La tour génoise (2)

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Proposée le 20/06/2012 par tanis

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lire le chapitre 1.

J'aime la nuit, ses bruits et ses silences. J'aime ces odeurs plus que celles du jour. Les odeurs nocturnes, elles, sont indépendantes, libres. Elles viennent d'on ne sait où et vont où elles veulent. Elles se glissent sous les portes et dans l'entrebâillement des fenêtres, visitent les caves, inspectent les pièces, les couloirs en se poussant du coude.
Par la fenêtre entrouverte, tous les parfums d'herbes et de fleurs se sont invités à un bal clandestin et virevoltent sous les trilles d'un grillon musicien.

Je parcours les couloirs, écoutant aux portes. J'entends quelques gémissements chez les plus courageux, et des soupirs d'aise chez les autres.
Exactement comme la première nuit de 1895, lorsqu'ils sont arrivés.
Mais voilà que le matin approche.

« Ô, vous les hommes, que vous êtes forts et faibles à la fois lorsque vous dévoilez vos trésors. »
Astrid Schilling


***

Le soleil pâle annonçait encore une journée chaude quand Lise s'éveilla. Regardant sa montre, elle sauta du lit.
- Hop ! Les vacances commencent ! Je file chercher le pain !

Elle enfila son short, et saisit le dessus de son bikini puis descendit les premières marches. Elle vit Axel qui remontait l'escalier.
- Euh, je ne dormais plus, alors je voulais t'accompagner mais comme tu n'étais pas en bas, je montais voir si tu dormais encore.
- Non, non Axel, j'étais aussi réveillée? je ne sais jamais dormir longtemps en vacances.

Lise voyait ces yeux fixer ses seins. Elle descendit encore quelques marches présentant sa poitrine à sa hauteur.
Axel la fixa dans les yeux puis sa bouche s'avança et s'empare d'un téton qui durcit entre ses lèvres. Faisant tournoyer sa langue autour de la petite pointe rigide, il se retira et bafouillant :
- Tu es belle comme un petit dieu'

Lise courba le buste et tout en posant ses lèvres sur les siennes, glissa la main sur le short, enroula ses doigts autour de la protubérance et lui murmura.
- Cette belle induration promet bien des plaisirs'

Puis, lui saisissant la main, elle l'entraîna vers les voitures en courant.
Conduisant calmement, Axel regardait de temps en temps Lise. Il se posait des questions. Son couple, il le connaissait, mais les deux autres' Il était à présent certain de ne pas tout savoir, pas qu'on le lui cache, mais des choses non dites. Il transpirait quand il posa la question :
- Lise, c'était comme cela en Ardèche entre vous ?
Lise replia ses jambes sur le siège, elle baisa la tête et un fin sourire se dessina sur son visage :
- Oui, c'était comme cela, dit-elle, enfin cela a fini par évoluer comme cela, et c'est merveilleux, j'adore ça.
Puis relevant le visage, elle fixa Axel tendrement, son bras se déplia, et vint se poser sur son sexe qu'elle enserra doucement :
- C'était comme cela, et même beaucoup plus !?
Axel était en sueur, en moins de dix minutes, il lui avait embrassé un sein, et la main de Lise s'était posée deux fois sur son sexe.
- Et' beaucoup plus, c'est' euh?
- Oui Axel, c'est cela, j'ai fait l'amour avec Eric, et Daniel a fait l'amour avec Laurie. Tu dois trouver ça étrange entre beau-frère et belle s'ur. Mais nous avons une relation tellement tendre et complice.

Il réfléchissait tellement que la vitesse de la voiture diminuait à vue d'oeil, et il allait finir par s'arrêter.
- Mais Lise, pourquoi sommes-nous avec vous pour ces vacances alors ! On ne peut que vous déranger !
- Oui, c'est vrai, on y a pensé, puis on s'est dit que vous aussi vous pourriez avoir envie de connaître ça, de faire cette expérience si vous en aviez l'envie.

Lise déploya à nouveau ses jambes, les étendant, ce qui dévoila son petit ventre plat. Elle attendit un instant puis reprit :
- Axel, je vais être franche avec toi?
Il attendit, son dos ruisselait, ses mains moites tenaient à peine le volant, heureusement qu'il roulait à présent au pas !
Lise attendit que la voiture s'arrête tout à fait avant de continuer. Ses grands yeux bleus le fixèrent.
- C'est simple Alex?, Laurie et moi désirons que tu nous fasses l'amour. Eric et Daniel par contre feront l'amour avec Sylvie.
C'était clair et net.
- Avec toi et Laurie ? S'essouffla Axel.
- Oui, avec l'une et l'autre ou ensemble si tu préfères.
Lise crut qu'Axel allait tomber en syncope.
- Avec mes belles-s'urs, murmura-t'il. Puis se reprenant, il susurra, mais Sylvie n'acceptera jamais ça ! C'est de l'échangisme, de l'inceste !
- Ne t'en fais pas ! C'est ma s'ur, elle acceptera, d'ailleurs je suis certain que Daniel et Eric s'y emploient déjà pour le moment !
Approchant son visage, elle déposa ses lèvres sur les siennes, perçant sa bouche de sa petite langue pointue. Sa main coulissait sur le short tendu, faisant monter la tension. Gêné par sa brutale érection, Axel posa une main sur le ventre lisse de sa belle-s'ur, et ses doigts s'enfilèrent dans le short, sur le pubis chaud et poilu.


***

J'avais vu le nuage de poussière quand la voiture démarra, je savais qu'à leur retour les choses auraient évolués. C'était comme tout dans la vie, il suffisait d'une minute, d'un moment particulier pour que parfois tout bascule dans le meilleur et dans le pire.

« Il suffisait d'aller là où on l'attendait, là où était sa place, sa peau à elle contre sa peau à lui. C'était si simple, si incroyablement simple. »

***


Sylvie courait nue vers la salle de douche quand Daniel ouvrit la porte de sa chambre. Il la rattrapa, et l'enveloppant de ses bras :
- Alors petite belle-s'ur, on ne dit plus bonjour le matin !
- Mais je suis nue !
Il lui déposa un baiser dans le cou, sa main lui caressa un sein et descendit dans les boucles de sa toison pubienne.
- Justement, tu es nue !
- Daniel ! Si mes s'urs survenaient !

Sylvie essayait de s'échapper mais n'y parvenant pas elle lui dit :
- Je t'ai vu faire l'amour avec Laurie?

Daniel marqua un temps d'arrêt puis reprenant ses caresses lui murmura :
- Et moi j'ai bien envie de faire l'amour avec toi?

Sa main plongea entre les cuisses et un doigt s'insinua entre le sillon des lèvres.
- Ohhh, mhhhh?
- Et tu m'as l'air bien en forme de grand matin ! C'est bien ! La journée nous donnera l'occasion d'en reparler !

Sylvie s'échappa, et plongea sous le jet tiède de la douche. Ses mains tremblaient. Elle avança la main vers sa vulve, écartant ses lèvres, là où le doigt de Daniel l'avait effleurée. Elle avait envie, terriblement envie. Que dirait Laurie si elle savait !

Daniel rentra dans sa chambre, Lise revenue de chez le boulanger s'apprêtait également à prendre sa douche. Il n'y avait qu'une salle de terminée, on faisait la queue !
Il s'approcha de sa femme :
- J'ai surpris Sylvie nue dans le couloir, elle allait à la douche.
- Et ? demanda Laurie.
- Ben' elle avait l'air d'avoir envie de faire l'amour et m'a déclaré m'avoir vu faire l'amour avec Laurie !
- Ah ! Et tu sais ça comment mon cher époux ?
- Elle a dû nous surprendre le jour du repas d'anniversaire, elle devait passer chez Laurie, comme elle a une clef, elle est entrée, nous a observé puis est repartie sans rien dire.
- Laurie l'interrompit :
- Alors tu lui as glissé un doigt entre les cuisses pour savoir ! Tu en es déjà là toi ! Bravo ! Laisse une place pour Eric, déclara t-elle en souriant.

Beaucoup de bonne humeur au petit-déjeuner. Chacun se regardait, avec envie, guettant parfois un signe, un geste qui viendrait sans doute dans les heures à venir.
Axel rayonnait, son regard fixait Lise puis se posait sur Laurie. Sylvie tournait des yeux devant Daniel qui la fixait farouchement.

***


Je revoyais la même scène ce matin de 1895, je ne me souviens plus du mois ni du jour. Il faisait chaud, cela devait être en été. Une fois par an, les amis du propriétaire se réunissaient. Il y avait à l'époque beaucoup plus de chambres que maintenant. Les couples arrivaient dans la journée, prenaient leur aise, et c'est seulement le lendemain que tout commençait.
J'aimais ces moments, et je retrouvais avec ces trois petits couples le temps où les jupes tourbillonnaient tard le soir au son de la musique et où les hommes en habits faisaient des révérences.

« La joie d'approcher un pénis est simple et naturelle, comme celle d'entrevoir un rai de lumière traverser les jeunes feuilles d'un tilleul. »
Astrid Schilling


***


La table venait d'être débarrassée. Axel se leva et déclara :
- Je file explorer la petite plage, on pourrait se baigner après !
Il traversa la terrasse et descendit les petits gradins menant à l'eau. Lise se leva.
- Je l'accompagne, je vais voir aussi.
Sylvie regarda Laurie qui lui fit un petit signe d'acquiescement.

Axel était appuyé contre le rocher, regardant la mer, le sable blanc sur lequel la mer se déversait en un lent va et vient. Laurie sauta les dernières marches et vint vers lui. Il voulut parler mais elle l'interrompit immédiatement :
- Tais-toi, et regarde !

S'agenouillant devant lui, elle tendit les mains en avant, les posa sur son maillot. Elle sentit l'érection se développer, prendre consistance, puis saillir doucement du slip de bain. Elle regarda le gland dans la tête dépassait légèrement.
- Vous devriez prendre des maillots une taille plus grande Monsieur !
Mutine, elle saisit la ceinture et d'un mouvement souple descendit le maillot à ses pieds.

La verge se dressait raide devant elle, émergeant d'une broussaille de poils noirs. Elle aimait reconnaître l'homme, le fouiller du regard, chercher les point névralgiques, et c'est ce qu'elle faisait maintenant.
Glissant du gland à la tige où palpitaient des veines rouges, elle descendit vers les testicules gonflés qui pendaient. Elle fixa Axel dans les yeux pendant qu'une main s'emparait des bourses. Lise les étira vers le bas, forçant le reste du prépuce à découvrir la tête du gland. La petite ouverture luisait au soleil, une goutte perlait. Elle s'amusait à le faire attendre, promenant maintenant son autre main sur le pieu tendu.

L'enveloppant, l'enserrant, le masturbant lentement, lui faisant prendre conscience des mouvements qu'elle lui prodiguait.
Elle le sentit se raidir, alors que les jets chauds giclaient sur son nombril.
Il regarda les coulées blanches s'insinuer sous le maillot de Lise


***


Je les voyais tous arriver à l'époque en calèche, des couples, des aristocrates, bien habillés, les femmes vêtues de ses robes affriolantes, bouffantes, les hommes en habit. Et c'étaient des Monsieur le Comte par ci, Madame la Baronne par là? « Tiens, ce soir nous avons emmené notre fille, elle va sur ses 18 ans' Il est temps de vous la présenter !... »
Puis la cohorte des domestiques s'affairait : apéritif, petits toasts' avant qu'ils ne passent tous à table.

« Ne rougissez pas : votre gland est une cerise, une pommette, une joue à fossette que l'on a envie d'embrasser. »
Astrid Schilling


***

Ils étaient toujours à table quand le couple les rejoignit. Sylvie remarqua le rouge aux joues de son mari. Lise avait les lèvres brillantes et le dessus du maillot mouillé. Laurie ainsi que Eric et Daniel n'était pas dupes. Les choses évoluaient bien' !
Chacun sortit de table. Qu'allait-on faire cette journée ?
Axel entraina sa femme à l'écart. Sylvie le regarda.
- Tu as chaud ? tu es plein de couleur?
- Non, ça va?
- Axel, je dois te dire quelque chose ! Je n'imaginais pas que ces vacances commenceraient comme cela? En allant prendre ma douche ce matin, Daniel m'a attrapée dans le couloir?

Il saisit sa petite femme dans ses bras, l'embrassa avec fureur.
- Moi aussi je dois t'avouer quelque chose? En bas sur la plage, ta s'ur Lise? m'a?

Sylvie l'interrompit, puis regardant son mari elle murmura :
- Chut ! ne dis rien' et tu as aimé ?
- J'ai cru m'évanouir de plaisir?
- J'ai aimé aussi Axel, j'ai bien envie qu'il me prenne.

Et en l'embrassant lui avoua :
- Je veux le sentir en moi? tu me raconteras aussi?
- Je t'adore ma puce, on découvre un autre monde? cette maison est bizarre. Mais j'aime de te voir avec d'autres hommes. Laisse toi aller comme tu en a envie, profite de ces vacances.
Sylvie se dégagea de l'étreinte de son mari, le couvrant d'un regard amoureux.

***
Cette journée fut calme, chacun se reposant de la fatigue du voyage. Ils étaient descendus à la crique. Les filles seins nus ne s'inquiétaient plus trop du regard que leur lançaient parfois leurs beaux-frères.
L'eau de la mer était chaude ce qui fit dire à Laurie :
- Moi je suis pour un petit bain de minuit ! Qui m'accompagnera ?
- Je crois qu'on viendra tous ! Il faut vraiment si chaud la nuit ! déclara Lise.
- Ok ! dit Eric, moi je file commencer le repas.
- Et on mange quoi ce soir cuistot, demanda Sylvie
- Artichauts farcis au Brocciu, suivi d'une bonne bouillabaisse puis le plat de fromage Bastelica, Fiumorbu, et une tomme de chèvre de Piaggiola et comme désert, des beignets aux fleurs de courgette.
- On ne sortira pas d'ici vivant si il s'y met, il va nous gaver !

Il fallut bien quelques heures après le repas pour se remettre ! Le soir tombait doucement. Allongés dans les relax ils paressaient.
- Dis-Laurie, demanda Daniel, on met des maillots pour le bain de minuit ?
- Si on met des maillots, ce n'est plus un bain de minuit !
- Hmmm'
- Mais il est l'heure ! Il fait tout à fait noir, et il est presque minuit, déclara Lise en se levant ! Allez ! tous à l'eau !

Elle ôta son slip, puis se retournant devant l'assistance, elle plia légèrement les jambes en levant les bras :
- Voilà comment ça se prend un bain de minuit !

Puis elle dégringola rapidement les escaliers avant de se jeter à l'eau. Axel, Eric et Laurie firent de même et la suivirent.

Maintenant seule avec Daniel, Sylvie hésitait. Lui entourant la taille de ses mains, il fit glisser le maillot sur les genoux, dévoilant le pubis épilé. Les poils coupés ras laissaient apparaître la naissance de la vulve. Elle serra contre elle le torse de l'homme, dans lequel elle entendait son c'ur, à lui, battre aussi fort que le sien. Il lui colla un baiser sur les lèvres et l'entraîna.

Eric prit une battue sur le sable et sauta sur Lise. Ils plongèrent tous les deux? Ils émergèrent dans les bras d'un de l'autre.

Axel entoura Sylvie de ses bras, la retourna face à Eric et Lise, l'exposant, l'offrant presque. Le pubis pointé, les seins arrogants les jumelles se fixèrent. Elles frémirent.
Leur regard se fouillait, sondant dans les pupilles dilatées ce que l'autre ressentait. Sous les poussées, leurs pensées s'accordèrent, les yeux devinrent flous alors que les vagues clapotaient entre leurs jambes.
Elles jouirent ensemble en se regardant.

Laurie et Eric les avaient regardés, suavement, avec un sourire complice.
- Je crois que j'ai gagné Eric, les choses vont bien se passer !? Viens on monte, j'ai envie de que tu me fasses des choses qu'il est prématuré que Sylvie voie pour le moment.


***

Ah ! Cette crique en avait vu des choses, je n'ose vous les dire ici, mais cela reste des souvenirs assez flous. Je me souviens qu'avant la fin du repas du soir une cohorte de soubrettes et de domestiques descendait les marches de l'escalier menant à la mer, disposant des chandeliers allumés sur les piliers menant à chaque terrasse, et déposant des rafraichissements sur les tables de pierre.
Souvent la chaleur était étouffante.

J'aimais ces petites flammes qui vacillaient dans l'air de la nuit, c'était comme un chemin vers nos origines, vers la mer? une descente vers les enfers'

« Souple comme un roseau, ronde comme une vague, tu me parles encore. Fais-moi l'amour, dieu Pénis, aime-moi toujours, rejette-moi pour mieux me reprendre. »
Astrid Schilling


***

Sylvie s'éveilla trot tôt. Axel dormait encore. Elle se leva et descendit.
Le pain' elle l'aimait frais, mais avant d'aller le chercher, elle sortit sur la terrasse, s'approcha des terrasses et regarda la mer.
Elle repensa au bain de minuit avec Eric et Lise.
Elle avait eu un orgasme devant eux? elle avait fait l'amour devant eux. Comment allaient-ils se regarder ce matin ?

Un frisson la parcourut, il faisait déjà chaud. Elle marcha vers les voitures, puis avisant les annexes du bâtiment, elle entra.
Cela devait être une ancienne écurie, un selle traînait encore par terre, un vélo appuyé contre une poutre. Les pneus avaient l'air en bon état.
Elle le sortit de la pièce, l'examinant au soleil, puis décida que vu la distance il ferait l'affaire. Elle l'enfourcha, et l'on pu voir deux petites fesses cahotantes sur la selle s'éloigner vers la boulangerie.

- Oh ce pain frais ! Merci Sylvie dit Eric. Tu as eu bien du courage de te lever ! Moi je dormais comme une souche. Cet air marin quand on n'est pas habitué me soûle?
- Et bien moi, dit Lise, cet après midi je vais voir la tour génoise. Tu m'accompagnes Axel ?

Axel après un rapide regard à Sylvie acquiesça.
- Je vous accompagne également, j'ai toujours aimé ces vieux bâtiments, déclara Daniel.

Lise vit Axel se renfrogner, il aurait voulu être seul avec elle, mais elle lui sourit et lui fit un petit signe de tête prometteur.
- Moi j'irai à la plage, dit Laurie, c'est trop chaud là-haut.

***

C'était vraiment un sentier de chèvres. Serpentant entre les maquis, il montait raide vers la tour qui au fur et à mesure paraissait énorme. Ronde, d'une quinzaine de mètre de hauteur, elle faisait bien huit mètres de diamètre à la base. Lise s'arrêta, suivie d'Axel et de Daniel.
Déception ! Aucune entrée si ce n'était une ouverture dans la maçonnerie à trois mètres de hauteur.
- Oh non ! Pas moyen d'entrer. Pourtant la vue du haut doit être superbe !
- Attends ! on va trouver un moyen, dit Daniel.
Cherchant aux alentours, il trouva un tronc d'arbre avec quelques branches latérales.
- Axel, aide-moi, ça devrait aller pour grimper !

Les deux hommes dressèrent le tronc contre le bâtiment et le coincèrent dans l'ouverture.
- A toi l'honneur Lise !

Celle-ci empoigna le tronc, posant les pieds sur les branches et s'éleva doucement.
- Vas-y Axel, à ton tour.

Daniel regardait sa femme monter. Son beau-frère suivait, levant souvent son regard sur les cuisses qui le surplombaient. Le short de Lise était mouillé entre les cuisses, la chaleur était torride.

Lise se rétablit et entra dans l'ouverture. Axel suivi rejoint par Daniel.
Un escalier montait au sommet, sur le poste de garde.
A trois, ils regardèrent la vue qui plongeait vers la mer. Leur maison était bien visible ainsi que les petites terrasses descendant vers la mer.
- Laurie ne se baigne pas encore ! Sinon on la verrait d'ici déclara Daniel.
Le silence se fit, pesant sous le soleil. Daniel regarda sa femme intrigué.

Elle se posta derrière Axel, collant son corps au sien, se frottant contre lui. Elle dégrafa son soutien, fit glisser son short, et frotta son pubis contre la toile rêche du short. Ses mains parcoururent les hanches d'Axel, puis glissèrent devant, frottant, massant. Elle enserra la rigidité qui se développait entre ses mains.

Axel gêné sentait que Daniel observait, mais il n'osa pas tourner la tête.
Quelques boutons à dégrafer, et le short tomba suivit du slip. Elle glissa une main le long du ventre et descendit le long de l'épieu, allant enserrer les bourses gonflées.

Axel ne bougeait plus, immobile, son membre en érection défiant le paysage. Quand ouvrit les yeux, Daniel n'était plus là, avait-il rêvé ? Lise cala son menton sur son épaule et lui murmura :
- Regarde ton gland ! Il grossit' Oui ! Bande, bande pour moi !

Le spasme le raidit, son sexe vibra dans la main de Lise, il sentit monter la semence. Le premier jet fusa dans l'air, éclatant dans le soleil, les doigts de sa belle-s'ur le branlait, déclenchant des spasmes inouïs. Les giclées fusèrent dans l'air chaud, s'irisant sous le soleil avant de se perdre dans le vide.
Il était dans un état second, elle le caressait doucement, regardant goutter la semence sur leurs pieds.

Il réalisa qu'ils étaient seuls. Le départ de Daniel était en somme un consentement à ce qu'ils feraient'
Il n'en avait pas assez, son sexe n'avait pas débandé, raide il se dressait face au pubis bouclé.
Il repoussa lentement Lise contre le muret, lui appuya les fesses. Il semblait avoir repris la situation en main. Maître à présent, il dirigeait.
- Ouvre ton sexe avec tes doigts, et regarde-moi !

Lise écarta les petites lèvres, dévoilant l'entrée rose du vagin. Elargissant la caresse, elle les étira, dévoilant la vulve chaude jusqu'au clitoris qui pointait, effrontément.
Son doigt caressa la fente de haut en bas.
- Tu es magnifique Lise, tu m'offres ce que tu as de plus précieux !
- Ta bouche, avec ta bouche?, gémit-elle.

Axel avança les lèvres, humant déjà l'odeur iodée de son sexe. Cherchant l'endroit où attaquer, son souffle la rendait folle.
Le bout se sa langue pointa et remonta le long d'une lèvre ouverte. Elle releva le petit capuchon rose, le contourna et redescendit, frôlant l'entrée palpitante de son intimité. Inclinant la tête, il joignit ses lèvres aux voiles intimes dans un baiser brûlant.
Brusquement il engloutit ce petit coquillage ouvert.
Lise cria quand l'orgasme la surprit, elle poussa son sexe sur la bouche gourmande qui la happait.
Axel attendit que les contractions s'espacent avant de se remettre debout.
Ils se regardèrent, les yeux brillants.

Axel descendit le regard vers le sexe ouvert barbouillé de salive, un goût salé lui emplissait la bouche, des effluves de marée, de fruit de mer.

Lise fixait l'épieu qui se balançait devant elle. Son ventre vide réclamait, elle désirait se sentir pleine. Déjà elle frémissait, attendant le moment où le gland toucherait ses chairs. Maintenant il allait la prendre.
- Tu m'excites avec ta verge qui se balance ! Puis en riant, tu n'es pas offusqué de te montrer comme ça à ta belle-s'ur ?
- Ohh Lise !

Le pal vint se positionner à l'embouchure des lèvres. Leurs yeux s'unirent, et Axel appuya. Lise eut juste le temps de voir le pieu de chair s'enfoncer en elle.

Daniel qui redescendait, entendit le cri que poussa sa femme. Une envie folle le tenaillait'

(A suivre)