Un cours d'histoire pas comme les autres

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Proposée le 2/07/2012 par minikiller

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- Ça te dit qu'on couche ensemble ? Proposa-t'il.
Kathy regarda Paul d'un air interdit, comme si elle essayait de voir s'il était sérieux ou non.
- Non, mais je veux dire, entre amis quoi ! ajouta-t'il.

Du haut de ses 17 ans, et en classe de terminale L, Kathy se considérait comme une jeune fille mignonne. Elle était petite, mince et métisse. Elle avait les cheveux châtains clairs et les yeux marrons. Elle n'était pas encore une belle femme : certains aspects de son physique montraient une maturité non atteinte, comme son visage enfantin et espiègle, éclairé par un sourire béat toutes les 5 minutes, ou sa poitrine, un 85B qui avait encore à se développer. Depuis le début de l'année scolaire ? on était en Novembre maintenant -, elle trainait avec Paul, qu'elle considérait comme son meilleur ami, bien qu'ils flirtaient ensemble de temps en temps.
Paul était un type mignon. A mi-chemin entre le brun ténébreux et le Bad-boy blasé, il avait les cheveux toujours ébouriffés, des yeux noirs perçants, le visage mal rasé volontairement. Sa peau était brune et son corps était musclé. Il se savait charmant, et il avait toujours excessivement confiance en lui. Il était drôle et sympa. C'était un intrépide playboy. Il racontait sans gêne ses multiples expériences sexuelles à Kathy et celle-ci avait compris que c'était une bête au lit, qui pourrait faire monter au septième ciel la star du porno la plus endurante du monde. Pourtant, les sentiments qu'elle éprouvait en vers lui n'avaient été qu'amicaux, et l'idée de perdre sa virginité avec lui ne l'avait jamais effleuré.

- Euh? Eh bien' Non' Enfin' Je veux dire que... Bafouilla-t'elle en rougissant, complètement désarçonnée.
- Wouah ! Je ne pensais pas avoir autant de charme sur toi, la taquina-t'il.
- Ce? ce n'est pas ça, se justifia-t'elle toute aussi rouge, c'est juste que tu es mon ami, et le sexe entre nous risque de? compliquer nôtre relation.
- Moi, ça me gênera pas !
- Eh bien moi, si, fit-elle, et en plus, je ne me sens' pas prête?
- Ok très bien, répondit-il, je comprends.
Et il lui fit un clin d'oeil. Ils reprirent leur marche jusqu'à leur quartier. Paul ne fit plus aucune allusion à sa proposition, et il paraissait aussi à l'aise que s'il lui avait demandé d'expliquer un exercice de biologie.
La semaine qui suivit se déroula sans aucune mention de leur discussion. Mais Kathy ne cessait d'y réfléchir. Et, plus elle y pensait, plus sa réponse prenait du sens à ses yeux, et elle était de plus en plus sûre de sa décision. Elle refuserait catégoriquement toute autre proposition de ce type de la part de Paul, et elle savait qu'il allait de nouveau le lui demander. Elle avait vu juste, mais quand le moment arriva, elle ne s'y attendait pas du tout.
C'était leur dernière heure de cours de la semaine, un cours d'histoire. Il était ennuyant, inintéressant, mais bruyant, à cause de l'excitation accompagnant l'approche du week-end. Kathy était assise au fond, à côté de Paul. Ils pouvaient discuter librement. Le bruit était tel que les rappels à l'ordre du professeur ne pouvaient pas calmer les élèves plus de 10 secondes. Les deux jeunes parlaient du look ridicule du professeur de français, quand, en plein milieu de la conversation, il changea de sujet, et dit, d'une voix grave :
- Ça te dit qu'on couche ensemble ?
Kathy resta sans voix. Non seulement elle était surprise par le brusque changement de sujet, mais aussi par la situation dans laquelle il réitérait sa proposition : en plein cours d'histoire ! Elle prit quelques secondes avant de répondre :
- Je? non. Je ne le veux pas.
- Allez, te fous pas de moi, insista-t'il, regarde comment tu es habillée. C'est juste pour nous provoquer moi et mes hormones masculines.
Elle portait un tee-shirt blanc rayé bleu foncé décolleté et une mini-jupe.
- Mais pas du tout, protesta-t'elle, je suis toujours habillée comme? mais qu'est-ce que tu fais ?
Il commençait à caresser sa cuisse de sa main gauche, étant à sa droite. Elle allait enlever sa main, mais l'autre main de Paul l'en empêcha.
- Schhh? susurra-t'il, laisse toi faire?
Et, sans prévenir, d'un geste vif et habile, il souleva la jupe de Kathy et mit sa main dans sa culotte. Il se mit à caresser son vagin.
- Mais arrête, fit-elle en se tortillant, ne me?
Elle s'interrompit car un frisson lui parcourut le corps. Elle se reprit, et essaya de se débarrasser de la main de Paul. Elle n'osait pas opposer trop de résistance, ni de le frapper, de peur d'attirer l'attention de la classe vers elle. Certes, les casiers figurant en dessous des tables cachaient une partie de l'action, mais leur position était suspecte. Elle essaya de pousser l'avant-bras de Paul avec ses deux mains, mais en vain, il était trop musclé.
- Ne me touche pas la? le?
Elle dût arrêter sa phrase car un spasme l'agita, et une montée de chaleur d'origine inconnue monta en elle. Paul ne faisait qu'effleurer les rebords de sa chatte, pourtant, elle ressentait déjà des bouffées de plaisir.
Elle leva la tête : le prof semblait absorber par sa lecture du cours, et le reste de la classe était éparpillé. Personne ne semblait remarquer ce qui se passait. Elle arrêta d'essayer d'enlever la main de Paul.
Voyant que Kathy semblait abandonner toute résistance, il redoubla d'intensité dans sa caresse. Il passa sa première phalange dans sa fente, remonta jusqu'au clitoris, et sentit la cyprine affluer son vagin. Il effleura du doigt son clitoris, et appuya dessus légèrement, arrachant un autre spasme à Kathy. Un léger gémissement sortit de sa bouche, et elle articula :
- A?rrête.
Mais la volonté n'y était pas. Elle voulait qu'il continue. Paul jouait toujours avec le clitoris de Kathy, le titillant, le caressant, appuyant un peu dessus. Elle émit quelques petits cris discrets. Puis, avec deux doigts, Paul essaya de d'ouvrir le vagin de Kathy. N'y arrivant pas, il se tourna complètement vers elle, arrêta ses caresses pour écarter les cuisses de la jeune fille, puis plaça sa main droite sur sa chatte et enfonça son majeur à l'intérieur. Cette petite pénétration faillit arracher un cri de surprise et de plaisir à Kathy, mais elle se mordit le poing pour ne pas se faire repérer. Paul remuait son majeur de manière rapide, fouillant les recoins du vagin de Kathy. Elle ferma les yeux, se laissant inonder par le plaisir, et émettant des petits cris de jouissance, sans donner d'importance au risque d'être découvert. Des goûtes de cyprine tombèrent par terre. Elle prit la main de Paul, et enfonça son doigt le plus profondément qu'elle put. Puis, soudain, elle eut un spasme plus violent que les autres. Elle se cambra sur sa chaise et ramena ses jambes et sa bouche puis laissa échapper un râle de soulagement beaucoup plus fort que ses intentions. Alerté, Paul leva lui aussi la tête, pour se rendre compte que personne n'avait entendu les bruits.
Paul retira son doigt, remit en place la jupe de Kathy et s'essuya le doigt avec un mouchoir. Kathy le regarda, un sourire aux lèvres. Tout un tas d'émotions lui paissaient par la tête. Tout d'abord, le plaisir de cette expérience, ensuite, un peu de honte d'avoir fait ça en public, et la surprise d'avoir autant apprécié. Il y avait aussi le fait que c'était la première fois que quelqu'un la caressait. Enfin, elle se rendit compte qu'elle avait aimé le fait d'être soumise, au début de cette masturbation.
Tout ce flot de sentiments et de pensées traversant sa tête, elle eut le brusque désir de rendre la pareil à son partenaire. Elle avait envie de lui faire plaisir, de le faire jouir. Une sorte de remerciement en fait. Alors, sans réfléchir, elle posa sa main droite sur le jean de Paul, à l'endroit où une bosse figurait. Elle semblait être dans un état second. D'habitude, elle n'aurait jamais eu autant d'audace.
- Qu'est-ce que tu fais ? Demanda Paul, surpris par cette initiative.
- Schhh? susurra-t'elle en reprenant les mots de Paul, laisse toi faire?
D'un geste un peu maladroit, elle ouvrit la braguette de son jean et écarta l'ouverture de son caleçon, de manière à sortir sa verge. Elle était longue, et à demi-redressée. Kathy eut un mouvement de recul, ne s'attendant pas à quelque chose d'aussi gros. Mais elle ne pouvait plus faire demi-tour, et, un peu incertaine, elle commença à le toucher. Avant, elle vérifia à nouveau que l'attention de la classe n'était pas portée sur eux.
Le contact de la main froide de Kathy fit frissonner Paul. Il ne comprenait ce qu'elle voulait faire, mais doutait de sa réussite. En effet, son expérience sexuelle était assez grande, et quand il baisait, c'était souvent la femme qui jouissait bien avant lui. Quand il se masturbait, il n'arrivait pas toujours au bout car son bras se fatiguait trop vite sans réussir à lui procurer la jouissance. Alors Kathy aurait bien du mal à faire éjaculer.
Kathy connaissait le principe de la masturbation masculine, bien que ne l'ait jamais pratiquée sur quelqu'un. Mais ses quelques visites sur des sites pornos lui avaient procuré assez d'image pour savoir comment faire. Elle posa son pouce d'un côté, et quatre autre doigt de l'autre, et commença à la masturber, lentement d'abord, puis de plus en plus vite.
- Il en faudra plus pour me donner du plaisir, fit Paul sûr de lui.
Kathy l'ignora, continuant sa branlette. D'une certaine manière, l'excitation la reprenait à nouveau. Depuis le début de la masturbation, le sexe de Paul s'était complètement redressé, et il avait pris du volume. Elle sentit le sang battre les veines de la verge.
Elle se mit ensuite à caresser et stimuler le gland. Paul ne s'y attendait pas, et un frisson de plaisir lui parcourut le corps. Il sentit comme du liquide monter dans sa verge. Il fut surpris. Il ne s'attendait pas à éprouver du plaisir si facilement. Etait-ce la situation qui l'excitait ? Le fait qu'il le fasse en publique ? Etaient-ce les doigts de Kathy qui lui donnaient ces frissons ? Il n'en savait rien, mais il éprouvait un plaisir singulier - qu'il n'avait encore jamais ressenti - dans cette masturbation. Kathy aurait-elle un don ?
Elle avait repris la branlette de départ, abandonnant le gland. Elle allait le plus vite possible, encouragée par les frémissements de Paul. Lorsqu'elle fatiguait un peu, elle se mettait à jouer avec son gland, le caressant de diverses manières. Elle était impressionnée. Impressionnée par son courage, par son audace, par la situation, par le plaisir qu'elle prenait. Alors que son bras commençait sérieusement à fatiguer, la verge se gonfla d'un coup, et elle s'agita de spasmes tout en lançant des jets de sperme qui atterrirent dans le casier ? vide - de la table de Paul.
- Aaaah, s'exclama-t'il malgré lui.
Le sperme continuait de couler, mais sans impulsion. Il tombait sur la chaise de Paul, et par terre. Kathy, n'ayant pas retiré sa main, en avait plein les doigts. Elle regarda, mi-dégoûtée mi-fascinée, la semence de Paul. Ce dernier lui donna un mouchoir, et elle essuya vigoureusement sa main, tandis qu'il nettoyait le bout de son pénis. Après ça, il remit son sexe dans son pantalon, et, voyant que Kathy allait essuyer les projections qui étaient par terre et dans le casier, il l'arrêta, et lui dit, avec un clin d'oeil :
- Non, laisse. Ça fera fantasmer la femme de ménage.
Après que tout fut remit en place, il la regarda avec un sourire, et déclara :
- Woah, franchement, c'était' génial.
- Merci, répondit-elle en rougissant.
La cloche sonna et elle se pressa pour ranger ses affaires et retrouver sa meilleure amie et lui raconter ce qui venait de se passer.