Le chemin de Jacques : 1. De voyeur à baiseur

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Proposée le 3/07/2012 par CAVAL

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1. De voyeur à baiseur

Le mieux est de me présenter avant même de commencer ce récit. Je m'appelle Jacques, au commencement de cette histoire j'ai 17 ans, je mesure 1m80, les cheveux foncés et les yeux marron avec des reflets verts. Je suis plutôt athlétique, « beau gosse » disent mes copines qui, lorsqu'elles me connaissent intimement, ajoutent que je suis « bien pourvue par la nature ». Et après en avoir éprouvé l'utilisation déclarent nonobstant, que je sais « merveilleusement » m'en servir et que je leur fais beaucoup de bien. C'est très flatteur pour moi, mais cela m'incite également à parfaire cette qualité de bon amant en donnant à mes partenaires, non pas le service minimum, mais la jouissance absolue. Lorsque j'ai une femme dans mon lit, il est primordial pour moi qu'elle jouisse et qu'elle arrive à l'orgasme, dussé-je y perdre une partie de mon propre plaisir, tant j'aurais mis d'adresse et d'ardeur à la contenter. Mais justement, une partie de mon bonheur dans l'acte sexuel, c'est que la femme qui m'accompagne dans les jeux de l'amour y trouve beaucoup de satisfaction.

De toute façon, il y a par la suite bien des possibilités pour obtenir la rémunération de son travail. Je n'entends pas une rémunération financière, non je fais don de ma personne. Une femme heureuse, pleinement satisfaite de son amant est prête à bien des choses, à des pratiques dont elle n'a pas forcément l'habitude, même parfois qu'elle n'aurait pas acceptée. J'ai ainsi bénéficié de fellations totales par des filles qui n'avaient jamais avalé la semence d'un homme, de séances de stripteases très chauds de femme plutôt d'un naturel prude dont j'étais le seul spectateur, d'être l'heureux partenaire de deux lesbiennes qui prirent du plaisir devant moi avant de m'en donner, de quelques anus vierges s'offrant à moi? et bien d'autres choses. Il est merveilleux de constater la métamorphose de la prude et timide chrysalide qui devient le papillon vicieux et curieux en tout.

Oui, j'aime faire l'amour avec les femmes, que ce soient des rencontres passagères et sans lendemain ou des relations plus durables. Que ce soit les unes ou les autres, j'y mets autant de c'ur. Les premières afin qu'elles gardent de moi le meilleur des souvenirs, les secondes pour qu'elles s'attachent à moi plus durablement. Cependant je ne suis pas un collectionneur, je respecte trop mes partenaires pour cela. Lorsque je couche avec une femme, c'est que j'ai véritablement envie d'elle. Je peux ne pas avoir de sentiments, c'est préférable d'ailleurs, si d'un commun accord nous savons qu'il n'y aura pas de suite à une étreinte intense et passagère. Par contre, lorsque je m'investis dans une relation, lorsque je vis plusieurs mois avec une femme, je ne pourrais pas concevoir de ne pas être amoureux d'elle. Je suis même fidèle tant que dure cette relation : il est rare que j'aille voir ailleurs.

A l'âge de 5 ans, mes parents se tuèrent dans un accident de voiture et je fus recueilli par mon oncle, Bernard, le frère de mon père. Il avait à cette époque 40 ans et venait d'épouser une jeune femme, pour ne pas dire une jeune fille, de 22 ans, Sabine. La différence d'âge ne lui faisait pas peur. Je n'ai qu'à me louer de l'éducation et l'amour filial que me portèrent mon oncle et sa jeune épouse durant toute ma jeunesse. Ils tentèrent tant bien que mal de se substituer à mes véritables parents.

Quelques mois après leur union, Sabine mit au monde une petite fille, Laure, que j'ai toujours considéré comme ma petite s'ur, même si réellement ce n'était que ma cousine. Elle-même me considéra comme son grand frère. Nous vivions sous le même toit.

Malgré son mariage avec la jeune Sabine, qui fut pour moi comme une mère, Bernard ne put s'empêcher d'aller butiner de femme en femme, toujours jeunes, voire très jeunes. Ainsi ai-je appris qu'il s'était fait une spécialité de déflorer les pucelles, tout en prenant garde à ce qu'elles soient majeures (à ce qu'il voulait bien dire à ses amis). J'ai tout de même quelques doutes sur la question, mais passons. Sabine, qui était tombée rapidement enceinte, ferma les yeux se disant que l'éloignement de son mari provenait peut être de sa grossesse et de la naissance de leur fille. Elle avait la connerie de se dire :
- S'il me néglige c'est de ma faute.

Elle fit tout pour reconquérir son époux. Il trouva ainsi à la maison une épouse parfaite : une maîtresse de maison, une mère pour sa fille et son neveu et une amante au corps superbe. Oui, ma tante était réellement une belle femme. Cependant, cela ne l'empêcha pas d'aller voir ailleurs entre des maîtresses attitrées et des maîtresses occasionnelles.

Enfin, se rendant compte qu'elle ne serait jamais la seule, Sabine décida de quitter Bernard. Pourtant, je continuai à voir Laure aussi souvent que je le désirais. Mon oncle était assez souvent absent de la maison et c'est donc chez Sabine que je vivais et dormais la plupart du temps. Il faut dire qu'elle habitait à deux rues de chez son ex-époux. Leur séparation ne changea rien dans mes habitudes.

C'est dans cette maison que j'ai eu mes premières émotions amoureuses. Ce sont surtout des visions qui me restent à l'esprit lorsque j'ai eu 17 ans. Je ne m'intéressais pas à Laure qui n'avait aucun attrait physique du haut de ses 14 ans : une poitrine aussi plate que des ?ufs sur le plat, aucune forme ni devant, ni derrière. Par contre, sa copine Caroline, qui avait deux ans de plus qu'elle, avait tout pour elle. Deux petits seins qui promettaient une belle poitrine, une belle paire de fesses que j'admirais lorsque je passais derrière elle.

Un jour, je les surpris dans le fond du jardin, prenant le soleil en petite tenue : culotte et soutien-gorge. Je pus les observer quelques instants avant qu'elles ne me voient. Elles me firent déguerpir lorsqu'elles s'aperçurent de ma présence. Cette image des deux filles s'imprima dans mon esprit. Caroline passait parfois la nuit dans la chambre de ma cousine, elle prenait donc des douches chez nous. Je savais que depuis le grenier, il était possible d'observer la salle de bain. Aussi, dès la première occasion, alors que Caroline allait faire sa toilette, je gagnais mon poste d'observation. La vue était imprenable et m'offrit des images splendides. Caroline était vraiment une très belle fille et ses douches étaient d'une sensualité merveilleuse. On avait l'impression qu'elle prenait des poses, cambrant le dos, faisant pointer ses seins en avant. Elle se couvrait le corps de mousse, l'étalant et s'attardant sur la poitrine qu'elle massait avec délice et contentement.

De ce même poste j'ai pu observer Sabine, la mère de Laure, celle qui m'avait éduqué. Elle était de toute beauté avec les vraies formes d'une femme mure. Je me délectais là aussi du spectacle tout en ayant par la suite un sentiment confus de culpabilité. Sabine était un peu comme ma mère et il était inconvenant que je l'observe ainsi, que je la convoite comme je le faisais avec Caroline.

Ce n'est ni avec Caroline, qui ne s'intéressait pas à moi, ni avec Laure, qui ne m'intéressait pas, ni avec Sabine qui était inaccessible pour moi que j'eus ma première expérience sexuelle.

J'eus une première relation sexuelle, toujours à 17 ans avec Emmanuelle, une copine avec laquelle je ne flirtais même pas. Lors d'une soirée, elle m'a entrainé dans un coin discret et m'a roulé un patin. A cette époque j'étais puceau et ce genre de baiser avait le pouvoir de me faire bander illico. Sentit-elle mon émotion ? En tout cas, elle se laissa glisser au sol et à genoux, elle défit la boucle de ma ceinture. Je la laissais faire ne sachant où elle voulait en venir sans trop y croire. J'avais du mal à imaginer que cette fille que je connaissais si peu aurait l'audace de me branler. Après la boucle de la ceinture, elle défit le bouton de mon jean, puis la fermeture éclair. Lorsqu'elle baissa mon slip, ma queue est sortie tendue devant elle. Sans attendre, sans chercher mon regard, elle la prit en main et commença à la branler tout doucement, sans violence, avec application.

Puis elle approcha le visage de ma verge tendue jusqu'à n'en être qu'à quelques centimètres. Je ne pouvais croire qu'elle allait me faire une fellation. Pourtant, c'est bien cette caresse intime qu'elle voulait me prodiguer. Elle fit courir sa langue sur les chairs sensibles de mon gland. C'était si agréable que je fermais les yeux et rejetais la tête en arrière. Elle prit ensuite ma verge, cette fois-ci bandée à l'extrême dans sa bouche en appliquant un va-et-vient de plus en plus rapide. Je ne pus résister longtemps à ce traitement et j'étais sur le point d'exploser lorsqu'elle retira ma queue de sa bouche. Elle approcha de mon membre un mouchoir en papier et c'est là que j'ai juté abondamment en poussant un râle de satisfaction.

J'ai retrouvé Emmanuelle une autre fois chez elle alors qu'elle était seule. Elle réitéra son doux traitement et je me disais que c'était le moment : qu'après avoir découvert mon sexe, cela allait-être à mon tour de découvrir le sien. Je tentais alors de lui remonter sa jupe. Cependant, alors que je n'avais même atteint sa culotte, elle me repoussa violemment en me disant :
- Tu me prends pour une pute ou quoi ?
- Mais, je?
- C'est pas parce que je te suce que je vais baiser avec toi.
- Alors tu es une salope d'allumeuse.
- Aller, casse toi avant que j'en parle à mon mec.

Ainsi s'acheva mon histoire avec Emmanuelle. Pourquoi suçait-elle les mecs alors qu'elle avait un copain ? Lequel ne semblait rien ignorer des caresses buccales de sa compagne. Je me suis longtemps interrogé sur cette question sans vraiment trouver de réponse satisfaisante.

Finalement, ma première vraie expérience sexuelle fut pour moi une éducation sexuelle. Une amie de Sabine, l'ancienne femme de mon oncle et la mère de Laure, s'occupa de moi. Sylvie, c'était son nom, me fit remarquer que j'avais les yeux rivés sur sa poitrine opulente à chaque fois que je la rencontrais. Devant ma confusion elle voulut me rassurer :
- Ne t'inquiètes pas, pour moi c'est même assez flatteur de voir un beau jeune homme comme toi qui s'intéresse à une femme de mon âge.
Elle avait 40 ans et je n'en avais que 17.
- Tu as déjà vu des seins de femmes ?
- Oui, sur des revues.
- Non, mais je veux dire en vrai ?
- Non, répondis-je avec un n'ud dans la gorge. Alors que ce n'était pas la vérité puisque j'avais pu voir ceux de Caroline et de Sabine. Je n'allais pas lui avouer que j'avais maté la copine de ma s'ur et la femme qui m'avait éduqué alors qu'elles étaient sous la douche.
- Oh, il faut rectifier cette injustice. A ton âge, c'est bien malheureux que tu n'ai pas pu admirer une poitrine de femme.

En un tour de main elle avait ôté son chemisier et sortait de son soutien-gorge des mamelles pesantes qui me parurent énormes. J'étais hypnotisé devant le spectacle qui s'offrait à moi, de ces nichons un peu tombant, tremblant aux moindres mouvements de leur propriétaire.
- Tu voudrais les toucher ? Viens, n'aie pas peur, approche la main.
C'est elle qui prit ma main et la posa sur son opulente poitrine. Sa peau était douce et chaude. Je ne voulais pas paraitre trop nigaud et m'enhardis à lui pétrir ses deux globes et à prendre leurs pointes dardées entre mes doigts. Ses deux seins, sous mes caresses maladroites avaient tendance à ce durcir, comme s'ils se bandaient.

Et justement, moi-même je bandais. Sylvie ne s'y trompa pas et vint plaquer sa main sur mon sexe par-dessus le pantalon. J'eus un petit mouvement de recul par surprise.
- Continue à me caresser les seins, tu peux les embrasser aussi, les sucer, vas-y, n'hésite pas. Et si tu veux que je te fasse du bien, laisse-moi faire.
Je répondis à cette invitation en posant ma bouche sur les aréoles brunes de ses gros seins, tandis que sa main s'insinuait dans mon slip, après avoir baissé mon pantalon. Elle prit mon sexe en main et commença à le branler. Je ne pensais plus à rien, si ce n'est au plaisir que j'éprouvais.

Je ne fus pas long à jouir tant le plaisir était grand et je lançais mon foutre qui atterrît sur le bas de son ventre et sur sa jupe. J'étais un peu sonné devant la violence de ma jouissance. Très gentiment, presque maternellement, Sylvie m'assit sur le canapé.

Lorsque j'eus repris mes esprits, elle me dit :
- Si cela t'a plu, revient demain en début d'après-midi, mon mari sera au travail et nous ne seront pas dérangés.

Le lendemain, elle me reçut dans une robe de chambre largement échancrée qui laissait apparaitre toute la rondeur de ses magnifiques seins. Elle me conduisit dans sa chambre aux volets clos, mais qui n'empêchaient pas la pièce de baigner d'une douce clarté. Elle me fit face, dénoua la ceinture de son vêtement, le fit glisser sur ses épaules : elle était nue, totalement nue devant mes yeux ébahis. J'étais subjugué par son corps plantureux, ses seins toujours aussi imposants, son ventre un peu rebondi, sa chatte finement taillée, ne gardant qu'une bande de poil de trois ou quatre centimètres verticalement, sa fente que je devinais en bas de cette petite toison sans aucun poil, ses hanches fortes et rondes.

Comme je restais immobile devant elle. Elle me dit :
- Jacques, déshabille-toi devant moi.
J'ai tout de suite obéi à cette maîtresse qui m'offrait son corps et qui allait, je ne pouvais en douter, m'offrir son sexe.
- Tu ne vas pas me baiser, me dit-elle lorsque je fus aussi nu qu'elle, tu vas me faire l'amour. N'aie crainte, je suis là pour te montrer comment faire.

Je me suis approché d'elle. Je ressentais une certaine pudeur à me présenter ainsi à elle, d'autant plus que mon sexe était en érection, remontant presque en parallèle avec mon ventre. Je me suis glissé tout près d'elle et nous nous sommes caressés. Nos corps étaient terriblement excités. De son vagin que j'avais effleuré du bout des doigts suintait un petit liquide qui indiquait son degré d'excitation. C'est elle qui prit les choses ne main d'abord pour que j'admire son sexe largement ouvert, sans montrer aucune pudeur. Elle me fit voir, toucher, lécher tous ses attributs : le clitoris, la fente, les grandes lèvres, les petites lèvres, le trou obscure et béant du vagin. Au moment d'entrer en elle, c'est encore cette femme admirable qui mit en place les choses. Elle me coucha sur le dos, se mit à califourchon au-dessus de moi et introduisit doucement mon pénis dans son vagin. Puis elle pratiqua des mouvements de va-et-vient qui firent que notre excitation monta encore plus. Je ne fus, une nouvelle fois, pas très long à éjaculer et pour moi ce fut un moment de plénitude intense.

Ces visites quotidiennes durèrent tout le mois d'août où je n'étais pas parti en vacances pour faire un job d'été qui ne mobilisait que mes matinées. Sylvie m'apprit tout en matière sexuel. C'est avec elle que je fis pour la première fois l'amour avec une femme, je découvris toutes les sortes de pénétrations : buccale, vaginale et anale. Non seulement je découvris à travers elle le corps des femmes, mais aussi mon propre corps ; car elle me fit percevoir comment faire jouir une femme, comment faire monter le plaisir par paliers successifs en crescendo. Je sus bientôt comment maîtriser ma propre jouissance, comment retarder l'instant crucial, comment rendre ma jouissance concomitante avec celle de ma partenaire.

En un mois je devins un homme, un vrai. Et si mes partenaires aujourd'hui me considèrent comme un amant hors pair, si elles disent que je sais très bien me servir de l'appendice que m'a offert la nature, c'est en grande partie grâce à Sylvie.

Lorsque j'ai eu 18 ans, j'ai décidé de partir de chez mon oncle afin de vivre ma vie.

(à suivre)

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