La tour génoise (3)

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Proposée le 22/06/2012 par tanis

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Présence d'inceste



Lire le chapitre 2.


Cette petite escapade l'avait excité, il en aurait bien profité aussi, mais mieux valait laisser Axel seul pour le moment, lui laisser savourer le corps' oui, le corps de?sa femme.
Le corps arqué vers l'arrière, la terrible érection dressée, projetée en avant, le gland que Lise décalottait en enserrant la verge, les petits doigts qui ne parvenaient même pas à en faire le tour, chaque image lui repassait devant les yeux. Il était bien pourvu Axel !
La maison était vide. C'est vrai, ils devaient être à la plage. Il emprunta l'escalier à petits pas, s'arrêtant pour regarder la mer, cherchant du regard ses belles-s'urs.

Un petit cri le surprit. Il fouilla du regard la végétation, en cherchant l'origine. Et il aperçut plus bas sur une des terrasses, entre les oliviers, des reflets ocres de peaux.
Avant d'arriver, il sut'
S'appuyant au pilier qui en protégeait l'entrée, il regarda sans se dissimuler.

Laurie nue, à genoux descendait lentement le short d'Eric. Sylvie observait, mais à la façon dont elle serrait les jambes, une envie devait la tenailler?
Le short enlevé, Sylvie écarta les jambes de son beau-frère, le mettant presque dans une position de soumission, puis lui replia les mains dans le dos.
Son phallus turgide sortait d'une touffe de poils noirs soigneusement égalisés. Ses testicules, lourdes pendaient contre ses cuisses. Laurie de deux doigts étrangla la base de la verge puis ficha celle-ci entre ses lèvres.
Le contact grisant lui fit ouvrir la bouche. Mais Laurie s'arrêta, se remit debout puis guida sa s'ur à sa place, tout en la forçant à enlever son slip.

Sylvie fut placée debout devant Eric. Elle avança doucement, et la verge vint frôler son ventre plat. Elle bougea doucement, tâtonnant, s'efforçant parfois de pousser le gland dans le pertuis de son nombril où elle essayait de l'enfoncer.

Daniel la regardait attiser son beau-frère, il se sentit troublé par cette petite femme. La rainure de ses fesses brillait de sueur. Cette chute de reins, ce petit cul épanoui, ferme sans être trop dur, appétissant, presque obéissant, devait être hospitalier, désirable... profond. La rosette plissée de l'anus se devinait entre les globes florissant, frémissant. C'était une invite au péché !

Elle tendit les lèvres et embrassa Eric en poursuivant ses mouvements.
Inclinant la tête, elle fixa son nombril emboucher le méat bavant de la verge. Elle laissa glisser un filet de salive sur le gland. Eric rugit en la regardant faire. Les mains dans le dos il ne bougeait toujours pas. Laurie s'amusait, ne connaissant pas sa s'ur comme cela ! Elle faisait plus que le chauffer !

S'agenouillant, ses lèvres frôlèrent le pieu sans le toucher, le parcourant sur sa longueur, les lèvres s'ouvrirent pour happer une bourse qu'elle étira soigneusement. Les dents s'emparèrent de la base du mandrin, mordillèrent, s'enfonçant dans la chair spongieuse.
Relevant la tête, Eric aperçut Daniel pantelant qui serrait son sexe dans son short.
Eric se trémoussa, essayant d'empêcher son plaisir de se manifester trop vite, mais Sylvie mordait maintenant à belles dents. La semence montait au rythme des morsures !
Sylvie n'eut que le temps d'englober le gland pour accepter les giclées de sperme au fond de sa gorge.
Mais déjà elle le poussait doucement vers la table de pierre sur lequel il s'allongea.
Alors l'enjambant, elle plaça ses genoux de part et d'autre de son bassin. Elle tremblait légèrement, c'était la première fois avec un autre homme que son mari. Elle sentait sur ses organes le regard attentif de sa s'ur, ses seins dressés et ses tétons tendus lui faisaient mal.

***

L'histoire recommençait'
A la fin du repas, le monde sortait sur la terrasse, et parlait de tout et de rien, ou prolongeait la conversation commencée au souper. Cela ne durait jamais longtemps, et d'un geste ample, passant entre les femmes, le maître des lieux les invitait à descendre l'escalier.

Le froufrou des jupes me froissent encore les oreilles.
Au fur et à mesure de la descente, certaines prenaient le chemin des petites terrasses, seules ou à deux. Les autres continuaient.
Je vois encore la baronne de M*** pousser sa fille vers l'une de ces terrasses avant de continuer en disant :
- « Va ma fille ! »

L'escalier se vidait peu à peu.
Alors les hommes descendaient, engoncés dans leur costume, passant d'une terrasse à l'autre, se saluant au passage.
Sur les terrasses, plus rien ne comptait, les robes se relevaient, les braguettes s'ouvraient, et ces hommes si plein d'attentions quelques minutes avant, plongeaient sur leur proie la bite dressée, le feu au ventre.
Et ces femmes !
Cela ma passionnait de les observer la journée, pleines de courbettes, de volants et de retenue, et le soir, lascives, ouvertes, se faire godiller comme des soubrettes en chaleur par un ou plusieurs mâles en rut.
Cette nuit là, je ne dormais pas. Les gémissements, les petits cris de plaisir et parfois de douleur me tenaient éveillée. Heureusement que la pleine lune me permettait souvent de me pelotonner dans mon rôle de voyeuse, les chandeliers n'offrant qu'une lumière destinée me semblait-il qu'à faire briller les bijoux.
La fille de la baronne, haute de ses dix huit ans, jupe relevée n'était pas en reste, et penchée en avant recevait le vivant hommage de deux queues à la fois.
Les hommes leur verge en main passaient d'une terrasse à l'autre en se retenant de jouir, pour profiter de toutes ces filles. Les braguettes blanches de cyprine et de sperme, ils se saluaient en se croisant.
Puis la maison à leur retour, se remplissait d'une forte odeur de sperme, de sueur, une odeur âcre, chaude qui coulait dans les couloirs se mélangeant aux senteurs des herbes fraiches de l'extérieur. Une odeur de « foutre » comme disaient les femmes entre elles, en riant.
Je m'amusais, mettant dans leurs bouches précieuses des propos salaces, indignes d'elles.

***


Sylvie saisit la grosse cheville qu'elle promena longuement dans sa fente, disjoignant les lèvres, glissant sur l'anus, s'affolant en remontant jusqu'au petit bouton qu'elle massait à travers le capuchon de chair rose.

Je la vis, comme j'en avais tant vu il y a bien longtemps, insérer la tige en elle, et s'encastrer jusqu'à la garde. Les bras croisés derrière la tête, elle montait et descendait arrachant à son amant des cris de plaisir. Le corps rejeté en arrière, le dos cambré, elle offrait ses seins, son ventre ouvert au soleil, à la mer.
Sylvie s'appuyait maintenant sur les mains, roulant des hanches comme une vahiné ! Ses fesses s'offraient indécentes, Daniel regardait stupéfait la dague qu'elle s'enfonçait et ressortait jusqu'au gland.
Alors je vis Lise se tourner vers Daniel et le prendre par la main. Elle le positionna au bord de la table, puis lentement déboutonna son short. Le pauvre Daniel était presque en transe ! Laurie laissa glisser le vêtement en le fixant d'un petit regard coquin.

Elle le regardait toujours, la friponne quand ses doigts s'enroulèrent autour du cylindre de chair. D'un mouvement sec, elle retroussa le prépuce offrant le gland congestionné aux petites fesses qui remuait devant lui.


Ah ! Je voyais qu'il hésitait ! Et c'est elle-même qui déposa la tête musculeuse du n'ud au centre de la rosette plissée.
Sylvie surprise se redressa un peu, mais déjà Laurie chevillait le pal dans l'étroit fourreau de l'anus.
Eric arrêta ses mouvements, laissant le temps à sa belle-s'ur de se détendre.
Quand Laurie jugea l'anneau suffisamment évasé, je la vis enfoncer doucement le reste de la verge dans le rectum.
- Ohhh? dans mon'

Le corps de Daniel s'agita doucement d'avant en arrière, mesurant l'amplitude se sa future course.
Sylvie se replia sur elle-même? c'était donc cela une sodomie ! Son anus étranglé l'étourdissait, elle tâtonna d'une main entre ses fesses, mesurait la taille de ce qui la comblait. Elle attendit. Et la progression reprit, insidieuse, inexorable, refoulant les chairs jusqu'à ce que le pubis vienne se coller contre elle.

Les deux hommes reprirent leurs mouvements de concert.
Il me semblait qu'un combat se déroulait dans ce ventre offert, les hommes s'escrimaient avec comme simple filet, la mince paroi séparant l'anus du vagin.
Au coup d'estoc répondait un battement, à un liement s'opposait une botte.
Ah ! Eric devait profiter également de cet embrochement, des puissantes frictions dans l'étroit fourreau.

J'aimais bien les regarder ces jeunes, beaux, plein d'avenir prometteur dans le domaine de l'amour, mais' n'était-ce pas la première s'ur à se faire saillir par deux beaux-frères à la fois ? Il me semblait avoir surpris une conversation à ce propos. Euh oui, parfois il m'arrive d'écouter aux portes ! Mais n'allez pas croire que j'en fais une habitude. Je devais n'être pas loin à ce moment'
Le terme « saillir » venu tout seul à mes lèvres me fit frissonner ! Il représentait tout ce que j'avais vu à l'époque, il y avait dans ce mot un relent bestial, de domination, d'embrochement de chairs à vif. Mais je parle, je parle, alors qu'il y a mieux à faire !

Tiens, Laurie s'était agenouillée derrière Daniel ! La vue devait être impressionnante ! C'est vrai qu'ils sont tous bien montés, fait de bois dur ! Ah, ce n'est pas comme ma pauvre charpente qui craque de plus en plus fort la nuit, rongée sans doute par de gourmands insectes !

Laurie palpaient maintenant les testicules des deux hommes, les frottaient l'un contre l'autre comme l'on fait rouler un savon entre ses paumes. Les malheureux ! A ce rythme ils n'allaient pas tenir bien longtemps.

Eric avait arrêté ses mouvements, se laissant masser à travers la fine paroi.
Daniel ahanait, et loin de poursuivre une course échevelée, il dosait savamment, puissamment ses entrées, attendant que les petites fesses se resserrent pour ressortir.
Il attendait le plaisir de Sylvie, lui caressant le dos, saisissant ses petits seins, énervant les pointes sensibles, descendant sur le pubis, frôlant le clitoris puis s'enfonçait entre les lèvres où son doigt sentait la raideur de son beau-frère.
De petits cris commencèrent à émerger d'entre ses lèvres, suivis de petits grognements et de longs feulements.

Lorsqu'elle releva le buste brusquement, Daniel sentit les contractions vaginales déclencheuses de l'orgasme. D'une dernière poussée, il s'engouffra profondément avant de répandre son sperme dans la gaine encore vierge.

C'était trop beau ! J'avais aussi joui dans ma vie, mais c'était une jouissance d'un autre ordre ! Mais il est vrai que les papiers peints soigneusement choisis, les tapis persans recouvrant mes parquets, et certains meubles précieux dont on me paraît me donnaient un plaisir infini.

Écroulés l'un sur l'autre, j'entendais leurs halètements. J'admirais Sylvie superbe dans sa première sodomie. Elle étirait son corps, pendant que perlait entre ses lèvres intimes la jouissance d'Eric.
Et dans tout ça Laurie ? Elle avait disparu.

***

Le nombre d'or, comprenez la taille de votre sexe, messieurs, est variable d'un homme à l'autre : combien de fois le pénis entre-t-il dans une bouche, dans deux mains, file entre des fesses.
Il faut bien accorder quelque poids à l'intrépide.
Le poids du nombre d'or : centimètres chéris qui coulissent si bien entre le vide et le plein d'un couloir de femme. Va-et-vient du vivant qui fait pousser des soupirs à réveiller les âmes. Le pénis est tout cela : pouvoir, magie, plaisir.

Astrid Schilling



***

Tout dormait encore, je venais de me réveiller. Le soleil pointait à peine. A mon âge, finies les grasses matinées !
Tiens, les marchent grinçaient' Qui pouvait-être aussi matinal ?
Je vis Sylvie complètement nue émerger sur la terrasse, elle avait l'air en pleine forme.
Je la sentis de suite heureuse, bien dans son corps qu'elle exhibait sans pudeur devant moi. S'approchant du bord de la terrasse, elle regarda la mer, examina son corps.
Elle s'inspectait, se frôlant des doigts, recherchant les sensations de la veille.
Appuyant un pied sur le muret bordant la terrasse elle soupira. Les lèvres charnues d'où dépassaient les petites lèvres ourlées comme de la dentelle s'entrouvrirent sous ses doigts. L'ouverture du vagin, petit palais de cette étrange bouche laissa s'écouler un filet luisant qu'elle étala sur sa vulve. Un de ses doigts glissa entre ses fesses, tâta la rosette, essaya de s'y insérer, mais le petit muscle avait repris ses droits et s'était resserré.

Ça me plaisait de la voir dans l'intimité, chacun de ses gestes évoquait un souvenir de la veille. J'avais été fouiller dans la bibliothèque pour trouver le mot « enculage ». Enculage : « pratique du coït anal. Possession physique de quelqu'un par l'anus. »
En tous cas, elle n'était plus vierge de cet endroit ! Et cette défloration contre nature, ce n'était pas son mari qui s'en était chargé !
Si je n'avais poussé Laurie vers Daniel, je crois qu'elle serait encore pucelle de cet endroit !

Elle s'assit, relevant les genoux, les enserrant de ses bras. Un léger souffle de vent vint la caresser, s'insinuant entre l'écheveau de ses membres, dressant les seins au passage avant de s'insinuer comme une vent-coulis entre les lèvres dans la taillade de son ventre.

Ces vacances lui plaisaient. Qui aurait cru ça ! Elle et son mari, en plein adultère, à la limite de l'inceste, mais sans en éprouver la moindre culpabilité. Mais il n'y avait plus d'inceste entre beau-frère et belle s'ur. Son mari était d'accord. Hier soir, ils s'étaient tout raconté, et terriblement excité Axel l'avait honorée une fois de plus alors que son bas ventre était encore poisseux du sperme de ses beaux-frères.

Elle n'imaginait pas cela autrement. Ses s'urs faisaient la même chose, on était en cercle fermé, « en famille » se dit-elle en souriant. L'un savait ce que l'autre faisait, et rien n'était interdit.
Elle était consciente d'avoir « employé » (le mot la fit sourire), d'avoir employé deux beaux-frères à la fois' Mais ce n'était pas elle qui avait demandé à Daniel de venir la sodomiser en même temps !

Sylvie se remit debout, se dirigea vers l'escalier et descendit quelques degrés.
La terrasse, la table était là? « l'autel des sacrifices » murmura-t'elle en pensant au livre qu'elle lisait.
Le sexe turgide d'Eric près de sa bouche. Mon Dieu, que c'était beau un homme en érection ! Pas comme une de ses amies, sans doute mal mariée qui voyait ça comme « un croc de boucher, juste bon à suspendre de la viande fraiche. »
Et elle, sa première sodomie qui s'était passée sans douleur ! Daniel et Eric étaient tellement doux !
On parlait de cette pratique de plus en plus sur Internet. Elle avait essayé à l'époque, se glissant un doigt entre les fesses' c'était bon. Elle y reviendrait, mais prendrait plus de temps.

Sentir la douceur de la stimulation, la caresse, l'entrée d'un doigt, de deux puis de trois, le contact chaud et doux d'une langue sur la rosette, puis l'accélération, la lubrification et la pénétration du membre par secousses jusqu'à l'absorption complète, le souffle court du partenaire dans son cou, se sentir emprisonnée, implacablement à sa merci, ne plus pouvoir bouger tout en sentant son sexe ramoner l'ampoule rectale. Puis la douceur chaude de l'éjaculation, l'affaissement du partenaire sur son corps et cette sensation d'avoir brisé mille et un tabous de la société.

Pouvoir faire l'amour avec d'autres sans tromper son mari? voilà ce que ses s'urs lui avait appris. Laurie et Lise s'étaient-elles mis d'accord ? Comment avaient-elles annoncés ça à leur mari ? Comment avaient-ils pris la chose ? Comment avaient-ils réagis en imaginant leur femme, et leur amante avec Axel ?
Il était trop tôt pour savoir, mais elle poserait des questions, elle saurait. Pour le moment, elle était tout à ses découvertes et à son plaisir? Se sachant vulgaire mais ça l'excitait, elle grogna tout haut :
- Jouir? jouir? et leur vider les couilles !

***

Lise sautillait en descendant vers la mer, lorsqu'elle aperçut Sylvie sur une des terrasses.
- Oh ! Sylvie ! Et nue déjà ! Tu es seule ? Quelque chose ne va pas ?
- J'ai eu trop chaud cette nuit, je me rafraichissais ! Axel dors encore, dit-elle en regardant sa s'ur, je me demande ce qui l'a épuisé à ce point.
- Mhm, disons qu'il n'a pas bien supporté le soleil la haut sur la tour génoise !
Sylvie prit sa s'ur dans ses bras, l'embrassa dans le cou :
- Je ne sais pas ce qui c'est passé la haut, mais il rayonne !
- Et toi ? Daniel ou Eric ?
- Ben' les deux?
- Comment ça les deux ?
- Oui, les deux en même temps, Laurie était là aussi?
- Mais ma belle tu vas vite ! Nous on en est encore qu'à un à la fois !
- Oui, mais c'est Daniel qui?.
- Tututututttt' ne te justifie pas, si tu as aimé, c'est bien !

Lise regarda sa s'ur :
- Tu es très belle Sylvie.
Elle effleura de sa main les seins et le pubis épilé de sa s'ur :
- Profite de ces vacances pour te sentir bien dans ta peau et bien avec les hommes. On a de la chance d'avoir des maris comme ça ! Je file chercher le pain !

Sylvie resta songeuse, puis descendit jusqu'à la mer où elle entra jusqu'à la limite des fesses. L'eau s'infiltra entre ses cuisses qu'elle écarta doucement. Ses lèvres baignèrent doucement la faisant frissonner. « Un baiser de la mer » songea-t'elle.
Elle pensait à remonter, l'eau était encore trop froide pour y plonger le corps entier, quand Laurie seins nus dévala les marches, enlevant son slip :
- Ah ! Tu es ici toi ! déjà levée ?
- Oui j'avais chaud !
- J'espère que tu ne m'en veux pas d'avoir un peu précipité les choses avec Daniel ?
- Parce que? parce qu'il m'a sodomisée ?
- Oui?
- Non j'ai adoré, c'était la première fois, il a été doux, cela c'est passé sans douleur.

Laurie entra dans l'eau, s'arrêtant à la hauteur de sa s'ur.
- J'ai vu Lise rapidement, Axel l'a épuisée hier, déclara-t'elle en souriant, hmm' Je vais essayer aussi?

Sylvie regarda attentivement sa s'ur :
- Jamais une femme ne m'a regardée pendant que je faisais l'amour Laurie, ta présence m'a troublée. Je ne sais pas comment dire, je sentais ton regard, tu m'examinais, puis ta main derrière qui frôlait mes fesses, forçant Daniel à ?

Laurie se détourna un peu gênée. Elle se taisait, puis se retournant vers sa s'ur :
- Non Sylvie, il n'y a jamais rien eu entre une femme et moi. Ça ne m'a jamais traversé l'esprit'

Elle s'interrompit brusquement, puis ajouta :
- Jusqu'à présent'

Sylvie sentit sa gorge se nouer, où voulait en venir sa s'ur. Elle fit quelques pas dans l'eau qui par sa fraicheur la fit frémir. Elle murmura :
- Allez Laurie, dis-moi, quel est le problème ?

Laurie se détourna, retournant vers la plage. Sylvie la rattrapa, l'agrippant par l'épaule :
- Laurie ?

Celle-ci interrompit sa progression, immobile, puis se retournant, brusquement, elle saisit sa s'ur dans ses bras l'enlaçant, déposant de petits baisers dans son cou. Sylvie doucement l'écarta d'elle :
- Eh ma s'ur, que se passe t-il ? puis plus tendrement : Laurie, explique-moi !
Laurie fondit en larme, serrant sa s'ur contre elle. Ecrasant ses seins contre les siens.
- Calme? calme? tu n'as pas aimé ton mari me faire l'amour ? tu es jalouse ?
- Non' non, ce n'est pas ça ! J'ai bien aimé te voir avec Eric'
- Et bien alors ?
-
Laurie attendit que ses sanglots se calment :
- J'ai trop aimé Sylvie, trop aimé?
- Allez ! Je ne comprends rien petite s'ur, explique toi !

Elle releva la tête :
- Je ne comprends pas Sylvie, hier quand tu étais avec Eric et Daniel, leur sexe me rendait folle, te voir prise ainsi ! Mais je me suis rendue compte que voir ton corps ainsi possédé me rendait folle aussi? je me demande si je ne deviens pas bi !
- Laurieee ! Ce n'est pas parce que tu vois un sexe de femme avec un sexe d'homme planté dedans que tu es bi !
- Je ne sais pas, le velouté de tes fesses, les lèvres de ton sexe, même ton anus lorsque j'y ai déposé Daniel me rendait folle.

Sylvie enveloppa sa s'ur de ses bras :
- Ecoute, nous n'avons pas visité la tour génoise, je demanderai à Axel de nous accompagner, on verra là-bas.

Laurie redressa la tête, regarda sa s'ur, rapprocha les lèvres, et les bouches se joignirent. Sylvie ne fit rien pour l'en empêcher, il fallait voir, ne rien brusquer. Les langues se lièrent, et elle ne bougea pas quand elle sentit les doigts de Laurie s'encastrer en ses cuisses.

« De quelle race êtes-vous ?
Culbuteur ?
Pourfendeur ?
Godilleur ?
Consolateur ?
Ou simplement un va-du-gland qui trouvera plaisir à baiser Jeannette dans sa chambrette ?
Votre pénis est-il le reflet de vos âmes ?
Est-il trapu, élégant, paresseux, enflammé, ou encore rêveur? »
Astrid Schilling

***
- Axel ?
- Mhhh? Ohhhh il est si tard ?
- Non amour, mais il est temps de déjeuner.
- Dépêche toi, je dois te parler c'est important et on file déjeuner !
Surpris par ce ton péremptoire, Axel sauta du lit, et nu fila sur la douche.

Sylvie sourit :
- C'est incroyable, tout le monde se balade à poil dans cette bicoque !

Cinq minutes après, Axel rentra dans la chambre.
- Alors chou, tu devais me parler ?
- Oui et c'est important !
Axel arrêta de se frotter les cheveux et regarda son épouse :
- Il y a un problème ?
Sylvie dodelina de la tête :
- Oui et non, si on veut, mais écoute moi.

Axel écouta, hochant la tête, compréhensif. Il tourna quelques minutes dans la chambre puis vint s'asseoir près de sa femme.
- Ben tu sais des bi qui s'ignorent, il y en a pas mal !
- Je ne sais pas si elle l'est vraiment, je crois simplement que ce sont les circonstances'

Sophie resta un moment pensive :
- Axel'. On va aller à la tour génoise ensemble, tu' enfin tu me comprends ! Si elle entreprend quelque chose d'autre avec moi, laisse la faire, ne t'oppose pas, moi je verrai !

Axel réfléchissait, il se leva, puis revint vers sa femme :
- Chérie, S'il se passe quelque chose et que tu nous regardes, j'ai? comment dire, ça me gênerait !
- Axellll ! tu étais bien avec Daniel et Lise la haut !
- Oui, mais Daniel est parti avant que?.

Sylvie le regarda :
- Laurie a tout fait pour que nous connaissions ce? euh, cette expérience, je ne veux pas la laisser tomber maintenant, et si? pour l'aider, je dois' disons le, la euhh?, je le ferai !

Là, il resta assis. Tout se bousculait dans sa tête. Mais bon, adultère consenti, échangisme accepté, mais inceste ! L'idée de voir deux femmes ensembles ne le choquait surement pas, mais sa femme avec sa s'ur !
- Ok Sylvie, je vais faire ce que tu désires. Si tu vois une occasion d'intervenir pour lui faire voir ce que c'est, vas-y !
- Toi, n'intervient pas ! au contraire, entre dans le jeu'

***

Le repas de midi fut simple, réservant le repas chaud pour le soir.
Petite sieste pour certains, balade solitaire pour d'autres.

Sylvie se leva, regardant Laurie allongée.
- Laurie, on va voir la tour génoise, tu viens ?
Laurie se leva et Axel, lui emboita le pas.

Eric, Daniel et Lise n'entrouvrirent même pas un oeil.

Ils se suivaient, grimpant dans la garrigue, la tour se rapprochait. Axel regardait les deux s'urs, si semblables physiquement, petites cuisses musclées, longues jambes, les seins! Puis le visage à l'identique. Seule différence, Sylvie avait de longs cheveux qui lui arrivaient au milieu du dos.
Celle-ci avait surmonté son chagrin du matin, sautillante elle regardait Axel. Celui-ci lui sourit en pensant qu'elle savait sans doute qu'elle ferait l'amour devant sa s'ur, mais n'en éprouvait apparemment aucun complexe. Il s'approcha d'elle, lui prit la main et ils se mirent à courir vers la tour, Sylvie retarda le pas' mieux valait les laisser commencer seuls !
Sylvie se retrouva devant le tronc d'arbre?
- Non d'une pipe ! Grimper ça seule !

Elle hésita, s'assit, cela ne venait pas à une minute ! Laissons-les s'installer !
Que devait-elle faire ! Laurie attendait cela, elle le savait. Caresser sa s'ur ne la répugnait pas, mais on appelait ça inceste. Et ce mot par lui-même évoquait les flammes de l'enfer, auquel elle ne croyait pas. Axel regarderait évidemment, cela la mettait un peu mal à l'aise. Hier soir, sucer Eric devant Laurie ne l'avait pas dérangée, mais c'était un homme !

Sylvie passa la tête au dessus de l'escalier.
Axel allongé devant Laurie humait son sexe. Ses lèvres étaient nettement plus longues que celles de ses s'urs, les voilent se déployaient sur ses cuisses, comme les voiles d'un bateau. D'un doigt, il écarta délicatement les pétales roses, les étirant de chaque côté. La vulve se dévoila, rose, brillante, mouillée. Il la fit languir en soufflant légèrement sur les chairs offertes.
Tournant la tête, Laurie vit sa s'ur et lui fit signe d'approcher. Elle l'attrapa par le cou et la fit s'allonger à ses côtés.
Axel vit leurs lèvres se joindre dans un tendre baiser.

Laissant Laurie à son plaisir, il attendit.

J'étais curieuse ! Deux s'urs ensemble, je n'avais jamais vu cela entre mes murs.
Laurie enleva le maillot de sa s'ur, et s'étirant de bien être ouvrit les jambes.
Ses doigts glissèrent dans sa vulve, ouvrant les lèvres, caressant ce corps de femme.
Le corps de Sylvie s'arqua sous ces nouvelles caresses. Laurie savait où glisser les doigts, appuyer, frôler de la paume, écarter les chairs roses.

La main écarta les lèvres, les repliant de côté, dévoilant la fente entièrement.
Axel vient effleurer de son sexe la main qui caressait, il en profita pour introduire le bout du gland entre les lèvres intimes de sa femme.
Laurie plongea ses doigts dans sa s'ur, se disputant la place avec le sexe de son beau-frère.
Lui laissant la place, il se retira, et se plaçant derrière elle la pénétra.

Sylvie en profita pour quitter la bouche, et descendre vers le pubis. Elle regarda sa s'ur possédée, les poussées profondes de son mari, les lèvres sexuelles enserrant la verge à chaque retrait. La puissance des sécrétions vaginales l'enivrèrent.
Elle happa le clitoris turgide.
Laurie poussa un cri en se redressant.

Sa s'ur dévorait ce petit bouton, trouvait un tas de petits coins où cacher des baisers, des petits coins inconnus des hommes.
L'odeur de sexe lui remplit les narines. Une impression de plénitude, de connu, la remplit soudainement.
Elle sursauta quand Axel extrayant son sexe éclaboussa sa bouche et la vulve grande ouverte. Les giclées abondantes blanchirent le pubis et s'écoulèrent dans l'entaillure du vagin.
Laurie vit Sylvie pousser le sperme de sa langue dans sa fente ouverte. Elle eut un spasme, et un orgasme fulgurant déferla dans son ventre.

Laurie se détendait.
- Ça va petite s'ur ? demanda Sylvie.
- Ohhh ! C'était merveilleux ! A deux vous m'avez mise hors de moi !

Sylvie se pencha, colla ses lèvres maculées de sperme sur sa bouche.
- C'était bon pour moi aussi tu sais !

Laurie était peut-être bi, mais elle aimait les hommes. Quant à elle, passant sa langue sur ses lèvres, elle rechercha encore ce goût acide et salé de femme qu'elle avait adoré.


***

Je regardais de loin, la scène était belle, j'avais déjà vu cela, mais ici je ressentais de la passion, ces couples me plaisaient.
Moi qu'elles soient s'urs, ne me faisait ni chaud ni froid. Mais je comprends votre indignation, votre excitation peut-être ! Vous n'avez sans doute pas eu l'occasion d'assister à cela. Oh me direz-vous, on ne rate rien.
Allez, soyons sérieux, je vois l'amorce d'un mensonge sur votre visage.
N'avez-vous jamais eu envie de votre belle-s'ur ? N'avez-vous pas voulu voir ses lèvres s'enrouler autour de votre verge ? N'avez-vous pas eu l'envie de plonger vos lèvres et votre langue dans sa fente rose ? Et votre verge, n'a-t-elle pas frétillé en devinant les dessous de sa robe, la fente chaude dans son slip ?
Ne m'en faite pas accroire, et regardez ce que je vois !

Combien de fois le pénis entre-t-il dans une bouche, dans des mains, passe entre des cuisses ? Autant de fois qu'il le faut, autant de fois qu'on le souhaite, le nombre est d'or et la perfection, délicieuse.
Et la mesure de l'amour d'apporter une surprise de taille : car votre pénis est bien le seul instrument permettant de mesurer une femme? de l'intérieur.

Astrid Schilling

***

Ces hommes aimaient le corps de ces trois s'urs. Elles, frétillantes, étincelantes, s'offraient sans pudeur au regard, à leurs caresses.
Leurs chairs exultaient !
C'était bien normal à leur âge ! Moi, je n'en avais pas profité. J'en avais vu des couples s'aimer, se quitter, même se déchirer. Etait-ce cela qui m'avait gardé de m'avancer dans ce terrain mouvant de l'amour ?
Les années avaient passés sur mes murs, y laissant des crevasses de pourriture, l'humidité des caves remontait maintenant au rez-de-chaussée, me faisant souvent frissonner malgré la chaleur torride de l'air.

Mes vacances allaient se terminer. Bientôt les pics ébranleraient mes murs, les anciens plâtras tomberaient, les moulures que j'aimais tant se verraient couvrir de faux plafonds, et les lourdes tentures rongées de mes fenêtres seraient remplacées par ces petits stores en lamelles qui frétillaient sous la moindre brise.

Mais au moins, il me restait encore un peu de temps pour admirer ces couples s'aimer, se goûter et faire l'amour.


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Attitude gourmande et enfantine : « Je te mangerai, tellement je t'aime. »
Jouis, belle queue, répands ta tendresse dans ma chaleur, sens combien je te protège et te désire encore lorsque tu t'abandonnes.

Avec le pénis, la chair atteint le sommet : celui de la sensibilité à fleur de peau.
Quelques replis, messieurs, protègent votre tête conquérante avec la perfection d'un origami sacrifié.
Ou telle queue se dresse sans plier sous le vent, parée seule de sa raideur effrontée.
Astrid Schilling

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