur mes épaules : la pénétration est profonde et très intense ; enchaîné avec une flûte fendue, lorsqu'une seule jambe d'Annette se trouve derrière mon épaule. Dans ces postures, comme pour toutes celles où ma partenaire ramène ses jambes sur sa poitrine, la pénétration est très ardente et en bougeant habilement, en modifiant les angles de pénétration, je peux, avec ma verge tendue, masser toutes les parois de son con et les gammes du plaisir n'en sont que décuplées. Je cite encore l'union de l'amazone et la position d'Andromaque lorsqu'elle domine la situation et est au-dessus de moi.

La jouissance nous surprend dans l'une de ces positions. Remettant tout de suite le couvert, si la forme nous le permet, nous repartons vers de nouvelles chevauchées. Dans la nuit, lorsque je me réveille, il me plait de contempler le corps nu de ma belle. Elle est offerte, sans défense et sans retenue, ignorant ce qu'est la pudeur. Je la caresse tout doucement, avec infiniment de précaution pour ne pas qu'elle se réveille. Ce sont des moments merveilleux, où elle réagit à mes sollicitations sans s'en rendre compte. Elle a les seins frémissants, la respiration qui s'accélère, les jambes qui s'écartent et une vulve qui se laisse admirer et titiller avec une indécence révoltante.

Parfois, c'est elle qui profite de mon vit pendant mon sommeil :
- De le voir ainsi à ma merci, ça me donne une impression de domination. Si je me refusais à toi, il ne pourrait pas se satisfaire.
- Il en souffrirait au moins autant que souffrirait ton accueillant petit con.
- Si je te disais « non », tu me violerais ?
- C'est contre mes principes, mais pour te satisfaire, je pourrais fort bien faire une exception.

Parfois, elle me réveille en approchant deux doigts sous mon nez. J'ouvre les yeux alors que mon sexe est en érection. J'en comprends la raison : elle a planté ses doigts dans son entre humide avant de les avoir présentés devant mes narines. Je lèche la cyprine qui y brille et je la prends sans plus de ménagement, à la hussarde. Mon sexe rentre en elle sans autre forme de procès et mes va-et-vient son rapide, voire violent. Elle ne déteste pas non plus de temps à autre ces genres de transports.

Le matin, j'ai l'habitude de prendre un petit-déjeuner copieux, fruits, pain, confiture, thé. Annette se limite à un thé, un kiwi et' une giclée de mon sperme. Elle se met sous la table pendant que je mange et me gratifie d'une magnifique fellation qui ne rate jamais son objectif. Elle en a plein de bouche, mais n'en perd par une goutte.



Annette reste pour moi un très bon souvenir et nous nous quittâmes avec beaucoup de tristesse, mais voilà, on m'envoyait en Angleterre cette fois. La dernière nuit que nous avons passée ensemble fut merveilleuse. Nous fîmes l'amour à sept reprises, ma complice s'évertuant à ce que mes érections se renouvellent rapidement. Elle employait pour cela ses mains, sa bouche et sa langue, léchant, baisant ou happant ma tige.
- Je voudrais t'offrir, me dit-elle au cours de cette nuit, une chose que vous aimez beaucoup, vous, les Français.
- Quoi donc mon amour.
- Mon cul. Ma rosette intime.
- Celle où je mets un doigt, mais rien d'autre ?
- Oui, celle que je t'ai refusée jusqu'à maintenant.
- Tu veux que je te sodomise ?
- Oui, je veux que tu' m'encules, me susurra-t-elle avec un divin accent américain dans ce mot qu'elle avait glané je ne sais où.

J'acceptai avec joie de lui faire découvrir la pénétration anale avec le désir qu'elle en garde un bon souvenir. Surtout, je ne voulais pas qu'elle souffre ou qu'elle abomine cette pratique particulièrement prisées des Français comme elle l'avait si bien dit. J'avais vraiment envie de la sodomiser et elle acceptait que je la prenne ainsi, dans une pratique qui à l'époque (il n'y a pas si longtemps) était encore interdite de Louisiane, l'Etat dont elle était originaire. Heureusement nous étions à New-York. Le sexe est tabou dans tous les Etats-Unis, mais dans certaines régions on tolère certains choix sexuels qui sont libres depuis fort longtemps en France.

Le principal problème pour moi, c'était qu'Annette acceptait la sodomie pour me faire plaisir et non pas pour elle. Dans cette situation la fille est crispée, tendue et elle a de bonnes chances d'avoir mal pendant le rapport, de ne pas ressentir le plaisir que je voulais lui donner. Et même si c'était notre dernière nuit ensemble, même si jamais plus je ne ferais l'amour avec elle, je ne voulais pas qu'elle en garde un mauvais souvenir et qu'elle ne veuille plus jamais réessayer? avec un autre.

Car, il ne suffit pas d'avoir envie de passer à l'acte et foncer queue en avant pour moi et cul en avant pour elle pour entrer un sexe dans un anus. La sodomie doit être basée avant tout sur le respect et la confiance mutuels. Avec mon initiatrice, le coït anal avait toujours été une réussite, mais elle m'avait mis en garde :
- On ne peut pas tricher avec la sodomie : si c'est douloureux, le malaise sera incontrôlable et la douleur aussi. Heureusement, si le plaisir est là, il n'en sera que décuplé.

Donc, je devais y aller avec douceur, sans brusquer ma partenaire, sans vouloir bruler les étapes. Le sexe anal est une expérience plus longue, qui demande plus de travail d'approche, plus de préparation. Les femmes jouissent plus aisément lors d'un rapport vaginal que lors d'un rapport anal. Le premier est plus aisé, même si l'homme a tendance à brûler les étapes et que les préliminaires se réduisent au minimum. Pour le second il convient de respecter le corps de la femme, d'autant plus que l'anus ne produit pas de lubrification naturelle. Enfin le sphincter anal ayant pour réflexe de se refermer a toute tentative de pénétration, c'est beaucoup moins facile et évident. Je fis donc preuve de beaucoup de douceur, de patience et de caresse, avec force de lubrifiant afin de détendre le sphincter en question. Je restais à l'écoute de ma partenaire étant près à m'interrompre si elle se ravisait au dernier moment, sous peine de lui faire vraiment très mal ou voire pire?

Le plaisir de la sodomie pour nous les hommes, c'est d'introduire notre sexe dans un fourreau beaucoup plus étroit que le vagin et la pression exercée décuple notre plaisir. Seul un con de vierge peut procurer une sensation similaire et encore, celle-ci est unique, une fois visité, il est déjà distendu.