Claudie ou Nadine ?

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Proposée le 30/06/2012 par libero

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- Julien réveilles toi le train va partir.
- Hein' j'arrive attendez-moi !
Après un mois de stage en Bretagne comme moniteur de voile, me voilà à nouveau sur le départ pour ma dernière colo en tant que Colon. L'année prochaine je serai moniteur, gagner un peu d'argent et avoir un certain pouvoir ce sera beaucoup mieux. J'étais épuisé après un premier mois de travail et de fête ininterrompue dans un centre nautique breton, ambiance virile et alcoolique. Je m'endormais partout mais heureusement mon copain Pascal que j'avais déjà connu l'année dernière veillait au grain. Nous partions pour la Corse, au programme: Voile et montagne?
Quelques jours plus tard me voilà en pleine forme, bronzé et déjà fier de mon succès auprès des filles de la colo; quelques flirts et un de mes premiers rapports sexuels. Avant la voile et la montagne, le sport le plus intéressant pour moi c'était de courir après les filles. J'avais la chance de faire plus vieux que mon âge et comme j'étais l'unique expert en voile je pouvais me targuer d'un certain succès auprès du sexe opposé dans cette petite société que composait la colonie. Les filles de mon âge m'intéressaient moins qu'une monitrice: Claudie. Elle avait une trentaine d'années, elle était un peu plus petite que moi, ses cheveux roux frisés très fournis lui encadraient un visage bien dessiné et harmonieux. De grands yeux verts, un nez peut être un peu long, une grande bouche et surtout un corps avec des formes de femme complétaient le portrait de cette fille qui me semblait inaccessible. Je l'observais autant que le pouvais, je la désirais intensément !

Ce matin là j'étais sur la plage en train d'armer un de nos voiliers pour une sortie en mer quand je la vis s'approcher de moi. Elle portait une chemise indienne jaune et transparente qui lui arrivait en dessous des fesses, je voyais son maillot de bain 2 pièces a travers, elle marchait pieds nus dans le sable d'un pas décidé. Un grand sourire un peu mutin rayonnait sur son visage

- Julien je dois te parler !
- Tu veux venir avec nous en bateau ?
- Non viens une minute par ici

Mon c'ur commença à cogner dans ma poitrine, que me voulait-elle ?

- Ecoute mon petit Julien, avec le directeur de la colo on t'a vu partir hier avec Nadine et je vous ai vu sortir tous les deux du bungalow. On voit bien que tu es un peux plus mature que les autres garçons, je dis bien un peu plus' je voudrai m'assurer que vous ne faites pas de bêtises, vous êtes sous notre responsabilité.

Incroyable ! Parler avec elle de choses si intimes c'était vraiment intimidant et bien sur j'ai eu une réaction inappropriée à l'opposé de ce que j'aurai du dire ; j'ai joué au Cowboy !

- Nadine elle est beaucoup moins belle que toi.
- En plus t'es un macho, tu ne doit pas avoir beaucoup de respect pour les femmes !
- Non excuse moi on a rien fait de mal je t'assure.
Quel menteur j'étais ! Je la regardai droit dans les yeux en essayant de comprendre ce qu'elle pensait, elle était si parfaite, si belle, j'étais amoureux??
- Tu sais ce que c'est la contraception, la pilule les préservatifs tout ça ? On ne peut pas être derrière toi tout le temps.

- Ok ok pas de problèmes Claudie, on doit partir en bateau, salut.
- Ouais'. Je t'ai à l'oeil mon petit Julien.

Cette fille c'était autre chose que Nadine ma petite copine du moment, Claudie c'était une femme mais je pouvais toujours rêver, espérer quelque chose après cette répartie complètement stupide.

Pourtant à partir de ce jour nos rapports changèrent, le soir même après le repas du soir j'eus une longue discussion avec elle. Elle me posa des questions sur moi, mes rapports avec Nadine, elle me dit qu'on allait bien ensemble qu'on devait être sérieux « bla bla bla ». Et moi je l'écoutais pendu à ses lèvres et à son sourire si charmant. Je lui parlai de ma passion pour la voile, de mes études, des autres colos enfin de banalités.
- Julien il vaut mieux qu'on arrête de se parler, regarde, Nadine nous observe elle n'a pas l'air contente !
- Ok salut Claudie je vais la voir.
Là on était sur un autre terrain, ça laissait supposer que Nadine était jalouse. Je parlais seulement avec une monitrice. Cette réflexion était ambigue, Claudie envisageait que Nadine puisse penser que nous flirtions ensemble. Toute la nuit et le jour suivant cela trottait dans ma tête.

Le lendemain soir une petite soirée avait été organisée dans la taverne de la colo, pourquoi à l'intérieur ? Il faisait si bon dehors « ça fait plus boite de nuit ». Claudie était assise sur une chaise un coca à la main, les jambes croisés et regardait la salle de danse un sourire aux lèvres. Elle était vêtue de blanc avec un petit chemisier manche courte et une jupe très simple qui lui arrivait à mi-cuisses, je m'approchai d'elle.
- les « monos » ils ne dansent pas ? Vous êtes trop vieux ? C'est ringard ?
- Julien tu es tout seul et Nadine elle est où ?
- On s'est engueulé, elle est toujours derrière moi maintenant.
- Arrête de faire le macho tu es vraiment impossible, il faut être gentil avec elle.
- C'est toi qui me plais, je pense à toi tout le temps.
- Mais tu es dingue je suis responsable de toi tu es beaucoup plus jeune que moi et Nadine c'est une chic fille, elle est tellement jolie, pense un peu à ses longues jambes. Tu ne t'imagines quand-même pas qu'on puisse sortir ensemble, je pourrais me faire renvoyer !
- J'ai bien vu le directeur avec Patricia elle a le même âge que moi.
Elle me regarda longuement en hochant la tête, je m'assis à coté d'elle et on recommença à discuter de banalités. Il fallait que je fasse quelque chose, qu'avais-je à perdre ? « un peu de courage Julien ». Nadine était partie bouder dans son bungalow et je pouvais toujours la rejoindre.
- Alors tu viens avec moi ou pas ? On va faire un tour dehors ?
J'avais osé le faire ! Je lui pris la main et nous voilà en train de marcher sur le chemin qui longe la plage. On entendait la mer et une légère brise rafraichissante nous procurait un bien être incomparable après cette chaleur intenable à l'intérieur de cette discothèque improvisée.

Incroyable me voilà avec une trentenaire belle, sexy et intéressante, va-t-elle vouloir coucher avec moi ou tout au moins flirter ? Déjà je sentais mon érection venir en sentant sa main dans la mienne. Elle ne parlait pas et moi non plus, mon c'ur battait la chamade.
Je lui demande l'autorisation de l'embrasser ou j'y vais franchement ? Que faire j'avais trop peur d'un refus.
Tout à coup je me retournai et la pris dans mes bras, elle cala sa tête dans mon cou' Je commençai par l'embrasser au creux de l'oreille et glissa doucement vers ses lèvres douces et chaudes. Elle me rendit mon baiser, ma langue commença à vouloir forcer l'ouverture de sa bouche pendant que je la serrais de plus en plus fort.

- Julien doucement, doucement, ne te presse pas on a tout le temps, viens avec moi je vais t'apprendre comment faire. C'est aussi le rôle d'une éducatrice, dit-elle en riant.

Nous nous retrouvâmes dans la chambre de son bungalow. Que faire ! Je sentais mon sexe tendu dans mon jeans et je ne voulais surtout pas quelle s'en aperçoive.

- Assieds toi sur le lit et regarde moi sans me toucher.

Elle mit un peu de musique douce; un peu de lumière filtrait de la lampe de l'entrée et je la devinais debout en train de retirer son chemisier et sa jupe en dansant légèrement. Elle se pencha sur sa droite et alluma une lampe de chevet, elle portait encore son soutien gorges et son slip blanc très échancré sur les anches comme c'était la mode à cette époque. Elle s'approcha de moi très très près, mon visage à la hauteur de son sexe.

- Julien ne me touche pas regarde...

J'ai commencé à avoir très peur, va-t'elle vouloir que je lui fasse l'amour ? Maintenant que j'avais un peu d'expérience, ce serait très difficile de ne pas pouvoir conclure. Son mont de Vénus était proéminent et je devinais sa toison sous le tissus, quelques poils très fin sortaient de chaque coté du triangle, je voyais des marques de bronzage car sa culotte ne correspondait pas avec son maillot de bain. Sa peau très bronzée tranchait fortement avec les parties plus claires, cela avait un effet érotique incroyable. Je sentais son odeur salée, j'avais une envie folle de me jeter sur elle pour la toucher et embrasser ce corps que je convoitais avec passion. Elle se tourna en balançant son bassin très lentement de droite à gauche, me proposant ses fesses presque nues car le slip roulé sur lui-même rentrait à l'intérieur de son sillon. Puis elle se pencha légèrement en avant et je vis son sexe moulé par le tissus de sa culote, là aussi quelques poils sortaient sur les cotés et je pouvais deviner sa fente très profonde, j'imaginais aussi son anus que peut-être j'aurai l'occasion de voir, toucher et peut-être plus. Elle se redressa.

- Vas-y baisse ma culotte doucement.

Mes mains se posèrent de chaque cote de son bassin, je passai mes pouces sous la ceinture du slip et je commençai à descendre petit à petit, laissant trainer le reste de mes mains sur ses fesses et ses cuisses. Une fois dénudé elle ouvrit un peu les jambes et je ne pus m'empêcher de chercher avec mes mains son intimité, elle se détourna brusquement en rigolant.

- Non non tu vas trop vite, ça va être ton tour mon petit Julien, je te montre mon sexe tu vas me faire voir le tien comme quand on « joue au docteur », me dit-elle en souriant !

On n'était quand-même pas au cours préparatoire ! Tout en la regardant je retirais mes vêtements qui atterrirent sur le sol du bungalow, elle me fit signe de m'allonger et vint me rejoindre à coté de moi, elle commença à m'embrasser en tenant mon sexe dans sa main chaude. Finalement mes mains pouvaient courir su son corps souple et ferme, elle avait encore son soutien-gorge et je voulus le dégrafer dans son dos mais elle repoussa mon geste. Pourquoi s'était-elle dénudée le bas mais pas le haut ? Ses seins étaient lourds et je les sentais s'écraser à présent sur ma poitrine, peut-être ne voulait-elle pas me les montrer car ils devaient un peu tomber.

- On t'a déjà pris dans sa bouche ?
- bien-sur !
Comme si j'étais très sur de moi ; c'était la vérité mais cette première expérience remontait seulement à 2 jours et avec Nadine ma partenaire beaucoup moins experte, et de mon âge ! Je sentis ses lèvres et la chaleur de sa bouche sur mon pénis. Ma main s'insinua entre ses fesses et rejoignit son sexe extrêmement mouillé; elle prenait du plaisir elle aussi et j'en étais très fier. Je n'en pouvais plus et bien sur ce qui devait arriver arriva, mon sperme se répandit dans sa bouche. Elle me regarda à nouveau et avec un sourire recracha tout sur mon ventre.

- Dis donc Julien tu as été rapide.
- Tu es magnifique, terriblement sexy, la plus belle des « monos » de la colo. Je vais aux toilettes un moment.

J'avais un peu honte de ne pas avoir pu résister plus longtemps. Je pris une douche très rapide; de retour dans la chambre je vis qu'elle s'était allongée sur le ventre et battait des pieds en l'air au rythme de la musique. Je m'assis à ses cotés et commençai à caresser son dos et ses fesses abandonnées à mon bon plaisir, ses cheveux roux s'étalaient sur le coté de son visage et je pouvais observer avec plaisir son cou délicat et soyeux. Elle avait toujours son soutien-gorge mais je n'essayai pas de le lui enlever, c'était troublant de voir ce corps nu avec ce joli sous vêtement. Sa peau de rousse bronzée et un peu rouge d'avoir pris trop de soleil était parsemée de taches de rousseur surtout sur le haut du dos.

- J'aime quand on me caresse le dos, me dit-elle.

Mais immédiatement sa main prit la mienne et la dirigea vers ses divines fesses. Après quelques caresses mes doigts s'égarèrent dans son sillon et commencèrent à s'insinuer à l'intérieur de son sexe brûlant, mouillé et glissant, avec ma bouche j'embrassais et léchait le haut de ses cuisses et j'essayai de voir de plus près son intimité. Elle allongea sa main et m'emprisonna de nouveau. Elle se retourna et cala un coussin sous sa tête en écartant ses cuisses et en repliant ses jambes, je pouvais observer son sexe dont elle commença à écarter les lèvres avec sa main droite, la gauche, elle, caressait légèrement sa poitrine. J'approchai mon visage en détaillant ce puits tant convoité, à travers des poils très clairs, fins et bouclés je voyais ses grandes lèvres charnues et ses petites qui étaient très longues et fripées, sa fente remontait très haut. Je n'avais jamais vu un sexe de femme aussi érotique, surtout qu'avec ses doigts elle me montrait un peu de l'intérieur d'un rose clair tellement invitant.

- Julien maintenant tu vas me faire la même chose que je t'ai faite avant, si tu en as envie !

Envie !!! Ma bouche se jeta littéralement sur elle et ma langue commença à la lécher sans retenue, je sentais son suc féminin couler sur mes lèvres et mon menton, et même si j'étais un peu dégouté, cela me procurait un plaisir indescriptible. Je sentais ses poils sur mon visage, son corps tremblait en rythme avec mes caresses, quelques gémissements sortirent de sa bouche. Abandonnant son entre-jambes je remontai sur elle et l'embrassa avec passion, le fait d'avoir la bouche mouillée par son liquide intime ne sembla pas la déranger.

- Je peux te pénétrer maintenant ? J'en ai tellement envie !
- Oui vas-y je prends la pilule. Doucement, doucement, profitons de notre plaisir

Je relevai mon buste mes mains placés de chaque coté de son corps, elle me guida à l'entrée de son vagin, je m'introduisis en elle d'un seule coup ! quel délice ! Malheureusement c'était trop pour moi et après quelques mouvements mon orgasme fut presque immédiat; je m'écroulai sur son corps la tête dans lové dans son cou.

- Claudie je suis désolé tu es trop belle, trop attirante !
- Eh oui tu as des progrès à faire, pousse toi je dois aller faire pipi...

Ça y est, je n'ai pas assuré elle est fâché avec moi? Je l'entendis dans la salle de bain en train d'uriner, je l'imaginai et déjà je sentis mon envie revenir au galop.

Allongés sur le lit nous recommençâmes à discuter sur les choses du sexe, elle me déclara que pour mon âge je me débrouillais très bien, qu'il fallait respecter sa partenaire, qu'il devait y avoir beaucoup de préliminaires etc' Quelques minutes plus tard je sentis son souffle se faire plus régulier et profond, elle s'était endormie. Je regardai l'heure; 1.00 du matin. De savoir ce corps nu près de moi déclencha à nouveau mon désir, impossible de la réveiller et lui sauter dessus ; je n'oserai jamais. En 3 minutes j'étais rhabillé et le me dirigeais vers le bungalow que partageait Nadine avec ses copines.
Nadine avait mon âge, une grande fille mince avec de longues jambes, très peu de poitrine, ses cheveux très noirs lisses étaient pratiquement toujours tirés en arrière par une queue de cheval ou un petit chignon, ses yeux très noir étaient surmontés pars des sourcils assez fournis et encadraient un petit nez en trompette ravissant et des lèvres bien dessinées complétaient son portrait' Elle avait le type très méditerranéen, et je repensai à son pubis et son aisselle couverte d'une pilosité très sombre.

Elle était assise sur la terrasse en train de fumer une cigarette, pas de traces des autres filles, elles devaient être encore à la soirée. Elle avait un tee-shirt moulant vert et un short blanc très court qui laissait voir ses longues jambes.

- Ciao Nadine
- Tu fais quoi ici ? Tu n'es pas avec la monitrice ? Tu t'es fait jeter ?
- Mais j'ai rien fait avec Claudie on a seulement discuté, elle a peur que je te mette enceinte, elle m'a parlé de la sexualité des ados et toutes ces conneries' Je ne pouvais pas refuser de lui parler, elle pourrait nous faire des problèmes avec le dirlo et nos parents, bientôt je vais passer mon diplôme de « mono » je ne veux pas d'histoire.
- N'importe quoi ! tu me prends pour une idiote casses toi, je ne veux plus te voir !
- Mais je n'ai rien fait je t'assure c'est toi ma petite copine, tu es la plus belle fille de la colo on sort ensemble, tu m'imagines avec une mono de 30 ans tu rêves'.

Je pris une cigarette dans son paquet et commençai à fumer dans un silence pesant, elle me regardait d'un oeil noir en hochant la tête et soudain se mis à pleurer. J'étais encore super excité et près à tout pour coucher à nouveau avec elle. Je la pris dans mes bras en cherchant à l'embrasser.
- Non non c'est trop facile tu me fais passer pour une imbécile auprès de tout le monde.
- Nadine j'ai rien fait je te le jure, c'est toi que je veux
En assenant un mensonge avec conviction plusieurs fois la personne en face de vous se met à douter, c'est un art ! Il faudrait que je demande des cours à un homme politique.
- Julien tu es un menteur.
Je sentais sa détermination qui commençait à céder, je la soulevai en passant mes bras sous les siens et je me mis à danser lentement au rythme de la musique qu'on entendait venir de la taverne... Elle cala sa tête dans mon cou et se laissa aller. Me croyait-elle ? ou avait-elle décidé de passer outre ? Le principal était que j'étais sur le point d'arriver à mes fins.
Mes mains baladeuses s'attardaient sur ses petites fesses pommelées et je la poussais doucement vers l'entrée du bungalow.
- Non les filles vont arriver.
- J'ai une idée allons sur la plage dans la case de voile le moniteur m'a laissé les clefs.
- Pour quoi faire ?
- Pour discuter tranquillement et peux être plus, lui dis-je en l'embrassant.
Elle prit ma main et se mit à courir vers la plage. Arrivés devant cette petite cabane qui servait de remise pour la matériel des voiliers, j'ouvris la porte, allumai la lumière et étendis sur le sol des matelas de plage entassés dans un coin. Je l'ai prise dans mes bras et l'ai couchée sur le dos sur ce lit improvisé, après quelques caresses et baisers, elle retira son tee-shirt et me laissa cajoler ses petits seins dont les pointes se redressèrent rapidement entre mes doigts. Pour son petit short; il fallut que je m'applique, elle m'aida en se contorsionnant car il était très serré, restait sa culotte en coton blanc léger un peu transparent dont elle protégeait l'accès avec ses mains.
- Éteins la lumière me dit-elle sur un ton péremptoire.
Notre premier rapport c'était passé dans le noir complet et il faut dire que la lumière venant d'une ampoule dénudée était assez forte
- Pourquoi ? tu es magnifique, laisse moi te regarder, ta peau est très bronzée et je veux voir la vraie couleur de ta peau.
J'avais déjà glissé deux doigts dans l'élastique et commençai à tirer vers le bas découvrant la ligne très bien délimitée entre sa peau hâlée et le bas de son ventre, la différence était très marquée et cela m'excitait prodigieusement. Ma main s'introduisit complètement dans son sous-vêtement et recouvrit complètement son pubis, mes doigts entamèrent des frôlements sur ses lèvres intimes après avoir écarté quelques poils. La pression de son corps se fit plus intense, elle retira complètement sa culotte après avoir soulevé ses fesses en prenant appui sur se ses pieds. Je l'embrassai tout autour de son mont venus bien dessiné par sa pilosité et délimité sur les cotés de façon nette. Malgré ses affirmations de ne pas être coquette, Nadine avait certainement fait très attention à ce qu'aucun poil ne dépasse de son maillot de bain.
- Non pas avec la bouche c'est sale, c'est trop tôt pour moi
Elle tira mon visage vers le haut de façon autoritaire. Ok ne brusquons pas les choses ! Je me relevai et retira tee-shirt, jean et slip, mon sexe extrêmement tendu se dressa subitement devant elle.
- Qu'elle horreur c'est vraiment pas beau !
- C'est sur que c'est plus jolie chez une fille, lui dis-je, en m'allongeant sur elle.
Elle avait écarté les jambes et mon bassin se cala parfaitement contre le sien, je pris un peu de salive avec mes doigts et commença à préparer le terrain, elle mouillait très peu et je devais lubrifier son conduit intime.
- Attends soulève-toi, me dit-elle !
Elle glissa sa main entre nous, prit mon sexe et le conduisit à l'entrée de son vagin, de l'autre elle appuya dans mon dos, m'invitant à la pénétrer. Cette fois-ci je fis bien attention de ne pas précipiter les choses. Quelques minutes plus tard je l'invitai à changer de position, à mon tour je m'allongeai sur le dos et elle vint s'empaler face à moi. Nos mouvements se firent plus frénétiques je pelotais alternativement ses fesses et ses seins. Soudain me vint une idée car je voulais voir son petit trou, des pensées lubriques agitaient mon cerveau.
- Nadine ! Tournes-toi comme ça c'est trop fort je vais venir tout de suite !
Elle ne discuta pas, se retira, se retourna et s'accroupît en présentant son intimité à mon sexe qu'elle tenait dans sa main. C'était d'une indécence incroyable et je voyais en premier plan son anus plissé couvert par petits poils sombres que mes doigts dégagèrent rapidement. Son postérieur très blanc par rapport à son dos bronzé offrait un contraste saisissant, comme si elle portait encore sa culotte. En s'appuyant sur ses jambes elle commença son va-et-vient, je l'accompagnais de mes deux mains posées sur ses fesses un peu maigres mais bien proportionnées. Je l'aidai aussi à relever son buste de façon à ce qu'elle cambre son dos et fasse ressortir son postérieur et son puits ou je voyais mon pénis entrer et sortir. Heureusement qu'elle était sportive car cette position n'est pas très confortable, mais la pénétration était très profonde et très sensuelle. Un des mes doigts vint récupérer un peu de son fluide pour lubrifier son anus, contrairement à ce que je pensais elle me laissa introduire mon index, c'était beaucoup plus étroit et serré que son sexe et je pouvais sentir le mien à travers sa paroi glisser en elle.
Elle s'agenouilla en prenant une position plus confortable et accéléra le rythme, mon éjaculation fut très puissante, mon pénis perdit rapidement de sa rigidité et sortit de son intimité. Elle continua à se caresser avec sa main et il sembla qu'elle aussi atteignit l'orgasme. J'avais encore besoin d'expérience pour réussir à faire jouir mes partenaires, d'autres cours avec Claudie étaient nécessaires !

Je m'endormis presque immédiatement, mais elle me réveilla car on devait rejoindre nos bungalows respectifs. Elle me fit jurer de ne plus l'abandonner et de plus disparaitre avec Claudie.

Quelques semaines plus tard je revis Claudie à Paris, mais ça c'est une autre histoire !