Je trompais David pour la première fois !

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Proposée le 17/06/2012 par Lenny

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Cela faisait 6 mois que j'étais avec David, je l'aimais, le trouvais beau, intelligent, talentueux, attentionné bref presque parfait. Malheureusement son sexe est tout petit, de plus il n'est que peu endurant. Il ne peut donc pas combler ma libido de plus en plus débordante !
Je me masturbais des que je le pouvais pour calmer mes envies, qui m'envahissaient dorénavant de jour comme de nuit ! Je me surprenais même à fantasmer sur le fils de mon patron, cet homme arrogant, imbus de sa personne que je déteste mais qui d'après les rumeurs de collègues ayant déjà couché avec, a une bite de cheval ! Ce dernier point m'obsédait littéralement du fait de mon manque chronique de sexe !
Ne m'étant toujours pas fait à l'idée de tromper David et mes doigts ne me suffisant plus, je me suis décidée, un soir à faire un tour dans un sexshop pour découvrir ce qu'ils faisaient pour une « mal baisée ». J'ai pris mon courage a deux mains un mercredi soir après le boulot, j'étais nerveuse, ne sachant pas trop a quoi m'attendre !
Je suis entrée et y ai découvert un petit sexshop, sombre, mal rangé, pas très propre tout comme le gérant à la caisse. Un homme, la quarantaine assez maigrichon, cheveux gras pour ce qu'il en reste, peau luisante, apparemment très poilu de ce que l'on peut voir avec son marcel (pas très propre), bref pas une beauté ! Je contrastais littéralement à l'environnement, une belle avocate en tailleur, chemisier valant la peau des fesses dans ce « taudis » sexuel !
- Bonjour la miss, je peux faire quelque chose pour toi ma belle ?
- Non merci ! Son regard sournois, son air de pervers, je ne voulais pas m'attarder avec lui
Je me baladais dans le magasin sous son regard insistant, il me suivait, me matais sans scrupule, cela me flattait et me répugner en même temps.
Je découvris le rayon godes, il ne m'en fallait pas plus dans mon état pour me faire mouiller ma petite culotte ! Je louchais littéralement sur le master Big, j'imaginais déjà ce que j'allais lui faire endurer !
Soudain je sentis quelqu'un me prendre la main pour la porter vers son entre-jambes, je sortis de mes rêves et me retournai :
- C'est quasi le même vous voulez l'essayez avant d'acheter celui-là ? C'était le gérant, j'eus 2-3 secondes de surprise, ne bougeant pas ma main de son paquet.
- je ne vous permets pas ! Lui dis-je enfin retirant ma main de son short !
Son regard m'intimidait, je ne pouvais lui soutenir, je fis un pas en arrière et me retournai vers les godes.
Je le sentais se rapprocher, se collait contre moi, je ne bougeais plus, étant tétanisée et surtout coincée entre lui et le rayon ! Je fis mine de rien sentant son corps contre moi, j'avais peur, je sentais sa queue qui m'avait déjà l'air énorme se durcir petit à petit à mon contact, mon c'ur battait à 100 a l'heure, je sentais mon bas ventre se remplir d'une peur ressemblant de plus en plus a de l'excitation ! Ses mains m'agrippaient les hanches, il me les caressait à travers mon chemisier de satin, j'avais chaud, j'étais dans un état second, il me caressait le bas du ventre s'approchant au plus près du bouton de mon pantalon, de mon sexe en caressant l'intérieur de mes cuisses, s'approchant de ma poitrine, je frissonnais, j'avais les jambes en coton, le moindre effleurement m'excitait, je tremblais, j'avais les tétons qui « bandaient » à travers mon chemisier, je continuais de mouiller, inondant ma culotte, j'étais face à un dilemme : l'excitation ou la raison ? Je ne pouvais dans mon état que m'abandonner à l'excitation et ne pas apercevoir une once de raison.
Il se frottait désormais comme un chien contre mes fesses rebondies, il bandait, je mouillais pendant qu'il remontait ses mains vers mes seins, je me laissais faire, perdue dans l'océan d'excitation que cet inconnu me faisait ressentir, il m'attrapa un sein d'une main, prit mon sac à main de l'autre pour m'en débarrasser, m'embrassa dans le cou, je ne pouvais que céder à l'excitation croissante. Je tournis ma tête pour le regarder, il m'embrassa goulument, je ne refusais pas ce baiser. Il enfonçait sa langue essayant d'attraper la mienne, il n'avait pas très bonne haleine, il m'attrapa alors une main et m'emmena alors vers une porte annexe en arrière boutique et s'écria :
- Patricia, la caisse !
Nous entrons alors vers une chambre de bonne, meublée que d'un lit, cette pièce sentait le cul, cela m'excitait !
- Jamais je n'aurai cru y amener une bonasse comme toi, ici !
Je me retournais alors, lui faisant face. Il se jeta sur mes lèvres pour me rouler une pelle maladroite je me suis mise à penser à David ! Je repoussais alors cet homme que je ne connaissais pas il y a 10 minutes et qui s'apprêtait à me sauter ! J'eus un moment d'hésitation, de culpabité, il le remarqua et abaissa son short pour y libérer son énorme bite, il ne mentait pas sur ses dimensions, elle était plutôt grande, mais surtout très grosse !
J'ai pris un court temps de réflexion, du moins j'essayais mais sa bite me faisait déjà rêver, m'empêchait de penser à autre chose qu'à elle, elle m'obsédait, je le regardais de mon regard le plus coquin que je n'avais pas utilisé depuis des lustres, ce regard appuyé, accompagné par des sourcils levés qui donne un air salope. Je me suis mise à genoux devant sa bite qui laissait malheureusement échapper de mauvaises odeurs, elle sentait fort, un mélange de transpiration et d'urine ! J'étais prête à y faire abstraction pour caresser ces couilles et surtout cette queue impressionnante ! Il eut visiblement assez de mes caresses puisqu'il m'a attrapé la tête pour me pénétrer en forçant le passage buccale avec sa queue puante mélangeant le gout d'urine et de liquide séminale qui résultait de son excitation, il me pénétrait la bouche, j'avais les mains accrochées à ces petites fesses, il enchaînait les va-et-vient de plus en plus rapides, m'empêchant de reprendre ma respiration. J'enfonçais mes ongles dans ces fesses sous le manque d'oxygène, je dus alors lui retirer la bête toujours liée à mes lèvres par un filet de sperme, j'avais la bouche grande ouverte, je le regardais essoufflée.
- Ben alors c'est tout ce que tu sais faire ma belle ?
Je repris ma respiration et lui dit :
- Montre-moi toi ce que tu sais faire !
Il a pris cela comme un défi et m'a attrapée par le col de mon chemisier, me soulevant de façon très viril pour m'embrasser fougueusement, embrassant du fait le sperme qu'il me restait sur les lèvres, il me poussa dans le lit où les draps sentaient le cul et étaient surement recouvert de foutres différents !
Il m'enleva le pantalon, arrachant le bouton de celui-ci, enleva ma culotte trempée, s'arrêta un bref instant pour là renifler puis se jeta sur ma chatte imberbe, me doigtant de ses gros doigts qui s'enfonçaient et se faisaient aspirer par le courant d'excitation qui émanait de mon sexe. Il me lécha le bouton magique en érection à un rythme d'enfer ! Je jetais mes épaules en arrière, me soumettant avec plaisir à ses caresses, je jouissais, il le comprenait, accélérait jusqu'à ce que je m'abandonne au spasmes orgasmiques qui me firent gémir dans un cri continu !
Il en profita alors pour arracher mon chemisier afin de découvrir mes seins durs d'excitation, il les malaxa en me roulant une pelle toute aussi maladroite mais qui fut plus agréable du fait de son haleine qui dorénavant sentais le plaisir féminin ! Sa queue contre moi, le long de ma cuisse, je le branlais me faisant une idée très précise de ses dimensions, il se rapprocha de mon sexe et entra en moi facilement grâce à la mouille que je continuais d'accumuler, il commença doucement car toujours occupé à m'embrasser, puis accéléra dès le baiser fini ! Il louchait sur mes seins qui dansaient au rythme de ces coups de reins, sur ma bouche grande ouverte qui laissait échapper des gémissements saccadés, sur mes yeux qui le regardaient demi fermés d'excitation. Comme pour mieux répondre au plaisir qui me tiraillait, je l'enlaçais avec mes jambes pour qu'il aille au plus profond de moi, il me pénétrait à un rythme effréné, en missionnaire puis me leva en attrapant mon chemisier afin de m'embrasser. Ne me laissant aucun répit il m'a prise en levrette, prenant appui d'abord avec mes épaules puis en tirant le tissu du chemisier vers lui ce qui me fit cambrer les fesses, lui offrant ma croupe qu'il violentait, me faisant gémir ou plutôt crier à chaque coups de bite, il me sautait comme un lapin en manque ! De la sorte, il arrachait mon chemisier encore un peu plus, il le lâcha alors pour m'attraper les cheveux, ce qui me cambra encore plus ! Moi la jeune avocate chic, glam, sexy, qui a un succès fou avec les hommes, se faisait sauter comme une chienne sans préservatif par un inconnu qui est mon total opposé, dans une chambre de 5 mètres carrés !
Il ne ralentissait pas ces coups de boutoir et je sentais ma chatte aspirer son membre par fortes contractions, de moins en moins espacées, je sentais mon corps chavirer vers le summum du plaisir, l'orgasme ! Il réussit, lui, à retenir son éjaculation puis m'a retournée pour m'embrasser quand j'enlevais difficilement mon chemisier trempé de sueur, il me fit un « french kiss » que je trouvais de plus en plus excitant faisant maintenant abstraction de son physique, de son haleine !
A peine avais-je enlevé celui-ci ou du moins ce qu'il en restait qu'il me rallongea pour y prendre mes jambes sur ses épaules et continuer à me pénétrer tout aussi violemment qu'au début ! Il stimulait merveilleusement bien mon point G de cette façon ! Je gémissais fort à tel point que l'on devait m'entendre dans le magasin ! Il me baisait comme une salope, j'avais les cuisses trempées de mouille ! Je le voyais transpirer à grosse gouttes, se concentrant sur mon corps en action, violenté par ces coups de reins qui me firent arriver à un nouvel orgasme, j'en tremblais, criais, frissonnais, grimaçais de plaisir ! Il sortit alors sa queue, me releva légèrement afin qu'il se finisse contre mon visage, je me laissais faire, étant dans un état second. Il éjacula de longs, de lourds jets de foutre aux quatre coins de mon visage et de ma bouche grande ouverte !
Il prit dans mon sac mon paquet de clope et s'affala dans le lit pour en allumer une tandis que je m'essuyais le visage avec la seule chose possible n'ayant pas de mouchoir sous la main, mon chemisier !
- Tu vas au moins me la nettoyer ?
Je le regardais, lui sourit et m'attela à la tâche en léchant les moindres recoins de sa queue qui était déjà bien ramollie, de son gland, suçant son sexe tel une sucette, lui nettoyant même le sperme, la mouille sur ces poils pubiens d'une main experte !
Ayant fini ma tâche je me suis mise à côté de lui. Il m'a rendu ma clope qu'il avait consommé de moitié. J'étais dans ce lit, à poil, à côté d'un inconnu lui-même nu, en train de savourer cette fameuse cigarette après baise, qui plus baise avec orgasmes ! Je venais tout juste de me faire sauter par un homme hideux et j'étais contente, c'était de loin mon meilleur coup !
J'inhalais la nicotine en pompant sur cette cigarette qui me procurait un tel bien-être que j'exhalais la fumée délicatement comme pour la laisser échapper le moins rapidement possible ! Nous savourions cet instant silencieusement, les yeux dans les yeux comme un couple ayant fini de faire l'amour jusqu'à ce qu'il rompe le silence !
- Faudra venir plus souvent si t'es en manque comme ça !
- Je n'y manquerai pas ! Dis-je en écrasant ma clope dans le cendrier qu'il me présentait, je le vis ensuite partir, j'ai donc pris mon sac, me suis remaquillais un peu, attachai mes cheveux décoiffés avec une pince, enfila mon pantalon, mes louboutins et le reste de mon chemisier, déchiré, tâché que je tenais au niveau de la poitrine pour ne pas dévoiler mes seins à tout le monde ! Je m'apprêtais à partir quand il revint le gode à la main.
- Alors, satisfaite ?
- Oh que oui ! Je lui pris des mains, n'ayant pas de place dans mon sac je devais le garder en main
- Je te l'offre à conditions que tu reviennes, j'aurai un autre cadeau qui sera en lien avec ce soir !
- Accepté !
Il est plutôt facile en affaire lui !
Il m'embrassa une dernière fois, me mettant une main aux fesses qui me ramenaient à la réalité tant il embrassait mal, puait de la gueule, était laid !
Je me suis dépêchée, dès le baiser fini de sortir d'ici et de rejoindre ma voiture en courant tenant le gode et mon chemisier comme je le pouvais, ce qui provoqua le klaxon d'un groupe de jeunes visiblement en rut. J'entrai dans la voiture et démarra au plus vite pour échapper à leur regard, leurs jugements, moi qui 30 minutes plus tôt me faisais culbuter comme une chienne dans l'arrière-boutique d'un sexshop de banlieue !
Je suis rentrée de toute hâte chez moi et eus la merveilleuse surprise de ne trouver personne. Je me dépêchai alors de jeter mon chemisier, de cacher mon cadeau et de prendre une douche pour effacer toutes preuves ! J'avais été infidèle et me rendais compte que je pouvais tromper David avec n'importe qui du fait d'avoir succombé à ce vieux pervers. Je me suis couchée dans nos draps propres, consciente d'avoir brisé un tabou. J'étais un peu devenue une « salope » et plutôt fière de l'être !